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you, again (guiliana)

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MessageSujet: you, again (guiliana) you, again (guiliana) EmptyVen 19 Oct - 17:36



Un shooting. Ce n'est pas trop tôt. Voilà des mois que je parcours les petites annonces, et rien. Mais la roue tourne et la chance me sourit enfin. Me faisant beau, j'étais aussi excité qu'une puce. Tapant, par la même occasion, sur le système de ma chère colocataire. Mais aujourd'hui rien ne peut m'atteindre, car c'est mon jour de gloire. Je vais devenir mannequin. Du moins si la séance photo se déroule bien. Prêt à partir, je me rendis sur les lieux en taxi. Une fois sur place, le photographe vient à ma rencontre, big smile sur les lèvres. Souriant, comme toujours, j'encaisse ses consignes. « Bon mon p'tit gars tu vas m'enfiler ce moule bite et après on attaque ... ». Il s'apprête à rejoindre son équipe, lorsqu'il se retourne pour rajouter. « Et ... tu seras accompagné d'une jolie gazelle ... » me fit-il en me lançant un petit clin d'oeil. Une fille ? J'avoue que le stress commence alors à monter. Je n'ai pas l'habitude de poser et encore moins accompagné. Et il faut dire que depuis que ma relation avec Rafaelle a emprunté un nouveau capte, je me sens coupable il ne serait-ce lorsque j'en mate une discrètement dans la rue. Alors, posé dans une tenue aussi minimaliste avec une jeune femme, ça ne me met pas forcément à l'aise. Mais je n'allais pas faire le difficile, c'est mon heure, celle pour moi de me mettre en avant. Prenant mon courage à deux mains, j'enfile le petit slip de bain bleu ciel, au passage totalement horrible et importable, puis je rejoins le photographe. Préparant son matos, son regard s'illumine soudainement. La demoiselle en question doit être arrivée. Grimaçant, car sentant le moment fatidique arriver, je me retourne pour voir la jeune mannequin en question. Quel ne fut pas ma réaction lorsque je reconnue ... Giuliana. En réalité mon visage s'est complètement décomposé. Ne sachant plus où me mettre, je fus pris d'une crise de panique incontrôlable. À sa vue, je n'ai qu'une envie, fuir pour ne plus voir sa tronche. Je l'ai toujours amer depuis notre dernière rencontre. Rancunier ? À 100 %, dommage pour elle. Tentant d'aligner des mots pour exprimer mon dégoût, rien ne sortis. Totalement blasé, je choisis de prendre la meilleure attaque des faibles, la fuite. Retournant dans ma cabine, dans ma barbe je marmonnai quelques injures à son encontre. Mais que fout-elle ici ? A-t-elle décidé de me pourrir la vie jusqu'au bout alors que je rencontre enfin le bonheur ? Me pensant malchanceux sur le coup, je ne m'attendais pas à ce qu'elle fasse irruption dans ma cabine avec ses yeux de cocker.
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MessageSujet: Re: you, again (guiliana) you, again (guiliana) EmptySam 20 Oct - 22:23

« I watched you breathe in and I wished you'd stop only for long enough long enough, we used to get closer than this is it something you missed? Winged or chained I ask you would you have stayed did I hold you too tight? did I not let enough light in? »


