nom: Gothik ❆
prénom: Siobane Arthémis ❆
âge: 17 ans ❆
date de naissance: seize janvier mille-neuf-cent quatre-vingt quatorze ❆
origines: famille originaire de montsimpa depuis dix générations ❆
études/emploi: lycéene et vendeuse. ❆
désir à long terme: rester tel qu'elle est et profiter de la vie ❆
aspiration: Fromage fondu ❆
attirances: brun , yeux vert & drôle ❆
tues-l'amour: poils, trop de parfum,.... ❆
plat préféré: tarte au citron ❆
musique favorite: po/rock ❆
couleur préférée: jaune ❆
ton crédo: Je ne veux désormais collectionner que les moments de bonheur. ❆
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Siobane Arthémis Gothik
♕ je suis maître de mon destin, capitaine de mon âme.
♣ Siobane; en.quelques.mots Siobane a un frère jumeau : August Ҩ elle est la préférée des parents Ҩ quand elle était petite, elle avait un ami imaginaire et tout le monde se moquait d'elle Ҩ ça l'a bouleversé et avec cet épisode elle s'est un peu plus renfermée Ҩ elle voit toujours cet ami mais ne le dis à personne Ҩ elle est "tombée" amoureuse de lui et c'est son meilleur ami Ҩ elle est très mystérieuse Ҩ malgré qu'elle soit quelqu'un de sérieux, elle aime faire la fête Ҩ elle a l'air naïve mais elle ne se laisse pas marcher sur les pieds Ҩ est un gourmande et est fan des macarrons Ҩ aime faire de la danse Ҩ adore le français Ҩ
♣ Siobane; les.grandes.lignes Siobane.a.sept.ans La jeune fille blonde était dans la cour d'école. Il faisait beau cette journée là. Siobane rejoignit l'une des ses amies.
« Victoire ! Victoire ! » cria-t-elle pour attirer l'attention de son amie. Cette dernière se retourna et sourit à son amie.
« Oui ? » Siobane arriva près de son amie, un peu essoufflée.
« Je voulais te présenter mon copain. » Son amie la regarda avec un air interrogateur "oui, mais où est-il?"
« Il est juste à coté de moi. C'est Lysandre. » Victoire explosa de rire. Elle se tenait le ventre tellement elle n'en pouvait plus de rire.
« Siobane, il y a personne près de toi. » « Mais si ! » riposta la jeune fille aux cheveux blonds en regardant son ami Lysandre. Elle le pointa du doigt. Des yeux de Victoire, son amie pointait son doigt vers du vide. Ce geste renforça son rire.
« Ahah ! Siobane a un ami imaginaire ! » dit-elle tout fort pour que tout le monde entende. La petite blonde avait les larmes aux yeux. Bientôt, d'autre enfants les entouraient.
« Alors comme ça, Gothik, on a un ami imaginaire ? » l'interpella un jeune garçon. Tout le monde autour d'elle riait, se moquait d'elle. Elle traversa cette ronde et partit dans les toilettes. Là-bas, elle pleura toutes les larmes de son corps. Les jours passèrent et cet incident ne resta pas longtemps dans les mémoires. Cet épisode bouleversa Siobane néanmoins.
Siobane.a.dix.ans Siobane jouait dans l'immense jardin du manoir des Gothik. Son frère n'était pas très loin. Les deux là étaient très différents physiquement. La jeune fille était blonde alors que son frère était brun. Au premier coup d'oeil, personne n'aurait pu croire que Siobane et August étaient jumeaux. Bien sur, tous les voisins le savaient. Ils le savaient comme la petite histoire de la famille Gothik. En effet, tout le monde savait que Don Lothario, le père des enfants, était un éternel coureur de jupon depuis son adolescence. Tout le monde autour de la famille Gothik se demandait pourquoi Sandra avait tellement tenu à se marier avec se Don Juan des dames. Bien sur, les voisins devinaient que Monsieur Gothik continuait à voir d'autre femmes, tout comme sa véritable femme. Cette dernière ne faisait rien pour changer les choses, elle était amoureuse de son mari tel qu'il était. Point final. Les voisins comméraient sur cette relation. Quand ils passaient devant les enfants, ce jour-là, ils chuchotèrent. Les deux jeunes Gothik le savaient. August ne le supportait pas mais Siobane elle souriait.
« Bonjour ! » dit-elle. Et ce petit manège continua encore et encore, avec au loin le couple Gothik qui se disputait le plus souvent.
Siobane.a.quinze.ans La jeune femme était installée au bureau qui était dans sa chambre.Elle avait un carnet devant elle. Dans sa main droite, elle tenait son plus beau stylo plume. Siobane commença à écrire :
«Cher Journal,
je ne sais par quoi commencer. Je t'ai déjà parler de mon meilleur ami, Lysandre. Non, ce n'est pas un ami imaginaire, je te l'ai déjà. Et bien pas pour moi, en tout cas. Je le vois, comme si il était en chair et en os. J'ai la sensation que je ne le considère plus seulement comme un ami. Oui, oui ! Je crois que je tomba amoureuse. Enfin, amoureuse est un bien grand mot pour le moment. On verra bien comment ça se passera plus tard ! »
Elle entendit un bruit derrière elle. Siobane se retourna et aperçut son ami Lysandre. Elle ferma rapidement son carnet et s'approcha de lui.
« Lysandre, je suis contente de te voir ! » Le jeune souria.
« Moi aussi, ma belle. » Il s'approcha d'elle et l'embrassa sur la joue. Ils s'installèrent sur le lit de la jeune fille et ils commencèrent une longue discussion comme le faisaient deux meilleurs amis.
Siobane.a.dix-sept.ans La jeune femme blonde marchait dans les différents rayons du supermarché. Elle était accompagnée de sa mère. Ensuite, elles partirent faire du shopping dans la galerie marchande. Siobane vit une belle robe, sa mère courut le lui acheter Oh, oui ! Madame Gothik aimait chouchouter sa fille. Elle lui donnait tout ce qu'elle voulait. Siobane en profitait quelque fois, mais seulement quand elle en a vraiment besoin. Elles étaient dans un magasin de chaussures quand Siobane aperçut une ombre à l'entrer du magasin. Elle releva la tête et aperçut Lysandre. Il parlait avec un autre garçon. Elle n'était donc pas folle. Son ami existait bien ! Elle sortit en courant du magasin et suivit son ami qui commençait à partir. Elle arriva à se hauteur et lui tapota l'épaule.
« Lysandre, qu'est que tu fais là ? » dit-elle avec un grand sourire. Le jeune homme se retourna surpris.
« Excusez-moi, mais je crois que vous vous trompez de personne. » répondit-il. Le sourire de Siobane fana. Le jeune homme qui se tenait devant elle ressemblait comme deux gouttes d'eau à son meilleur ami Lysandre. Sa mère arriva et elles partirent toutes les deux. Siobane était toujours chamboulée.