we'll be on our own, always on the run (rory)
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we'll be on our own, always on the run (rory)

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MessageSujet: we'll be on our own, always on the run (rory) we'll be on our own, always on the run (rory) EmptySam 8 Fév - 23:46


j’ai besoin de m’évader. changer de disque, changer d’air, changer de compagnie. changer de maison ? pourquoi pas. pas définitivement. pourquoi pas momentanément, pourquoi pas pour quelques instants ? des minutes, des heures, que je ne compterais pas. les jambes tremblantes, je veux pouvoir abandonner djali moi aussi, pour une fois. oser enfin lâcher sa main et m’en aller, sans lui. sans me soucier de ce qu’il pourra penser. pour sans doute la toute première fois de ma vie. m’envoler hors du cocon ? pour mieux y revenir, alors. sans doute pour ne pas trop lui causer d’inquiétude, ou du moins, pour ne pas trop me causer d’inquiétude. et c’est en son absence actuelle que j’ose enfin. comme un enfant qui n’ose faire une bêtise que quand ses parents ne sont plus là. de cette façon, peut-être ne s’en rendra-t-il même pas compte. puis même, si ça se trouve, lorsque je rentrerais, lui ne sera toujours pas là, et alors quand viendra son tour de rentrer, il ne se demandera pas où j’aurais pu passer ma journée. il se contentera de me serrer contre lui, et moi de sourire. un long soupire traverse bruyamment la barrière de mes lèvres. qu’il en soit ainsi. peut-être que je découcherais ce soir. ça lui apprendra. ou peut-être pas. mais j’en ai décidé ainsi. c’est irréfléchi. qu’importe. deux-trois fringues enfilées à toute vitesse. je n’emporte que mes clés et laisse mon téléphone sur place. ne cherche même pas à me joindre, djali, aujourd’hui je ne suis pas là pour toi. un pas, deux pas, trois pas. je sors de l’appartement. une dizaine d’autres pas s’enchaînent alors et j’atteins sa porte. mon poing s’abat vivement sur la porte.
- rooooooooooory. t’es là, rouquine ?
c’est mon sourire que je crie à travers la porte. c’est ma joie, mon engouement, que j’ai mené avec moi, pour la voir. pour qu’on joue ensemble, comme deux enfants. c’est sa porte qu’elle ouvre enfin, et mon sourire qui grandit d’autant plus que je la vois apparaître. mes lèvres claquent contre sa joue pour y déposer un léger baiser avant d’entrer directement sans attendre son aval.
- j’te dérange pas, au moins ? j’avais envie d’te voir, tu sais, décompresser, tout ça, ça t’fait plaisir, j’espère ?
quelle question, je suis certain qu’elle est ravie. ouais, c’est sûr. j’me jette sur son canapé, m’affale. bonjour à ma deuxième maison, bonjour à mon canapé de substitution. je m’étire, je grogne, je soupire. j’me taperais bien une sieste là, tiens. et mon regard la suit, avec mon sourire qui ne me quitte jamais.
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MessageSujet: Re: we'll be on our own, always on the run (rory) we'll be on our own, always on the run (rory) EmptyDim 9 Fév - 12:20


