AELDRINN •• L’obscurité ne chasse pas l’obscurité...
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AELDRINN •• L’obscurité ne chasse pas l’obscurité...

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MessageSujet: AELDRINN •• L’obscurité ne chasse pas l’obscurité... AELDRINN •• L’obscurité ne chasse pas l’obscurité... EmptyMer 25 Juil - 21:10

L’obscurité ne chasse pas l’obscurité, seule la lumière peut le faire. 
aeldrinn malarkey •• sven magnus



"Anecdote":
Le suédois gardait encore quelques instants son portable contre son oreille, essayant de comprendre ce qu'il venait de se passer. Il avait l'impression de faire un cauchemar, et pourtant, s'était bien la réalité. S'était surtout trop pour que Sven encaisse en une seule fois. Il devait se changer les idées, sortir, partir, quitter cet endroit qui le rendait malade. Il déposa son téléphone portable sur le lit, se redressa de ce dernier, attrapa son porte-feuille et la clef de sa chambre d'hôtel avant de quitter ce dernier. Tout en marchant dans les rues de Montsimpa, Sven repensa aux paroles de son meilleur ami. Il avait été loin, beaucoup trop loin. Joe. Ce prénom le terrifiait encore aujourd'hui. Il en faisait toujours des cauchemars. Pire encore, lorsqu'il croisait un homme portant ce prénom, il fuyait comme un lâche. Et Snäll osait reparler de lui ? ... Sven en restait sans voix... Il se rendit Chez Hogan, un petit bar plutôt sympa qu'il avait découvert grâce à Aaron, un quadragénaire qu'il avait rencontré dans l'avion le jour de son arrivée à Monstimpa. Une rencontre plutôt marquante étant donné que Sven avait couché avec lui dès le premier soir. En entrant dans le bar, Sven s'isola vers le fond, son but n'étant pas de faire de nouvelles rencontres. Il voulait simplement boire. Non pas pour se bourrer la gueule, mais boire un coup, sentir son esprit viré dans un état second, oublier cette conversation qu'il avait eue avec Snäll. Boire pour oublier. Ce n'était pas le meilleur remède, mais tant que cela permettait à Sven d'oublier un peu, il était prêt à tout. Le suédois déclina toute invitation, ou toute intrusion dans son espace personnel, autrement dit, sa table. Il ne voulait personne avec lui, surtout lorsqu'il était déjà en compagnie de son ami Jack Daniel. Les minutes passèrent, les heures même et Sven ne fit attention à l'heure que lorsque le barman vint le prévenir de la fermeture du bar. Merde. Il sortit du bar se dirigeant directement vers la forêt. Il empruntait régulièrement un petit raccourcis qui l’amenait directement vers l'hôtel où il vivait. Mais lorsqu'il l'empruntait, son esprit était clair. Il était sobre. Là, il avait malgré tout quelques verres dans le nez, il n'était pas bourré, mais ses idées n'étaient pas de plus claires.

Où est-ce que je suis ? se demanda le policier en enjambant un tronc d'arbre pour continuer à s'aventurer dans la forêt. Il était perdu. Il s'était paumé dans une forêt en pleine nuit ! Il n'y avait que lui pour faire ça. Pour être aussi con, aussi débile ! Il allait finir déchiqueté en morceaux par une meute de loups. Ou bien par un ours. Enfin, si bien sûr des ours vivaient dans cette forêt. Il allait mourir ! Il ne voulait pas mourir ! Pas aussi jeune... Le policier commençait à être nerveux et s'aventurait toujours plus loin dans cette forêt, jusqu'à ce qu'il trébuche, dévalant une petite descente. Dans sa chute, il se cogna le bras et atterrit ensuite dans de l'eau. La situation dans laquelle il venait de se mettre le faisait rire. Il ne trouvait rien de mieux à faire que rigoler, finalement Snäll n'avait peut-être pas tort sur un point. Sven était fou furieux. Complètement taré. Qui rigolait face à une telle situation ? En sortant du lac, du moins de ce qui ressemblait à un lac, il retira ses vêtements afin de les tordre un à un. Quel merdier ! pensa-t-il en laissant ses vêtements au sol. Merdier oui, mais il pouvait peut-être profiter de l'occasion qui se présentait à lui. Il faisait nuit, il faisait doux, et l'eau n'était pas trop froide... De plus, il était seul. Donc rien ne l'empêchait de se baigner nu. Alors qu'il allait s'apprêter à sauter dans l'eau, Sven entendit du bruit derrière lui. Il se retourna afin de jeter un bref coup d’œil. Personne. Probablement du vent, se dit-il en reportant son regard vers l'eau dans laquelle il pouvait observer la lune...

