[Seuls les modérateurs ont le droit de voir cette image]Les contes de fée ne finisse jamais bien... Elina avait toujours pour habitude de demander à sa mère de lui lire une histoire prétextant à chaque fois que sa l‘aidait à mieux dormir. Mon dieu que les enfants sont intelligent parfois. Non pas que la voix de sa mère arrivait à l’endormir mais disons qu’elle était assez intelligente pour savoir que cette histoire lui permettait de reculer le moment du couchage. Elina adorait ces histoires si magnifique qui avaient toutes pour objectif de se terminer bien. Chaque histoire possédait sa fin heureuse. Elle les aimait pour cela d’ailleurs. « Eli’, tu ne dors toujours pas… ». La mère d’Eli’ était une femme d’une beauté grandiose qui était loin de laisser indifférent les hommes qu’elle croisait dans la rue. Elle était plaine de sagesse. Une femme parfaite au yeux de sa fille qui n’était encore âgée que de huit ans. « Maman, une autre s’il te plaitttttttttt ». Eli’ savait être très convaincante et déterminée quand elle voulait. Une qualité qui même adulte ne semblait pas l’avoir quitter. « Eli’ on avait dit une histoire. En plus, je dois allez chercher ton papa à l’aéroport. Il revient ce soir de New-York ». Elina aimait tout autant son père que sa mère. Un amour inconditionné comme on pourrait le dire. Il était pour elle l’homme parfait, gentil, attentionné, follement amoureux de sa mère. Une famille qui semblait lier joie et bonté. Elina était une enfant complètement heureusement du moins jusqu’à cette instant. « Oh, d’accord. Je vais dormir alors, va vite chercher papa ». A ces mots, la mère de la petite fille déposa un doux baisé sur le front de sa fille. Elle se dirigea vers la porte et fit un dernier signe tout en disant : « Je t’aime mademoiselle Fremingeur, faite de beau rêve ». Ce fut les dernières paroles que Elina entendu de la bouche de sa mère. Alors que la jeune demoiselle était en train de rêver à un de ces contes de fée, Madame et Monsieur Freminger fut victime d’un accident mortel qui leur couta la vie. C’est au petit matin qu’Elina comprit que la vie n’était en rien un compte de fée.

[Seuls les modérateurs ont le droit de voir cette image] La vie continue malgré le chagrin et la difficulté. La mort de ses parents fut un choc terrible pour Elina qui fut contraint de quitter son foyer familiale pour pouvoir poursuivre sa vie dans de multiple famille d’accueil, certaine au grand cœur et d’autre famille restait sans pitié. Une vie qui se montrait parfois difficile pour mademoiselle Fremingeur. C’est à ses cinq ans que Elina comprit malgré son jeune âge qu’il était temps de changer, finis la gentille fille parfaite et pleine de bonté. Elle ne souhaitait plus être cette fille se rendant compte que personne ne se préoccupait d’elle comme l’avait fait ses parents. Pendant cette année, la jeune demoiselle sombra dans une sombre période ou elle expérimenta son nouveau caractère face à la civilisation qui l’entourait. « Et Fremingeur, tu sais comment s’appelle le nom de ta famille au moins ? On ma dit que tu avais perdu tes parents, c’est pas dur de vivre toute seul ». Mon dieu qu’elle détestait ses gens, si pathétique et méchant. A cette instant, la jolie Elina ne manqua pas de répliquer assez méchamment : « Tu t’es vu, Ahhh mais attends une seconde c’est miss gros seins. Bah oui ma fille pas très malin d’envoyer une photo de toi à poil ». Plutôt impressionnant comme langage à un âge aussi jeune que le siens. Elina était devenue cette fille à la grande bouche qui ne manquait jamais une occasion pour renvoyer l’appareil. Elle possédait une très grande répartie et n’hésitait pas à la mettre à profil dans les situations embarrassante et gênante pour elle. La petite fille sage semblait être maintenant loin.