Une journée comme les autres, toutes les mêmes, mais je m’en lasse jamais. Ce matin ne fut pas différent de tous les autres, un croissant ou deux même, une grosse tasse de café et une bonne douche, ma journée pouvait enfin commencer. Aujourd’hui rien de spécial, on m’informa sur les coups de onze heures que j’avais un photoshooting de prévu pour une marque de maillot de bain en début d’après-midi. Les maillots de bain, l’un de mes accessoires favoris pour les photos, c’est si simple, beau et évidemment cela met en valeur mon meilleur atout. Je partis vers midi pour passer en ville histoire de manger un petit truc avant d’aller dans le studio. Pas maquiller, pas coiffer, seulement mes longs cheveux encore humides qui tombaient en cascade dans mon dos. Le temps c’était bien rafraîchit, je devais à présent porter une veste, une grosse veste même, mais peu importe, j’aime les fins d’années, halloween, noël, le froid, la neige, j’aime ça. J’arrivais au coin d’une rue qui m’est familière, j’entrais alors dans un mini Fast Food, qui pour changer, ne contient pas que des aliments gras. Je pris un petit sandwich, un truc vite fait car l’heure tournait vite, trop vite. Avalant la dernière bouchée de mon sandwich, j’ouvris doucement la porte du studio, l’accueil fut vite orchestré par deux hommes qui me traitèrent comme une princesse, ce que j’aime le plus. A peine arrivée, on me laissa entrer dans le studio même, là où on prendrait les photos, assez contente et excitée à l’idée des maillots de bain, je ne fis pas attention à ce que l’assistant du photographe me disait. Tête en l’air comme toujours, je me mis à tout observer, regarder tout le monde, saluer tout le monde, et ne prêter aucune attention à ce que l’on me dit. Je m’avançai vers tout le monde, et je m’arrêtais brusquement. Lui, ici, devant moi, tourner, il me fixait alors je me mis à le fixer. Mon corps s’est arrêté, je ne bouge plus, je ne respire plus. Tout le monde crie autour de moi, tout le monde me parle, mais je n’entends plus rien, je suis ailleurs et j’ai peur. Quentin. Pourquoi, pourquoi était-il là ? Surtout pourquoi était-il en maillot de bain ? Je ne comprenais rien, et je n’eus pas le temps de comprendre qu’il était déjà parti, loin, il avait fui devant moi. Bouche-bée, l’assistant me reparle, il me pousse et me secoue pour que je réagisse. Un sourire de gêne, je retombe sur Terre et écoute plus ou moins l’assistant. Quentin allait poser avec moi, lui, moi, nous, maillot de bain. Tout s’embrouille dans ma tête, j’ai peur de mal comprendre, j’ai mal au ventre, j’ai envie de vomir. L’assistant me saoule, beaucoup même, alors je ne lui prête plus aucune attention, jusqu’à ce que la maquilleuse arrive pour me maquiller. Sans rien dire, je m’assoie, elle commence à m’étouffer sous le fond de teint. Je ne pense qu’à une seule chose, lui, où était-il ? Je suis sûre qu’il me déteste, oh oui, il doit me détester plus que tout au monde, c’est pour ça que j’ai aussi peur de lui, car il me haie, et je déteste qu’on me déteste. J’aime être aimé, désiré, pas détester. Le maquillage fini, on me tend alors un maillot de bain et un paréo, on m’indique là où je dois me changer et me dit aussi que le temps presse. Comme un robot, j’allais dans une salle pour enfiler le tout, en aillant toujours l’esprit remplit de questions, d’idées, de honte, de peur. Une fois habillé, je prends mes talons en mains, et je me mets à sa recherche, il avait disparu du studio. Fouillant dans les diverses cabines, j’ouvre, rien, encore, toujours pas. J’en ouvris une, et là, il était là, devant moi. Ses yeux, son visage, son corps, je ne savais pas par où commencer. Il était de dos, il n’allait surement pas se retourner d’aussitôt, je ne sais même pas s’il m’avait entendu ou non, alors brusquement, je claquai la porte derrière moi, fort, trop fort. Le bruit résonna dans la pièce, il ne se retournait pas, il ne voulait pas me voir et je le savais bien, mais je ne suis pas non plus le genre de fille à laisser tomber aussi facilement.
« Quentin … » Quelques mots, doux et simples, je les murmure. Mon corps bat vite, j’ai chaud et soif, je panique.
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MessageSujet: Re: you, again (guiliana) you, again (guiliana) EmptyLun 5 Nov - 18:16

