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Auteur | Message |
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| Sujet: run with the wolves Sam 1 Fév - 17:43 | |
| en attendant, moi.. en attendant, moi, quoi ? moi j'ai rien vu, rien lu, rien entendu et surtout rien compris, mais c'est pas grave, je t'attends, tant pis. @fauve + the prodigy/run with the wolves. ★★★ ⊹⊹⊹ elisée mathison⊹ NOM PRÉNOM : elisée mathison. ⊹ ÂGE : vingt-trois ans. ⊹ LIEU DE NAISSANCE, ORIGINES : sunset valley, originaire de partout et nulle part à la fois, originaire d'ici surtout. ⊹ ÉTUDES, PROFESSION : machiniste (rock électrique). ⊹ SOUHAIT À LONG TERME : être un grand explorateur, puis avoir la panoplie idéale avec, aussi : la boussole, les chaussures de marche, le sac à dos aux multiples poches, sans oublier la gourde d'eau. la liberté et les grandes découvertes. ⊹ STATUT CIVIL : liberté est maître mot. ⊹ FONDS DU FOYER : $$. ⊹ ORIENTATION SEXUELLE : qu'en a-t-on donc à faire ? c'est bien le cœur, seul, qui porte l'âme.
⊹ PLAT PRÉFÉRÉ : rien ne vaut un kebab. un bon kebab du gars à l'air de terroriste au coin de la rue, celui qui te fait peur dès que tu passes devant, celui dont t'oserais pas mettre les pieds par peur de choper une maladie pas nette, pourtant celui qui fait les meilleurs kebabs au monde. ⊹ STYLE DE MUSIQUE : le rock indé, le rockabilly, le rock tout court. le tout court. le silence. et puis le vide un peu, aussi. les sons, aussi variés soient-ils. les voix, sa voix. ⊹ COULEUR FAVORITE : les vastes étendues du bleu dans toutes ses nuances. la profondeur de la mer et l'immensité du ciel. et puis l'intensité d'un regard. la pureté même, la mère nature en des milliers de teinte. ⊹ PRÉNOM DE L'AMI IMAGINAIRE : sangreal, le nounours à l'air un peu sale, qui a régulièrement été traîné dans la boue et autres flaques d'eau et d'essence. le nounours dont la fermeture éclair de la poche dorsale n'est plus qu'un trou démuni de rembourrage. sangreal, ou saint graal qui a longtemps été une source de réconfort, tout autant que sa poche a pu servir de cachette à divers trésors. ⊹ ATTIRANCES : une barbe mal rasée et des bras pour se laisser enlacer. un souffle chaud dans un cou et une voix en berceuse. ⊹ TUES L'AMOUR : trop d'autorité et peu de liberté. les ongles rongés. ⊹ CARACTÈRE : je suis paradoxalement vôtre. je suis le méfiant extraverti. je suis le sombre rêveur. je suis l'aventurier refusant de se perdre, aux repères ancrés, bien trop ancrés. je suis l'enfant au rire brisé et l'adulte à la tristesse malicieuse. je suis la facilité des défis relevés, et le refus de baisser les bras, pourtant incapable de réaliser quoi que ce soit sans un pilier. je suis le courageux et le téméraire. je suis une jalousie pas si gardée pour moi que ça. je suis l'aisance de m'approprier tout et n'importe quoi, puis surtout tout le monde. je suis le faux-détaché en manque de tendresse. je suis dépendant. je suis tout le monde. je ne suis personne. › on the last page of my book... allez, viens. viens on joue à un jeu. t'aimes relever les défis ? j'en ai un bon pour toi, écoute un peu ça. viens on se prend par la main, on ferme nos yeux, et on n'se lâche plus jamais. quoi qu'il arrive. et puis, si l'un de nous deux tombe dans la boue, l'autre le relève. viens on s'endort ensemble et on se réveille ensemble, toujours. tu verras, ça va te prendre aux tripes, mon jeu. tu vas voir, bientôt t'auras le cœur serré quand je n'serais pas là. ou peut-être bien que ça sera moi qui serais en train de pleurer alors que tu tiendras la main de quelqu'un d'autre ? tu verras, on n'peut pas s'en défaire, de ce jeu, tout