Il fait encore chaud à Montsimpa, même très chaud parfois ! Bretzel n’allait donc pas rester enfermée par cette chaleur, surtout que son ordinateur souffre un peu de cette haute température. Elle décida donc de l’éteindre, bien que ce soit un peu à contre cœur. Elle adore son ordinateur et aller dessus, on pourrait la qualifier de geek, mais elle n’aime pas vraiment se qualificatif ! La demoiselle alla le ranger dans sa house réfrigéré – eh oui il est chouchouté – et partit se préparer. Elle venait d’avoir l’idée d’aller à la plage, sans doute elle n’est pas la seule à avoir eu cette idée, mais la perspective de bronzer autour de centaines de personnes ne la dérange pas plus que ça. Elle aime voir les gens, elle est du genre hyper sociable !

Bret’ fourra un peu tout et n’importe quoi dans son sac : un jeu de cartes, une serviette, un parasol, de la crème solaire, un peu d’argent, deux trois trucs à manger, une bouteille d’eau et une bouteille de jus de concombre-tomate, son préféré. Ensuite elle alla se changer pour mettre un maillot de bain bleu clair et une robe de plage blanche. Elle enfila ses tongs bleus, elle aussi, puis sorti dehors. Elle monta sur son vélo et partit à la plage. Une fois là-bas, elle accrocha son moyen de locomotion avec son anti-vol et partit sur le sable.

Avant d’entrer sur la plage elle vit le monde qu’il y avait, ce n’est pas ce qu’il l’a refroidi loin de là ! La demoiselle retira ses chaussures et sentit le sable chaud sous ses pieds. Elle observa attentivement la plage, pour voir où elle pourrait s’installer, elle n’avait pas vraiment le choix. Bret’ se dirigea vers le seul endroit où sa serviette tiendrait. Elle se retrouvait entre un homme d’un cinquantaine d’année assez peu sportif vu son allure en train de manger un doughnuts, sa glacière était ouverte, on pouvait apercevoir de la glace ainsi que des bouteilles de plein d’alcools différents. De l’autre côté, une jeune demoiselle ayant à peu près le même âge que Bret’. Cette dernière décida de se placer plus près de la demoiselle que de monsieur-je-change-des-doughnuts-et-je-bois.

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Bretzel s’installa donc à côté de la demoiselle et de monsieur-je-mange-tout-le-temps. Elle posa sa serviette, puis planta son parasol et enfin posa son sac. Celle qui était à côté lui dit « S’il fait la même chose pour vous, ce monsieur va vous reluquer comme un de ces doughnuts pendant un bon moment ». Bret’ prit ça un peu comme une mise en garde. Mais après tout elle n’avait pas le choix, si elle voulait bronzer, c’était ça ou rien du tout, elle remballerait ses affaires et voilà. A la suite de sa phrase la demoiselle fit un sourire, que Bret’ lui rendit. Celle-ci dit ensuite « Il n’a vraiment rien à faire d’autre ! » Sans doute l’avait-il entendu, mais elle s’en fichait de ce qu’il pouvait penser d’elle ! Elle se fiche de ce que pense les autres d’elle, enfin pas totalement non plus, comme tout le monde. Forcément, on ne peut pas être totalement indifférent à ce que disent les autres de nous. L’avis des autres est quand même important.

Bret’ ajouta ensuite « au fait, je m’appelle Bretzel, enchantée. » Cela fit bizarre pour la demoiselle de dire enchantée, elle ne le dit quasiment pas, car ce n’est pas réellement le genre de vocabulaire qu’elle utilise. Mais aujourd’hui, elle voulait paraître bien élevé. Ce qu’elle est bien sur, mais elle n’est pas une habitué de certaines formules de politesses. Par contre, merci, de-rien et s’il vous plait, elle les utilise tout le temps, c’est normal après tout !

c'est nul désolé, je me rattraperais la prochaine fois.