| | Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* | |
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| Sujet: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 1:50 | |
| [Seuls les modérateurs ont le droit de voir cette image]tumblr Kaidan Sohan Withlock
nom: Withlock ❆ prénom: Kaidan ❆ âge: 24 yo ❆ date de naissance: 20 avril 1987 ❆ origines: Américaines, né à New York ❆ études/emploi: Coach/Conseiller sportif à domicile et dans le gymnase du bien être ❆ désir à long terme: Devenir footballeur (soccer) professionnel ou au moins entraineur d'une petite équipe locale ❆ aspiration: Fromage Fondu ❆ attirances: les femmes, l'alcool & les framboises ❆ tues-l'amour: la transpiration, les chaussettes au lit & les cheveux gras ❆ plat préféré: Kebab, Hot Dog et Fast-Food en général ❆ musique favorite: Toutes les musiques de LDR Ou Michel Telo - Ai Se Eu Te Pego, bref presque n'importe quelle musique, pas de genre précis ❆ couleur préférée: Bleu ❆ ton crédo: la vie ressemble à un conte ; ce qui importe , ce n'est pas sa longueur mais sa valeur ❆
[Seuls les modérateurs ont le droit de voir cette image] Dès votre plus jeune âge, on vous mettra une étiquette, c’est ainsi. Avant même qu’un mot ne sorte de votre bouche, les gens parleront de vous comme s’ils vous connaissaient mieux que quiconque. Je n’y ai pas échappé, mes premiers pas arrivaient et on me surnommait déjà « clown », pour les plus proches amis de mes parents. Les autres se contentaient de « gosse de riche ». Les adultes ne se rendent pas compte qu’en nous mettant des étiquettes à cette époque, elles nous suivent tout le reste de notre vie ? Personnellement, les étiquettes flottaient déjà au dessus moi avant ma naissance, tout cela à cause de mes parents. Non, ce n’était pas des criminels et ils n’avaient aucun titre de noblesse: ils possédaient simplement une bonne somme d‘argent. Ca peut paraître idiot dit ainsi mais c’est l’une des choses qui éloigne le plus les personnes. Mon père était un avocat de la Grosse Pomme, pas le plus renommé mais il n’avait pas à se plaindre, la plupart du temps il traitait des cas dans son domaine de prédilection: Le divorce. Quant à ma mère, son travail se résumait à maquiller les journalistes sur le plateau de télévision d’une petite chaine. Son rêve était d’être devant les caméras, elle essayait de s’en approcher au mieux. Mes parents n’étaient pas très présent mais je m’en fichais un peu à cet âge là, je constatais juste que je m’ennuyais de plus en plus chez moi avec pour seule compagnie une nourrice adoratrice de la couleur jaune, repeignant les pièces une à une en espérant que mes parents ne le voient pas. Et vous voulez que je vous dise ce qui est le plus grave ? Ils ne l’ont même pas remarqué. Notre maison se transformait en poussin et ils ne s’en rendaient pas compte, trop pris par leur boulot. Ce n’est qu’à l’âge de mes 5 ans qu’ils décidèrent de remédier à la situation, pas des murs, non, mais à mon ennui. Dès leur nouvelle résolution, les choses changèrent, une nouvelle chambre fut construite et neuf mois plus tard, j’accueillais avec joie mes deux sœurs, de fausses jumelles. Aussitôt mes parents reprirent leur boulot, même si je voyais mon père rentrer de plus en plus tôt. La joie d’avoir deux sœurs s’estompa rapidement, mes caprices ne furent plus entendu, la nourrice préférant s’occuper des deux petites poupées qui ne rechignaient pas à être habillé en jaune des pieds à la tête. J’entrais à peine dans l’adolescence qu’elles me cassaient déjà les pieds, même si aux yeux de tout le monde j’étais le grand frère parfait. J’étais le gamin qui avait tout le temps le sourire et qui rigolait pour un rien… Je vous l’avais dis, les étiquettes qu’on vous met ne parte pas en grandissant.
