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| Sujet: ∞ liberal arts. Mar 9 Oct - 19:55 | |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] ☇ ARIEL WOODROW HEATHCOTE ∞ nom : Heathcote. Nom banal, nom peu connu. Ne cherchez pas à lui trouver une quelconque ressemblance avec un soldat mort pendant la deuxième guerre mondiale ou un riche entrepreneur new-yorkais du temps du progressisme, il n'y en a pas. ∞ prénom : Ariel suivi de Woodrow. Son premier prénom est d'origine hébraïque, bien que sa famille ne possède aucun lien avec la religion juive. A ne pas confondre avec La Petite Sirène, l'homme vous en voudrait profondément. A sa suite vient Woodrow, patronyme typiquement américain proposé par le père d'Ariel à sa naissance.∞ âge et date de naissance : Il a vu le jour dans cette ville si banale un deux février mille neuf cent soixante-dix-sept, ce qui lui fait donc trente-cinq ans. Les années commencent à se faire sentir et Ariel se sent impuissant face à la vieillesse qui le guette. Il devrait profiter de la trentaine mais il n'en a pas envie, il n'en a plus envie. ∞ lieu de naissance et origines : Ariel est né à Montsimpa, c'est un américain pur souche. ∞ études ou profession : Il est avocat et se révèle être plutôt bon dans ce domaine. Mais ce qu'il préfère avant tout, c'est l'art. Il aime passer sa journée à observer un Klein au MoMA, trouver un sens à sa vie en regardant un Malevitch, se remémorer cette époque ô combien précieuse qu'était la Renaissance. ∞ statut civil : Marié depuis cinq ans à une charmante juriste avec qui ils ont eu une fille désormais âgé de cinq ans, Ella. Il pense aimer sa femme mais il s'en désintéresse totalement. Ariel n'a plus vraiment envie de jouer au petit mari, à la famille parfaite alors que leur couple n'est que synonyme d'ennui profond.∞ traits de caractère : cultivé, honnête, respectable, sensible, dépassé, blasé, inconstant, protecteur, naïf, pessimiste, cynique, inquiet. ∞ groupe et aspiration : sims ordinaires, aspiration connaissance.☇ CROIS-TU AUX CRÉATURES DE LA NUIT, AUX ÂMES ERRANTES ET A CE GENRE DE CHOSES ? Non. On nous fait croire depuis des années que des fantômes ou je sais quelle autre superstition vivent parmi nous mais il faut être réaliste : ce ne sont que des mythes véhiculés par des imbéciles, des marginaux. N'y prêtons pas attention. ☇ SI OUI, AIMERAIS-TU EN DEVENIR UNE, OU PLUTÔT LES COMBATTRE ? Encore une fois, non. Certains peuvent s'imaginer en vampire-luciole (comme dans ces bouquins intellectuellement pauvres - j'espère que ma fille n'y touchera pas plus tard), d'autres combattants des forces de la nuit, moi je ne vois là que du ridicule. ☇ TE PLAIS-TU A MONTSIMPA/BRIDGEPORT ? Ici, la ville est simple. Tout, absolument tout me rappelle mon enfance, mon adolescence, mes études. Dans toute vie, il est impératif d'aller voir ailleurs, ce que j'ai fait. New York, c'est certainement ma plus belle réussite. Mais vous savez ce que c'est, une fois que l'on trouve femme et enfant, on revient à la case départ, dans la vie de banlieue paisible. ☇ TOI, LES ENFANTS, LE MARIAGE, T'EN DIS QUOI ? Il y a quelques années, je n'y pensais pas vraiment. Etre père, responsable d'un foyer, s'occuper d'une femme qui partage notre quotidien étaient des concepts qui m'échappaient totalement. Quand on y est, tout passe très vite. De la passion des premiers jours, on se retrouve à changer des couches-culottes puis à ignorer sa femme en allant travailler le matin. On vous promet une vie pleine de rêves alors qu'elle n'est faite que d'ennui, que d'illusion. Le mythe de la famille parfaite, ça n'existe pas. Pas même celui du mari comblé. Tous les hommes mentent à ce sujet. ☇ TON RÊVE LE PLUS FOU, C'EST QUOI ? Ouvrir ma galerie d'art, quitter ce boulot infâme, repartir des années en arrière. Se complaire dans le passé, c'est mal. Je le sais. Mais je n'ai que ça. |
