| Sujet: (m) SIM CELEBRITE ; the weather tonight will be really, really hot. Dim 26 Aoû - 22:42 | |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] ∞ les grandes lignes : l'histoire est franchement libre, si vous avez besoin que je choisisse, je le ferai, sinon à votre guise. Il a été élevé dans une famille assez aisée, et a toujours été à fond dans le journalisme. C'est une des rares choses qu'il n'abandonnera jamais. C'est quelqu'un de responsable et droit dans le travail, mais c'est un tout autre homme en dehors. Coureur de jupons, il drague à peu près toutes les filles qu'il trouve, même celles qu'on pourrait qualifier de laides. Il sait qu'on n'a qu'une vie et en profite tant qu'il le peut encore. ∞ groupe conseillé : célébrités. Un peu obligé vu son métier, mais ça peut très bien être un sim ordinaire, puisque les présentateurs TV sont rarement reconnus dans la rue. x_x' En ce qui concerne l'aspiration, si c'est une célébrité, évitez "celebrity doesn't suit me", en ce qui concerne l'aspiration en cas de sim ordinaire, je dirais à peu près tout sauf connaissance et fromage fondu. ∞ célébrités envisagées : MICHAEL FASSBENDER *0* J'le trouve vraiment parfait pour le rôle, donc si vous vous moquez de l'avatar, jetez-vous sur lui \o/ Sinon je suis plutôt ouverte, mais la star devra avoir au minimum 35 ans, pour coller avec l'histoire. N'hésitez pas à proposer, je suis facilement d'accord quand ça concerne les hommes (a)Ces anecdotes sont un peu longues, mais en résumé, Zephyra a toujours été attirée par les hommes plus âgés qu'elle. Le même schéma s'esquisse avec son patron, d'une quinzaine d'années de plus qu'elle. Il n'est pas insensible à son charme, mais bien évidemment, les choses veulent que leur relation est interdite. Du coup, rien n'a jamais été officiel entre eux, et rares sont les choses qui se sont passées. Pour ne rien arranger, le patron a une rédactrice sous ses ordres, une bombasse, si vous voulez savoir (qui sera utilisée comme PNJ, je ne vois pas l'utilité d'en faire un personnage à part entière). Et ça ne plait pas vraiment à Zephyra, qui la déteste, mais qui doit la supporter tout le temps. Surtout que l'autre prend un malin plaisir à tourner autour de leur supérieur tout en faisant l'hypocrite. Bref, c'est assez chaotique, et avant que ça finisse en "je t'aime" "moi aussi", va certainement y avoir du sport, du sang et des ongles cassés. Dernièrement, c'est d'ailleurs plus que tendu, le lien débutera à la fin du second spoiler. Ce second spoiler est d'ailleurs sacrément axé sur la relation qu'elle a avec sa rivale, mais c'est extrêmement important dans le lien Noah/Zira, l'autre la mettant à bout moralement et la faisant se remettre en question à chaque fois.
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Je crois qu'il fait tout pour me rendre folle, cet enfoiré. Il était tellement con qu'il ne trouvait rien d'autre à faire que me hurler dessus pour un truc qu'il trouvait trop court. Fallait aussi voir le sujet hein. Il m'a prise pour Robin Scherbatsky à mon avis. Manque de chance pour lui, je ne fais pas la rubrique "faits divers" de la chaîne Metro News One. A son bureau au moment où il me jetait son venin à la figure, je me levais violemment de la chaise sur laquelle j’étais assise. Nous allions forcément avoir une explication. « Eh bien, fais le toi-même, puisque tu es si doué ! Tu ne fais que présenter les infos qu’on te donne sur un plateau et que tu n’as qu’à recracher avec un sourire commercial. T’as qu’à me donner des sujets plus intéressants et importants, plutôt que des lui refiler à elle ! » Je désignais du doigt la seconde rédactrice que mon patron avait sous ses ordres. Cette sale beauté fatale en mini jupe qui dévoilait ses jambes de rêve. « Elle est médiocre et c’est à elle que tout revient. Elle mène en dérisions des sujets tellement importants. C’est vraiment révoltant. Elle n’est bonne qu’à faire des photocopies et du café, tu le sais très bien. Noah, tu me dégoûtes à me filer les vieux os déjà usés et mainte fois détruits par les autres. Je vaux mieux que cela. » Mon ton était loin d’être amical. Tout ce que je voulais, c’est soit qu’il vire cette pouffe sans nom, soit qu’il me rende ce qui me revenait de droit, et que j’avais au début. « Mais tu sais bien que si je te donne tous les sujets les plus importants, ils se douteront de quelque chose. » « Et pourquoi donc ? Explique-moi, depuis le début ça fonctionne comme cela, même avant ce que tu appelles « quelque chose ». Pourquoi aujourd’hui se douteraient-ils de ce qui se passe ? Au contraire, c’est comme ça que tu leur mets la puce à l’oreille, et que tu te discrédites, toi et la chaîne. Et puis, au pire, va te faire voir, si tu veux tout faire capoter, à ta guise, j’irai trouver ailleurs quelqu’un qui sache