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there was a time when I had it all - pv

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MessageSujet: there was a time when I had it all - pv there was a time when I had it all - pv EmptyMar 1 Nov - 3:53


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Myliana and Seaghd


Il devait être huit heures lorsque j'émergea de mon sommeil profond. La veille, j'avais décidé d'annuler mes cours du lendemain, ne me sentant pas très bien. J'avais donc prévu dormir beaucoup plus longtemps, mais mon horloge biologique en avait décidée autrement. Je tenta en vain de replonger dans les bras de morphée, mais j'abandonna après quelques minutes, n'arrivant plus à fermer l'oeil. Je me leva péniblement de mon lit pour aller ouvrir les rideaux et ainsi laisser entrer la lumière naturelle dans ma chambre, mais je constata déçue, que le temps était plutôt pluvieux. Rien pour m'aider à retrouver la bonne humeur. Je me dirigea d'un pas lent vers la cuisine pour démarrer la machine à café. Je jeta un coup d'oeil sur le comptoir pensant y avoir laissé mon iphone la veille, mais il n'était pas là. Je le chercha dans ma chambre puis dans le salon sans résultat. En repensant au dernier endroit ou je l'avais laissé, il se trouvait sans doute à l'université. Je soupira. Moi qui avait prévu de passer une journée bien au chaud dans mon pyjama devant ma série télé favorite, je devrais me résoudre à mettre le nez dehors. Le café prêt, je m'en servis une tasse avant d'aller m'asseoir devant mon ordinateur pour répondre aux courriels de mes élèves. Cela ne me prit qu'une vingtaine de minutes et j'avais maintenant toute la journée devant moi. Je déjeuna rapidement avant d'aller prendre une douche bien chaude. Une fois sortie, je mis les premiers vêtements qui me tombèrent sous la main, un jean ainsi qu'un t-shirt blanc rayé bleu. Pourquoi avait-il fallu que j'oublis mon portable dans mon bureau. Je n'avais pas envie d'aller là-bas et de croiser plein de gens qui se demanderaient pourquoi j'avais annuler mes cours de la journée. Enfin, ce n'était pas comme si j'avais à me justifier de quelque chose. Tout le monde avait droit à une petite journée de congé de temps en temps après tout. Mes bottes de cuir brunes dans les pieds, j'attrapa mon veston blanc et je sorti de mon appartement en prenant soin de ne rien oublier derrière moi. La première chose que je fis en entrant dans ma voiture fut de mettre la radio et je me mis à chanter comme une folle en démarrant. Je chantais faux, mais ça on s'en fichait éperduement, personne ne pouvait m'entendre de toute façon. Heureusement, le trajet pour me rendre à l'université était plutôt court parce que je n'avais nullement envie de conduire ce jour là. Je gara ma voiture à la place de stationnement qui m'était réservée et je me dirigea d'un pas rapide vers l'entrée. Je souris aux quelques collègues que je croisa sur mon chemin. Je pris l'ascenceur pour me rendre au 4e étage là ou se trouvait mon bureau. Je déverouilla la porte et je vis mon portable qui m'attendait bien sagement à coté de mon ordinateur. Je le pris et ressortit aussitôt de mon bureau en rammasant au passage un dossier de travaux à corriger. Pressée, ne regardant pas trop autour de moi, j'accrocha quelqu'un avec mon sac à main un peu trop encombrant alors que j'étais de dos pour refermer la porte de mon bureau à clé.
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MessageSujet: Re: there was a time when I had it all - pv there was a time when I had it all - pv EmptyMar 1 Nov - 21:29

