Affronter les galères de la vie avec du courage? Ce n’est pas ça qui nous sort des embrouilles. Non, c’est juste l’envie de vivre et de profiter en ayant jamais peur de ce qui peut se passer.

La joie de l’enfance , les plaisirs simples qui nous laisse comme un goût amer lorsqu’on quitte cette période de notre vie. Une enfant enthousiasme, joyeuse, joueuse et intelligente. Elle faisait le bonheur de ses parents. Ces derniers n’était pas de grands avocat ou autre. Ils étaient des criminels? Oui, une famille légèrement différente des autres. Elle est certes tombé dans une drôle de famille ,mais ce qui était sûr c’est que cette famille rendait la petite Jazz pleine de vie. Croquer la vie à pleine dent. Elle l’a toujours fait. Elle ressemble à sa mère. Cette dernière venait quant à elle d’un tout autre milieu, elle venait d’une famille huppé de New-york. Imaginé une jolie jeune femme , fille de personne en vogue ayant une amourette passagère au dire de certains avec une petit voyou sortant de la DASS. Forcément cela ne plait guère et encore moins lorsqu’elle attend un enfant de ce dernier à seulement dix-neuf ans.

La vie avait toujours été difficile. Mais, lui. Le héros de la petite fille faisait tout pour ravir les deux femmes de sa vie. Un arnaqueur de première. Pourtant, ce dernier avait toujours essayé de retourner dans le bon chemin ,mais à chaque fois qu’il le retrouvait le mauvais revenait à grand galop le kidnapper. En faites, une famille idyllique. Qui n’a pas envie d’avoir une vie de voyageur? Les routes. Encore et encore. Le goudron écrasé par les quatre pneus de la vielle camionnette pourtant toujours fidèle à Hanx. À l’âge de six ans la petite fille fût ravie de retrouver une maison , ne plus regarder à travers la fenêtre de la voiture jalousement les autres enfants s’amusant et jouant. Souvent ,elle imaginait sa vie autrement, avec son père , sa mère dînant dans la salle à manger en véritable famille. Elle eut la chance de connaître cela jusqu’à l’âge de ces huit ans. Un cancer avait emporté la mére laissant le seul ange de la famille verser des torrents de larmes sur de vieux souvenir.

Deux ans de vie à peu prés normale dans le montana. Mais, cela était maintenant fini. Elle allait retrouver l’air pollué des autoroutes seule avec son père: celui qui restera quoi qu’il arrive son héros, celui qui ne l’abandonnera jamais. D’arnaque en arnaque. La petite fille aidait souvent son père dans ses affaires. Elle se rappelait encore de la première fois qu’elle avait escroqué avec lui un riche marchand de voiture. Oui, seulement les riches. C’était son robin des bois. Un héros. Enfin, elle savait que ce qu’il faisait été mal , très mal. Mais, elle continuait par amour. Elle avait toujours su que le jour où elle voudra plus de cette vie ,elle aurait le droit de le quitter lui et cette maudite camionnette. C’était pas au programme.

Treize ans. La France. Paris. Un an qu’elle se tenait dans ce nouveau pays. Elle connaissait l’endroit par son père qui était née ici , et qui adorait vanter la beauté de ce pays. Elle n’avait pas choisi de le quitter , de l’abandonner , elle n’avait pas eu le choix. La prison retenait maintenant son père. Trois ans de séparation. Elle vivait chez le frère de son père. Kurt . Ce dernier vivait avec son compagnon. Elle les avait assez vite accepté. Oubliant peu à peu le manque de son père. Oublier est un très grand mot pour la jeune adolescente. En faites, elle s’était juste fait à l’absence de ce dernier et continuait de cocher jour après jour le jour ou son père devait la rejoindre pour que tout recommence.

La date fixé était arrivée. Seize ans. Elle tenait à sa vie à paris. Les garçons, ses amies et lui. Lenni. Un petit trisomique dont la jeune adolescente c’était juré de protéger. Ce petit de neuf ans ,elle l’avait rencontré à l’orphelinat qu’elle avait visité. Un totale coup de cœur. Elle avait posé ses yeux sur lui ne le laissant jamais quitté son regard. Elle était venu dans cette orphelinat pour retracer la vie de son père. Elle avait prévenu ce dernier que l’orphelinat serait le lieu de rencontre. Les secondes ,les minutes avaient passés laissant la jeune femme seul face à Lenni. Il n’était pas venu. Les semaines avait passé et plus de nouvelle. Il avait fait ce qu’il avait juré de ne jamais faire. Déçue. Elle lui en voulait. Elle avait repris le cours de sa vie , l’oubliant continuant de laisser son image de héros la hanter.

Une grande est belle jeune femme. A dix huit ans la jeune femme s’installa dans un appartement à Paris même prés des quais de seine. Souvent , elle y faisait son jogging. Courant, libérant son esprit. D’autre fois ,elle rentrait de soirée par là, laissant son esprit divaguer à ses pensées et quelque fois elle laissait sa joie de vivre prendre le dessus sur elle et se mettait à danser sous le regard enivrés des passants qui s’y trouvait. La danse l’avait toujours fait rêver et elle s’y était mise à son arrivé à Paris.

Les plus belles rencontre sont celle qu’on attend pas. Lui, était l’une de ses rencontres. Célizée a toujours eu le cœur sur la main et quelque fois cela lui jouait de drôle de tours. Laisser rentrer des inconnus chez elle lui avait été formellement interdit par son oncle enfin, elle était pas du style à écouter. Quentin fut accueilli chez elle et soigné. Jamais elle n’avait prévu de s’attacher autant à un gars ivre mort et surtout pas mal blessé par les coups qu’il avait reçu. Aucune question. Elle n’était pas du style curieuse au contraire. Elle aimait pas qu’on apprenne à la connaître en posant des questions et elle faisait de même avec les autres.

Quentin et elle avaient vécu une assez belle aventure dans l’appartement de cette dernière. Mais, bien sûr toute bonne chose prends fin. Lui devait repartir, ce qui était sûr c’est que cette relation n’avait pas été prise de tête. Aucune jalousie, quelque chose de simple et de totalement orgasmique à la fois.

Sa vie avait facilement repris le cours normale des choses, il fallait dire qu’elle n’avait rien changé de sa vie , ses amis étaient toujours présent ,mais elle avait juste laissé un peu plus de place au jeune homme. Ce qu’elle n’avait pas changé c’était ces journées entière à profiter de Lenni. Entre calin ,bisou et regard.

Vingt ans. Ces derniers jours avaient été dure pour la jeune femme. Elle avait perdu Lenni. Lui était maintenant partit rejoindre les anges. La vie était dure sans lui. Il ne parlait jamais , ne faisait rien pour la soutenir ,mais il était lui , cette enfant/adolescent qui laissé son cœur s’attacher pour de bon. La confiance était là entre lui et elle. Une chose que la jeune femme à toujours eu du mal à accorder. Se protéger était la principale des choses que faisait Célizée. Ne jamais perdre pieds , juste profiter de la vie , oublier les tracas. La danse lui permettais d’oublier se sentiment de manque qu’elle ressentait pour lui, son image , son parfum continuait de l’envoûtait et de la rendre heureuse.

Elle avait affronté la chose comme toujours. La vie. Sa vie méritait d’être vécut ,elle était devenue une grande danseuse continuant de poser pour des photographes. Elle était angélique et faisait tout pour qu’on le remarque.

L’aéroport. Le départ pour Montsympa. Une école de danse et un nouveau ballet à enregistrer entre les shootings photos.