© Mzlle Alice.
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MessageSujet: Re: AELDRINN •• L’obscurité ne chasse pas l’obscurité... AELDRINN •• L’obscurité ne chasse pas l’obscurité... EmptyVen 17 Aoû - 17:23

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sven&ael




« Le temps passe si vite que je ne sais pas si j’accepterais l’offre. Tu sais, la vie, c’est rien qu’un petit bout de temps qu’on nous prête. Regarde, je n’ai même pas dépassé les quarante ans. Alors que la mort, c’est éternel, ça fait presque soixante-dix ans que je suis mort maintenant, et je ne crains pas de disparaître. » « Ouais mais à quel prix ? Personne te voit, personne t’entend, t’es seul et tu erres dans un cimetière en espérant qu’on arrête de tomber dans les pommes devant toi quand tu essaies de parler à quelqu’un. » « C’est le prix à payer pour l’éternité, je n’ai jamais été très sociable, de toute façon. » « Tu as réponse à tout, comme toujours. » « Oui, et la discussion s’arrête là. En plus, je ne crois pas à ce genre de conneries, tout ce que tu veux que c’est de l’arnaque. Bon, j’y vais, ta petite amie va bientôt rentrer. » Sur ces mots, Aeldrinn se leva du fauteuil du salon qu’il occupait. Il était chez un des rares à croire en son existence, et pour cause, il était un descendant du frère d’Ael, mort comme il se devait dans le temps qui lui avait été imparti. Il n’avait pas eu, comme son frère parachutiste, le malheur de revenir à la vie, d’une certaine façon, alors que son corps garderait ad vitam aeternam cette forme inconsistante. Il était resté sous terre et ne s’en était jamais relevé, comme toute personne devrait normalement décéder. Mais puisqu’il n’avait jamais su faire les choses comme tout le monde, Aeldrinn n’aurait jamais cette opportunité. A moins de saisir l’offre de son arrière petit neveu, soit revenir à la vie. Et peut-être qu’à sa seconde mort, le vieux soldat aurait la chance de rester dans sa tombe et de ne pas une nouvelle fois se retrouver à moitié transparent et capable de traverser les murs comme s’il cherchait à se rendre à Poudlard. Il était d’ailleurs un peu vieux pour espérer devenir sorcier, le pauvre homme… Sur le pas de la porte, il salua le dernier membre de sa famille réellement vivant avant de partir en empruntant les escaliers, sans un mot. Il serait bien resté, si la compagne de son neveu avait cru à l’existence d’Aeldrinn. Elle avait pris son petit ami en train de parler à son oncle et elle l’avait cru fou, alors il avait arrêté de tenter de la raisonner et Aeldrinn n’était jamais là quand elle revenait à la maison. Il n’avait plus de vie, certes, mais son neveu, lui, avait toujours une chance de vivre une vie tout à fait normale, et l’ancien combattant n’était personne pour l’empêcher de saisir cette chance. C’était donc toujours vers dix-neuf heures qu’il devait quitter l’appartement pour ne pas déranger leur vie de couple. Après cela, Aeldrinn ne trouvait que rarement à pallier à ses maigres habitudes. Errer à travers les rues de MontSimpa ou de Bridgeport et retourner vers vingt-deux heures au cimetière, comme pour veiller sur ses pairs. Il n’y était jamais entre vingt-heures et vingt-deux heures, des gens bizarres rodaient toujours à ces heures-là, et parfois dépassaient même jusqu’aux environs de minuit. Il détestait voir ces personnes détruire son travail, profaner des tombes ou hurler à tout va. Il avait beau être mort, son ouïe fonctionnait toujours aussi bien.