[Seuls les modérateurs ont le droit de voir cette image] Ce n’est qu’en entrant au lycée que je me suis rendu compte que les études et moi, nous n’étions pas fais l’un pour l’autre. Apprendre de nouvelles choses, lire des tonnes de livres, ça ne me dérangeait pas, seul les cours en eux-mêmes me répugnaient. La plupart du temps, je ne m’entendais pas avec les professeurs et ils prenaient un plaisir sadique à le faire remarquer sur mon bulletin, précisant que je n’avais rien à faire sur les bancs de l’école, que ma place était dans un cirque. J’avais pris l’habitude de travailler l’image de clown que l’on m’avait donné de force, devenant le perturbateur peu importe la classe et la situation dans laquelle je me trouvais. C’est grâce à ça et à mon côté sociable que je fis de nouvelles rencontres. Je n’étais pas tellement populaire, malgré le chiffre qu’indiquait le compte en banque de mes parents, j’avais tout simplement un groupe d’amis qui me suivait un peu partout. Un groupe d’amis qui me faisait rire lorsque j’étais énervé à cause de mes sœurs qui étaient devenu les chouchoutes de mes parents, me laissant ainsi de côté et rejetant la faute sur moi à la première occasion. Mes parents ne me considéraient plus comme un exemple digne de ce nom pour mes sœurs, simplement parce que je préférais le sport aux études. En moins de quelques mois, j’avais intégré l’équipe de Soccer de mon lycée, je n’étais pas titulaire, un simple remplaçant que l’on fait entrer sur le terrain lorsque l’on a rien à perdre. Cependant, mes prestations étaient remarqués par plusieurs personnes et c’est à ce moment là que je commença à m’intéresser aux filles. L’idée d’avoir une petite amie ne m’était jamais venu en tête avant de faire partie du club et de fréquenter des garçons plus âgés. J’étais certes en retard, dans un monde où l’on a sa première copine dans les environs de 13 ans mais je n’en avais pas ressenti le besoin et l’assumais totalement. Les seules choses qui comptaient dans ma vie étaient le football et mes potes. Jusqu’à elle. Jolie brune aux yeux en amande, aux courbes envoutantes. Tout aurait été plus simple si elle n’avait pas été l’une des filles les plus populaire et surtout, si elle n’avait pas été ma meilleure amie. Plus les jours passaient, plus mes sentiments envers elle évoluaient et amplifiaient, au point que je finis par tout lui avouer. Sa réaction fut longue, sa réponse encore plus. Pour la première fois dans notre relation, je n’arrivais pas à lire l’expression qui habitait son visage, son regard m’était inconnu. Je pense que j’aurais préféré que sa réponse reste aussi inconnue. Je ne dirais pas que j’ai eu le cœur brisé suite à sa réponse négative mais ça s’en approchait. Vis ta vie et ne laisse pas les autres la vivre à ta place, m’avait-on dit. J’avais décidé de suivre ce conseil, vantant mes qualités auprès des filles populaires du lycée, même de certaines plus âgées. Le bonheur était là, une copine de temps en temps, rien de très sérieux, je faisais attention à toujours faire passer mes amis en premier. Jusqu’à elle. Toujours la même. Jusqu’à ce qu’elle me dise qu’elle m’aimait. Qu’elle me voulait, me désirait. Son annonce avait eut l’effet d’une bombe dans ma vie, bouleversant tout le calme qui s’était installé. L’entente que j’avais réussis à former avec mes sœurs se transforma à nouveau en guerre, mes parents qui avaient apriori retrouvé une vie de couple paisible avec des horaires de travail plus normaux qu’avant, préférèrent revenir à leur bonnes vieilles disputes. Mais j’étais faible. Horriblement faible face à la fille que je convoitais depuis trop longtemps, celle qui me considérait comme un bon copain. Alors j’avais fini par craquer. Les mois passèrent et je pensais toucher le paradis du doigt, effleurer le monde où les rêves deviennent réalité. J’avais simplement oublié que les rêves se transforme toujours en cauchemar, tôt ou tard.
