I'm a slap in the face to your lullaby → Zephyra

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☇ HARLEEN ZEPHYRA VERSTRAETEN

∞ nom : Verstraeten, un des noms que les français et les anglais préfèrent toujours éviter de prononcer. Ou qu'ils massacrent lamentablement ∞ prénom : Harleen Zephyra « Zira » Talia Nikita. Mais en général on s'arrête à Zephyra. ∞ âge et date de naissance : treize août, vingt-quatre ans. ∞ lieu de naissance et origines : Bruges, Belgique. Germaniques, Irlandaises, Britanniques, Belges. ∞ études ou profession : pratiquante du pentathlon moderne lors des championnats du monde et des JO. Et journaliste, présentatrice TV souvent en remplacement d'absents, et reporter. ∞ statut civil : célibataire ∞ traits de caractère : Courageuse - Loyale - Timide - Renfermée - Pédagogue - Directe - Perfectionniste ∞ groupe et aspiration : célébrités - Hard to be me

☇ POUR TOI, LA CÉLÉBRITÉ, CA RESSEMBLE A QUOI ? C'est un rêve que beaucoup gardent en eux depuis leur plus tendre enfance, mais ne réalisent jamais. Je n'ai personnellement jamais voulu être connue, mais voilà, les voies que j'ai choisies n'étaient pas forcément faites pour que je passe inaperçu. C'est pour moi une chose aussi agréable que détestable, ça dépend des fois. ☇ D'AILLEURS, EN PARLANT DE CÉLÉBRITÉ, QU'EST CE QUI T'A RENDU CÉLÈBRE ? Un sport peu connu du grand public, d'abord, le pentathlon moderne. Mon point fort c'est l'équitation, mon point faible la natation, à cause de ma taille et de mon asthme. En réalité je m'entrainais dur en "secret", tout en étant journaliste. Quoique souvent reléguée au second plan et assise dans un bureau vitré. Mais tout ça a changé depuis que j'ai gagné par deux fois consécutives aux JO. ☇ MONTSIMPA, CA TE PARAIT ÊTRE UN BON ENDROIT POUR TE CACHER DES PAPARAZZIS ET DES FANS HYSTERIQUES ? A MOINS QUE TU NE PRÉFÈRES VIVRE DANS LE COEUR DE L'ACTION A BRIDGEPORT. Mon boulot me mène à Bridgeport, mais j'ai une petite maison sobre et discrète à Montsimpa, où je me rends quand je veux être seule, ou tranquille. Les gens l'ont d'ailleurs apparemment compris, me saluent dans la rue, ou me font un signe de main, mais ne se jettent pas sur moi comme dans les villes plus peuplées. ☇ COMMENT ENVISAGES-TU TA VIE MALGRÉ LA CÉLÉBRITÉ ? PARFOIS, TU N'AS ENVIE D'ENTRER DANS LA NORME, DE FONDER UNE FAMILLE, D'ÊTRE NORMAL ? Je n'ai jamais pu être normale, même quand j'étais loin d'imaginer qu'un jour des gens me reconnaîtraient dans la rue pour autre chose que "la fille anti conformiste". Depuis mon plus jeune âge, j'ai une longueur d'avance au niveau de la maturité. Les filles jouaient à la poupée, moi aux petites voitures et aux soldats. Et ainsi de suite. Du coup, je n'imagine pas ma vie banale, même si parfois j'aimerais savoir ce que ça fait de ne pas être dévisagée pour ses différences. Quant à la famille, haha... Ce n'est pas une question pour moi, je préfère encore ne pas en parler. ☇ EST-CE QUE LA CÉLÉBRITÉ A RENDU TOUS TES RÊVES POSSIBLES ? Non, car c'est plus mes rêves qui ont rendu la célébrité possible. Je n'ai jamais eu de rêves vraiment inaccessibles, et ce parce que je n'ai jamais visé de choses impossibles, comme être belle ou autre chose, j'accepte ce que je suis.

