Pardon, c'était volontaire ! [Pv Maxence C.]

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Il était maintenant 21 heures affiché à la grande horloge de la ville. La jolie Brooke n'aimait pas la neige, ni le froid d'ailleurs. Elle avait fait une récente chute qui la faisait détesté encore plus cette saison qu'est l'hiver. Mais, fait étrange, elle avait toujours adoré la patinoire. Ne serait-ce que pour voir la mine épanouie des gens qui s'y trouvaient, ainsi que les musiques d'ambiances qui donnaient clairement envie de patiner encore et encore. Comme tout lieu en ville, il y avait aussi de nombreux points négatifs. Entre autres, les personnes passant à coté de vous d'une vitesse incroyable et qui manque de vous faire tomber. Et pour Brooke seulement, il y avait aussi les couples pleins d'amours qui semblaient hyper heureux quoiqu'ils fassent. Elles détestaient ce genre de couple, complètement aveuglé par un amour qui se terminerait sans doute dès le lendemain. Idiot, naïf et carrément inutile. C'était les trois mots qui résumaient ce genre de couple.
Mais faut penser que les bons cotés était plus nombreux que les mauvais, puisque la jolie blonde avait dédié sa soirée à la célèbre patinoire de la ville. Elle ne s'attendait pas à y passer toute la soirée. Elle avait prévu d'y rester juste 1 heure ou 2. Elle ne patinait pas si bien que çà, c'était juste histoire de passer une bonne soirée. C'était donc les patins aux pieds qu'elle attendait, assise sur un banc se trouvant à proximité de la grande patinoire. Les passants semblaient la prendre pour une folle, avec son bonnet rose fluo et ses patins à paillettes. À vrai dire, elle s'en fichait. Elle aimait ce look assez improbable, et peu importe ce que pouvais dire les gens. Les jugements ne l'atteignaient pas, loin de là.

Bref, elle n'allait tout de même pas rester sur son banc toute la soirée. C'est donc avec une certaine assurance, toutefois mélangé à de l'insécurité, qu'elle se décida à s'élancer sur la piste glacé. Comme prévu, les fous du patins et les amoureux débiles était présent, elle n'y faisait pas attention. Elle patinait au son de la musique Pop, le genre de son qu'elle adorait. Elle n'osait bien sûr pas tenter différentes figures même très simple. Bien que les jugements ne l'atteignaient pas, elle n'allait pas prendre le risque de se blesser pour faire rire la galerie. Elle se contentait donc de tourner, et tourner, et tourner... et 30 minutes fût ainsi passer. La jolie blonde ne se fatiguait pas, seul le froid la gênait quelque peu. Différents beaux garçons était présent, et son envie de patiner fût vite remplacer par la pensée assez inattendue de plaire à quelqu'un. Elle ne souhaitait pas être en couple, et n'était pas fan des plans d'un soir. Mais, sa fierté avait souffert récemment.. Et sa ne serait pas désagréable de voir qu'elle plaisait toujours aux hommes. Alors qu'elle fixait les différents hommes présent sur la piste, son regard se posa sur un certain jeune homme. Il semblait pas très méchant, pas du genre à la repousser d'une garçon qui ressemblerait à de la cruauté pure et dure. De plus, il ne semblait pas fou du patin, et n'était pas accompagné. Autant essayer !
C'est ainsi qu'elle s'élança donc vers le jeune homme, en prenant soin d'arriver face à lui. Alors qu'elle fit mine de tourner, elle se mit sur le chemin du beau garçon au dernier moment ce qui provoqua une bousculade légère mais suffisante à faire arrêté les deux patineurs. Fière d'elle mais à la fois un peu honteuse d'en arriver là, elle le regarda et s'excusa poliment :

Excusez-moi, je.. Je ne suis pas une très bonne patineuse..

avoua-t-elle, avec un air un peu géné

Elle attendait une réaction de sa part, positive tout du moins. Ce qu'elle venait de dire était vrai, elle avait juste omis de préciser que la bousculade était voulue. Que vouliez-vous qu'elle dise ? Pardon, c'était volontaire ?

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Pardon, c'était volontaire !

Il était rare de voir Maxence dans un endroit tel qu'une patinoire, on a beaucoup plus de chances de le croiser dans une boite de nuit ou dans un bar que dans une patinoire. Ce n'était pas vraiment son genre, beaucoup trop calme, pas suffisamment de monde. Quel était l'intérêt de venir dans ce genre d'endroit ? Pour se vider l'esprit, pour réfléchir lui disait-on. Lui, pour se vider l'esprit ou autre chose du genre il n'avait absolument pas besoin d'aller dans un parc, il lui suffisait d'un petit verre et son esprit était vide de chez vide. Non, venir dans ce genre d'endroit le déprimé, on y trouvait des familles s'amusant et riant aux éclats, des petits couples venu profiter de quelques instants en amoureux, des vieux petits couples aussi, ne les oublions pas, des groupes d'amis sur un banc, ou encore des personnes seules le regard perdu, ou regardant autour d'eux. Vous y voyez un intérêt vous ? Maxence n'en voyait strictement aucun. Tandis que dans les boites de nuit ou dans les bar il y avait de la musique, du monde, de l'amusement, de la drague, de l'alcool, là il y a de l'intérêt. Enfin, il faut de tout pour faire un monde.

Pourtant, c'est bien lui qui était là, installer sur ce banc, une cigarette à la main à regarder d'un drôle d'air le peu de personnes qui occupés cette patinoire avec lui. Ils avaient pour la plupart l'air gai, lui avait l'air d'avoir passé la nuit à faire la fête et ne pas avoir assez dormi. C'était bien le cas. La veille, il était sortit avec des amis en boite, juste histoire d'aller boire un verre au début, puis finalement il en avait bu deux, puis trois... Résultat de la soirée : Plusieurs verres bus l'un derrière l'autre, plusieurs filles dragués à la fois dont il ne se souvient ni le visage ni le prénom et 1 à 2 heure seulement de sommeil dans sa voiture qu'il avait, pour le coup trouvé très inconfortable. Alors qu'il commençait à lui même déprimer sur ce banc il se demanda qu'est ce qu'il lui était venu à l'esprit pour qu'il vienne ici. Vraiment il avait perdu la tête. Il se leva donc et alla rejoindre le gens sur le patinoire.