J'étais si excité par cette journée, ce shooting, (...). C'était sans aucun doute le tournant que j'attendais pour ma carrière. Au point de départ depuis maintenant plusieurs mois, cette séance photo était enfin l'occasion pour moi de me lancer en tant que mannequin et de quitter le comptoir. C'était sans compter sur la délicieuse -ironie- présence de Guiliana. À sa vue, j'ai cru que j'allais détaler illico presto sans prendre la peine d'enfiler quelque chose par-dessus mon petit slip de bain. Sauf qu'après réflexion, il fait froid dehors, donc vaut mieux être couvert. Retrouvant ma loge, j'enfile mon pantalon et mon t-shirt. Je ne veux en aucun cas la revoir, ni lui parler. Elle m'a fait tant souffrir il y a quelques années, que mon coeur en souffre encore. Pas que mes sentiments pour elle, soient encore présents, car aujourd'hui j'en aime une autre, mais avant qu'il ne se passe quelque chose entre nous, c'était une amie. Et en tant qu'ancienne amie, je n'apprécie pas ce qu'elle m'a fait et pour le con qu'elle m'a prit. Me dépêchant de débarrasser le plancher, finalement le son de sa voix me coupe dans mon élan. « Quentin ... » . Je serre les dents pour m'empêcher de dire une connerie ou d'être cruel envers elle. Je me retourne, même si c'est difficile de lui faire face. Finalement je lui réponds assez sèchement. « Que me veux-tu ... ». Sans y mettre d'intonation, rien. Mais la pression est trop forte et je ne peux contenir mes pensées qui d'un seul coup jaillissent en un flot de parole insensé. « Ou plutôt, que fais-tu ici, hein ? Tu ne devrais pas être en train de faire le tour du monde avec ta clic de mannequins ? ... OH je sais, ceci est une blague et il y a des caméras cachées un peu partout ? En fait, c'est un gros foutage de gueule ! ». Vexé encore de ces agissements passés, je ne peux contenir ma colère et ma tristesse. Elle me fait de la peine. Je lui en veux tellement, qu'il m'est impossible de lui parler tout en la regardant dans les yeux. Détournant alors à nouveau mon regard pour ranger le peu d'affaire restant, je quitte la pièce tout en lui sortant. « Bon shooting ! »
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Maé Fowler
touchingly naive
Maé Fowler

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arrivée : 24/10/2011
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multinicks : anciennement rafaëlle coolidge.
disponibilité : donatello, levi,... libre (mp).
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« Le temps confirme l'amitié. »
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MessageSujet: Re: you, again (guiliana) you, again (guiliana) EmptyJeu 8 Nov - 22:16