[Seuls les modérateurs ont le droit de voir cette image] J’étais encore au lycée lorsque je fis la découverte de la relation extraconjugale de mon père. Plutôt banal, me direz-vous. De nos jours rare sont les couples où l’homme n’a pas trompé son épouse ou vice-versa, mes parents n’y avaient pas échappé. Je ne préfère même pas parler de la façon dont je l’ai découvert, le fait de savoir qu’il trompait ma mère avec la mère d’une de mes amies proches me suffisait. Une amie proche qui était ma voisine. Je me rappelle encore ma mère me dire du bien de cette famille, les Roseberry. Sans savoir pourquoi, j’avais l’impression qu’il m’avait trahis moi avant ma mère. Peut-être parce qu’il s’agissait de la mère de Shalimar. Ne supportant pas l’idée de laisser ma mère dans l’ignorance, j’avais dénoncé l’homme qui me servait de père sans pitié, ne lui adressant plus aucun regard. Ma mère fut détruite. Pendant plusieurs jours, elle n’adressa la parole à personne, se contentant de repeindre les murs de toute la maison en blanc, se rendant compte de leur inhabituel couleur jaune. Mes sœurs m’en voulaient, notre relation n’avait jamais été parfaite, beaucoup de jalousie mais elle n’était jamais tombé aussi bas. Ils m’en voulaient tous et je ne pouvais pas m’empêcher d’y penser. La chose m’obsédait tellement que lors d’un match de football auquel je participais, je fis une mauvaise chute. Il faut vraiment être débile pour marcher sur le ballon et se ramasser devant tout le lycée. Encore plus pour se déboiter le genou. Mes rêves de footballeur professionnel étaient anéantis en même temps que ma famille. Le seul point positif était que les gens me considéraient toujours comme le petit clown, je n’avais pas besoin de faire semblant d’aller bien, les gens n’arrivaient pas à penser qu’un jour je puisse aller mal. Ma mère finit par s’arrêter de peindre, enfin, elle n’avait surtout plus rien à peindre. Je me rappelle encore de la conversation qu’elle avait eut avec mon père sur la table de la cuisine, un tas de feuille étalé autour d’eux. Je n’avais pas compris tout de suite ce qu’il se passait mais la chose s’imposa vite à mes yeux: Ils regardaient ce qui était le plus judicieux pour eux, le divorce ou non. Mon père étant un maitre en la matière lui expliqua qu’ils allaient y perdre beaucoup tous les deux, beaucoup trop. J’étais complètement abasourdi de voir la femme qui m’a mis au monde réagir avec tant de calme et de sérénité, acceptant de rester marié à l’homme qui l’avait rendu minable à mes yeux. Elle avait cependant posé une condition. Une condition qui concernait autant mes sœurs et moi qu’eux deux. Elle voulait partir, loin d’ici et surtout loin de la femme qui lui avait pris son mari. Mon père avait accepté. Notre départ ne devait cependant témoigner d’aucune crise au sein de la famille, c’était tout simplement un déménagement des plus banal. Je n’avais même rien dis à mes amis les plus proche, encore moins à Shalimar. La seule personne à qui annoncer la nouvelle me faisait peur était ma petite amie, celle de ma première fois, celle que je considérais comme la femme de ma vie. Finalement, elle le prit plutôt bien, très bien même. A vrai dire, j’étais loin de m’attendre à ce qu’elle éclate de rire. Un rire franc qui sonnait pourtant particulièrement faux à mes oreilles. C’est ce moment qu’elle choisit pour me révéler son secret. Elle était loin d’être amoureuse de moi. En fait, notre relation ne se résumait qu’à un pari entres copines. J’appris par la même occasion qu’elle était lesbienne en réalité. En quelques minutes, j’en appris plus sur ma meilleure amie devenu ma copine qu’en plusieurs années. La honte s’était emparé de moi. Le sentiment d’être un vulgaire objet était immense. J’avais pourtant réussis à lui faire un dernier sourire, pleins de rage et d’ironie avant de repartir chez moi et de monter dans la voiture de mes parents, entouré de mes sœurs. Le départ était soudain devenu une délivrance pour moi, un échappatoire à cette vie qui prenait un tournent que je ne désirais pas. New York était ma ville, jamais je ne l’oublierais mais Montsimpa était ma ville sauveuse. Je savais pertinemment quand partant pour Montsimpa, je réduisais mes chances d’être recruté par un club de football. Peut-être qu’un rêve n’est pas fait pour devenir réalité. Un sentiment de joie s’était pourtant emparé de moi lorsque paisiblement installé dans la voiture, ma mère glissa sa main dans les cheveux de mon père, un sourire aux lèvres. Décidément, je ne comprenais vraiment rien à l’amour.