comme tu n'pourras pas te défaire de moi, et moi de toi. j'aurais peut-être dû te le dire avant que tu acceptes, c'est vrai, mais en fait, j'en savais rien, moi non plus. tu sais comment je l'ai su ? c'est la décharge chaleureuse que j'ai eu au fond de mon cœur qui me l'a annoncé quand tu m'as souri après avoir empoigné ma main fermement, comme pour dire à jamais. plus important qu'un 'je le veux' de mariage, hein ? le mariage, c'est de la fiotte à côté de notre jeu. c'est cette décharge-là, qui m'a dit, tu sais elie, c'est jusqu'à la fin de tes jours que t'auras besoin de lui. elle avait pas tort, cette décharge. elle avait même un peu trop raison, en fait. mais c'est pas grave, on est heureux comme ça, pas vrai ? du moment qu'on est tous les deux et que tu ne laisses personne s’immiscer entre nous. et puis des fois, j'ai peur tu sais, des fois je tremble dans mon lit parce que t'es pas là, et que j'arrive à me bourrer le crâne avec mes conneries. j'arrive à me convaincre du fait que t'es plus important pour moi que je ne le suis pour toi, tout ça parce que toi, tu vas vers d'autres. moi aussi, bien sûr, j'suis pas un solitaire, mais c'est différent. sans doute que c'est différent parce que je porte cette noirceur avec moi, que toi, tu n'as pas. peut-être aussi que ça marche comme ça parce que toi, tu ne la connais pas la source de ma noirceur.
- qu'est-ce que t'as, elie ? pourquoi t'es comme ça ? pourquoi j'suis comment ? j'suis comme ça, c'est tout. c'est ça, c'est moi. tu ne m'acceptes pas comme ça, c'est ça ? dis-le moi clairement. oui, je suis sombre, oui, je suis malheureux. mais tu vois, je continue de te sourire, et je ris, oh oui, je ris. alors où est le problème ? que veux-tu que je te dise, que veux-tu que je fasse ? que je me mette à pleurer dans tes bras, te racontant entre deux sanglots comment les poings de mon père viennent à marquer d'ecchymoses mon corps frêle d'enfant, et comment ma mère reste prostrée dans son coin, silencieuse, à attendre que la fureur passe, sans même oser protéger son propre fils, c'est ça, que tu veux ? non, allez, tais-toi, et laisse-moi rester avec toi. laisse-moi garder mon silence et mon sourire aux lèvres sans donner d'explications, c'est pas mieux comme ça ?
- non elisée, j'peux pas ce week-end. c'est ça, jette-moi ce regard détaché. plante-moi des coups de couteau dans l'abdomen, le résultat sera le même. tu sais bien que je ne m'énerve pas souvent, je préfère de loin sourire à tout, sourire comme un con. mais là, non. sans doute es-tu le seul à réussir à me mettre en colère véritablement. c'est malheureux, un peu. - c'est ça, encore un week-end ou tu peux pas. t'es encore avec l'autre, là, c'est ça. tu vois, j'émets directement une affirmation. je n'suis pas idiot, tu sais. je sais pourquoi tu t'éloignes de moi. t'as trouvé plus intéressant ailleurs, c'est ça ? et alors moi, je suis triste parce que tu me remplaces, ou parce que moi, contrairement à toi, je n'arrive pas à te remplacer ? je m'en fiche, tout ce que je vois, c'est le grand vide. tout ce que j'entends, c'est nos voix qui s'élèvent. tout ce que je ressens, c'est l'amertume de ma jalousie, et la peur profonde et persistante qu'une main s'élève, quand bien même je sais que jamais ça n'arrivera. tu aimes crier, pas vrai ? bien, je t'en prie, crie-moi dessus, ça ne changera rien, tu sais. c'est ça, fais-moi la gueule, je n'serais pas le premier à revenir vers toi. mais ne t'en va pas, même si on ne se parle pas, reste à côté, que je puisse me réconforter de ta présence. on sait bien, de toute façon, toi comme moi, que ça ne durera pas bien longtemps. reste à savoir jusque quand.
