| Sujet: (M) Le crétin se reconnaît à son goût pour les exactitudes inutiles. Dim 15 Jan - 16:38 | |
| pseudo du personnage au choix
les grandes lignes: L'histoire du personnage est assez libre, surtout l'enfance mais faut qu'il est vécu à NY. Mais je le vois bien musicien de talent, un peu poète qui a connu la gloire mais qui malheureusement à cause de l'alcool et les drogues a perdu ce qu'il avait, et a fait foirer sa carrière. Un artiste déchu qui dorénavant passe son temps à boire et à claquer sa fortune au poker. Du genre froid, distant et peu sentimental, il est assez égoïste et cultive le mystère. Il n'aime pas parler de lui et cela le rend fou quand il voit sa tête dans les tabloïds. Il a quand même un fond et une envie de s'en sortir, sauf qu'il est emprisonné dans un cercle vicieux auquel il est difficile d'en sortir. Il est venu à Montsimpa pour l'enterrement de sa grand-mère, unique personne de sa famille qu'il appréciait, et ayant aimé la ville, a finalement décidé d'y rester pour s'éloigner un peu de la ville et de ses vices. Il serait en quelque sorte dans une cure. ❆ précisions sur le lien: Le lien est assez spécial. Purdey était l'assistante de son avocat lorsque sa maison lui fut prise par la banque. Immédiatement, il a tenté de la draguer, la séduire car Purdey est une femme charmante. Il ne s'attendait pas à tomber sur un os. Râteaux sur râteaux finalement elle devint une sorte de défi pour cet homme qui n'avait plus rien à perde. Touchée par ce musicien déchu et appréciant sa musique, la jeune femme n'a jamais vu en lui un potentiel petit-ami et encore loin un coup d'un soir ( ce n'est pas son genre ). Ils sont très différents l'un de l'autre et pourtant cela ne les a pas empêché de se voir assez souvent. Purdey, pour l'aider à s'en sortir et lui parce qu'il l'appréciait, elle le faisait rire à être aussi coincée. Finalement il la blessa lorsqu'il vint chez elle complètement saoul et lui a balancé ses quatre vérités. Ils ne se sont pas revus depuis, de plus Purdey a emménagé à Montsimpa et ne pense pas retomber sur cet homme. ❆ lien négociable? on peut discuter sur certains points si vous voulez ❆ pseudo négociable: il est totalement libre ❆ idées de célébrités: Jon Kortajarena serait PARFAIT je dis ça, je dis rien (à) mais il colle juste parfaitement avec le personnage mais vu qu'il ne faut rien imposer, je met aussi Chris Pine, pourquoi pas ... ❆
Encore endormie et à peine sortie du monde des rêves, Purdey s'avança vers la porte non sans difficulté. Quelqu'un frappait depuis une bonne demi-heure, du coup à la longue cela la réveilla. Se demandant qui pouvait bien être le crétin qui à 4h du matin venait lui rendre visite, elle posa son œil dans le petit trou qui permettait de voir les personnes sur le pallier. Lui. Bien évidemment, qui d'autre ? Enlevant les nombreux verrous, Purdey lui ouvrit la porte. Il empestait l'alcool et ne tenait même plus debout. Agacée et énervée de le voir ainsi, elle ne put s'empêcher de lui faire une petite remarque, comme elle a l'habitude de faire. « Je rêve ou tu es encore bourré ? Ce n'est pas comme ça que tu vas redevenir le musicien adulé que tu étais. Tu es un véritable déchet ambulant .. ». Habituée à lui parler ainsi, généralement il ne réagissait pas négativement mais plutôt en ironisant. Sauf que là il plongea son regard dans le blanc des yeux de la demoiselle avant d'entrer en titubant, il prit la parole. « Tu sais quoi Purdey .. la bonne donneuse de leçon, regarde toi dans le miroir avant de venir critiquer ma vie. Regarde où tu en es .., tu as refusé le job de tes rêves pour un mec qui finalement s'en foutait royalement de ta gueule. Tu te retrouves à trouver du boulot, mais personne ne veut de toi car ils ne comprennent pas pourquoi tu as gâché ta vie. Tu es snob, prétentieuse et totalement coincée. On dirait que tu as un fichu balai dans le derrière. Baise un bon coup merde, quoi ! Tu n'es qu'une pauvre célibataire coincée malade d'amour et au chômage. Alors avant de venir me dire quoi faire, évolue et change les choses qui ne vont pas dans ta vie ; CAR TU AS UNE VIE DE MERDE, oui de merde ! Je préfère de loin ma situation à la tienne vieille coincée du cul ! » . Les larmes lui montaient et elles finirent par perler sur ses joues. À la fois blessée, énervée, elle bouillonnait en elle. Lui donnant une gifle des plus majestueuses, elle finit par le mettre à la porte avant de la claquer. Et elle termina par crier. « CONNARD, JE NE VEUX PLUS TE VOIR ICI ! ». S'appuyant contre la parole, elle finit par glisser et se retrouver assis au sol, la tête entre les jambes à pleurer toutes les larmes de son corps. Et elle pensa. -quel crétin, et moi qui commençait à l'apprécier .., stupide- |
|