Tandis qu'il regardait les gens un par un, une jeune femme attira son attention. Une jeune femme qui venait d'arriver dans ce lieu, il se redressa légèrement. Puis tout d'un court, il se fit heurter par une belle blonde. Tout ce que Maxence aimait physiquement chez une femme. Il repris un peu de ses états et elle lui dit donc « Excusez-moi, je.. Je ne suis pas une très bonne patineuse.. » D'un petit sourire amusé il lui répondit donc à son tour « Ce n'est rien, au moins aucun blésé n'a été faite, c'est l'important non ? » Et puis, faut l'avouer, saurait très bien pu être de sa faute aussi, comme il ne regardais pas devant lui, il aurait tr`s bien pu être de sa faite. De ce fait, il repris donc « mais j'aurais dû être plus attentif, disons que si j'aurais pas tourner la tête pour regardé ailleurs cella ne serrait peut-être pas arrivé ... »

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La pauvre jeune femme n'aimait pas en arriver là pour faire des rencontres. Mais c'était malheureusement le seul moyen pour elle de rencontrer des gens. Elle n'étais pas franchement du genre à être super à l'aise face à un inconnu, et le fait d'être devant une personne dont elle ne connaissait pas forcément le caractère rendait la chose encore plus risqué. Rien ne lui garantissait de ne pas se faire envoyer sur les roses. C'est ce qu'elle redoutait le plus à chaque fois. Elle souffrait déjà d'un manque de confiance en elle sur certain point, alors un râteau n'était vraiment pas recommandé pour se sentir mieux dans sa peau. Mais il fallait prendre des risques parfois, et c'était ce qu'elle venait de faire. Après tout, qui ne tente rien n'a rien. C'était ce qu'elle se disait à ce moment même, alors que le jeune homme semblait reprendre ses esprits. Il ne semblait pas inamicale, bien au contraire. Il s'empressa de dire que puisqu'il n'y avait aucun blessé, ce n'était pas si grave. Il ajouta également que c'était un peu sa faute, il avait semble-t-il était distrait. Elle se mit donc à sourire, tandis qu'elle repris en disant ;

Ne vous en faites pas, sa m'arrive tout le temps. Je suis du genre maladroite.. Alors ajouté au fait que je ne sais pas patiner, sa donne rien de bon !

Elle baissa honteusement la tête. C'est vrai que tout pouvait lui arriver. Si une peau de banane était par terre, elle glissait dessus. Si une plaque verglas était présente, c'était pour elle. Et bien sûr, si un poteau était sur son chemin, elle se le prenait. C'était tout elle çà, maladroite et malchanceuse. Elle pouvait y mettre toute la bonne volonté du monde, elle n'arrivait pas à évité ce genre de petits accidents qu'on pouvait dire quotidiens. Pour une fois, ce n'était pas tellement un accident, mais si elle pouvait camoufler son acte un peu égoïste en accident, pourquoi pas. Il faut se servir des atouts qu'on a !
La jeune femme se remit ensuite à regarder le jeune homme, quand quelque chose lui sauta aux yeux. En effet, tous semblait heureux d'être à la patinoire. À part ceux qui déprimé dans leurs coins, mais l'inconnu en question ne semblait pas de ceux là. Il avait l'air de ne pas être à sa place, et pas très content d'être là. Fière de son analyse assez aléatoire pour s'avérait vraie, elle affirma :

Dis, c'est moi ou.. T'as l'air de clairement t'ennuyer ici ?

C'est vrai. Ce qu'elle ne comprenait pas tellement d'ailleurs. Où était l'intérêt de venir à une patinoire si l'ont n'aimait pas ce genre d'endroit ? Il avait surement une raison, plus ou moins bonne. Elle espérait qu'il la lui dirait. Cela donnerait naissance à une discussion, ce qui était clairement l'intention de la jolie Brooke.

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Pardon, c'était volontaire !
« Ne vous en faites pas, sa m'arrive tout le temps. Je suis du genre maladroite.. Alors ajouté au fait que je ne sais pas patiner, sa donne rien de bon ! »

Une belle femme et maladroite, Maxence aimait bien ce type de femme, malgré que ses gouts en matière de femme était assez vaste et très diversifié. Il aimais autant les brunes que les rousses. Il n'était pas très difficile, autant que les femmes qui rencontrais était mince et un minimum attirante, c'était l'important pour lui, et puis de toute manière, il reverrais probablement jamais la jeune femme par la suite, étant donné que pour lui ce n'était que pour une relation d'un soir. Rare les relations sérieuses on été. La seule et unique, c'était encore à l'époque du temps ou je restais à Cuba, et celle-ci avait quitté le pays sans me donné aucune nouvelle. Alors, les relations sérieuses c'est plus pour lui, en tout cas pour un bon moment encore. Bref, trêve de racontage de vie et revenons s'en à la situation. Elle avais aussi avoué qu'elle n'était pas très bonne patineuse, ce qui n'était pas vraiment le domaine de Maxence aussi, en réalité, c'était une de ses premières fois, étant donné que dans son pays natale, l'hiver n'hésitait pas, il n'avait pas eu l'occasion d'en faire avant. Je lui avoua donc à mon tour :

« je dois t'avoué que je suis un peu dans la même situation que vous.. Étant originaire d'un pays du sud, nous ne pouvons possédé de patinoire chez moi.. Alors, je ne sais pas vraiment plus patiné que vous .. »

Bon cette fois au lieu d'aller un peu virevolté dans ses pensé, le jeune Maxence, posa donc son attention sur la jeune femme, autant essaye de pensé un peu à autres choses que se morfondre sur son sort. De plus, c'était pas vraiment son cas. Ce n'était pas vraiment quelqu'un qui fessait rapidement confiance aux autres, cela lui prenait quand même un bon moment avant de commencé a dévoilé son passé qui n'était pas non plus ordinaire.