[Seuls les modérateurs ont le droit de voir cette image] Plusieurs années s‘écoulèrent. J’avais définitivement abandonné l’idée de trouver l’amour, aucune de mes relations ne m’avait laissé penser que ce sentiment étrange existait réellement et je n’avais aucune envie de perdre mon temps à le chercher. En venant à Montsimpa, j’avais enfin trouvé un endroit où je me sentais bien, cet endroit était un paradis sur terre pour moi. Bizarrement, c’est dans cette ville que mes parents retombèrent sous le charme l’un de l’autre et que mes sœurs me pardonnèrent toutes mes erreurs que je trouvais personnellement peu importante. Moi, fainéant comme pas deux, j’avais même un travail. Bon, je n’étais pas footballeur mais Coach/conseiller sportif à domicile et dans la salle de gym de la ville, un boulot bien payé qui me plaisait. Comme quoi, je n’avais pas eu besoin de me noyer dans les livres pour trouver un métier qui me convenait, même si j’avais passé beaucoup de temps à lire de simples articles sur différent sujet. Plus cours qu’un livre, plus intéressant aussi. C’est ainsi que j’avais retrouvé Shalimar, devenue journaliste. J’aimais sa façon d’écrire, elle me vendait du rêve alors que ses articles n’étaient même pas des fictions. L’histoire qu’il y avait eu avec mon père m’avait forcé à l’oublier pendant pas mal de temps mais plus je lisais ses articles, plus j’avais envie de la retrouver. Ce que je ne tarda pas à faire grâce au miracle qu’est Facebook. De longues discussions s’enchainèrent, où je l’incitais à me rejoindre de façon implicite, mettant en avant les qualités de la ville où je résidais. Elle n’avait pas été dur à convaincre.
Quand j’y repense, ma vie n’a pas tellement changé, je suis toujours ce petit clown que les gens aiment et ne voient jamais triste. Un petit personnage qui vend du bonheur dans un monde qui le rend rare. Je me suis habitué à ce qu’on me prenne pour un fou. A l’instar de ma nourrice, je m’étais découverte une nouvelle passion pour les framboises, aussi étrange que cela puisse paraitre. Je ne sors désormais plus sans avoir une framboise quelque part sur moi, cela peut-être un motif sur mes chaussettes ou bien mon boxer… Peu importe, tant que j’ai une framboise avec moi ! Si vous me donnez des framboises, je vous jure que je vous serez soumis à vie. J’attend, ne tardez pas trop.
pseudo/prénom: Dragibus/Elisa ❆ âge: 15 yo ❆ sexe: Féminin, jusqu'à preuve du contraire.. ❆ où tu as trouvé le forum: Merci à Shalimar A. Roseberry ❆ si tu devais y ajouter quelque chose: Ca manque de moi, je trouve ❆ célébrité: Dave Annable, ou l'un des mecs le plus sexy de la Terre : ❆ acceptes-tu de doubler ton avatar? Non, je suis égoiste ❆ toi aussi tu traumatises tes sims? J'avoue, j'avoue... Mais je jure qu'au début c'est pas prévu ❆ raconte-nous ta vie: Eh ben.. Tu me files ton CV et on prend rendez-vous ? ❆ tes autres personnages: Aucun ❆ scenario ou personnage inventé: Personnage inventé ❆
Dernière édition par Kaidan S. Withlock le Jeu 23 Fév - 10:49, édité 15 fois |
| | | ⊹ messages : 16395 ⊹ arrivée : 24/10/2011 ⊹ avatar : baby blonde. ⊹ multinicks : anciennement rafaëlle coolidge. ⊹ disponibilité : donatello, levi,... libre (mp). ⊹ crédits : fade out. ⊹ real life : marine. (julie's girl ♡)
⊹ activité : petite secrétaire. ⊹ bonus à long terme : 96
| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 1:55 | |
| FIRSTTTTTTTTTT. Bon, j'ai envoyé mon cv avec la totale, si, si, tu vas jamais t'en remettre Mais je crois qu'en fait il s'est perdu dans le nature, c'est trop bad Du coup, ça te va et je te fais la démo cv en nature ? Après ça tu seras obligée de me raconter ta vie dans les moindres détails Brefouille, Dave, c'est un canon l'air de rien Bienvenue chez ton nouveau chez toi, amie de Jimmy (je sais tout, tu n'auras même pas l'occasion de nier quoi que ce soir avec moi ) Bonne chance pour la suite de ta fiche, si tu as la moindre question, n'hésite pas. |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 2:39 | |
| Oh oui, je veux bien faire un régime avec toi moi. Bienvenue parmi nous sinon et bonne chance pour ta fiche ! |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 3:51 | |
| Bienvenue et bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 6:22 | |