Tu regardais à nouveau ton petit écran, fronçant de plus en plus les sourcils illustrant parfaitement ta perplexité. Vazy à tous les coups c’était un mioche de trois ans avec pleins d’acnés qui était entrain de te parler. Tu regardais à nouveau sa photo de profil, c’est qu’il n’était pas grand quand même, on aurait dit un des nains de blanche neige, le grincheux avec sa barbe. Namého, t'avais une réputation à tenir, t’étais pas si désespéré que ça. Seule, mais pas désespéré. Tapotant rapidement sur ton clavier, tu lui répondis avec diplomatie qu’enfaite dans la vraie vie t’étais obèse, chauve, que tu avais très récemment changé de sexe, que tu n’avais pas d’emploi et que par-dessus tout tu avais quatre enfants à charge. Bref, de quoi couper court à votre conversation. Enfaite, tu adorais faire ça, tu trouvais ça drôle, jouissif et très divertissant, même si tu brisais le rêve de certains.
Par précaution tu éditas ton profil, ajoutant dans tes tues l’amour que tu ne comptais pas refaire un remake de fort boyard & que tout homme ressemblant de loin ou de près à passe-partout, passe-temps & passe-muraille pouvait aller voir ailleurs. D’ailleurs tu hésitais à faire quelque autre modifications à celui-ci. Tu avais la très nette impression que d’avoir mis ‘American Pie’ et ‘Keeping up with the Kadarshians’  dans tes films/séries préférées attiraient tous les pervers de la ville, Kim avec ces grosses fesses avait le don de pourrir ta vie.  Tu soupiras, ton cerveau restant bloqué sur ton profil de adopte un mec. De toute façon, tu savais parfaitement que tu ne trouverais jamais un mec comme Shayn, surtout sur un site de rencontre. Non ce n’était définitivement pas le genre de Shayn. Comme à chaque fois que tu pensais à lui ta gorge se noua et des larmes picotèrent tes yeux. Même si tu avais la certitude que vous finirez probablement jamais votre vie ensemble, en couple, tu continuais d’espérer.  Au moins vous étiez amis, ce qui te permettait de le voir pratiquement tous les jours.
« On est dans un big doo doo les amis » dis-tu en t’adressant tout naturellement à tes seins. Ouai c’était trop truc à toi, parler avec tes seins quand tu étais seule. C’est sûr que niveau grosse folle psychopathe tu étais un cas unique.  
Lorsque tu entendis la voix d’Elisée à travers la porte tu ne pus t’empêcher de sourire. Tu fermas très rapidement tous tes onglets, spécialement celui du site de rencontre puis tu t’élanças sur télé. Tu zappas sur une chaine animalière pour faire geeenre tu étais une fille intelligente, sauver les apparences étaient très important.
« J’arrriiiiiiive » t’écrias-tu comme une vielle mémé de quatre-vingt-dix ans, même si tu doutais que ton ami t’entende.  
« J’sais pas, si j’te réponds que ça me fait plaisir tu vas encore croire que je suis une de ces filles qui ne résistent pas à ton charisme naturel…après tu vas avoir les chevilles qui enflent & tu pourras même plus sortir de mon appart. » ajoutas-tu avec humour, un sourire accroché aux lèvres. Tu regardas monsieur s’asseoir comme un gros pasha dans ton  canapé, prenant ces aises. Tu t'installas à côté de lui sur le canapé l’écrasant à moitié au passage ce n’était pas qu’il était gros non c’est juste que ses fesses étaient du genre assez imposante rien de plus. & après ça il veut te faire croire qu'il a un physique d’Apollon, the joke.
"Dude t'aurais pas un peu trop abusé des donuts ces derniers temps?" ajoutas-tu pour le taquiner.
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MessageSujet: Re: we'll be on our own, always on the run (rory) we'll be on our own, always on the run (rory) EmptyDim 9 Fév - 15:49