☇ TES MAUVAISES HABITUDES; elle n'a pas son permis de conduire, elle a toujours été effrayée par la conduite, avec les multiples accrochages qu'a eu sa mère, Zephyra a aussi du mal à apprécier les distances entre deux rétroviseurs, et panique même quand ils sont à un mètre cinquante l'un de l'autre. • attirée depuis toujours par des hommes plus matures qu'elle, ce sans pouvoir vraiment se l'expliquer. • tombée amoureuse d'un de ses professeurs en cinquième, et l'aime toujours, quoiqu'elle fasse pour l'oublier. • dépressive depuis l'âge de huit ans environ, elle ne s'est jamais faite soigner car sa mère refusait de le voir, Zira a depuis appris à vivre avec. • malgré cette dépression, c'est une jeune fille très souriante et qui rigole souvent, même si elle souffre atrocement à l'intérieur • torturée d'esprit, elle est du genre à tout anticiper, se poser des questions pour pas grand chose, paniquer à l'avance • elle est une grande stomatophobe • lorsqu'elle stresse, ça agit sur son estomac, relativement fragile, et elle perd rapidement connaissance si elle ne s'allonge pas et n'a pas une arrivée d'air frais rapide et massive • elle se trouve laide, et c'est une grosse raison de sa timidité maladive • elle déteste ses cheveux, et refuse de sortir le matin s'ils ne sont pas selon elle parfaitement coiffés. Ce n'est pas une question de coquetterie, juste une peur bleue de paraître ridicule • boulimique du travail, elle n'arrête jamais, et use sa santé avec le peu d'heures qu'elle dort • asthmatique sévère

☇ behind the screen

∞ prénom et pseudo : Mickaëla / Lokhas ∞ âge : 16 ans ∞ sexe : Sur ma carte vitale, c'est marqué ~~trois~~ deux. ∞ comment as-tu connu le forum ? qui a dit que les fantômes étaient des tombes ? ∞ t'es plutôt du genre à traumatiser tes sims où à aimer les belles et grandes familles parfaites ? En ce moment je fais plutôt des collocs, un que j'aime bien qu'a des histoires d'amour partout, et l'autre qu'est haut placé et qui rapporte du pognon. Quand j'ai ce que je veux, je bute le riche à l'aide du feu de ma licorne. Et de quelques murs... ∞ raconte-nous ta vie : J'étais dans le Nord-Pas-de-Calais, il faisait bon là-bas, j'étais bien, puis il m'a fallu retourner dans le Sud. Que la chaleur subisse le pire des châtiments. :( ∞ tes autres comptes sur pwl : Aeldrinn Malarkey ∞ célébrité : D. Agron.

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PRESS "PLAY"