« DOUCE IMPRUDENCE »,
Le chant de ta vie, Est telle une mélodie. Le son de ton existence. Est doux comme une danse. Mais ma poupée, Si l'on t'attrape, si l'on te tord, Tu seras brisée, Il suffit de te serrer un peu fort.
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Premier shooting. L’évènement était entouré grossièrement d'une couleur rouge feutre. Un peu comme s'il avait eu peur de l'oublier. Ça aurait été impossible. Impossible dans le sens où quand on est sur le point de réaliser son rêve le plus cher, c'est impensable de le chasser de son esprit. Il flottait dans nos pensées jours et nuit. Puis soudain, quand le jour j arrivait, une boule de stresse grossissait alors en nous. C'était le bonheur de toucher enfin ses espérances. Ils n'avaient jamais été si proches. La tête dans les nuages, c'était ainsi que tu l'avais vu partir au petit matin. Un sourire géant collé aux lippes. Il avait posé ses lèvres sur les tiennes et avait fermé la porte derrière lui. Tu ne pouvais pas t’empêcher d'être heureuse pour lui, avec lui. Il te faisait partager ses rêves. Alors c'était ça être en couple, c'était partager ensemble absolument tout ? Tu soupirais de bonheur. C'en était tellement étrange pourtant cette sensation qui grondait en toi te réchauffait le coeur. Instinctivement, tu t'étais mise à sourire aussi bêtement que lui. Vous formiez un tout. Fixant le calendrier du regard, tu avais tellement envie d'être à ses côtés et de l'encourager. Tu l'imaginais stresser à en perdre les pédales. Cette pensée venait de t'arracher un rire. Sans plus tarder, tu avais tourné les talons pour te rendre dans la chambre. Une idée venait de te prendre. Te déshabillant, tu avais enfilé une autre tenue et tu avais quitter les lieux à ton tour. Marchant d'un pas nonchalant, tu tenait le long manteau que tu avais enfilé autour de ton corps afin de ne pas le perdre. Sans tardé, tu étais arrivée sur les lieux. C'était la première fois que tu mettais les pieds sur un pareil lieu. C'était immense pourtant les gens que tu pouvais appercevoir se bousculaient presque. La mise en scène était tellement époustouflante que tu te serais crue à la plage même, sous le soleil des tropiques. C'est à ce moment même que tu te rendais compte à quel point le rêve de Quentin était réel et méritait d'être vécu. Il le méritait. Tu détournais le regard à sa recherche, sans peine tu avais repéré sa petite bouille alors qu'il refermait une porte. Sourire pendu aux lèvres, tu étais allées à sa rencontre. Sans qu'il ne puisse dire quoi que ce soit, tu avais scellé vos lèvres. Quelque part, elles t'avaient manqué. « Coucou toi. » Tu passais un doigt contre son torse avant qu'il ne finisse sous le peignoir qui l’habillait. « Tu sais que t'es pas mal dans cette tenue.. » Ta voix se voulait provocante. Tu savais qu'il en raffolait. Puis sans qu'il ne s'y attende et sans même savoir ce qu'il pouvait se trouver derrière la porte, tu l'avais emmener à l'intérieur. Tu t'étais collée à lui comme un avant gout de ce qu'il l'attendait avant de reculer de quelques pas pour entre-ouvrir le manteau te recouvrait. Tu laissais alors apparaître ton corps à demi dénudé, seulement vêtu d'un porte jarretelle. « Surprise. »

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voila, j'espère que ça vous convient. ♥
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MessageSujet: Re: you, again (guiliana) you, again (guiliana) EmptyVen 9 Nov - 15:52

Mes pensées s'embrouillent et je bouillonne de rage. C'était bien la dernière personne que je voulais voir. Comme tombée du ciel, elle m'apparaît des années après m'avoir brisé le coeur. C'est une personne que je ne pourrais oublier, car elle fut mon premier chagrin d'amour. Quittant la pièce sans prendre la peine de me retourner, une voix familière me sort de mes pensées obscurs. « Coucou toi. » Que fout-elle ici ? Enfin, je suis avant tout heureux de la voir, car rien que sa présence me rend le sourire et me fait oublier Giuliana. Elle a ce don magique d'embellir mes journées et de les rendre plus joyeuses, plus belles, plus agréables. Je souris, amusé du ton qu'elle emploie avec moi et du jeu de séduction qu'elle entreprend. Je frissonne même au toucher de son doigt contre mon torse. « Tu sais que t'es pas mal dans cette tenue.. ». Pour réponse, je me contente de sourire bêtement. Totalement à sa merci, je me laisse totalement faire. D'un autre côté, elle m'ôte la force de réagir. Poussé dans une pièce, elle se déshabille de son manteau pour laisser apparaître son corps à semi-dénudée. « Surprise. » . « Seigneur, jésus, marie pleine de grace (...) . »Habituellement je déteste les surprises, mais ce genre de surprise, je veux bien en avoir une chaque jour. Limite j'ai la bouche entrouverte avec le filet de bave dégoulinant. Bien évidemment ce n'est qu'une image, mais ce bout de femme me donne envie. Je ne sais pas ce qui me retient de lui sauter dessus. Peut-être Giuliana qui nous fixe d'un drôle d'air ? Prenant enfin conscience de la situation, je m'agite dans tous les sens. Me baissant pour ramasser le manteau de ma belle, je recouvre finalement son corps. En voyant son visage se décomposer, je tente une brève explication. « Je .. je ... tu es canon, hyper bonne, bandante, mais .. mais .. nous .. nous ne sommes pas seuls ... ». Dis-je en désignant Giuliana d'un signe de la tête, avant de baisser celle-ci. Quel gâchis tout de même. Ma copine est en porte jarretelle et je ne peux même pas en profiter. « Rafaelle ... je te présente Giuliana, une ... vieille et ancienne amie ... ».
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MessageSujet: Re: you, again (guiliana) you, again (guiliana) EmptyDim 11 Nov - 1:53