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Revenir à Montsimpa n’était pas vraiment une partie de plaisir pour Seagdhd. Il avait, en partant, abandonné tellement de monde qu’il ne savait plus maintenant comment les revoir, leur parler ou peut-être se faire pardonner. Au fond, il n’avait pas tellement envie de suivre tout ce cérémonial. Il n’était pas vraiment d’humour à essayer de faire plaisir aux autres, surtout pour une chose qu’il ne pouvait maitriser. Oui, il avait peut-être décidé de venir s’installer en France mais sil était resté, c’est parce que tout lui semblait plus aisé pour l’oublier, pour ne pas penser au passé. Maintenant, il revenait pour les mêmes raisons et se faire emmerder pour ses choix, cela n’allait nullement lui plaire. Ce matin, tandis qu’il se rendait à l’université, le jeune homme se sentait pris d’une envie d’emmerdement. Oui, il n’avait pas envie de se montrer sympathique, tout ce qu’il cherchait, c’est un exutoire, une manière de ne plus penser. Malheureusement, cela était bien trop compliqué à trouver. Pendant quelques instants, confortablement installé sur sa moto, il hésita sur sa destination. Oui, il devait aller donner cours, faire son job, répondre aux questions, regarder certaines élevés le reluquer ou encore les voir s’ennuyer. Oui, les étudiants n’étaient sans doute pas le public le plus attentif, toutefois quand il arrivait à convaincre certains d’entre eux d’écouter, il se sentait comme un poisson dans l’eau, déversant son savoir sans aucune limite. Oui, Sead était bien loin de l’image qu’il voulait bien donner de lui. Au fond, il se contentait de cacher toutes ses faiblesses parce que dans sa tête, ça ne valait plus la peine de les montrer, de prouver au monde entier qu’il n’était pas aussi heureux qu’il voulait bien se l’avouer. Se trouvant toujours en train d’hésiter, il se demanda si partir ne serait pas la meilleure des solutions. A cet instant précis, il s’imaginait bien tout foutre en l’air, s’en aller vers d’autres horizons, essayer de toute recommencer et en même temps, il savait que cela ne servirait à rien, que où qu’il soit, la situation ne serait pas vraiment différente. Alors, quelque peu résigné, il se décida à prendre le chemin de l’université ou ‘l’attendait sans le moindre doute une journée assez remplie. Ce fut donc assez rapidement qu’il se rendit jusqu’à l’université qu’il connaissait comme sa poche. Comme souvent, son arrivée ne passe pas vraiment inaperçue. En effet, ce n’était pas tous les profs qui se rendaient à l’école en moto. Après avoir mis son antivol, il descendit de sa bécane avant de prendre ce qui lui sert de cartable et de se diriger vers sa salle de classe. Rien de plus normal, il se baladait dans les couloirs cherchant une fois de plus sa salle de classe. Peut-être qu’un grand panneau pourrait lui être utile. Se trouvant au quatrième étage, il vit une professeure sortir de sa classe et fermer à clé la porte de son bureau. Sautant sur l’occasion, il se décida à l’aborder sauf que son bras s’accrocha au sac à main qu’elle portait. Rapidement, il essaye de l’en défaire sans faire tomber la demoiselle. N’y arrivant pas vraiment parce que cette dernière se trouvait de dos, il n’eut d’autre choix que de lui demander poliment, chose qu’il avait en horreur. « Excusez-moi mais je suis quelque peu coincé. » Se montrer polie, apprendre à faire trop connaissance, autant de choses qui ne lui plaisaient nullement. Rapidement, il la vit se retourner et ce fut là qu’il eut un choc plus qu’immense. Qu’est-ce qu’elle faisait ici ? Comment était-ce possible. Totalement perdu et désemparé, elle ne pouvait pas vraiment être là, c’était tout bonnement impossible. « Tu… ici ? Je … Pourquoi tu te trouves ici ! » Oui, il lui en voulait ou plutôt n’avait aucunement envie de la revoir, pas aujourd’hui, pas tout de suite.
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MessageSujet: Re: there was a time when I had it all - pv there was a time when I had it all - pv EmptyMer 2 Nov - 3:14