☇ TES MAUVAISES HABITUDES; Là où certains avouent boire des litres de café par jour, Ariel, quant à lui, préfère le thé noir. • Il amène sa fille en voiture tous les matins. Ce n'est peut être pas grand chose mais c'est son rituel matinal, d'accompagner sa princesse adorée à l'école. • Ariel adore l'art. C'est sa drogue, il pourrait rester des heures à regarder un Delacroix. S'il avait le choix, il plaquerait son boulot pour écumer tous les musées du monde et ouvrir sa propre galerie d'art à New York. • Lorsqu'il était étudiant, il fumait des paquets entiers de cigarette par jour. Depuis l'accident d'une douce jeune fille nommée Winona, il a progressivement délaissé cette manie répugnante. Mais depuis quelques temps, lorsqu'il se fait penseur, il ne peut s'empêcher de vouloir recommencer. Ça commence avec une petite pour parfois finir avec le paquet. • Il ne supporte pas perdre un jugement. Il peut se mettre en colère lorsqu'il se fait écraser par son adversaire. • Ariel est d'un cynisme sans bord. Il ne peut le contrôler et ne cherche pas à le réprimer, d'ailleurs. • Ariel ne supporte plus les gens. Il n'éprouve aucun intérêt envers quiconque, il est devenu un corps qui se laisse faire, qui n'arrive plus à avancer. Chaque chose qu'il réalise le fait reculer et il ne trouve plus satisfaction dans sa vie d'homme marié.
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- Spoiler:
∞ prénom et pseudo : la femme invisible, pour les intimes. ∞ âge : vingt ans. ∞ sexe : f. ∞ comment as-tu connu le forum ? via Bazzart. On ne peut pas passer à côté de PWL. ∞ t'es plutôt du genre à traumatiser tes sims où à aimer les belles et grandes familles parfaites ? à les traumatiser à dooooooooooooonf. ∞ raconte-nous ta vie : je veux pas vous endormir. ∞ tes autres comptes sur pwl : nada. ∞ célébrité : Le sexy Cavill.
Dernière édition par Ariel W. Heathcote le Lun 15 Oct - 20:14, édité 16 fois |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mar 9 Oct - 19:55 | |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] ☇ love is a fire and it's burning me down. ∞ YOUR LOVE IS MY TURNING PAGE. « C’est quoi ce sourire de gogoye ? » Ton songe se brise en l'espace d'une seconde. Ce sourire que tu arbores sans même faire attention disparaît et tes yeux se posent sur le jeune homme qui a daigné te sortir de ta rêverie. Un instant, tu te sens coupable. Coupable de ressentir des sentiments nouveaux auxquels tu ne pensais être jamais confronté. Ton regard se fait inquisiteur tandis que ton interlocuteur t'observe d'un air goguenard. Jonas te fait chier, vraiment. Y'a des jours où tu as envie de l'assommer. « Depuis quand tu observes mes moindres faits et gestes, Docteur d'Enfer ? » Tu nies à moitié que ton ami t'as sorti d'une rêverie dont lui-même ne connait que peu de détails. Mais trop fier, tu as préféré la mauvaise foi à la vérité. « Tu souris en regardant ton cours de droit international, je me demandais juste si t'avais pas fumé avant de venir. » Déconcerté, tu secoues la tête avant de replonger dans ce bloc de pages qui veut visiblement ta mort. Le comble d'étudier le droit environnemental. Mais rapidement, tes pensées t’emmènent ailleurs, pas très loin d'ici. Son sourire, son air mutin, ses tâches de rousseur te reviennent rapidement en mémoire et tu esquisses à nouveau un sourire. Cette fille, tu l'aimes. Un peu trop, d'ailleurs. Personne n'est au courant que tu as succombé au charme d'une jeune adolescente que tu étais uniquement censé aider dans ses cours. Mais te voilà pris et tu ne peux plus en sortir. « Olivia te mate. » Tu lèves la tête et ton regard se pose sur la silhouette blonde qui se profile à quelques mères de toi. Olivia est une très belle fille, intelligente, sociable et elle a l'air de t'apprécier. Un peu trop, d'ailleurs. « Vous avez bien accroché hier soir, à ce qu'il parait. » Immédiatement, tu lâches un petit rire avant de secouer la tête. Bien accroché, certainement mais c'est tout. « Elle est sympa mais ça s'arrête l- » « Bordel, mec, on veut tous se la taper et toi, alors qu'elle te mate ouvertement, tu rechignes ? Je te comprends pas, vraiment. T'as