« Dis, c'est moi ou.. T'as l'air de clairement t'ennuyer ici ? »

Cette question, me surpris un peu, oui je m'ennuyais, mais je pensais pas que cela paraissait tant que sa, pour les autres. Et puis, vu le mode de vie que j'avais c'était un peu normal. Passé d'une boite de nuit à une patinoire, c'était deux endroit totalement différents.

« Ouii, un peu visiblement, étant donné que tu l'as su ^^ disons que j'essayais de me divertir un peu afin de pensé à autre choses que ce que j'était en train de pensé... »

Wow, il ne pouvait pas faire plus précis que sa, pour une fois, mais comme dit plus haut, il n'était pas du genre a se confier à n'importe qui, et comme il ne connaissait que très peu de personne encore, il ne pouvait pas se confié...

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Brooke était arrivé à Montsimpa depuis un bon moment déjà. Cela faisait bien 3 ans qu'elle faisait partie des habitants de cette grande ville. On pourrais alors croire qu'elle s'était intégré à merveille et qu'elle avait des centaines d'amis. Ce n'était malheureusement pas le cas. La première année était clairement destiné à se reconstruire émotionnellement et cela était passé par des soirées de folies dans des discothèques et des nuits mémorables en compagnie d'hommes très sexy. La deuxième année avait était décisif concernant ses études pour devenir institutrice. Elle avait donc redoublé d'efforts afin de pouvoir réussir ses études et obtenir ainsi son diplôme à la fin de l'année. Enfin, cette troisième année était celle de la banalité. Elle était devenu plus adulte et plus forte, bien qu'encore fragile psychologiquement. Elle ne recherchait rien de spécial, et ne s'intéressait plus aux choses frivoles. Elle se contentait de vivre sa vie, et d'une façon qui la convenait parfaitement jusqu'alors. Et Dieu sait à quel point cette banalité était enrichissante pour elle, quand elle n'était pas prise dans ses périodes déprimantes. Elle était seul, et ne faisait pas le métier voulu, mais tout ce qu'elle faisait ne lui était pas imposé. C'était tout ce qui lui importait.
Quand le jeune homme répondit qu'il venait d'un pays du sud, et qu'il n'avait donc pas tellement eut l'occasion d'aller à une patinoire, elle sourit malgré elle. Le fait que les deux personnes ne savaient patiner était assez drôle, du fait que toutes les autres personnes présentes à la patinoire avait l'air de savoir plus ou moins ce qu'il faisait sur la piste. Le sourire aux lèvres, elle le regarda et répondit finalement :

Vous, au moins, avez une bonne excuse. Moi j'ai toujours aimé la patinoire et j'y venais très souvent pendant l'adolescence. Ce n'est pas pour autant que je sais patiner.

Elle venait de lui avouer qu'en plus d'être maladroite et un brin tête en l'air, elle n'était pas franchement sportive et compétente dans un domaine tel que celui ci. Si en plus il savait qu'elle était manipulatrice et sournoise, il se mettrait à avoir un tout autre regard sur elle. Déjà qu'il venait de la regarder d'un air qui signifiait sa surprise, il ne fallait sans doute pas en rajouter. En effet, elle venait de lui dire qu'il avait l'air de s'ennuyer en ce lieu, ce qui était apparemment vrai au vu de son visage coupable qui suivit. Elle était perspicace ce soir, c'était rare d'ailleurs. Il avoua que c'était un peu vrai, et qu'il était venu ici juste pour éviter de penser à ce qu'il pensait habituellement. Cela lui arrive souvent à la jolie blonde, de venir dans des endroits où elle ne viendrait pas habituellement pour éviter de penser à des choses qui la rendait triste. Rien de mieux qu'une distraction pour ne plus y penser. Elle acquiesça de la tête et lui fit un sourire réconfortant, en ajoutant :

Je te comprend, sa m'arrive aussi très souvent de faire des choses que je ne ferais pas en temps normal pour éviter de penser à divers sujets dont il ne faut pas que je pense.

Elle lui sourit, se sentant alors moins seule tout d'un coup. Elle aussi faisait des trucs qui ne lui ressemblait pas de temps à autres. Elle avait l'impression que tout le monde semblait faire ce qu'ils voulaient parce qu'ils le voulaient justement. Brooke a tendance à ne pas réfléchir quand elle est dans sa période nostalgique, ce qui l'emmène à faire des choses et à les regretter ensuite. Sa lui arrivait quelque fois, souvent..
Bref, la jeune femme se tenait toujours devant le jeune homme alors que les patineurs continuaient leurs tours de piste. Un blanc semblait s'être installer, même si le silence ne régnait en aucun cas, remerciement à la musique qui tournait à plein volume. Alors que la discussion semblait être terminé, ce qui destina la Blonde a retourné au patin seule et déprimé, une chose lui sauta aux yeux. Il n'était accompagné, et la soirée lui serait sans doute plus agréable en compagnie d'une personne, aussi maladroite et sournoise soit-elle. Prise d'un assurance presque soudaine, elle demanda :

Dis.. Tu es seul ? Je veux dire, tu m'as pas l'air accompagné. Sa te dirais peut être qu'on patine un peu ensemble, histoire que tu sois un peu moins seul et un peu plus accompagné.. ?

Un sourire forcé se lisait sur ses lèvres. Elle était gêné de sa propre demande, et surtout à l'idée de ce qu'il pouvait pensé d'elle. S'accordait-elle trop d'assurance ? Étrangement, elle se sentait un peu plus à l'aise que si c'était dans une autre situation. La musique, le froid et le fait que d'autres personnes semblant plus bêtes qu'elle était sur les lieux aidaient. Attendant la réponse à sa question, elle continue d'afficher ce sourire si spécial, affichant presque le visage d'une gamine de 12 ans venant d'inviter un garçon de la classe d'au dessus à manger avec elle le midi à la cantine..

