« SLOAN LOÏS FORD! » Sloan avait cinq ans, elle était toute petite, mais elle vait déjà un sale caractère. Elle était mignonne comme tout, il y en avait pas un ou pas une qui lui résistait, sauf son père. Elle était enfant unique, la seule et l’unique. Elle avait décidé de faire des biscuits toute seule cette après-midi et la cuisine était dans un sale état. Il y avait de la farine partout, du chocolat partout, bref tout un bordel. Quand elle entendit son père cirer ainsi, la petite su tout de suite qu’elle était dans le pétrin. Sloan descendit bravement les marches, tête haute, comme une Ford ce doit de le faire. Elle arrive à la cuisine grande comme deux pommes, son père la regardait avec des yeux méchants. La petite tenta le coup des beaux yeux au style du chat botté. Son père s’adoucit, mais pas assez encore. « Tu sais papa, c’est toi qui m’a dit, Sloan tu es une Ford, il va falloir que tu apprennes à prendre des i-ni-ti-a-ti-veeeeeeuh, que tu fasses les choses par toi-même, des fois tu va faire du bordel et des fois ça va être une succès… bah aujourd’hui c’est un bordel ? » C’était bien son genre à cette petite, remettre les paroles de papa en plein dans sa figure. Il sourit doucement, cette fille elle allait ce rendre loin. Elle dû tout de même ranger la cuisine, du mieux qu’une enfant de cinq ans puisse le faire, il l’aide donc grandement. C’était une Ford, son ancêtre était Henry Ford, pour les ignorants de la vie américaine que vous êtes peut-être Henry Ford est le créateur des automobiles Ford. Inutile donc de vous dire, que cette petite était vouée à tout un destin, surtout qu’elle est à ce jour et qu’elle reste jusqu’à aujourd’hui la seule héritière Ford. Willam, le père de Sloan la élevé seule, Loïs sa femme étant décédée dans un accident d’auto, plutôt ironique n’est-ce pas, quand la petite avait tout juste un an. À quatre ans cette dernière avait déjà décidé qu’elle serait celle qui reprendrait les rennes de la compagnie Ford, ce serait la première fois que se serait une femme à la tête de cette entreprise. Son père n’était pas très présent, mais quand il était là, c’était le meilleur papa du monde, il est devenue son meilleur ami, le seul homme en qui elle ait vraiement confiance. Bien sur, deux têtes fortes comme celles des Ford ce ne fut pas toujours l’accord, mais Sloan et William font bien des jaloux niveaux relation père et fille.

À seize ans, sloan s’amusait déjà pas mal, sans pour autant être une pute ou une droguée fini. Elle était jeune et riche, elle en a tout simplement profité. Sloan c’est toujours fait demander si elle était héritière Ford, elle ne répond et ne répondra jamais à cette question, elle aime garder un certain mystère. Tout ça pour en revenir à une belle soirée d’été, Sloan allait atteindre ses dix-sept quelque semaine plus tard, mais elle le fêtait en compagnie de Liam avant. Liam savait qu’elle était une FORD, c’était bien le seul, c’était son meilleur ami avec quelque petit plus si vous voyez ce que je veux dire. Sloan et lui était chez elle, William était en Chine, elle était couchée sur lui, l’embrassant doucement après un beau moment disons le ainsi. Ils parlèrent, de tout et de rien, complètement nues sous les couvertures de la jeune fille quand ils entendirent et virent la porte de la belle s’ouvrir et se refermer aussi tôt. Sloan ce mit à rire, son père était rentrer plus tôt que prévu. « Désolé Sloan. Ne vous dérangez surtout pas pour moi. Salut Liam. » Sloan se cachait la figure dans l’oreiller riant de plus belle, Liam était rouge jusqu’aux oreilles. « Bonsoir Monsieur Ford » Sloan riait encore plus, elle trouvait la situation hilarante. Liam la frappa dans les côtes, doucement, il ne trouvait pas la chose aussi drôle qu’elle. Sloan s’en fichait surtout parce que son père savait déjà, ce n’est pas une surprise pour personne et il n’avait rien vu. Cette relation entre Sloan et Liam blessait Liam, il l’aimait de tout son cœur et elle, elle faisait un peu n’importe quoi, étant avec n’importe qu’elle garçon. Il lui a demandé d’arrêter et elle a peter les plomb, elle voulait être libre. C’est cette journée qu’elle partit à Montsimpa, elle avait dix-huit ans, elle s’inscrit à l’université en fiance et en business, continuant de vivre librement, mentant sur son nom et sur ses origines surtout pour éloigner les mals intentionnés, mais surtout parce qu’elle se plait dans ce mensonge, dans cette vie en dehors des projecteurs.