Une histoire... Bien brève à raconter, j'imagine. Ma vie n'est la succession que d'étapes tristes et sombres pour la plupart. Mais puisque vous insistez, je vais vous raconter un peu ce que j'ai traversé depuis ma naissance, d'une mère belge et d'un père irlandais. Ma place dans la fratrie est légèrement chaotique. En effet, avant moi, il y a eu deux autres garçons. Mais je n'en ai connu qu'un, le plus jeune est décédé alors qu'il avait quatre ans. Le plus âgé lui avait déjà six ans. Dès ma naissance, enfin, plutôt dès que je pus comprendre et ressentir des choses, ce qui fut quand même très tôt, je compris que ce dernier me détestait. Je ne savais strictement pas pourquoi, et d'ailleurs, cela me faisait beaucoup de tort. Je me demandais sans cesse pourquoi j'étais son souffre-douleur, pourquoi lorsque le matin je lui disais bonjour, je ne récoltais rien de plus qu'un regard noir, ou pire même, pas de regard du tout. Plus tard, ma mère m'expliquera que sa haine envers moi venait du fait qu'il adorait son frère défunt, qu'ils étaient très proches voire même fusionnels, et qu'il pensait certainement que j'étais là pour le remplacer, puisque j'étais née très peu de temps après sa mort. Il ne m'a jamais acceptée. Tous mes espoirs étaient vains, autant que mes efforts. Il me vouait une haine sans pitié, sans voir que derrière je faisais tout pour lui montrer que moi je voulais que l'on soit amis, peut être pas encore comme un frère et une soeur, mais au moins des amis. Il me supporta encore moins quand ma mère a décidé de me prendre pour chouchou, sous prétexte que j'étais surdoué. C'était bête de sa part, moi je me moquais d'être le chouchou de qui que ce soit, déjà que les profs soit m'adoraient pour mon intelligence soit me détestaient parce que je les dépassais sur certains points, c'était largement suffisant. Je n’aimais pas du tout ce système. Un, on n'a pas de chouchou. Deux, même si on en a un, on ne le choisit pas pour ses capacités intellectuelles, mais pour ce qu'il est à l'intérieur. Mais bon. J'avais beau tenter une approche sympathique, mon frère me virait toujours. Souvent, lorsque je l'approchais de trop près, une raclée me tombait dessus, sans que je la voie arriver. Il y a des jours où nous étions tous deux à la maison, et s'il était vraiment mal luné, je restais enfermée dans ma chambre toute la journée, histoire d'éviter d'attirer chez lui une violence incompréhensible et incontrôlable. Lorsque j'avais sept ans, et lui treize, un autre bébé est apparu dans la maison. Une fille. Rapidement, lorsqu'elle apprit à parler, marcher et tout le reste, mon frère la prit dans son camp et la ligua contre moi. Il lui disait que j'étais une erreur, un monstre. Je voyais là le portrait craché de mes camarades de classe, toujours à me traiter comme une étrangère, une drôlerie de la nature. J'ai cherché, au début, à dissuader ma sœur que je n'étais pas ce que disait mon frère, mais par manque de courage et de patience, j'ai préféré abandonner, et les laisser tous les deux penser ce qu'ils voulaient. Ce ne fut pas sans peine, car même si je déteste l'avouer, imaginer que mon propre frère et ma propre sœur me prenaient pour quelqu'un d'autre, qu'ils me voyaient comme ces gamins qui me jugeaient sans savoir de quoi il s'agissait me procurait une terrible sensation de souffrance. Ne pas être acceptée au sein de sa propre famille est très compliqué. Ma mère m'importunait, me rendait folle à une époque. Si seulement elle avait pu me laisser tranquille... Mon père quant à lui me détestait autant que mon frère. Dès qu'il le pouvait, ou quand il était saoul, ce qui arrivait plutôt souvent, c'était sur moi que tout se retournait. C'est un tableau banal aujourd'hui me direz-vous, mais quand c'est vous qui en êtes au centre, vous aimeriez que tout se passe autrement. J'en prenais tous les jours, pour tout et rien. Et comme mon père était le dominant à la maison, et moi tout en bas de l'échelle selon lui, ma mère, mon frère et ma soeur avaient droit de faire de même. Et quand ils s'y mettaient à deux ou trois, je mettais deux heures avant de pouvoir me relever. J'ai terminé tant de fois à l'hôpital que j'avais arrêté de compter. Ils ont toujours caché les vraies raisons de mes blessures, en changeant de centre hospitalier à chaque fois ou presque, et moi, je n'osais pas dire quoi que ce soit, à l'époque. Par peur que cela s'apprenne et que ma famille soit encore plus virulente envers moi, mais surtout qu'on ne me prenne pas au sérieux. Tout passage sous silence n'est pas de la lâcheté.