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Pardon, c'était volontaire !
« Vous, au moins, avez une bonne excuse. Moi j'ai toujours aimé la patinoire et j'y venais très souvent pendant l'adolescence. Ce n'est pas pour autant que je sais patiner. »

« je dois bien l'avouer, mais bien que j'ai fait quelques voyages durant ma jeune enfant, j'aurais très bien pu apprendre a ces moments là »

Une bonne excuse vous direz ? Oui, on ne peut pas vraiment dit le contraire, mais il avait quand même fait quelques voyages dans les pays plus au nord, pour le travaille, pendant que ma mère étant encore avec mon père, mais cela fessait un éternité. J'avais voyagé durant mes sept premières années et puis dès la mort de ma mère, j'ai été obligé de resté avec la nounou que mon cher père payait pour me gardé. Bref, j'avais donc vécu un bon moment avec la nounou, avant que mon papa, se trouve une nouvelle compagne, elle était beaucoup plus jeune d'ailleurs. Puis à l'age d'un quinzaine d'années, bien que je la haïssais plus que tout au moins, je la désirais tout autant. C'est alors, que pendant que nous étions tout les deux dans le même lit, que mon père nous découdras, c'est donc pour cette raison que je quittas en l’occurrence Cuba.

« Je te comprend, sa m'arrive aussi très souvent de faire des choses que je ne ferais pas en temps normal pour éviter de penser à divers sujets dont il ne faut pas que je pense. »

« En faite, je suis venu ici, car en premier lieu, certains de mes amis, me disais toujours que les endroits comme celui-ci était fait pour réfléchir, alors j'ai voulu en avoir le cœur net, étant donné que ... »

Quel était l'intérêt de venir dans ce genre d'endroit ? Pour se vider l'esprit, pour réfléchir lui disait-on a chaque fois qu'il posa la question a quelqu'un.Lui, pour se vider l'esprit ou autre chose du genre il n'avait absolument pas besoin d'aller dans un parc, il lui suffisait d'un petit verre et son esprit était vide de chez vide. Non, venir dans ce genre d'endroit le déprimé, on y trouvait des familles s'amusant et riant aux éclats, des petits couples venu profiter de quelques instants en amoureux, des vieux petits couples aussi, ne les oublions pas, des groupes d'amis sur un banc, ou encore des personnes seules le regard perdu, ou regardant autour d'eux. Vous y voyez un intérêt vous ? Maxence n'en voyait strictement aucun. Tandis que dans les boites de nuit ou dans les bar il y avait de la musique, du monde, de l'amusement, de la drague, de l'alcool, là il y a de l'intérêt. Enfin, il faut de tout pour faire un monde.

« Dis.. Tu es seul ? Je veux dire, tu m'as pas l'air accompagné. Sa te dirais peut être qu'on patine un peu ensemble, histoire que tu sois un peu moins seul et un peu plus accompagné.. ? »

« Oui, je suis donc seul. Moi sa me va, autant que je déprime pas trop, c'est ok. Au pire, un peu plus tard, sa te tenterais d'aller à quelques part autres que la patinoire ? »

Seul, ce soir, oui il l'était bien mais si on allait faire un tour dans sa tête, j'crois que sa serait non finalement. Mais bref, il accepta malgré tout l'invitation de la demoiselle étant donné que pour une fois c'était elle qui avait fait le premier pas et non lui, étant d'un caractère charmeur, il avait le dont de faire les premiers pas avant la femme, et puis sa me changeras probablement mieux les idées que si j'attends comme par enchantements que je le fait par moi-même surtout si c'était dans un endroit comme ici..

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Elle l'écoutait parler, et dire d'abord qu'il aurait très bien put apprendre à patiner durant ses voyages effectués. Elle acquiesça d'un mouvement de tête accompagné d'un petit sourire mais ne répondit pas. En même temps, patiner n'est pas une passion pour tout le monde, et on ne pense pas forcément à çà durant un voyage. Elle comprenait et ne pouvait que lui donner raison sans vraiment donner de réponse. Il dit ensuite qu'il était venu pour réfléchir, sur conseils de ses amis. C'était assez drôle, étant donné que c'était pas un très bon endroit pour réfléchir selon Brooke. Bien sûr, à première vu on pourrait se dire que si. Disons que le cas de Brooke est un peu spécial aussi. Elle ne peut plus voir de couples franchement heureux, ni d'enfants riant au éclats. Et les petits vieux ensemble depuis 20 ans ? Très peu pour elle. Elle n'avait rien contre, mais tout cela lui rappeler bien trop de chose pour lui permettre de réfléchir. À moins d'avoir envie de pleurer très fort, Brooke ne venait dans ce genre d'endroit que pour patiner.
Cette fois, elle fit un sourire quelque peu forcé mais n’acquiesça pas. Elle le regarda simplement et lui avoua ce qu'elle pensait justement de ce genre d'endroit :

Tu sais, je ne dis pas que tes amis ont tord. Mais selon moi, la patinoire ne permet pas de réfléchir. Sa permet de passer un bon moment entre amis ou en famille. Si tu n'as ni l'un, ni l'autre... Alors c'est que t'es franchement déprimé.

Bien sûr, elle n'avait pas dis çà sur un ton déplaisant ou arrogant. Elle venait juste d'exprimé sa pensée à propos de ce qu'il avait dit. D'autant que le jeune homme ne semblait clairement pas à sa place dans un endroit tel que celui ci. Alors essayer de réfléchir dans un lieu qui ne lui plait pas... C'était assez audacieux.
Les deux jeunes personnes continuent leurs discussions, passant notamment par cette invitation de Brooke à l'accompagné pour la soirée, vu qu'il semblait être seul. Celui ci avait accepté, contre toute attente. Après qu'il eut dis avoir besoin de réfléchir, Brooke s'était dis que c'était la raison de sa solitude, et qu'il ne voudrait pas être accompagné. À sa grande surprise il répondit le contraire, ce qui n'était pas pour la déplaire. Il lui demanda d'ailleurs s'il était possible de partir dans un autre lieu que la patinoire par la suite. Celle ci fit un grand sourire et acquiesça de nouveau. Elle était ravi de ne pas passer cette nouvelle soirée seule à se morfondre. Les étoiles pleins les yeux, elle répondit simplement :

Oui oui, sa me tenterais bien. Tu penses à quel genre d'endroit en particulier ?