Évidemment, quand Myliana passait une journée, ou même une soirée sans mon portable, elle se retrouvais avec plusieurs appels manqués. C'était le cas aujourd'hui aussi. Quelques textos d'amis pour l'inviter à sortir mais surtout plusieurs messages vocaux de sa mère qui comme d'habitude s'inquiétait toujours pour rien. Elle avait du mal à comprendre qu'elle ne soit pas toujours à coté de mon téléphone. Il fallait peut-être qu'elle réalise que Myliana avait une vie et qu'elle n'attendais pas toujours un appel. N'ayant pas envie de lui parler à se moment précis, elle nota mentalement qu'il faudrait qu'elle l'appelle un peu plus tard dans la journée. Myliana resta un moment devant la porte de son bureau, le regard rivé sur sont iphone lorsqu'on lui adressa la parole. « Excusez-moi mais je suis quelque peu coincé. » Le bras du jeune homme s'était bizarrement coincé dans son sac à main qui pendait à son avant-bras. Elle le remis doucement sur son épaule. « Je suis désolée. » C'est à ce moment qu'elle releva la tête pour offrir un sourire poli à l'homme qui se tenait devant elle. Son sourire se figea automatiquement lorsqu'elle constata de qui il s'agissait. C'était impossible, elle devait rêver, ça ne pouvait pas être lui, juste quelqu'un qui lui ressemblait étrangement. Aucun mot ne voulait sortir de la bouche de Myliana. Elle était abasourdie. Pourquoi avait-il fallu qu'elle oublie son fichu portable ici. Si elle était restée chez elle toute la journée comme elle l'avait prévu elle ne l'aurait pas revu aujourd'hui. Myliana n'était pas prête. Pendant quelques temps, elle avait réussi à mettre cette époque de sa vie derrière elle, espèrant enfin pouvoir aimer à nouveau, mais ce moment venait de tout gâcher. « Tu… ici ? Je … Pourquoi tu te trouves ici ? » Tout comme elle, Seadgh avait l'air très surpris de la croiser ici. « Je... hum je travaille ici, comme prof de psycho. Je pourrais te retourner la même question. Ne me dis pas que tu ...» Non, surtout pas ça. Elle ne voulait pas devoir le croiser chaque jour ici. C'était trop, elle aurait du mal à la supporter. Myliana ne pensait jamais le revoir et voilà qu'il débarquait comme ça sans prévenir à un moment de sa vie ou elle n'avait pas du tout besoin de lui. « Tu es de retour depuis longtemps ? Je dois avouer que je pensais ne jamais te revoir.» À une époque, c'était tout ce qu'elle souhaitait. Il ne se passait pas une seule journée sans qu'elle ne pense à lui, mais avec le temps, cette douleur qu'elle ressentait en elle, ce vide constant avait fini par s'estomper peu à peu. Bien sûr, il y avait encore des jours ou il lui manquait, mais elle savait qu'elle était beaucoup mieux sans lui. Myliana ne savait donc pas comment réagir. Devait-elle avoir une grande discussion avec lui ou tout simplement continuer sa vie et ne pas le laisser entrer à nouveau ? Elle n'en savait rien. Elle n'avait aucunement envie de revivre son passé, mais tôt ou tard elle ne pourrait plus l'éviter.
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MessageSujet: Re: there was a time when I had it all - pv there was a time when I had it all - pv EmptySam 5 Nov - 11:41