« DOUCE IMPRUDENCE »,
Le chant de ta vie, Est telle une mélodie. Le son de ton existence. Est doux comme une danse. Mais ma poupée, Si l'on t'attrape, si l'on te tord, Tu seras brisée, Il suffit de te serrer un peu fort.
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La pulsion naissante qui venait de te prendre n'avait pas pu être reniée. Tellement forte. Tu avais craqué à l'idée de lui faire la surprise. Tu t'étais retrouver à moiter nue, face à lui avec la seule envie d'avoir son corps contre le tien. Tu en devenais dépendante. Tu ressentais l'urgence de le toucher. Le besoin d'un contact privilégié avec sa peau. Tu voulais que ses lèvres t'embrassent et que ses mains se baladent contre ton corps. Oui, il était addictif. « Seigneur, jésus, marie pleine de grâce (...) . » La bouche entre-ouverte, il te fixait béa, faisant voguer ses yeux de tes pieds jusqu'à ta tête. Tu plantais tes pupilles dans son regard et tu ressentais son désir gronder. Sa réaction était à la hauteur de tes espérances. Il te voulait. Tu t'attendais à ce qu'il plante ses pensées qui étaient apparues face au spectacle que tu lui offrais pour qu'il s'empare enfin de ton corps, mais il n'en avait rien fait. Il restait face à toi. Et puis telle qu'elle était arrivée sous l'effet de la surprise, la petite flemme du désir s'en était allée sans prévenir, te laissant à tes interrogations. Il ramassait ton manteau et te couvrait avec cachant ton porte jarretelle. Tes sourcils se fronçaient face à son regard qui s'était décomposé. Tu en étais presque blessée. C'était comme si à travers son regard il te repoussait. La déception s'était alors emparée de ton visage pour n'en faire qu'une bouchée. « Je .. je ... tu es canon, hyper bonne, bandante, mais .. mais .. nous .. nous ne sommes pas seuls ... » Les excuses, les dérives de sujets. C'était du Quentin tout craché. Tu soupirais. Tu avais complètement lâché le fil de la conversation. Tu n'avais même pas entendu la fin de sa phrase à trop te morfondre sur ta contrariété. Tu relevais les yeux vers lui pour remarquer que son regard était rivé vers la droite. Tu détournais la tête, « Rafaelle ... je te présente Giuliana, une ... vieille et ancienne amie ... ». Ce prénom. Il t'étais familier. C'était ton amie là, face à vous, à vous contempler, l'effroi scotché au visage. Soudain tout était devenu clair en toi. C'était comme si tu avais été confuse et que tu devenais enfin lucide. Toutes ces questions sur Quentin alors que vous passiez des soirées toutes les deux.. Tu t'étais confiée à elle, tu lui avais accordé un tant soit peu de considération.. Tu venais de faire ce rapprochement entre l'homme dont elle t'avais brièvement parler et l'homme qui se trouvait être ton petit ami. C'était la claque géante. Tu t'étais promis que jamais plus personne ne pourrait t'atteindre et elle venait de le faire. Tu te sentais trahie. Il n'y avait pas que ça, un autre sentiment se mêlait, inexplicable, impossible de mettre le doigts dessus. Tout ce que cette émotion méconnaissable te faisait ressentir, c'était l'envie que Quentin te serre dans ses bras et qu'il t'avoue qu'il n'y avait rien entre eux, que tu n'avais pas à te sentir menacée, qu'il n'y avais que toi. « Tu fous quoi là ? » La colère exprimée à travers ta voix trompait le semblant d'air serein qu'affichait ton visage. Tout signe de gentillesse t'avais quitter. L'ironie était prête à trancher tes paroles.