Elle n'avait aucune objection à faire des folies ce soir.. Mais elle n'était pas du genre club de strip-tease ou même délinquance pur. Elle n'était pas de ce genre là, et ne connaissait pas assez le garçon pour savoir si lui l'était. Elle ne connaissait tellement pas le garçon que même son prénom lui était inconnu. Dans un élan de spontaneité, elle sourit et se mit à dire :

Je viens de me rendre compte qu'on ne s'était pas échangés nos prénoms ! Je m'appelle Brooke.

Elle fit un sourire poli tandis qu'elle le regardait. Heureuse de passer la soirée d'accompagné, et en même temps anxieuse de savoir ce qu'il pourrait se passer, elle attendit que le jeune homme lui répondre.

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Pardon, c'était volontaire !
« Tu sais, je ne dis pas que tes amis ont tord. Mais selon moi, la patinoire ne permet pas de réfléchir. Sa permet de passer un bon moment entre amis ou en famille. Si tu n'as ni l'un, ni l'autre... Alors c'est que t'es franchement déprimé. »

« Je suis aussi du même avis, mais tout dépendant des gens selon moi, nous avons tous un endroit que nous préférons le plus pour réfléchir, comme moi, c'est plus les boites de nuit. De cette façon, je raconte de nouvelles personnes et je pense moins .. »

Oui, en effet, les boites de nuit, lui fessais pratiquement oublié tout ses soucis, l'alcool aidait surement, mais la raison majeurs était que il avait des femmes par milliers toute aussi séduisantes que les autres. C'en était presque une passion les femmes pour Maxence. Une nuit sans une femme, j'crois qu'il en deviendrais fou bien vite.. Étant donné que ce caractère de charmeur est arrivé très jeune, il s'en était habitué, même trop a son gout. Je me demandais bien comment je ferrais plus tard pour laissé tombé ce traits plus ou moins attirants chez une femme étant donné que j'étais toujours porté a aller voir ailleurs. Mais bref, après une expérience comme celle que Maxence avait vécu quand il résidait encore dans sa ville natale, cela n'était aucunement, au fait qu'il était devenu se qu'il était aujourd'hui.

« Oui oui, sa me tenterais bien. Tu penses à quel genre d'endroit en particulier ? »

« La plage t'irait ? Bien qu'il n'est pas grand chose a faire a cette heure, j'aime bien cette endroit, autant pour connaitre du monde que pour simplement prendre du bon temps. »

En effet, étant donné que dans sa ville natale était parsemé de beaucoup de plage, j'en avait vécu de bons moments, c'était disons un des mes lieux de prédilections autant pour prendre de l'air que pour réfléchir un peu après les boites de nuit ou les bars. Dans ses endroits, il avait vécu pas mal de chose, autant sexuels que amicales, toutefois, il en parle que très rarement. Ce qui se passe entre une personne et une autres resteras toujours entre eux, selon Maxence et malgré qu'il avait changé de ville aujourd'hui, cette vision resteras aussi.

« Je viens de me rendre compte qu'on ne s'était pas échangés nos prénoms ! Je m'appelle Brooke. »

« Waah, j'crois bien que cette petite bousculade, nous as faite oublier les bonnes manières. Alors, moi c'est Maxence, mais généralement, mes amis m'appele sois Max ou Cay, étant donné que mon second prénom est Cayden.. Alors a toi de voir ce que tu aime le mieux.. a moins que tu as un nouveau surnom a me donné.. ?»

Maxence.. lui vint de son grand-père de France. Celui-ci était le grand-père préféré de du petit garçon, lui faisant découvrir le chocolat, source de délices au combien aimé de plaisir interdit qui vous arrive directement dans les cuisses et qui vous barbouille le visage d'un mélange marron qui colle.... Cayden est son deuxième prénom qui lui n'était pas vraiment symbolise pour lui...

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Le jeune homme avoua aimer les boites de nuits, et utilisait cette endroit pour réfléchir. Brooke fronça légèrement les sourcils en évitant de faire une grimace. Ce n'était clairement pas son endroit favoris. Elle n'y allait plus, et ce depuis un bon moment maintenant. Elle avait eut une adolescence assez basique, et une vie de femme plutôt ordinaire. Ce n'est qu'à un certain moment de sa vie que tout à dérapé et que les boites de nuits ont commencés à l'accueillir chaleureusement toutes les semaines. Elle faisait n'importe quoi durant ces soirées aussi arrosées que folles. Elle n'en gardait pas un très bon souvenir. Certes, si l'ont pense au coté "amusement", c'était vraiment la meilleure période de sa vie. Mais elle n'avait fait que des bêtises dont elle n'était pas franchement fière, et qu'elle éviterait surement de raconter à ses enfants plus tard.

En ce qui me concerne, j'aime bien m'isoler pour réfléchir. Selon moi, se distraire ne fait que repousser le problème à plus tard, et donc la réflexion à plus tard. Autant y penser une bonne fois pour toute, et essayer d'analyser au mieux le problème afin d'y remédier

dit-elle en enchainant cette phrase d'une vitesse affolante.

Elle ne payait pas de mine à première vue. Une blonde au sourire niais et tête en l'air de surplus... Sa ne présageait rien de bon. Et pourtant ! Elle était plutôt intelligente, et sortait parfois des phrases pré-construites telles que celle ci. Bien sûr, elle savait qu'étalait son savoir n'était pas bon pour se faire des amis, et ce qu'elle venait de dire lui faisait déjà regretter d'avoir ouvert la bouche. D'un sourire gêné, elle conclu simplement par un ;

Enfin.. Bref..

qui résonna comme une excuse pour le point de vue dont elle venait de faire part.
Heureusement la discussion poursuivit, notamment sur le lieux où les deux personnes pourraient continuer cette rencontre inattendue. Ils n'avaient pas l'air d'avoir les mêmes gouts, et donc trouvait un lieu qui plairait aux deux adultes semblait dur. Cependant, quand le jeune brun énonça la plage, la blonde sourit joyeusement. Elle adorait ce genre d'endroit en soirée. C'était romantique, calme et surtout démunie de toute vie. Les gens préféraient se rendre en boite ou même au cinéma. Personne ne venait plus à la plage si la journée n'était pas ensoleillée.