je rentre. le pas de la porte franchi, je suis à nouveau chez moi. mon second chez moi, ma résidence secondaire. à quelques pas de ma résidence principale. j’ai réussi à y trouver refuge comme quand, enfin, je trouvais refuge dans la chambre de ma moitié. j’ai réussi à y trouver miraculeusement un brin de réconfort, dans cet univers de garçon manqué, un espace chaleureux sans aucun doute. peut-être est-ce dû à une odeur, peut-être est-ce dû à une couleur, peut-être est-ce dû à une chaleur ; ce facteur déclencheur qui a réussi à éloigner de moi les angoisses potentielles, les crises futures, qui a rendu cet espace un bunker anti-solitude, anti-abandon, anti tout ce que je veux quand ma seule véritable protection n’est plus à mes côtés, quand il disparaît. et dès lors, tout ce dont je suis capable d’affirmer est que c’est un sentiment de plénitude et de bien-être qui m’envahit alors que je passe l’entrée de ce refuge, que ce sourire est des plus véritables et ma joie des plus sincère alors qu’elle est là. sans faux-semblants, sans abandons, sans jugements. et c’est avec engouement que j’ai pu, non sans peine, lui attribuer ma confiance, sans me délester pour autant d’une once de méfiance et d’inquiétude, d’angoisse, qu’elle saura balayer d’un mouvement de sa chevelure de feu.
- j’sais pas, si j’te réponds que ça me fait plaisir tu vas encore croire que je suis une de ces filles qui ne résistent pas à ton charisme naturel…après tu vas avoir les chevilles qui enflent & tu pourras même plus sortir de mon appart.
mon rire s’élève doucement, non timidement, ma main atteignant ses cheveux pour les ébouriffer délicatement.
- ça t’arrangerait bien tiens, que je reste bloqué chez toi ! t’es folle de moi, voilà tout.
c’est que, j’aime me laisser aller à le croire, quand pourtant il n’y a aucune éventualité que j’y croie, véritablement. rory ? impossible, impensable. rory est un gars, rory est un pote, rory est.. rory. elle est de ces filles qui sont plus garçons que nous autres, mâles. elle est de ces filles sur lesquelles on fantasmera, puis de ces filles qui deviendra notre meilleur ami. elle est de ces filles qui peuvent bien passer une nuit entière devant la console à pisser dans une bouteille et à se goinfrer ; c’est d’ailleurs bien notre passe temps favori.
elle s’installe magistralement à côté de moi, ou devrais-je plutôt dire sur moi ? tout en finesse, elle m’écrase, comme toujours.
- dude t'aurais pas un peu trop abusé des donuts ces derniers temps ?
- wuuuut ? j’ai un corps de rêve, tu rigoles !
je lance, rire aux lèvres, en remontant mon t-shirt. légère contraction des abdominaux. tiens, là, c’est pas un buste d’apollon qu’elle a sous les yeux ? bien sûr que oui, évidemment que oui. true story.
- c’est juste que tu t’colles à moi avec toute la place qu’y a, tu m’aimes tant que ça, rouquine ?
c’est mon sourire de charmeur qui se colle à mes lèvres sans que je n’ai eu le temps d’en décider quoi que ce soit, c’est un clin d’œil qui filtre à travers mes yeux sans que je n’ai pu réprimer quoi que ce soit. je ne suis plus maître de mes actions, je ne peux visiblement plus répondre de rien. ne serais-je alors qu’une marionnette tirée par de misérables ficelles ? who’s my master of puppets ?
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MessageSujet: Re: we'll be on our own, always on the run (rory) we'll be on our own, always on the run (rory) EmptyDim 9 Fév - 19:27

Elisée et toi c’était toute une histoire.  Ouais, malgré le fait qu'il soit un peu couillon sur les bords, tu l'aimais bien l’Elichoue. Il n’était pas embêtant, il faisait un bon pote de soirée, et puis dans l'ensemble on pouvait avoir confiance en lui. C’était comme avoir un animal de compagnie qui sait faire ces besoins dans les wcs, ça te change la vie.  
« -Nan mais prends pas tes rêves pour la réalité. Geeenre c’est plutôt toi qui veux rester chez moi, en même temps vu que c’est un palace c’est normal… Puis ce n’est pas moi qui squatte chez les autres, avoue si tu ne vois pas mon magnifique visage chaque jour t’es malheureux… »
Voilà tu t’étais auto-complimenté discrètement, c’était ta bonne action de la journée. Puis comme le disait si bien mémé o’connel ce n’était pas les garçons qui allaient te faire des compliments dans la vie . En même temps vu que t’étais parfaite hein….Bref, étant donné que vous étiez voisin & qu’il passait déjà la plus part de son temps à squatter chez toi, tu avais l’habitude & tu arrivais à le supporter. Ouai, Elisée c’était le genre de gros squatteur qui bouffe tous tes cookies et qui fou des miettes de partout quand t’as le dos tourné, mais qui te fait un gros câlinou pas du tout virile quand t’en as besoin & ça t’achètes. –Jean Marc Généreux- .
« -Mwai j’sais pas … si ça s’trouve t’es l’genre de mec qui met des abdos en mousse pour faire croire qu’il est bien foutu…faudrait que j’tate. Avec les nouvelles technologies et le botox de nos jours…faut tout vérifier tu comprends. » répondis-tu du tac au tac l’air de rien ne détachant tout de même pas le regard sur son corps. Il te laissait pas indifférente & bizarrement cela te rassurais. Ouai t'aimais la testostérone. Si t’étais là pour mater discrétos, autant le faire à fond. A part ça tu n’étais pas du tout une fille chiante qui demande des trucs chiants.
«- T’as peut-être le physique des dieux de l’olympe, mais dude tu pèses UNE TONNE. Genre j’suis sûr qu’un éléphant qui boufferait du tofu en antarctique pendant dix ans pèserait moins lourd que toi.   » t’exclamas-tu en sentant monsieur t’écraser comme une grosse crotte.  Bon okay c’était plutôt toi qui l’écrasait n’empêche que tu ressemblais quand même à un bébé otarie en détresse sur la banquise à la recherche de sa môman. Y’avait pas de place sur ce canapé ce n’était pas possible.
« -Nan mais c’est parce que t’as mis du Axe ce matin, alors tu comprends j’suis attiré par toi, parce que Axe fait même tomber les anges .» répondis-tu en papillonnant des yeux comme les filles éprises d’un garçon dans ces films hollywoodien à l’eau de rose.  Ouai t’étais un ange, un ange roux super sympa.  Tu le sniffas comme si c’était un geste tout à fait naturel entre vous.
« Je retire ce que je viens de dire. J’ai envie de te dire qu’enfaite tu pus. ». Amen.