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MessageSujet: Re: you, again (guiliana) you, again (guiliana) EmptyDim 11 Nov - 13:41

« I watched you breathe in and I wished you'd stop only for long enough long enough, we used to get closer than this is it something you missed? Winged or chained I ask you would you have stayed did I hold you too tight? did I not let enough light in? »


Après mon dévoué appel à Quentin, celui n’était pas décidé à me pardonner, loin de là. Rien que son regard disait déjà tout, il me donnait froid aux yeux, j’avais peur qu’il me rejette, qu’il me déteste, et malheureusement, c’était bel et bien le cas. Dans mes pensées, j’attends doucement sa réponse, je ne le brusque pas, car j’ai peur qu’il me hurle dessus. Calmement, il me demanda ce que je voulais, stupide question à laquelle je n’eus pas le temps de répondre. D’un seul coup, un énorme coup de gueule se fit retentir, il m’engueula comme jamais, je ne savais plus où me mettre. Il me demandait ce que je foutais ici et surtout il crut que tout ceci était une blague. Perdue, je ne réponds pas, je me mords les lèvres dut au stress, mon cœur me faisait mal, j’avais mal d’entendre cela. Il me faisait mal, comme je lui avais fait mal. Il se dirigea vers la porte pour partir, loin de moi, loin du studio, alors qu’au fond il n’avait pas vraiment le choix, quitter un photoshooting sur un coup de tête allait lui coûter très cher. La porte venait de claquer, comme une claque dans ta gueule, je ne réagis pas. Bouche-bée, je ne sais plus quoi faire. Je m’empresse de fouiller dans une armoire pour y sortir un peignoir que j’enfilai aussitôt. Prête à sortir à mon tour, j’entends à la porte s’ouvrir, alors je me collais au fond de la pièce sans dire un mot, comme avant, muette comme une tombe. Quentin venait de rentrer à nouveau dans la pièce, soulager je souffle et m’apprête à parler, à m’excuser, à faire mon possible pour qu’on soit en bonne entente. Le temps me prit de cours, car une jeune femme blonde débarqua coller à lui comme une sangsue, je les regarde, ils ont l’air d’un couple. Nu, à moitié nu, la fille me regardait étrangement, alors que pourtant c’était bel et bien elle qui était en porte jarretelle, à moitié nu à me regarder. Au final, c'était raf, devant moi, à moitié nu, avec son chéri. C'est pour cela qu'elle me regardait donc si étrangement, surprise, je me mets à sourire, bêtement pour cacher ma gène.

« Rafaelle ... je te présente Giuliana, une ... vieille et ancienne amie ... ». Une ancienne amie ? Du grand Quentin tout cela, Rafaelle attendit ma réaction, alors de force, j'hochais la tête tout en souriant toujours nerveusement. « Tu fous quoi là ? » Elle me regarde, elle me parler. Perdue je ne sais pas quoi dire, car vu ce que Quentin venait de dire avant, je devais poursuivre ses efforts, et donc cacher la vérité. Tout en souriant, je referme un peu plus mon peignoir et m'accroche à ma version, tout en me la répétant dans la tête. « Je travaille! Et comme par hasard, je dois faire des photos avec Quentin! Quel coïncidence! Sinon toi euh... tu vas bien? » Bafouillant plus que tout, je m'embrouille et me perds, je me cache. Je décide alors de fuir, pour laisser le jeune couple s'épanouir comme Rafaelle l'avait prévu. « Bon ... Quentin je t'attends dehors ! A plus Rafaelle, on s'appelle ... » Dis-je tout en sortant de loge, acquissant un petit sourire gêné, presque maladroit. En sortant, je souffle, j'espère que Quentin arrivera à sauver la mise, et que ça ira entre eux. M’avançant devant le photographe, je lui explique que Quentin est occupé et qu’il ne voudra surement plus faire les photos. Le photographe énervé, marcha vers la loge, énervé comme pas possible il explosa son poignet contre la porte et se mit à hurler. « Quentin on commence dans deux minutes, t’as pas le choix. »

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