Sa me va. J'adore la plage, surtout vers ces heures là. Tu pouvais pas trouver mieux !

Avoua-t-elle, tandis qu'elle se rendait compte que le passage du vouvoiement au tutoiement avait été fait.

La plage avait toujours été un endroit où Brooke aimait se rendre. Durant l'adolescence, c'était pour faire jalouser les filles grâce à son corps de rêve (et par la même occasion, rencontrer des garçons). Par la suite, c'était plus pour s'amuser entre copines, genre bain de minuit. Maintenant, c'était beaucoup pour réfléchir accompagné de l'ambiance faussement réconfortante et des étoiles brillantes. Si elle avait grandit au cours de ses dernières années ? Un peu trop. Rien n'avait été fait dans l'ordre concernant sa vie, et même cette fois.. Elle agissait comme une petite vieille sans en être une. Cela l'agaçait par moment. Elle savait pas tellement où trouver son équilibre. Comment être assez mature pour être une femme, en conservant une part d'immaturité pour rester fille ? Elle ne savait plus faire la part des choses.
Alors qu'elle venait de se présenter, le jeune homme fit de même. Toutefois sa présentation fût plus complète, ajoutant notamment qu'elle pouvait aussi bien l'appeler Max que Cay, ou même trouver un autre surnom. Brooke rit légèrement à l'énumération de tout ses prénoms à la fois. Faisant même mine de réfléchir comme pour décidé de comment elle allait l'appeler, elle finit par dire simplement :

Je pense t'appeler juste Maxence. C'était un superbe prénom, et aucun surnom ne sera à la hauteur.

Le sourire aux lèvres, elle sentit ses joues devenir rouges, comme pour indiquer sa gène face à ce qu'elle venait de dire, et qui aurait put paraitre pour un compliment. Comme pour détournait l'attention du jeune homme face à ce faux compliment, elle lui fit signe de sortir de la piste afin d'aller s'asseoir sur un des banc prêt de la piste. Les deux sortit donc de cette dernière, et allèrent s'asseoir. Brooke en profita pour enlever ses gants et dévoiler donc ses ongles vernis d'un rose pale très mignon, mais pas très sexy. Elle sentit de nouveau ses joues rougir, se sentant soudainement ridicule. Elle n'avait plus l'habitude de faire des rencontres, et elle commençait à se dire que sa se voyait beaucoup trop.

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Pardon, c'était volontaire !
« En ce qui me concerne, j'aime bien m'isoler pour réfléchir. Selon moi, se distraire ne fait que repousser le problème à plus tard, et donc la réflexion à plus tard. Autant y penser une bonne fois pour toute, et essayer d'analyser au mieux le problème afin d'y remédier »

« En faite, ce n'est pas vraiment un problème, mais plus des pensés qui viennent sans prévenir.. Disons que mon passé n'est pas était l'un des plus facile.. »

J'avais perdu ma mère vers l'age de mes 20ans, alors cela ne fessait pas tellement longtemps, donc c'était encore douloureux pour moi.. D'ailleurs celle-ci Ma mère, une femme courageuse, m’a dit ce matin une phrase que je n’oublierai probablement jamais. « Nous n’avons qu’une liberté : la liberté de nous battre pour conquérir la liberté. » Elle était sur le lit d’un petit hôpital de Cardenas, à Cuba. En fait, ce n’était même pas un hôpital. C’était une auberge de santé dirigée par une infirmière retraitée. Cette dernière croyait en les forces de la nature et donc n’utilisait que des produits végétaux. Ma mère était atteinte du cancer, cancer qu’elle m’avait légué à moi aussi. Tous les deux leucémiques, elle me donnait un avant-goût de ce que j’aurais l’air dans quelques années. Au moins, j’aurais la sagesse, tout comme elle. Du moins, je l’espérais. Tout comme j’espérais beaucoup de choses, dont la liberté. À Cuba, ce n’est pas un droit que nous possédons. Mais on a quelque chose de plus que ce foutu gouvernement ; l’unisson. Ils dirigent Cuba alors que tout leur pays leur est à dos. Et on se tient tous par la main. On rêve tous de la même chose. Pouvoir prendre le premier avion et partir loin de là. Se trouver un emploi, un vrai. Non pas se mettre à genoux devant les touristes et se laisser traîner à la laisse. J’ai 20 ans depuis quelques semaines. J’étudie en sport pour l'instant. J’ai eu beaucoup de chance d’y entrer, et c’est seulement grâce à mon père, qui a travaillé dur pour ramener de l’argent à la maison. Pas assez par contre pour sauver ma mère. Ce soir, elle mourrait. Je le savais, je le sentais. Elle était à l’agonie, ses traits se crispaient, elle était ridée de partout et son souffle se faisait de plus en plus faible sur ma joue. Alors que je me couchais à ses côtés pour puiser le plus de souvenirs et de mémoires possibles, Maman se faisait froide. J’ai compris alors qu’elle ne comptait pas sur moi pour finir comme elle. Elle ne voulait pas que je finisse comme ça, dans un lit troué et sale. Maman m’avait réservé un tout autre destin. J’ai retiré ma main de la sienne qui s’était refermée durement sur moi. Elle avait un papier plié dans sa paume. Je l’ai pris et l’ai déplié. «Quai 28, 3h50. » Elle avait donc prévu ma liberté.