quelqu'un et tu m'en parles pas, c'est ça ? Ou on t'a castré dans la nuit ? » Tu es interloqué par la véracité de la réponse de Jonas. Il te connaît trop bien et ça commence à se voir. Tu restes silencieux mais tu finis par mettre des écouteurs sur les oreilles, conscient que tu finiras par te trahir toi-même un jour ou l'autre. Sauf que Jonas ne l'a pas décidé de cette façon et s'empare du Ipod qui repose sur la table. « T'as quelqu'un. » Une pause. « Quelqu'un que je ne connais pas vu qu'on a les mêmes amies. » Tu hausses les épaules. « C'est qui ? Ta voisine ? Ta femme de ménage ? Ta boulangère ? La dame de la cantine ? La femme d- » « Ce que tu peux être con, Jonas. Comme si j'allais sortir avec une femme de quarante ans. » « Donc elle est plus jeune que toi. »« On peut arrêter de jouer au Cluedo et se concentrer sur les révisions ? » Il s'empare de ton sac. « HEY ! » « T'es parti pour être major de promo, t'as pas besoin de bosser. Je t'écoute, parle moi de ta nouvelle amie. » Et voilà, tu y es. Au fond, tu savais que ce jour finirait par arriver, que tu ne pourrais indéfiniment nier son existence. Alors autant que Jonas le sache. Après tout, vous vous connaissez depuis la maternelle, tu lui dois au moins ça. « Elle s'appelle Winona. » « Elle est en quelle année ? » « Au lycée. » Et là, c'est le drame. Jonas ne peut contenir une expression de surprise tandis que tu te maudis d'avoir osé lui parler de celle qui te tourmente. « C'est la gamine à qui tu donnes des cours ? » « Yep. Mais c'est pas une gamine. Elle est très mûre pour son âge. » « Mûre ou pas Ariel, elle est mineur. Pour l'avoir étudié en cours, tu sais combien c'est dangereux ce genre de relation. » « Je sais. » Oui, tu le sais. Un peu trop, d'ailleurs.
∞ TIME MOVES SLOW BUT IT'S YOU WHO BROUGHT ME HERE. Elle t'a dit de refaire ta vie. De l'oublier. De passer à autre chose. Toi, tu as voulu la croire en débarquant à New York, ville ô combien immense qu'il serait presque impossible de te retrouver. On t'a offert un poste d'avocat dans l'un des meilleurs cabinets de la ville et pourtant, ce n'est pas ça qui te fera oublier le douloureux souvenir de ta belle, ta Winona, allongée sur un lit d'hôpital. Tu ne peux effacer cette horrible nuit où tu as su qu'elle avait eu un accident. Ni le verdict des médecins la diagnostiquant presque morte. Oui, presque. Un coma qui durerait un certain temps, une mort certaine qui la consumerait à petit feu tandis que tu continuerais à vieillir, sans elle. Bien sûr, tu n'es pas de ceux qui oublient. Bien sûr, tu iras la voir aussi souvent que possible, lui parler, lui dire que tu penses toujours à elle, qu'aucune jeune femme ne t'émeut autant qu'elle. Mais tu ignores si elle t'entendra. La dernière fois, sa mère t'a dit de repartir à zéro et d'avancer. Tu as protesté mais elle a insisté et tu as fini par te résigner. Tu avances lentement au coeur du tribunal de New York, la boule au ventre. Tu ne peux t'empêcher de penser qu'en sortant avec cette demoiselle, tu as toi aussi enfreint la loi. Mais tu ne le regrettes nullement. Tes dossiers sous le bras, on te dévisage dès que tu passes devant un groupe d'avocats ou de juges. Comme s'ils savaient. Et pourtant, ils ne savent strictement rien. Il ne savent pas combien tu as pu l'aimer, combien tu continueras à le faire, peu importe si la mort la dévore. Mais ça, c'est ce que tu crois. « Faites attention où vous allez, bon sang. » Une voix féminine te sort de tes pensées et tu te retournes, confus. La silhouette qui se profile devant toi est désirable, mais pas assez. Il lui manque ce quelque chose qui te ferait craquer. « Excusez-moi, je...Je suis un peu perdu. » Elle t'observe avant de laisser échapper un petit rire. « Un avocat perdu dans un tribunal. Première fois que j'assiste à ce genre de choses. Vous êtes ? » « Ariel. Ariel Heathcote. » « Ravie de vous rencontrer. Cessez de traîner les pieds, je vous fais visiter. » Elle est déroutante, comme femme. Un peu trop, d'ailleurs.