C’est donc vers vingt-deux heures qu’Aeldrinn s’apprêtait à pénétrer dans le cimetière, lorsqu’il remarqua que les empêcheurs de tourner en rond étaient toujours là. Il n’irait sûrement pas se frotter à eux, et préféra donc retourner sur ses pas, continuer son tour avant de rejoindre, plus tard cette fois, le lieu qu’il avait défini comme celui où il dormait la nuit. Aeldrinn se mit en tête de passer par la forêt, endroit qui ne lui inspirait plus confiance depuis la guerre, et le nombre de fois qu’il avait eu à s’y cacher en vain. Désormais, plus personne, que ce soit un allemand ou même un loup ne pouvait lui faire de mal. Alors pourquoi ne pas renouer avec les troupeaux d’arbres sauvages, après tout… Une fois arrivé par-là, il s’enfonça progressivement dans le bois. Le paratrooper entendit un bruit, comme si quelqu’un d’autre était là aussi. Souvenir de guerre, il se retourna instinctivement, avant qu’un bruit succède le premier. Comme une chute, un bruit rapide, mais lourd. Paniqué, il fit un nouveau tour sur lui-même pour vérifier les alentours, et avança stratégiquement entre les arbres, espérant que ces derniers puissent le protéger si un animal ou un bourré meurtrier se baladait par là. Il avait même oublié qu’il était un fantôme, et qu’une balle le traverserait, ou que les mâchoires d’un loup se refermeraient sur elles-mêmes dans un bruit sourd s’il venait à essayer de le mordre. Traversant latéralement le parcours, allant d’arbres en arbres pour être à couvert. Finalement, il trouva la source des bruits. Il s’agissait simplement d’un homme, qui avait l’air plus dangereux pour lui-même que pour Aeldrinn. Confiant mais méfiant, le militaire se hâta vers le lac où avait l’air d’être tombé l’auteur de la peur panique du kamikaze. Il avait l’air sacrément bourré, ou alors il était tombé sur la tête, parce qu’il se déshabillait et s’était mis à les essorer. Allait-il donc se jeter à l’eau ? Si les idées de l’inconnu avaient eu l’air claires, Aeldrinn ne se serait pas mis en travers de son chemin, mais à peine éméché, il aurait pu se noyer. Prenant la même descente que l’autre avait dû dévaler, il fit craquer des branches sous ses pieds, ce qui fit se retourner l’inconnu. S’arrêtant net pour ne pas être repéré si tôt, le fantôme reprit sa descente et s’arrêta net lorsque le sol redevint plat. Malgré lui, il ne put s’empêcher de regarder l’homme de haut en bas, et de remarquer une cicatrice apparente sur sa fesse, que le clair de lune, derrière Aeldrinn, lui permettait de voir parfaitement. Il s’agissait là plutôt d’une scarification intentionnelle que d’une bêtise de jeunesse ou d’un accident. La preuve, si on se concentrait assez bien dans l’ombre, on pouvait y décerner des lettres. Sans faire attention, Aeldrinn prononça à haute voix ce qu’il venait de lire. « Joe. » Il ne savait ni qui il était, ni quel lien il avait avec l’inconnu. Il venait juste de s’apercevoir qu’il avait parlé à haute voix et non dans sa tête, mais refusa de bouger, avec un peu de chance, l’autre serait trop bourré pour le voir, malgré le fait qu’il ne soit transparent qu’à moitié.
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MessageSujet: Re: AELDRINN •• L’obscurité ne chasse pas l’obscurité... AELDRINN •• L’obscurité ne chasse pas l’obscurité... EmptyDim 26 Aoû - 21:33

L’obscurité ne chasse pas l’obscurité, seule la lumière peut le faire.
aeldrinn malarkey •• sven magnus


Sven observait les reflets de la lune dans le lac, et se demandait si son idée n'était pas saugrenue. Il n'était pas complètement ivre, il le savait, il le sentait. Il pouvait encore utiliser son cerveau comme bon lui semblait, la preuve, ce dernier le faisait hésiter. S'il rentrait dans l'eau, il n'était peut-être pas certain de pouvoir en ressortir, rien n'empêchait Sven de se faire prendre la cheville dans une algue, ou de se blesser contre une roche. Il n'était pas ivre, mais son organisme avait malgré tout de l'alcool dans le sang, et donc qu'il le veuille ou non, il ne réfléchissait plus de la même manière. Une situation où il pouvait s'en sortir en une minute, pouvait se transformer en catastrophe qui s'étalerait sur une plus longue durée, pouvant le mener jusqu'à sa mort. Il ne voulait pas mourir, même s'il avait eu plus d'une fois des idées noires. Même s'il avait eu des passes où mourir lui semblait la plus belle chose qui puisse lui arriver. Oh oui, il avait rêvé de s'éteindre, et d'être enfin libéré de tous ses soucis, car selon lui, ce qui l'attendait après la mort était bien plus beau. Non pas le Paradis, ni même l'Enfer, mais une autre planète, similaire à la sienne, mais en mieux. Sans violence, sans peine, et sans démons, une sorte de deuxième chance. Il avait rêvé plusieurs fois de cette deuxième chance, mais très vite la réalité le rattrapait et lui disait qu'il ne pouvait pas affliger à ses proches cette douleur. Et le suédois par cette simple pensée remontait toujours la pente et luttait pour combattre ses craintes, faire souffrir les autres était la dernière chose qu'il souhaitait faire de sa vie...