« Sa me va. J'adore la plage, surtout vers ces heures là. Tu pouvais pas trouver mieux ! »

« De même que pour moi. »

Bon, ben tant mieux, si je ne pouvais pas trouvé mieux, pour une des rares fois que je ne suis pas en boite, vois mieux profité un peu de la nature. C'est toujours agréable quelques fois, mais c'est toujours mieux quand nous sommes accompagné. On se sens effectivement moins seul. Bref, sa avait donc tout l'air que la prochaine direction que nous prendrons serait donc la plage. Une fois rendu là, nous serons plus intimide, et aussi tout seras plus calme qu'ici..

« Je pense t'appeler juste Maxence. C'était un superbe prénom, et aucun surnom ne sera à la hauteur. »

« À toi de voir et merci, j'aime bien ce prénom moi aussi, surtout qu'il me viens de mon grand-père, qui d'ailleurs il était mon préféré dans mon plus jeune age.. »

Ensuite, je suivi donc Brooke, afin de rejoindre les bancs sur le cotés de la patinoire, nous y sommes assis. Elle retira ses mitaines, il fois qu'elle fut assise, se qui laissa donc voir ses ongles roses, comparativement a d'autre qui aurait trouvé sa plus que ennuyeux, cela me confirma simplement le fait, qu'elle prenait soin d'elle, et sa j'adorais sa. C'était un chose presque qu'essentielle pour moi chez un femme d'ailleurs..

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Les deux jeunes gens étaient maintenant assis sur le banc non loin de la patinoire. Brooke s'était présenté et le jeune homme lui avait répondu en lui disant son prénom. Il précisa d'ailleurs que ce prénom lui venait de son grand père, avouant que celui ci était son préféré depuis son plus jeune age. À cette réflexion, la petite blonde sourit. Elle paraissait touché. En effet, venant d'une famille plutôt aisé, elle n'avait pas eut une relation très proche avec ses propre parents ou même avec ses grands parents. Et étant fille unique, elle n'eut pas la chance de vivre une relation particulière avec une sœur. Il y a peut être des familles où les effusions sont monnaie courante, mais pas la sienne. Chez elle, c'était repas de famille tout les samedi. Tout les dimanche, la messe les attendaient. Et en plus, elle n'avait jamais eut le droit de tutoyer ses propres parents. Une vie qu'elle avait fuit assez rapidement. À moins que ce ne soit ses parents qui l'aient foutu dehors. Disons que cela s'est conclus sous un commun accords. Ses parents ne voulaient plus d'elle à cause de ses actions, et elle ne voulait plus rester à cause de cette vie faite d'objection, et de contraintes. Cela justifier également son envie de liberté désormais. Cette envie de vivre sa vie comme elle le voulait, sans prendre en compte ce qu'il pouvait y avoir autour.

La blonde sortit soudainement de ses pensées, alors qu'elle sentit son portable vibrait dans sa poche. Elle le pris à l'aide de sa main manucuré du même rose pale, et lut le message qu'elle venait de recevoir. Un sourire plutôt déçu et clairement blasé se dessina sur son visage. C'était son ex.. Son ex mari. Celui ci la harcelait de façon assez régulière et violente. Mais elle avait décidé de l'ignorer, pensant qu'il se blaserait à un moment ou à un autre. Une façon bien naïve de voir les choses.. La blonde rangea donc son portable dans sa poche et reposa les yeux sur Maxence.

Excuse-moi. C'était.. Personne

dit-elle tandis que son sourire blasé et quelque peu inquiète était plus visible qu'auparavant.

D'ailleurs, elle baissa la tête histoire que le jeune homme ne remarque pas sa gène existentielle à propos de sa vie sociale compliquée et impossible à résoudre. En admirant son portable, elle avait eut le temps de remarquer l'heure qu'il était maintenant. 22h30, à quelques minutes près. Heureusement, elle n'avait pas cours le lendemain, d'où le grand intérêt d'être professeur.

Donc.. Vous avez quel age ? Et que faites-vous dans la vie ?

Dit-elle soudainement, relevant la tête.
Un sourire gêné était présent sur son visage. Elle n'était plus habitué à faire des rencontres. En plus de ses ongles, cela se ressentait aussi dans sa façon de parler presque aussi maladroite que son comportement. Que voulez-vous ? Cela faisait plusieurs mois qu'elle n'avait pas eut de petit-ami, et le dernier n'avait duré que très peu de temps. Aussi, elle n'était jamais assez décalé pour se trouvait des amis dans cette ville où peu de gens était aussi constamment réfléchi qu'elle. Elle avait tendance à en faire trop, ou même pas assez ce qui la rendait inintéressante au yeux des autres. Elle s'était faite à sa solitude, même un peu trop. Elle qui était si populaire dans le passé n'avait plus l'habitude de se faire des amis, tout simplement. Tandis qu'elle attendait la réponse du garçon face à ses questions assez personnelles, elle s'abaissa légèrement et commença à enlever ses patins. Elle n'allait plus patiner pour ce soir, et elle n'allait tout de même pas rester toute la soirée avec ses patins. Heureusement, elle avait prise ses chaussures dans son petit sac à dos noir & rose. Pas très sexy cette fois encore, mais pratique. Elle enleva ses patins un à un, et sortit ses bottines noir de son sac. Elle les enfila très rapidement, comme habituée, et rangea ses patins dans son sac. La voilà désormais plus présentable et beaucoup mieux dans ses "baskets". Elle croisa les jambes, et se mit à regarder Maxence.

