Je suis modeste et alors ?
Zac est né dans la ville côtière de Annapolis au sein d'une famille des plus modeste. Il n'a jamais manqué de rien mais ne pouvait jamais se vanter d'avoir les jouets derniers cris dans son coffre à jouet, il n'en a pas pour autant été malheureux. Ce sentiment ne changea même pas quand Sloan finit par s’introduire dans sa vie, la petite fille de riche ne pouvait pas faire envier le jeune homme. De toutes les façons, aux yeux du monde Sloan faisait parti du monde des "banals", seul Zac connaissait la véritable valeur de son patrimoine. Pour lui, l'argent n'a jamais fait le bonheur même si comme tout le monde il avoue sans aucune honte qu'il y contribue tout de même. Quel dommage que le monde ne puisse pas vivre d'amour et d'eau fraîche.



L'amour ... ou le sexe ?
Il arrive un moment dans la vie d'un homme où une partie de son corps va le pousser à faire des choses insensées et comme Zac est un garçon des plus normal, il fut toucher par ce fléau. Ce fut vers l'âge de treize ans que les torticolis due au tournage de cou débutèrent, mais finalement, il n'eut que de petits flirts sans lendemain jusqu'à l'âge de seize, dix-sept ans. La rencontre avec Sloan Loïs Ford fut quelque peu bouleversante pour le petit coeur du jeune homme. Il avait souvent rêvé de la femme parfaite, étendue sur son lit, la main caché sous un vêtement qui préserve l'innocence des plus purs mais il n'aurait jamais pu, ne serait ce l'espace d'un instant qu'elle pouvait devenir réelle, et elle le devint sous les traits de Miss Ford.


Amour ou amitie ?
Il serait difficile de mettre un terme exact sur la relation qu'entretenaient Zac et Sloan. Pour le monde entier, ils étaient les meilleurs amis du monde, des confidents sur l'oreiller à peine vêtus, pour Zac, elle était la femme idéale, celle avec qui il aimerait plus, et durablement, celle qui aurait l'honneur d'effacer de sa vision les autres filles qui postulent à sa fenêtre, pour Sloan ... un grand mystère, que pensait elle de cette relation ? Y voyait-elle un avenir ? Ou était-il seulement le meilleur ami avec qui ont apprécie les parties de jambes en l'air ? Cette ambiguïté posait parfois quelques embrouilles, il était égoïste, la voulant pour lui seul, jalousant tout ceux qui s'approchait un peu trop près, ce qui avait, apparemment le don de gaver la belle. Mais impossible de lutter contre ses sentiments, il finissait toujours par emplâtrer celui qui l'a prenait dans ses bras en sa présence.


Une reponse
La situation ne pouvait plus durer, il devait mettre un nom sur cette relation, un nom qu'il apprécierait et finirait par limiter les os brisés de ses concurrents. Zac s’expliqua sur l'idée d'une potentielle demande de fiançailles, Sloan refusa nette et il n'eut plus de nouvelles d'elle, sa douce s'était fait la malle, fuyant de son domicile la peur au ventre. Ce fut le stupéfaction qui emplit le corps de Zac sur le moment, puis des tonnes de questions se bousculèrent dans sa tête au point de lui en donner des migraines. Il avait été abusé ? Il n'osait même pas y penser, se confortant dans l'idée que Sloan avait peur de l’engagement, et qu'elle ne voulait pas admettre qu'il était celui fait pour elle, mais il n'eut pas le courage de retourner auprès d'elle, elle l'avait lâchement abandonné et cela, il avait du mal à lui pardonner.


Et finalement, un depart
Sloan hanta les nuits de Zac durant cinq longues années, périodes durant laquelle le jeune homme collectionna les conquêtes, cherchant celle qui pourrait lui faire oublier son ancien amour, mais aucune n'avait eu les qualités requises pour obtenir le post. Zac s'était lancé dans une carrière de garagiste, travaillant pour un patron des plus ingrats et des plus radins, mais le jeune homme avait de l'ambition, il espérait, un jour, avoir l'occasion d'avoir son propre garage. Le poids de la banalité quotidienne et des relations sans lendemain pesait de plus en plus sur le mental de Zac, il se devait de se remonter et de solutionner ses problèmes. Une idée folle finit par atteindre ses méninges, partir pour Montsimpa, la ville qui abritait celle qu'il désirait. Les années auraient elles fait passer la rancune ? Surement car aussitôt pensé aussitôt parti. Ce fut l'occasion de tout redémarrer depuis le début.