| DAAAAVE bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 8:15 | |
| DAVE, tu veux ma mort ? Bienvenue parmi nous, et bon courage pour ta fiche ! |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 9:02 | |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 10:39 | |
| Merci beaucouuuup votre accueil, vous gérouillez Pas besoin de préciser que tous vous avatars sont HOT ? :cooper: - Rafaelle Coolidge a écrit:
FIRSTTTTTTTTTT. Bon, j'ai envoyé mon cv avec la totale, si, si, tu vas jamais t'en remettre Mais je crois qu'en fait il s'est perdu dans le nature, c'est trop bad Du coup, ça te va et je te fais la démo cv en nature ? Après ça tu seras obligée de me raconter ta vie dans les moindres détails Brefouille, Dave, c'est un canon l'air de rien Bienvenue chez ton nouveau chez toi, amie de Jimmy (je sais tout, tu n'auras même pas l'occasion de nier quoi que ce soir avec moi ) Bonne chance pour la suite de ta fiche, si tu as la moindre question, n'hésite pas. J'ai jamais précisé de quel manière devait être fait le CV Tant que tu montres bien tes qualités, je pense pas qu'il y aura de problèmes Dave, c'est le bieeeen On remercie encore une fois Jimmy Je vais mettre partout que je connais Jimmy, je vais être accueilli en VIP Et merci beaucoup, j'hésiterais pas à t'harceler, ça sera même avec plaisir - Smooth Hawthorne a écrit:
- DAVE, tu veux ma mort ?
Bienvenue parmi nous, et bon courage pour ta fiche ! Noooon, j'attend d'être validé normalement pour tuer les gens Mais merci - Sucker Alavès a écrit:
- dave
ami de Jimmy, YO okay je sors non mais bienvenue chez ton nouveau toi J'ai envie de dire que les plaisirs vont gagner la guerre Merci, merci Moi j'ai envie de dire que les plaisirs, c'est l'avenir |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 10:56 | |
| oh Dave bonne chance pour ta fiche |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 11:00 | |
| Merci beaucoup |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 11:15 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 11:23 | |
| OMG Marion Tellement rare sur les forums mais tellement belle Merci beaucoup |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 12:16 | |
| DAVE, on le voit trop peu bienvenue (: |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 12:18 | |
| Dave, ça c'est du bon choix Bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 12:22 | |
| Logan - Merci beaucoup Ben est genre trop bandant, le mec il te donne un orgasme en un regard Commentaire très interessant, je sais Norah - Merci beaucouuuuup |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 12:23 | |
| davesexyannable Bienvenue |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 12:53 | |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 14:05 | |
| Annable, mon chouchou. Voila du choix de malade Bienvenue parmi nous :nolan: |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 14:30 | |
| Eh bah rien que pour ça tu me réserves un lien de la mort qui tue Merci beaucoup |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 15:56 | |
| Non de dieu ... Dave est si orgasmique quoi ... Il va falloir que tu fasses ton superbe régime amincissant avec Soukaïna En tous cas bienvenu & je sens qu'on va pas s'ennuyer avec toi dans le coin |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 16:07 | |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 16:10 | |
| Je vois que ce soit Scar ou Matt, je te plais ... & bien on a bien des choses en commun je crois ... Pourquoi ne pas aller ... plus en profondeur ... On va y veiller |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 16:14 | |
| Pourquoi pas.. Ce n'est pas la longueur l'envie qui manque Je vous fais confiance, petits fifous |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* Mar 21 Fév - 16:25 | |
| Au fait, jviens de titlter mais si tu me refile tes morpions, jrisque de déchanter très vite |
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| Sujet: Re: Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* | |
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| | | | Kaidan ♦ "Caleçon qui gratte, morpions qui squattent !" *out* | |
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