Le policier délaissa ses réflexions avant de jeter un bref coup d’œil aux alentours du lac. Du moins, ce qui se trouvait derrière ce dernier, comme ce banc quelque peu défraîchi servant probablement aux promeneurs fatigués, ou aux pêcheurs de la région. Peu importe à qui il appartenait, ces planches lui serviraient de couchette pour ce soir. Sven fit quelques pas en arrière, s'éloignant du bord afin d'aller reprendre ses vêtements qu'il mettrait mouillé, il n'avait de toute façon pas vraiment le choix. Joe. Ce prénom... Cette voix... Il ? Son corps entier fut pris d'un frisson, alors que chaque muscle de son corps se contractaient un à un l'empêchant de bouger. Son cœur en revanche allait exploser dans sa poitrine, il en entendait presque chaque battement. Il était là. L'homme de tous ses cauchemars était derrière lui. Sven voulait courir, il voulait parler, mais rien de se passait. Le néant. Si ce n'est cette simple petite brise qui lui donnait l'effet d'un ouragan. Ce n'est que ton esprit qui te joue des tours se répétait le suédois qui se savait paranoïaque. Ça ne pouvait pas être Joe, comment l'aurait-il retrouvé ? Mais il avait eu l'impression d'entendre sa voix à lui... Il prit une profonde inspiration avant de se retourner lentement vers ce qu'il pensait être son agresseur. De la brume ? Il fronça les sourcils, pourquoi donc y avait-il de la brume ? Juste-là à cet endroit précis ? Il força quelque peu sur sa vue et il lui sembla qu'il distinguait un visage, un regard, un nez, une bouche. Aussi étrange soit-il ça le rassura de voir qu'il ne s'agissait pas de celui qu'il redoutait tant. Mais... lui, qui était-ce ? Non... qu'est-ce que s'était ? [color:9ead=##008080]Un fantôme ? se demanda Sven en observant ce qui lui semblait être un phénomène naturel. Il secoua la tête, en commençant à rire. Il s'abaissa pour ramasser ses vêtements, se servant de ceux-ci pour cacher ce qu'il faisait qu'il était un homme, tout en secouant la tête. [color:9ead=##008080]Tu es encore plus dingue que ce que tu ne crois. Tu devrais vraiment songer à aller dans un centre psychiatrique ajouta Sven en ignorant totalement qu'il avait réellement un fantôme en face de lui.

Il partit d'un pas nonchalant vers l'obscurité de la forêt, enfilant un à un ses vêtements. Et si... Sven se stoppa. Il observait ses vêtements lui coller à la peau et passa ses deux mains sur son visage avant de les remonter jusqu'à ses cheveux. Ce n'était pas Joe... s'était déjà ça. Et il n'avait pas le souvenir que la brume pouvait avoir un visage bien défini. Le jeune policier revint sur ses pas et vit que... cette chose était toujours présente. Ce n'était pas de la brume, son esprit semblait lui mettre les choses au clair, semblait s'attarder sur des plus en plus de détails... Il s'approcha lentement de ce qui ressemblait être l'homme invisible et le contourna, tout en le scrutant du regard. Lorsqu'il se retrouva face à lui, Sven sembla capter son regard. Était-ce possible, tout ceci ? Fou pour être fou, est-ce que vous êtes bien ce que je pense ? demanda le suédois sans réellement être certain de la question qu'il venait de poser. Mais une chose était certaine, Sven n'était pas rassuré. Il avait peur, son estomac lui faisait comprendre par la présence de cette boule qui grossissait de plus en plus. Qui était cette... qui ressemblait à un homme ?

© Mzlle Alice.
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