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Prendre un boulot à l’université avait été pour lui un choix des plus évidents. Oui, il avait envie d’enseigner et même s’il n’était plus aussi gentil qu’avant, cela n’enlevait rien à ses qualités de professeur. A cet instant, tandis qu’il la voyait se retourner, des millions de choses passèrent dans son tendre cerveau. Tout d’abord, il y avait ce vieux sentiment qui prenait de plus en plus le dessus, il se revoyait, devant elle, quelques années auparavant, ne demandant rien d’autre que de l’attente. Il la voulait elle, simplement elle et rien de plus, toutefois, rien ne s’était passé comme il l’avait envisagé, il était parti, le cœur en bandoulière, une haine immense sur le visage. Tout avait été si différent pour lui après et la revoir ainsi, aujourd’hui, lui semblait la pire des choses qui pouvait lui arrivé. Un peu plus tard, son esprit vagabonda vers son manque d’orientation qui était son plus gros problème, oui, s’il était capable de s’orienter dans l’espace, de savoir exactitude où se trouvait son bureau, il ne serait pas retombé sur elle, ne serait pas en train de penser à tout ce qui avait changé et passerait un bon moment. Oui, parmi toutes les choses de l’univers, se retrouver face à son passé, à elle, faisait partie de tout ce dont il n’avait ensuite. En tout dernier, dans la liste des choses à penser venait son envie de changement et combien elle lui semblait stupide maintenant. Oui, il était revenu ici, pour oublier tous ses soucis, pour retrouver sa vie d’avant, pour tout simplement ne pas finir par se mettre une balle dans le crane. Maintenant, tout cela lui semblait si stupide, comment avait-il pu penser rien qu’une seconde qu’elle serait partie, qu’elle aurait changé de ville, qu’il aurait pu se reconstruire sans la voir. Va-t’en, voilà ce qu’il avait envie de lui lancer au visage, lui faisant comprendre tout simplement qu’il ne voulait plus d’elle qu’il se sentait bien mieux loin d’elle que tout ce qu’il avait vécu n’était que pur bonheur à côtés de leurs quelques mois ensemble. Cela équivaudrait sans doute à un mensonge, il s’en moquait totalement, la voir était bien trop insupportable. « Je suis désolée. » Il aurait dû la reconnaitre à sa voix, c’est pourtant ses yeux qui l’avait trahie et figé son visage à tout jamais. Elle souriait et lui il restait impassible, prisonnier d’un passé dont il ne pensait jamais entendre parler. Que pensait-il en ce moment ? Il n’en savait rien, sa seule et unique certitude, c’est qu’il n’avait vraiment aucune envie de rester ici. Prendre ses jambes à son coup, l’abandonner, cela semblait la meilleure de toutes les possibilités, il ne pouvait malheureusement pas s’y résoudre. Alors, pris au piège de l’ancien lui, il resta sur place, la regardant sans la voir, perdu dans le fil de ses pensée et se mit à parler. Il lui demande ce qu’elle fichait ici, s’attendant nullement à la voir, espérant qu’elle ait fuit le monde, l’ait laissé tranquille ne faisant plus jamais partie de son existence. « Je... hum je travaille ici, comme prof de psycho. Je pourrais te retourner la même question. Ne me dis pas que tu ...» Il arqua un sourcil, essayant de se contrôler, de ne pas devenir rouge de colère, de ne pas devenir fou face à l’idée même qu’il allait la croiser tous les jours. La belle était sans doute arrivée à la même conclusion puisqu’elle le regarda d’une manière plus que particulière. Comme toute première réponse, il se contenta de hausser les épaules comme si cela n’avait rien à avoir avec elle, comme si sa voix n’existait pas et qu’il pouvait s’en aller. « Que je travaille ici, malheureusement oui. Enfin, cela ne veut pas dire qu’on serra obliger de se voir. » C’était méchant, voir blessant, toutefois, il ne voulait pas prendre le risque, la réintégrer dans sa vie, c’était de la souffrance inutile et pour l’instant, il en avait déjà beaucoup trop. « Tu es de retour depuis longtemps ? Je dois avouer que je pensais ne jamais te revoir.» Sa tête prit une allure quelque peu choquée et en même temps fâchée. Il la tuait du regard, essayant de bloquer dans sa gorge ses mots qui voulaient sortir depuis tellement de temps. « En quoi cela te regarde-t-il ? » Il marqua une petite pause, tournant un peu dans le couloir avant de revenir près d’elle. « Tu m’as bien fait comprendre qu’il n’y avait plus rien. Je suis partit et mon retour n’a vraiment rien à voir avec ta petiote personne. J’espérais même que tu ais quitté la ville. » Il se montrait blessant, sans doute beaucoup trop, toutefois, c’était son cœur d’amoureux brisé, celui qui aurait tout fait pour elle, qui lui demandait seulement d’attendre son retour. Trop dur pour elle, trop de peine pour lui, il n’avait maintenant plus du tout envie de l’inclure dans sa vie, d’imaginer rien qu’un instant qu’elle en fasse partie. « Enfin, ne t’inquiète pas, mon retour n’influencera en rien ta petite vie parfaite. Tu peux donc aller là où tu devais aller, faire ce que tu devais faire. Vis ta vie, la mienne me convient totalement. » Il essayait de l’éloigner par tous les moyens possibles et inimaginables, craquer était totalement interdit et il allait d’ailleurs tout faire pour que ça n’arrive pas. Pour l’instant, il gardait encore un évènement sous réserve car un Seaghd a toujours plus d’un mensonge dans son sac.
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Posy Hawkins
Posy Hawkins

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« Le temps confirme l'amitié. »
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MessageSujet: Re: there was a time when I had it all - pv there was a time when I had it all - pv EmptySam 19 Nov - 12:47

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