TIMEOUT

Il fallait le dire, jamais ils ne m'auraient cru. Selon eux tous, je n'étais pas saine d'esprit. Peut être était-ce pour cela que j'étais l'Oméga, parce que j'étais une brebis galeuse, un mouton noir dans un troupeau de moutons blancs. Atteinte de troubles bipolaires, j'ai aussi fait des crises de mélancolie à l'excès. Aussi stuporeuses, délirantes qu'anxieuses, les trois formes de cette grave maladie, qui va bien au delà des petites passes de déprime des artistes qui ont fait de ce terme une simple idée de la dépression sans importance. Ce qu'ils ne savent pas, c'est que la mélancolie est bien plus grave que la dépression. Nuisible à la vie, j'ai souvent fait des tentatives de suicide avec cette saloperie, et aujourd'hui encore, je me retrouve à devoir calmer mes pulsions. Par malchance, je me suis toujours loupée, peu importe ce que j'avais essayé cette fois là. C'était comme jouer au Loto. J'ai aussi essuyé de nombreuses autres maladies physiques à cause des fractures et des blessures que j'essuyais à la maison. Il y aussi une chose pour laquelle tout le monde m'a toujours prise pour un démon, un monstre, une folle, quelque chose qui n'avait pas à exister : je suis dans l'incapacité de pleurer. Je n'ai pas hurlé comme tous les nouveaux nés, et jamais en tombant, dans ma jeunesse, je n'ai su verser une larme. Encore, on me croyait dure aux chocs physiques. Mais c'est lorsque que ma mère est morte dans l'agonie la plus totale et à moins de deux mètres de moi que les autres m'ont définitivement collé l'étiquette de chose à abattre. Jamais quelqu'un aurait pensé que cela pouvait être physique. Oh oui, je ressentais une douleur immense. Pas que je portais ma mère tant dans mon coeur qu'on aurait pu le penser d'un enfant, mais elle était la seule à éviter de jeter sa colère sur moi. Désormais, j'étais à la merci de ces timbrés de base qui n'hésiteraient plus à me détruire. Peu de temps après ça, une nuit, je suis sortie en douce de chez moi et j'ai fui, avec pour tout bien les vêtements que j'avais sur moi et un collier en forme de serpent. J'ai couru, couru comme jamais je n'avais pu, tellement que j'aurais pu croire traverser la Belgique de la mer à l'Allemagne. Je voulais à tout prix m'éloigner le plus possible de ces bourreaux. Exténuée, à bout de force, j'ai terminé dans un champ, l'herbe y était plutôt haute. Il faisait encore très sombre, et je me suis endormie là, sans le vouloir. Au petit matin, c'est une présence insistante qui m'a réveillée. Sursaut. J'ai pris peur, pensant que l'on m'avait retrouvée et qu'on venait me chercher. Mais non. Devant mon nez se plantait un gigantesque cheval gris pommelé. Et dans le champ, il y avait plein d'autres chevaux. Me relevant, je suivis le cheval jusqu'à l'endroit où lui et ses compères passaient leurs nuits. Là, un homme s'attelait à nettoyer les écuries. D'abord paniquée, je me cachais derrière l'animal, mais j'étais déjà repérée. S'approchant de moi, le vieil homme me demanda ce que je faisais là. Sans attendre, je déballais toute ma vie. Et priais pour qu'il ne me renvoie pas chez moi. Il me répondit qu'il était obligé d'appeler la police, mais qu'il leur raconterait ce que je venais de lui dire. La police accorda du crédit à mes paroles, surtout à cause des mes nombreuses hospitalisations et des cicatrices qui restaient sur moi, persistantes. N'ayant pas d'autre famille, on voulut me placer, mais le vieillard se mit en tête de réclamer ma garde. Au bout de quelques temps, on la lui accorda. C'est là que commença mon idylle avec les chevaux. Ainsi que tout le reste. Riche, l'homme paya mes études sans problème, ainsi que les différents équipements dont j'ai eu besoin en me mettant en tête de pratiquer le pentathlon moderne. Rapidement, je trouvais ma voie professionnelle, le journalisme. Et une fois encore, il me paya tout. Même mon aller simple pour les Etats-Unis.

CREDITS

Le plus grand pays du monde m'ouvrait les bras. Plus qu'à perdre mon accent belge et réussir à faire prononcer mon nom à mes nouvelles connaissances, et le tour était joué. Je commençais une nouvelle vie, et peut être que les cicatrices s'en iraient seules. Quoique. Peu de temps après que je sois arrivée aux Etats-Unis, on m'annonça le décès de mon tuteur. Veuf et sans enfant ni famille connue, il m'avait légué les biens les plus importants à ses yeux : son argent et un de ses nombreux chevaux, le descendant direct de celui qui m'avait rencontrée le jour où je m'étais enfuie. Cela me força à garder mon optique de remporter un jour un championnat du monde de pentathlon, ou quelque chose du genre. Ce fut loin d'être aisé, mais ça allait fonctionner. Embauchée dans une assez importante chaîne d'infos nationale, je fus renvoyée illico lorsque je pris des congés subitement pour ma participation aux Jeux Olympiques. J'y allais uniquement en me disant qu'au moins, j'aurais tenté. Péniblement distancée sur l'épreuve de course, je suis remontée en flèche dans le classement avec l'escrime et l'équitation. Le dernier combiné course/tir au pistolet fut une sacrée épreuve, mais c'est ma rapidité au tir qui m'a valu de franchir la ligne d'arrivée la première, et ainsi de remporter la médaille d'or. Cette médaille fut sacrément médiatisée, et c'est sans peine que, grâce surtout à ma nouvelle image, je trouvais un nouveau poste, sur la chaîne concurrente de celle qui m'avait snobée. Mais en peu de temps, ma très mauvaise habitude reprit le dessus : mon attirance indéniable pour les hommes (vraiment) plus âgés que moi. Cette fois, mon dévolu ne s'était pas jeté sur un professeur de collège/lycée marié, mais sur mon supérieur, de presque vingt ans mon aîné. Et au final, ce n'était peut être pas ça qui dérangeait, mais surtout l'idée que c'était interdit, tout comme la fois précédente. Ca m'enrageait, et j'avais envie de m'ouvrir le crâne pour me sortir mes idées débiles de la tête. Mais c'était inutile. Alors je faisais comme ci je ne ressentais rien et continuais à être la parfaite journaliste qui dit oui à tout et qui fait son travail dans les règles de l'art. Entre temps, je gagnais pour la seconde fois consécutive l'épreuve du pentathlon moderne aux JO, et j'avais raflé les championnats du monde qui s'étaient passés entre temps. De quoi faire augmenter ma notoriété sans demander. A tel point que la chaîne décida de me faire passer à l'antenne, sur une chaise, avec des feuilles et tout le reste, en compagnie de celui pour qui ma tête venait presque toutes les demi-journées me donner des maux de crâne. Exercice encore plus difficile, mais les audiences montaient, c'était le principal.

