Preston & Célizée

« Y a être prêt et ne pas vouloir l'être. Prendre des risque ne peut que rimer avec l'amour. »

Les sensations forte. Ressentir une immense force vous envahir et être plonger dans quelque chose d’inoubliable. Sans cesse à la recherche de nouvelle sensation , de nouvelles émotion. Être épanouie et heureuse. Célizée ressentait se pure bonheur malgré sa solitude de ce soir. Être seule lui convenait de temps à autre. Se retrouver avec sois même malgré le monde entourant qui se tenait dans le parc d’attraction où la jeune femme avait choisi de visiter ,encore. Revivre les mêmes attraction ne lui laissait pas de sentiment de frustration pour l’avoir déjà vécu. Car, ce n’est jamais la même chose. Jamais les même personnes , jamais la même météo , ni la même compagnie et encore moins le même état d’esprit.

Elle se tenait dans la queue du grand huit pour la deuxième fois de la semaine. Elle appréhendait tout en étant pressé de se retrouver à une si grande hauteur du sol avec les bras lâché mais surtout à la merci de la gravité. Seule. La jeune femme n’avait pas besoin de qui que ce soit pour s’amuser , la solitude lui convenait totalement , se retrouver seul avec sois même malgré le monde qui l’entoure. Quoi que c’était rare qu’elle restait seule ayant toujours une nouvelle rencontre dans ce style de sortit en solitaire. Le besoin de se retrouver , une telle obligation.

Depuis qu’elle était arrivé ici , elle ne cessait de recevoir des lettres. Ces derniers ne lui donnait que de la rancœur et de la haine. Célizée était encore une petite fille qui attendait sagement ses parents au fond. Elle était grande , responsable ,mais l’affection lui avait sans cesse manqué. Elle se venger d’une façon puéril, ne rien n’avoir de sérieux. Pourquoi? Elle qui avait toujours fini déçu et détruite à chaque fois. Ces maudites lettres la ramenée sans cesse en arrière et cette vie de bohème qu’elle avait sans cesse vécu auparavant. Ce style de vie lui convenait jusqu’à ce qu’elle grandisse et qu’elles voit les autres au bras de leurs compagnon le temps de leur bal de lycée. Mais, quand elle obtenu ce qu’elle voulu , la mise en prison de son père ,elle ne désirait plus que le retrouver pour quitter paris et revoir l’Amérique.

Penser à ça , n’était certainement pas la meilleur façon d’attendre dans cette maudite queue. La jeune femme laissa sa place qui pourtant se rapprochait pour enfin atteindre le manége. Elle regardait autour d’elle avant de regarder son téléphone. Il fallait qu’elle arrête de penser , se vider l’esprit par tout les moyens possible. La mort de sa mère , la disparition de son père , simplement oublier et avançait au moins ce soir. Elle s’arrêta au stand de barbe à papa et en commanda une . Elle se posa contre l’une des tables hautes disposé autour de la caravane. Elle commençait à grignoter sa barbe à papa tout en marchant parmi la foule laissant ses pensées l’envahir de nouveau repensant à chaque mot posé sur ces maudites lettres. Aucune adresse , aucun moyen de le retrouver. Que voulait il ? La détruire comme il l’avait si bien fait lors de ses dix huit ans? C’est à ce moment là que la gentil Célizée avait disparue s’amuser un point c’est tout.

À force de penser , cela devait forcément arriver. Elle se prit de plein fouet une personne. Elle était du style à râler même quand elle était aussi fautive , mais pas cette fois. Ses pensées était déjà trop pleine de haine pou en rajouter encore. Elle regarda et souffla légèrement en voyant Preston face à elle et lui avait l’air aussi surpris qu’elle.

«  Preston. Pas grave, je pense que je peux aussi m’excuser. »

Lui, un ex. Sans doute le seul mec avec qui elle avait tenté quelque chose de sérieux. Quoi que par sérieux il fallait surtout dire qu’elle n’avait pas réellement fait d’effort pour que ça marche. Elle était devenue ainsi impossible pour elle de s’accrocher pour souffrir. La peur la hantait ,mais elle le cachait tellement bien que même un psychologue ne le verrait pas. Elle plongea un instant son regard dans le siens pour le laisser se poser sur son visage laissant un sourire de fixer sur son visage.

«  Oui, seule. Pourtant cela me ressemble de temps à autre . Et toi tu es seul ? »

Elle le connaissait et se doutait que la réponse était oui, pourtant ce jeune homme valait d’être connu ,mais les efforts n’était pas son fort non plus .