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Pardon, c'était volontaire !
Concernant le passé de Maxence, malgré ses choses vécu, il ne s'en sort pas plus mal aujourd'hui, alors voilà donc ou tout à commencé. Naître en plein vol. Être nouveau-né et être déjà hors de contrôle, c'est tout lui ça. On ne savait pour quelle nationalité opter. Sa mère penchait pour l'Espagne, son père, pour la France. Déjà à cette époque, il ne donnait pas cher de leur couple. Ses prédictions se sont révélées avérées puisque, quatre ans plus tard, il se retrouve au milieu d'un divorce. Maman. Papa. Le choix restait entier et la juste réponse, un mystère. Ni l'un, ni l'autre. Son entêtement était risible mais justifié. Ses caprices et exigences passaient vraisemblablement au second plan puisqu'on prit une décision pour lui. Le gagnant ? Papa. Le perdant ? Cleveland. Belle-maman. Il avait 15 ans et elle, 22. D'un regard il l'emportait Dieu sait où. Son sourire le bouleversait. Il l'a haïe pour ça presque autant qu'il l'a désirée. Elle ne le tromperait pas. Aucun homme n'est dupe quand on cherche à l'obtenir. Gagné. Les femmes réussissent toujours. Son père a fini par le découvrir à moins que... Non. IL a fait en sorte qu'il les découvre. Cadeau pour toutes ces années passées avec l'interdiction de voir maman. Cadeau pour ne pas lui avoir permis de lui dire adieu alors qu'elle agonisait sur un lit d'hôpital ivre et désabusée. Résultat ? Jeté dehors. Il ne s'en porte pas plus mal. Il continue ses études et travaille de nuit. Bref, voilà que son passé se termina, que Brooke sortir son portable, de je ne sais ou, faut l'avoué j'avais laissé un peu à mes pensés divagué de la conversation.. Donc pendant que celle-ci regarde son portable je commença à délassé mes patin et une fois ceux-ci enlève, je les mis dans mon sac Adidas noire que j'avais laissé là pendant la courte période que j'avais été sur la patinoire.

« Excuse-moi. C'était.. Personne »

« Tu n'as pas besoin de d'excusé. J'aurais probablement fait la même chose si saurait »

Une fois mes patins rangé je releva la tête, puis je pût apercevoir une jeune femme inquiète, c'était surement dû au message reçu ou à l'appel. Bien que ce changement chez la jeune femme, il n'ossas pas lui demandé le pourquoi de sont changement. Et puis, avant même que je change d'idée elle lança :

« Donc.. Vous avez quel age ? Et que faites-vous dans la vie ? »

« Humm, donc j'ai 23 ans et je travaille actuellement comme barman, ce poste n'est que provisoire pour le moment. Et vous ? »

Bien que j'aimais bien ce job, j'allais quand même pas m'en tenir à celui-ci toute ma vie quand même. Avant mon départ de Cuba, j'avais eu la chance d'entrer à l'université, et comme étant un passionné de sport, j'avais bien évidement choisis cette option, peut-être que bientôt j'envisagerais une carrière dans ce domaine. Ou qui c'est, j'irais peut-être vers un tout autres orientation..

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Son ex-mari ? Elle l'avait trouvé en train de sauter sa secrétaire au bout de 2 ans de mariage. Elle l'avait surprise elle-même dans son bureau, alors qu'il avait prétextait un travail de dernière minute. Oui, et quel travail.. Suite à çà, Brooke était rentré chez elle pour faire ses bagages et s'était sauvé. Les détails du divorce s'était fait à distance, alors qu'elle n'avait plus revu cet homme infidèle depuis ce jour. Cela avait été le point culminant de son changement de personnalité. Elle avait passé de fille déjantée à femme au foyer, pour finir maintenant femme fatale. Elle n'avait bien sûr pas besoin d'expliquer cela à tout les gens dans lesquels elle rentrait, surtout parce qu'elle ne le disait pas aux personnes qui lui étaient plus ou moins proche.
C'est donc pour cela qu'il la harcelait, du moins elle soupçonnait que c'était pour cette raison. Le fait qu'elle l'avait laissé sans lui laissé une chance de s'expliquer devait jouer, sans parler du fait qu'elle ne lui avait jamais dis l'avoir vu coucher avec une autre femme. Elle baissa la tête, alors que le jeune homme en sa compagnie venait de dire qu'elle n'avait aucun besoin de s'excuser. Elle était contrarié, rien qu'un peu. Son pire cauchemar serait de revoir cet homme qu'elle redoute presque autant que celui ci la dégoute. C'était ainsi, ils s'étaient trahis mutuellement.

Le jeune homme venait de répondre à la question de la jeune femme. Celle ci lui adressa un jolie sourire tandis que son visage se releva soudainement de sorte à regarder Maxence. Il avait donc 23 ans, ce dont elle se doutait. Il était barman, ce dont elle se doutait aussi. Elle n'était pas médium, mais le simple fait qu'il dise aimait les boites de nuit lui avait mis la puce à l'oreille. Il lui avait renvoyé la question. Celle ci allait surement le décevoir. Elle n'avait pas une vie intéressante, et son métier ne l'aidait pas en ce sens.

J'ai 24 ans. Je suis institutrice pour des enfants de maternelle, même si je voudrais faire autre chose...

Se permettait-elle d'ajouter, afin qu'il ne pense pas qu'elle soit trop cadré.

Ce n'était qu'à moitié faux après tout. Son envie de devenir chanteuse s'était doucement effacé, notamment à cause de son mariage. Son ex-mari lui avait de nombreuses fois répétait que ce n'était qu'un rêve qui ne se réaliserait jamais. A tel point qu'elle ne faisait plus rien pour devenir ce qu'elle voulait devenir.
Le jeune homme avait aussi retiré ses patins. Brooke le regardait encore, et sans même faire attention, posa sa main sur le banc. Elle n'avait bien sur pas remarquait que la main du jeune homme se trouvait au même endroit. C'est ainsi qu'elle posa sa main sur celle du jeune homme, rien qu'une seconde. Bien sûr, elle s'en rendit compte assez rapidement et enleva sa main aussitôt. Bien sûr, ses joues devinrent rouges écarlates et elle baissa la tête.

Excuse moi j'ai pas fait exprès..

dit-elle tandis qu'elle rougissait encore.

La tête toujours baissé, tandis que son regard était maintenant orienté sur ses propres cuisses, elle attendait une réaction du jeune homme face à cette nouvelle bourde. Elle ne l'avait pas fait exprès, mais elle avait put sentir malgré çà que la main du jeune homme était douce. Sa n'avait pas été désagréable, juste extrêmement gênant.

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