PLAY AGAIN, HARD MODE.

Après sa montée en puissance dans les médias grâce à ses nombreuses récompenses malgré son jeune âge dans une discipline aussi complexe que le pentathlon moderne, de plus en plus de monde s'est intéressé à l'autre facette de Zephyra, ses reportages sont rapidement devenus connus et cultes grâce à ses paroles franches et directes, jamais enjolivées, qui dénoncent sans l'ombre d'un problème les choses aberrantes, même si cela peut la mettre en danger parfois, comme lorsqu'elle se rend dans certains pays où les femmes n'ont pas vraiment la liberté de parole. Un jour froid de Décembre, son supérieur lui annonça son propre départ. Enfin, il partait pour Bridgeport, où on lui proposait beaucoup mieux, plus cher, et un sacré temps d'antenne. Zira n'en revint pas de la façon dont il avait osé lui dire. Comme si c'était une chose tout à fait anodine. Vexée qu'il ne fasse même pas attention à leur "relation", elle ne fit rien paraître, se contentant simplement d'esquisser un mini sourire et de lui dire que c'était cool pour lui. Jusqu'à ce qu'il lui fasse comprendre qu'elle avait le choix de rester son employée si elle venait avec lui. C'est sans réfléchir qu'elle avait accepté, sans vraiment faire attention à ce qu'elle pouvait risquer à quitter son "confort" personnel. Ca fait désormais plus de deux ans qu'elle travaille et vit à Bridgeport.

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Pas besoin de te souhaiter la bienvenue, tu es déjà chez toi et ça ne changera pas Tu veux que je te réserve Didi, le temps que tu te décides ? Bonne chance pour la suite de ta fiche en tout cas

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bienvenue ici I'm a slap in the face to your lullaby → Zephyra 309181304

excellent choix d'avatar I'm a slap in the face to your lullaby → Zephyra 173490454

bonne chance pour ta fiche I'm a slap in the face to your lullaby → Zephyra 212682535

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Merci Game, pour oser demander un DC, c'est que je me sens chez moi. XD Et je vais accepter la proposition, si on pouvait me réserver Didi ça serait génial I'm a slap in the face to your lullaby → Zephyra 2806429274

I'm a slap in the face to your lullaby → Zephyra 2806429274

Merci Elijah !

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Dianna te va bien ! I'm a slap in the face to your lullaby → Zephyra 3183675940

Elle est tellement magnifique. I'm a slap in the face to your lullaby → Zephyra 2806429274

(re)Bienvenuuuue et bonne chance pour ta fiche. I love you

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Merci belle Marley ! I love you

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dianna

bienvenue parmi nous I'm a slap in the face to your lullaby → Zephyra 2806429274

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Dianna !!

Rebienvenue et bonne chance pour ta fiche I'm a slap in the face to your lullaby → Zephyra 212682535

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GOUYOU GOUYOU ! I'm a slap in the face to your lullaby → Zephyra 1401591111

BIENVENUE ! I'm a slap in the face to your lullaby → Zephyra 173490454

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Merci à vous trois ! I love you

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Ma Didi. J'ai bien fait de la libérer. Sinon, dans la même tranche d'âge (ou environ), Deborah Ann Woll que j'adore, Leven Rambin, Nina Agdal, Nastassia Lindes...
Re-bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.