non pas ce soir. pas ce soir laisse-moi s'il te plaît. non j'veux pas y aller, j'veux pas rentrer, j'veux pas dormir. mais surtout, non, j'veux pas parler. ce soir j'veux juste hurler, j'ai besoin d'ouvrir les vannes, tu comprends, de tout lâcher comme un puceau qui ment. de hurler mes mots pesants avec ma voix d'adolescent qui a jamais mué, de hurler ma peur de l'abandon, ma recherche frénétique d'attention, mon besoin d'reconnaissance en permanence, comme un chien des caresses. allez, viens, on court main dans la main, le vent glacé qui fouette nos visages. ne me lâche pas, je risquerais de tomber et de ne pas me relever. non, ne rentrons pas tout de suite. viens, allons nous endormir dans la pelouse humide du parc. laisse-moi de la place entre tes bras, contre ton cœur. j'ai besoin de l'entendre battre. n'oublie pas ta main dans mes cheveux, j'ai besoin de sentir que tu es encore là, près de moi, et que tu ne me lâcheras pas. non, ne me lâche pas. laisse ton rire s'envoler avec le mien. permets à mes lèvres de se glisser doucement dans ton cou. ferme les yeux. là. on est bien. ⊹⊹⊹ let me know you⊹ PRÉNOM, PSEUDO : amélie. ⊹ ÂGE : dix-huit ans. ⊹ OÙ AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? pwl c'est la maison ⊹ TA LIFE : les gars, il fait frooooooid à aix-en-provence, c'est le nord pour moi. ⊹ TES ANCIENS PERSONNAGES : ouf, y en a eu beaucoup la première j'm'en souviens plus, ensuite y a eu lita jesaisplusquoi, puis nika romanov, louis s. delgado (j'crois), un autre j'sais plus son nom avec simone nobili, puis thadé licious eeeet après j'sais plus qui d'autre ⊹ SCÉNARIO, INVENTÉ : le scénario parfait de djali. ⊹ GROUPE : fromage fondu. ⊹ AVATAR : tommy kristiansen. - Code:
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[b]tommy kristiansen[/b] ~ elisée mathison
Dernière édition par Elisée Mathison le Sam 1 Fév - 21:07, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 17:47 | |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 17:50 | |
| bienvenue l'avatar + la citation + le scénario tu as fais un excellent choix |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 17:50 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 17:51 | |
| merci vous deux |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 17:55 | |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 17:58 | |
| rrr, le parfait |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 18:01 | |
| tu peux parler, ouais |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 18:04 | |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 18:07 | |
| l'avatar le pseudo et la citation, tu démarres bien toi. bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 18:07 | |
| han, il va nous falloir un lien je t'expliquerai bienvenue ici, très bon choix de scenario |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 18:29 | |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 18:38 | |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 18:57 | |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 18:59 | |
| améééééélie, je crois que j'ai pas besoin de te dire que t'as fais un choix de scénario de fifou. mais tommy, tommy, tommy. j'avoue, comment ne pas penser à landry (bonjour.. j'espione tout moi ) bref, c'est cool de te voir ici, surtout avec ely. |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 19:02 | |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 19:05 | |
| allez, j'en attendais pas moins de toi, tes pauvres chevilles. (mais c'est la faute à sarah aussi, elle fait des scénarios tellement bien ) tu verra pourquoi j'espionnais ce scénario tout particulièrement par la suite va ah et, y'a aussi la fenouille t'sais ici. |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 19:10 | |
| quoi, mes chevilles sont très bien, j'les masse tous les soirs pour que je puisse continuer de (rentrer dans mes docs (je saaaaais, je hais sarah pour ça ) oh, faudra que tu me dise ça, sarah m'a parlé d'une bande, mais si y en a encore derrière, je veux tout savoir je saaaais, c'est inés, j'suis déjà au courant, je sais tout ce qu'elle fait, qu'est-ce tu crois |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 20:33 | |
| bienvenue et bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 21:24 | |
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| | | ⊹ messages : 1046 ⊹ arrivée : 04/11/2012 ⊹ avatar : the only kate ⊹ multinicks : too rad ⊹ disponibilité : allez pour toi c'est oui ⊹ crédits : tearsflight ⊹ real life : diane
⊹ activité : model mais veut devenir prof au conservatoire ⊹ bonus à long terme : 21
| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 21:26 | |
| amélie d'amour trop de cooper pour mes yeux :( |
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| Sujet: Re: run with the wolves Sam 1 Fév - 21:31 | |
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| Sujet: Re: run with the wolves | |
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