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MessageSujet: Re: we'll be on our own, always on the run (rory) we'll be on our own, always on the run (rory) EmptyDim 16 Fév - 14:26

- nan mais prends pas tes rêves pour la réalité. geeenre c’est plutôt toi qui veux rester chez moi, en même temps vu que c’est un palace c’est normal… puis ce n’est pas moi qui squatte chez les autres, avoue si tu ne vois pas mon magnifique visage chaque jour t’es malheureux…
j’ris, et j’la regarde, l’air sérieux quelques instants. j’commence par quoi ? le fait que j’reste chez elle pour éviter d’avoir à croiser djali, pour éviter de craquer face à lui alors que je suis censé lui en vouloir à mort ? ou alors, que son pseudo-palace est extrêmement semblable au mien, avec une chambre en moins puisque, dans le même immeuble, nos appartements sont tous identiques. ou alors..- oh, oui, rory, voir ta gueule d’ange me manque tellement, c’est si difficile de me réveiller chaque matin sans ton visage, que j’en viens à rester constamment chez toi. c’est dur, la vie, tu n’trouves pas ?
commencer une phrase avec un ton passionné et la finir avec un air de sarcasme, tout un art. puis j’ai l’droit à cet affront, là, où elle oooose m’accuser d’avoir trop mangé. infâmie. j’ai un corps de rêve, j’suis bâti comme un dieu grec, et pour la peine, tiens, je soulève mon t-shirt pour lui présenter mes magnifiques tablettes.
- mwai j’sais pas … si ça s’trouve t’es l’genre de mec qui met des abdos en mousse pour faire croire qu’il est bien foutu…faudrait que j’tate. avec les nouvelles technologies et le botox de nos jours…faut tout vérifier tu comprends.
elle me lance ça, comme ça, comme s’il n’y avait rien de plus normal, sans même prendre la peine de me regarder dans les yeux. non, elle est bieeeeen trop absorbée par mes abdos. mais je comprends, après tout. à sa place, je le serais aussi. j’éclate de rire, à sa façon indirecte de m’avouer qu’elle veut toucher, en faisant passer ça pour un devoir, une vérification.
- j’t’en prie, te gêne pas, tâte, tu vas voir, c’est du vrai.
ah ça, du vrai de vrai, c’est sûr. j’m’entraîne dur pour tout ça. ouuuuuuu pas. en fait. j’fais rien, et elle a pas tort quand elle dit que j’me suis empiffré. j’me gêne pas pour manger ce que je veux, et, en fait, elle a bien dû le remarquer, vu la façon dont je vide ses placards –et dont je ramène à bouffer, souvent.
- t’as peut-être le physique des dieux de l’olympe, mais dude tu pèses UNE TONNE. genre j’suis sûre qu’un éléphant qui boufferait du tofu en antarctique pendant dix ans pèserait moins lourd que toi.
j’éclate de rire alors qu’elle m’écrase en même temps, et ça finit en rire saccadé qui ressemble à.. rien ? peut-être une otarie, à la limite. moi, l’otarie en plein fou rire, et elle, le bébé otarie qui m’écrase. bien tiens, on est beau. rien que pour me venger, j’attrape ses hanches et commencer une opération chatouilles. allez, on attaque.
- nan mais c’est parce que t’as mis du axe ce matin, alors tu comprends j’suis attirée par toi, parce que axe fait même tomber les anges. ses yeux papillonnent, je ris. elle me renifle, je ris de plus belle. je retire ce que je viens de dire. j’ai envie de te dire qu’en fait tu pues.
je n’ris plus. ou plus tellement. en fait, si, toujours autant. je la serre contre moi, me frotte à elle, et colle sa tête sous mes aisselles. comme un porc. comme des gamins. dégueulasse.
- tieeeeens là, comme ça, toi aussi tu pues maintenant. t’as plus qu’à aller te laver, porcasse.
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MessageSujet: Re: we'll be on our own, always on the run (rory) we'll be on our own, always on the run (rory) EmptyDim 16 Fév - 15:32