honorer mon boulot. » Oui, je l’avoue, là j’étais plutôt peu modeste, mais je me sentais surtout très dévalorisée. Il fonctionnait totalement à l’envers et cela me dépassait. Sur le coup, j’étais prête à tout foutre en l’air, à rendre mon tablier et à claquer la porte. Mais Noah se leva à son tour et s’approcha de moi, tentant de prendre une attitude coupable, en disant « Écoute, je préfère prendre des précautions. Mais si tu y tiens, tu n’as qu’à aller me faire quelque chose sur cette affaire là. » Il me tendit un mini dossier. Je n’eus pas besoin de le lire pour relever la tête, étonnée. « Mais tu veux que je fasse quoi là-dessus ? Tu sais très bien que j’ai déjà essayé de l’aborder et qu’il a refusé, et que d’autres ont reçu le même accueil. Il ne veut PAS se faire interviewer. Je suis loin de pouvoir faire ça. Arrête de te moquer de moi. S’il faut que je mette fin à ce que tu penses pour avoir le droit à un retour sur les plateformes importantes, sache que je suis capable, même à contrecœur, de le faire. » Sérieusement, je ne pouvais rien faire sur cette affaire là. Je ne m’en souvenais que vaguement, depuis le temps où tout le monde tentait de le joindre en vain, j’avais oublié la moitié du dossier. Je me souvenais juste de « Neil Wood », ce conducteur de bus qui avait eu un accident sérieux en conduisant un car. Et franchement, que pouvais-je inventer de nouveau pour amadouer l’homme et enfin avoir des informations ? « Essaie, au moins une dernière fois. Si tu as quelque chose, ne serait-ce qu’une infime nouveauté là-dessus, compte sur le fait que cela aura un effet plus que positif, puisque depuis tout ce temps, personne n’a rien eu. Je sais que tu peux avoir quelque chose. » Discrètement, Noah tenta de prendre ma main, que j'évitais sans confusion. Il en fallait beaucoup plus pour me faire revenir au pas dans ce genre de moments. Je pris le dossier sous mon bras, attrapai mon sac et sortais du bureau, en prenant soin de bousculer la brune avec un café chaud dans les mains. J’esquissais un sourire en coin ainsi qu’un « Oh, désolée ! » très mensonger, puis partit sans autre mot. La seule chose qui me restait en tête était cette question : me faisait-il vraiment confiance sur ce coup où se foutait-il encore une fois de ma gueule ?
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Je ne trouvais plus un moment de répit. Entre mon patron qui me suppliait de faire comme il le disait afin de ne dévoiler à personne notre relation interdite, ma sœur qui faisait encore des siennes, mon chat malade, ma banquière incompétente, ma vie sociale désastreuse, les dossiers qui s’entassaient sur ma table, mon état de santé qui se dégradait et ma royale fatigue, c’en était trop. Je sentais que j’allais péter un câble. Je ne savais ni où, ni comment, ni pourquoi, ni quand, mais je savais juste que cela devait indéniablement arriver à un instant ou à un autre. Et le samedi était loin d’être mon jour de prédilection. Les embouteillages, les gens tous de sortie, les problèmes à la pelle. Quelle horreur. Je me rendais à mon lieu de travail habituel, rendais mes écrits à mon patron et m’attelais à la tâche. Je partageais la même pièce que cette femme que je ne pouvais supporter. Sans arrêt, elle tournait autour de Noah, imaginant qu’elle avait une emprise sur lui et me dédaignant, sans imaginer ce qui se passait et ce qu’elle ratait. Elle me tournait autour en me demande ceci ou cela avec une voix de gentille fille qu’elle n’était pas, m’offrait un grand sourire chaque fois, était polie, me proposait son aide. Tout cela me faisait tourner en bourrique. Beaucoup de gens auraient aimé que quelqu’un se comporte comme cela avec eux. Moi aussi, en réalité, mais pas celle-là. Parce que rien qu’à son parfum, on sentait le faux, le superficiel, la vanité, la prétention, la sophistication. Toutes ces choses que je détestais chez quiconque. Et le pire, c’était qu’elle voulait à tout prix Noah. La pauvre fille, elle lui faisait un magnifique lèche-bottage, pensant peut être pouvoir parvenir à quelque chose avec lui. J’en riais silencieusement, je me mordais les lèvres et j’avais du mal à ne pas lui éclater à la figure que Noah avait d’autres centres d’intérêts que sa fausse poitrine. Cependant, je n’avais envie ni de me faire virer, ni de faire virer Noah. Alors je gardais ma langue dans ma poche, en me moquant d’elle sous cape. Au moment où je m’apprêtais à terminer mon principal but de la matinée, elle renversa un chocolat brûlant sur moi. Il y en eut assez pour que cela m’agresse les jambes, l’abdomen, et que cela fasse griller mon ordinateur et ma clé USB. Lorsque je vis tout le travail d’une année bousillé par ce cerveau factice, il n’en a pas fallu plus pour me rendre folle. L’ordinateur portable était irrécupérable, malgré tout ce