Elina quitta ensuite Londres pour Perth une petite ville d’Australie. Un pays qui semblait bien loin de son pays d’origine. A l’idée de partir pour une terre de rêve l’effrayait beaucoup. Elle fut accueillit par une famille assez superficiel. Qui avait bien du mal à montrer l’amour qu’ils apportaient à leurs enfants. Ils décidèrent d’ailleurs de placé la jolie rouquine dans l’institue de la ville. Se rendant compte que Elina avait de véritable problème en matière d’amour. Ces premières années furent plutôt difficile, c’est vrai, comment vous sentiriez vous après avoir appris la mort de vos parents et entrer par la suite dans une institue contrôlant l’amour des personnes. Elina ne manqua pas de garder son caractère plus ou moins rebelle. Pendant ses séjours à l’institue, Elina ne cessait de se répéter cette phrase que tenait sa mère « Elina, n’oublie pas que tu es importante, intelligente, belle. Ne laisse jamais quelqu’un te dire le contraire ma fille. »

[Seuls les modérateurs ont le droit de voir cette image]Tu m’énerves, tu me soules mais pourtant je t’aime bien Elina quitta sa dernière famille d‘accueil à l‘âge de 19 ans. Elle souhaitait continuer ses études. Des études de photographie s’étant découvert une réel passion pour la photo. Elle le devait d’ailleurs à sa mère adoptive qui avait été la première à lui offrir un appareil photo. C’est donc difficilement qu’elle quitta le foyer pour vivre sa vie à Montsimpa, une petite ville située sur la côte Ouest américaine. La jolie Rousse ne mit d’ailleurs pas longtemps avant de trouver un appartement qu’elle allait partager avec un certain Maxime. Une situation qui ne semblait pas la déranger après tout il ne devait pas être terrible. Enfin sa c’était avant qu’elle ne découvre la terreur. « Maxime arrête de ronfler… » et ouaiiii pas évident de vivre en collocation avec un ronfleur . D’autant plus que la jolie Elina était en train de regarder un film. Un merveille film qui malheureusement était perturbé par des bruits agaçants. C’est alors avec une grande finesse que Elina prit un coussin et tapa son colocataire à la tête, histoire de le réveiller. Sadique, qu’elle était. Elle afficha alors par la suite un sourire satisfait de ce qu’elle venait de faire. Malheureusement pour elle, Maxime riposta assez rapidement puisqu’il coupa la télé et ne manqua pas de foutre la télécommande dans un endroit qu’elle ne pouvait atteindre. Une dispute sans suivit comme d’habitude. Vous l’auriez compris, ces deux là c’étaient bien trouvés. Maxime et Elina semblaient tout aussi têtu l’un que l’autre ce qui amenait souvent voir presque tout le temps à des conflits perpétuels affrontant le beau brun à la belle rousse.

« Tu m’énerves Maxime… » oui cette homme l’énervait, l’irritait. Maxime était un des rares garçons qui arrivaient à agacer aussi facilement la jeune femme. Ce jour là, Maxime avait eu le malheur de manger la boite de céréale entière. Bah ouiii, il s’était attaqué au céréale préféré de Elina, y avait de quoi énerver la belle roussette. « Quoi ? Y a pas besoin de t’énervé ! ». Cette journée ne tarda pas à être marqué dans les annales puisque à la grande surprise de Elina et Maxime leur petite dispute se termina en un baisé passionner qui laissa place par la suite à une nuit torride. Ouiiii, Elina appréciait la présence de Maxime même si il lui mangeait presque la totalité de ses céréales. Malgré, le fort caractère qu’ils semblaient avoir en commun. Elina avait aimer cette soirée, cette nuit passée à ses cotées. D’ailleurs, il semblerait qu’elle ne soit pas la seul puisque ces coucheries sont presque devenue un quotidien chez les jeunes gens. Ils s’engueulent pour au final mieux se retrouver au lit. Au final, ce ne serait pas une surprise que de dire que la jolie Elina pourrait éprouver certain sentiment pour le jeune homme. Cependant, hors de question d’avouer quoi ce soit ou même de se l’avouer à elle-même, il reste un casse pied de première…