∞ HOME AGAIN, BACK WHERE IT ALL BEGAN. Elle est blottie contre toi et dort à poings fermés. Toi, tu fixes le plafond. Tu fixes le plafond comme si c'était la seule chose qui te semble intéressante dans ce monde. Ta main remonte le draps sur ton torse nu et te défais de l'emprise de celle qui ne veut pas te voir partir. Elle semble apaisée dans son sommeil, un faible sourire arbore son visage fin. Tu te doutes que si tu ne l'avais pas épousée, elle aurait été plus heureuse. Elle ne se serait pas arrachée les cheveux pour savoir si tu la trompais avec une autre, tant tu te fous royalement de votre vie. En fait, plus rien ne t'intéresse depuis quelques temps. Tu n'est que ce corps qui attend la mort, tu n'es que ce corps qui ne peut supporter les êtres humains qui t'entourent. Alors certes, tu lui fais l'amour comme si de rien n'était. Certes, elle répond à tes caresses comme si de rien n'était. Mais pourtant, vous savez parfaitement que quelque chose ne va pas. Que quelque chose est brisé. « J'ai envie d'un autre enfant. » Elle interrompt ton monologue intérieur et pose sa tête au creux de ton épaule. Tes yeux dans le vide, tu poses machinalement ta main sur sa joue mais aucun élan de tendresse ne te traverse. « Ella est encore jeune, on devrait peut-être attendre qu'elle soit plus autonome. » Tu essaies de ne pas la froisser en lui demandant d'être patiente, de se focaliser sur votre fillette de tout juste cinq ans. Mais tu sais pertinemment que ta femme finira par revenir à la charge. « Tu dis tout le temps ça, Ariel. On a une situation financière confortable, on peut très bien engager une nourrice pour Ella. J'en ai vraiment envie... » Et elle finit par t'embrasser pour que tu succombes une nouvelle fois à l'appel de la nuit, ce que tu fais. Homme que tu es, ta nature ne peut résister au corps d'une femme, même lorsque tu sais que tu ne l'aime pas. Ou que tu penses aimer. Quoi qu'il en soit, elle ne remplace que partiellement la vision que tu as eue dans l'après-midi. Celle d'une jeune femme, douze ans après avoir été allongée dans un lit, assise à la terrasse d'un café. Ton regard a croisé le sien, tu t'es senti mal, très mal. Partagé entre ton devoir familial et aller la saluer. Finalement, tu t'es enfui comme un malpropre mais son visage te reste gravé dans ta tête. Et tu y penses un peu trop, d'ailleurs.
Dernière édition par Ariel W. Heathcote le Mar 16 Oct - 21:12, édité 29 fois |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mar 9 Oct - 19:59 | |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mar 9 Oct - 20:01 | |
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| | | ⊹ messages : 14694 ⊹ arrivée : 21/09/2011 ⊹ avatar : nina dobrev. ⊹ multinicks : non. ⊹ disponibilité : fermé ⊹ bonus à long terme : 3
| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mar 9 Oct - 20:03 | |
| Bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mar 9 Oct - 20:40 | |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mar 9 Oct - 20:40 | |
| GOSH Cavill et le scénario de Wynona, je vais être perdu moi je le sens excellent choix en tout cas, je suis ravis pour mon Chucky Bienvenue chez les fous et bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mar 9 Oct - 21:38 | |
| cavill re-bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mar 9 Oct - 22:11 | |
| pseudo+avatar, je dis omg bienvenueee sur le forum. |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mar 9 Oct - 22:18 | |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mar 9 Oct - 22:20 | |
| bienvenue parmi nous. |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mer 10 Oct - 7:24 | |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mer 10 Oct - 10:27 | |
| bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mer 10 Oct - 10:48 | |
| bienvenue sur le forum |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mer 10 Oct - 12:22 | |
| bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mer 10 Oct - 17:02 | |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mer 10 Oct - 18:01 | |
| Fouuuuuh' le pseudo Welcome ! |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mer 10 Oct - 20:11 | |
| Bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mer 10 Oct - 20:29 | |
| merci à vous deux. |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Mer 10 Oct - 21:00 | |
| bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Jeu 11 Oct - 9:03 | |
| merci. |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. Jeu 11 Oct - 9:06 | |
| ah ouais, il me fait le même effet on dit merci marine (tigra) garde-moi un lien avec un de mes comptes |
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| Sujet: Re: ∞ liberal arts. | |
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