Bien que ton ami passait beaucoup de temps dans ton appartement un peu à la Joey dans Friends chez Chandler cela ne te dérangeait pas du tout bien au contraire. Tu appréciais sa charmante compagnie, son optimiste et son humour. Puis cela te donnait l’occasion de socialiser et d’être en interaction avec le monde extérieur au lieu d’être coincé devant l’écran de ton ordinateur à regarder ton appartement sur googlemap.
« Je sais, je sais, ça doit être vraiment difficile pour toi. T’inquiète pas ….pour ton anniversaire je t’offrirais une jolie photo de moi pour que tu la gardes toujours avec toi. » ajoutas-tu avec une compassion feinte en tirant la langue. N’empêche que y’aurait certainement des mecs qui tueraient pour avoir une photo de toi avec eux tous les jours…genre tous les ados prépubères du monde entier qui tente de faire croire à leur copains qu’ils ont une petite amie.
Tu le regardais avec de grands yeux émerveillés tel un gamin de trois ans qui a le droit d’ouvrir son cadeau de nowel en avance & faire du hula houp. Vazy ton rêve allait enfin s’accomplir, ce pour quoi t’étais né. Après cette expérience tu pourrais mourir en paix, tu auras touché le grand, le magnifique, le génialisime Elisée.    Ouai enfin c’était surement ce qu’il devait penser de lui-même à ce moment précis.
« C’est proposé si gentiment que ça serait vraiment très mal poli de refuser tu vois. C’est ma môman qui me la toujours dis. Puis surtout que j’vis dangereusement moi, j’ai peur de rien même pas de te toucher les abdos tu vois…  » répondis tu en bondissant fièrement tes seins. C’est sûr que sur les mecs  foutus à la Tarzan ça rendait mieux. Tu lui lanças ton petit regard ‘t’as d’beaux yeux tu sais ’ et tendis la main pour tâter…….tout ça au ralentit bien évidemment. Bah quoi dans les films y’avaient toujours des tonnes de ralentit avec une musique de fond à la eye the of tiger dans ces moment-ci.
«It’s theeee eeeyees oooof tiiiigeeer »commenças-tu à chantonner à voix haute en bougeant au ralenti ton bras.  Voula t’étais officiellement une psychopathe sortie tout droit de psychopatland. « Hum….C’est pas faux…..tu serres l’ventre avoue. » dis-tu en touchant plusieurs fois  son bide de manière tout à fait naturelle en fronçant les sourcils et plissant les yeux comme si tu cherchais à voir si c’était vraiment des vrais.  Parce que oui t’en étais certaine, monsieur devait avoir du bidou, obligé.  Surtout que de toute ta vie tu l’avais jamais vu, JAMAIS vu, faire ou pratiquer un seul sport hormis celui de bouger la manette de la wii qui admettons le demande une certaine endurance physique.
Alors que tu lui expliquais de manière tout à fait diplomate qu’il puait des fesses, monsieur t’attrapas et sans que tu puisses faire quoi que ce soit te cola ton magnifique que dis-je sublimissime visage contre son aisselle. POUAH il voulait ta mort ou quoi ?
« Beuuurk ,j’vais mourir intoxiquer …appelle les urgences viiite » commenças-tu à dire en mimant une fille morte à la marion cotillard dans batman. C’était l’odeur du mal sauvage à la tarzan mais plus du genre celui qui pu vous voyez ?
« T’inquiète pas pour ton anniversaire je t’offrirais une photo de moi ET un déo » expliquas-tu en hochant la tête morte de rire, tentant désespérément d'échapper à son étreinte. C'est qu'il avait de la force le petit.


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