que l’on aurait pu y faire, ainsi que la clé USB, qui avait littéralement bu le liquide. Je me levais brutalement, et jetai soudainement l’ordinateur avec la clé encore insérée dans un des ports USB au visage de Caroline, comme cette infâme créature s’appelle. Elle le reçut en plein dans le mille, sans avoir eu le temps de tenter une esquive. Ce dernier lui ouvrit la lèvre et la joue. Ni une ni deux, comme une vraie fillette, Caroline se jeta sur moi pour me rendre la pareille. Je ne tentai pas de me battre avec elle, mais juste de retenir ses mains et ses coups. Elle hurlait comme une folle, et cela raisonnait à travers tout le bâtiment. Avant que quelqu’un ait eu le temps d’arriver, elle m’avait fait un horrible casse-cuisse qui m’avait fait mettre à genoux. Elle en profita pour me mettre un coup de genou dans mon nez, qui se mit directement à pisser le sang. Je n’eus pas le temps de me relever que le premier arrivé était déjà là, et bien malheureusement, il ne s’agissait de personne d’autre que Noah. Je levais la tête, légèrement abasourdie par le choc subi au nez, qu’on me connait affreusement fragile. Il voulut m’aider à me relever, mais je repoussais la main qu’il me tendait et me relevai de moi-même. J’essuyai machinalement le sang qui coulait de mon nez, et esquivai lâchement celle qui se prenait pour Wonder Woman en prenant renfort derrière « l’homme de la situation ». « Est-ce que je peux savoir ce qu’il se passe ici ?! » L’autre se mit à piailler, comme une furie, à me traiter de tous les noms et à me jeter la faute. « Tu lui as jeté ton ordinateur au visage ? Mais t’as pété une durite ou bien ? » « Cette mégère a volontairement renversé son gobelet sur mon ordinateur, ma clé USB et moi. Un, je suis ébouillantée de l’abdomen aux genoux, deux, j’ai perdu une année entière de travail. » Je désignais mon tee shirt et mon pantalon trempés, tout en pensant à mon magnifique équipement coutant une fortune détruit par un liquide. Vivement le jour où la technologie permettra que l’électronique soit résistant à l’eau. Je savais que c’était moi qui allai prendre, mais peu m’importait, je ne supportais plus cette façon de travailler. Caroline tenta à nouveau de m’asséner un coup que Noah para pour moi, puis elle commença à s’extasier sur la façon dont les minorités étaient dévalorisées au profit des jolies jeunes blondes (car il fallait le savoir, elle était typée asiatique). Jeune, d’accord, blonde, ok, mais jolie. Certainement pas. Elle, c’était un peu Kimora, et moi… Je n’arrive même pas à trouver. Oh, si, peut être Kelly Osbourne, que je trouve juste laide à souhait. C’était vraiment la goutte d’eau qui avait fait déborder le vase. « Je me casse d’ici. » « Quoi ?! » « Tout le monde veut que je parte ici, alors j’exauce le souhait commun. Au revoir. » « Non mais attends tu peux pas faire ça, réfléchis un peu ! » « Vu le boulot de merde qu’on me donne, vu la pétasse que je me trimballe, vu comme cette pétasse s’attaque à moi et détruit mon travail, si. » Alors que Noah tentait de me retenir pour éviter que je quitte la pièce et que les mots que je venais de sortir soient mis en vigueur, Caroline se mit à rire tout ce qu’elle savait. Je la regardais d’un air dédaigneux, si nous avions dû nous expliquer, cela aurait pris trop de temps. Trop de temps car elle n’aurait jamais compris. Je me défis une dernière fois de l’emprise physique que tentait d’avoir sur moi mon patron, et m’arrêtai sur le pas de la porte, me retournant une dernière fois, regardant d’abord la jeune asiatique avec un grand sourire de soulagement. « C’est fini. » Puis, posant mon regard sur Noah. « Tout est fini. » J’appuyais sur le « tout » pour qu’il comprenne de quoi je parlais. Cela devait certainement me briser le cœur, mais j’avais beaucoup trop de haine pour le ressentir. Je quittais le bâtiment sous le regard soit ébahi soit déçu de mes collègues et retournai dans la rue, comme une clocharde sans plus rien pour payer son appartement. Hello ! :3 J'espère ne pas avoir été trop chiante sur le scénario, je sais à quel point je peux l'être. N'hésitez surtout pas à venir me voir, poster à la suite ou dans la partie invités, ou bien à m'envoyer un MP, sur ce compte ou celui de T. Aeldrinn Malarkey avec tout ce qui vous embête ou que vous voudriez savoir en plus. C'est un personnage assez libre en dehors du lien avec Zira, du coup à peu près tout est négociable. Concernant l'activité, je vous demanderai juste d'être à niveau concernant l'orthographe, je ne peux pas RP avec quelqu'un qui en fait 25 par ligne, c'est plus fort que moi. Pour la présence, tant que c'est régulier, je m'adapte. ♥ Ah oui, et le nom est TOTALEMENT aléatoire, il s'agit juste d'un nom pour ne pas mettre "X" à la place. |
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