J'ai soudain une envie de peindre. De peindre oui, mais pas chez moi. L'éclairage n'est pas idéal pour ça. Il est même carrément nul. Du coup où pourrais-je aller pour exprimer mon art en toute sa splendeur ? Quelle question, chez mon petit Tigre. Et nul besoin d'emmener mon matos, je possède ce qu'il faut chez lui. Son studio est idéal pour travailler, il est parfait. Je parle du studio bien évidemment, quoi que, son propriétaire l'est tout autant. Parfait. Parfait lorsque je manque d'imagination. Parfait lorsque l'envie de le sauter me prend. Je ne saurais définir notre relation parce qu'elle est indéfinissable. Quelle logique. Je me contente d'enfiler des morceaux de tissus qui cacheraient mes parties histoire de ne pas choquer les âmes les plus sensibles lorsque je sortirais dans la rue. C'est-à-dire un mini short ainsi qu'un léger débardeur jaune fluo. Le style tu l'as ou tu l'as pas. Il se trouve que je le possède. Prétentieuse ? Du tout. Réaliste surtout. Lorsque je vois les filles ce maquiller à balle à n'en plus savoir de quelle couleur est leur peau et à s'habiller de fringues tout aussi farfelues les uns des autres, je me dis qu'à côté je suis plutôt bonne façon naturelle. Converse aux pieds, nickel je suis prête. Je quitte mon petit chez moi et c'est à vélo que je rejoins le petit studio du jeune Tigra. Je débarque comme d'habitude, sans prévenir. Je sonne à peine à sa porte qu'il m'ouvre déjà. « Salut mon chou ! » Un léger baiser volé aux coins des lèvres (oui, j'aime embrasser les gens) et je pénètre dans son studio. « Je suis venue peindre, je manque d'inspiration ... » lui sors-je d'une voix légèrement sensuel. Quoi ? Je ne sous-entends rien, c'est juste ma façon de m'exprimer. Je prends mes aises chez lui et attends une réaction de sa part, petit sourire aux lèvres.

« DÉSIR INSPIRANT », Le désir de l'homme trouve son sens dans le désir de l'autre.

Ofihesrf. « Putain. » Tu grognes. Premiers mots de la journée. Elle va commencer fort, tu le sens. Tu viens de te prendre les pieds dans ta pile d'habits qui traîne dans un peu prêt toute la pièce qui te sert de chambre. Mais dépotoir sérieux. Tu tentes de te frayer un chemin jusqu'à la salle de bain, elle n'est pas dans un meilleur état. On voit bien que t'es un mec, un vrai de vrai. Limite t'ose même pas imaginer l'odeur de mâle qui empeste les lieux. Les nanas doivent être à la limite de l'évanouissement quand elles entrent ici. Au moins, elles ont l'honneur de découvrir ce qu'est réellement un vrai mec, ce qui en somme, ne leur arrivera qu'une seule fois dans leur misérable vie. Un rictus arrache tes lèvres aussi sec et tu repenses à ta dernière conquête et à son cul bien ferme. Un vrai petit bijou. Malgré sa beauté ambulante, dès que t'avais eu fini ton affaire, tu l'avais virée comme une malpropre, te récoltant une bonne grosse gifle au passage. Heureusement, elles ne sont pas toutes aussi violentes. Tu penses alors à la douceur de ta petite artiste. Quel bon coup cette fille, dans le genre super souple, tu n'avais pas à te plaindre. Petit plus, elle avait décidé d'installer son studio de peintre chez toi, du coup, tu pouvais profiter de son corps de déesse comme bon te semblait. Ça y est, il te suffisait d'y penser pour avoir envie de te la faire. Comme quoi, c'était vraiment ton désir qui te guidait. Qu'est-ce que tu serais sans lui. Tu passes vite fait à la douche, histoire, d'être bien frais et tu retournes dans ce qui ressemblait à chambre pour trouver quoi te mettre. Tes armoires sont vides, merde. Tu t'abaisses alors et tu sens quelques t-shirt dans l'espoir d'en trouver un propre à te mettre. C'est bon, le gris cassé fera l'affaire. Tu l'enfiles à peine que t'es déjà devant la porte pour quitter ton studio des plus miteux. Tu ouvres la porte quand tu tombes nez à nez avec.. doux visage, fines lèvres, traits fins, corps bien gaulé.. ton artiste. Un large sourire apparaît sur ton visage alors qu'elle approche son visage du tien pour y déposer un baiser au coin des lèvres. « Salut mon chou ! » Cette nana est kiffante. Tout de suite, elle arrive et elle te comble, elle sait ce que tu veux. C'est ça qui est tellement bien avec. « Je suis venue peindre, je manque d'inspiration ... » Sa voix sensuelle te fait parfaitement comprendre son message. Toi aussi, tu savais ce qu'elle voulait. Refermant la porte derrière elle, tu te retrouvais déjà coller contre son corps, ta main dans ses cheveux, à la regarder dans les yeux. « En manque de quel genre d'inspiration.. » Tu laisses ta phrase en suspend pour lui déposer un doux baiser dans le creux de le cou. « En manque de ce genre d'inspiration ? » Tu lui déposes alors un nouveau baiser, mais cette fois, tu vises ses lèvres. « Ou bien de celle-là ? » Tu reposes tes lippes contre les siennes de manière plus soutenue ce fois, lui faisant comprendre, que tu avais clairement envie d'elle. Puis d'un coup, tu séparais votre étreinte pour lui dire, « Les habits léger ne te vont pas du tout, tu es plus rayonnante, le corps nu. ». Un clin d'oeil s'échappait sur ton visage. Et oui, tu connaissais ses goûts en matière de mode...

« En manque de quel genre d'inspiration.. » Il est là, devant toi, à te fixer de son regard de sauvage. Oui sauvage, car ce petit Tigra s'en est un. Et il te comprend. Pas la peine d'utiliser des mots inutiles, un regard suffit pour faire passer le message. Un regard, ou un pincement de lèvre. Ce type te rend toute chose, et dès que tu le vois, l'inspiration te vient et tu as comme une poussée d'adrénaline qui te fait entrer en transe. Tu ne sais pas ce que ressentait Warhol avec ses muses, mais si c'est ce que tu peux ressentir lorsque tu te trouves dans la même pièce que cet homme, dans ce cas tu sais que tu ne pourrais t'en lasser. Mieux qu'une drogue, mieux que le sexe, il a quelque chose qui fait de toi une artiste plus qu'extraordinaire. Tu ne fais plus que peindre, ou créer, maintenant tu ressens ce que tu fais, tu le vis. Vous ne pouvez pas comprendre, c'est un truc d'artiste. Et vous savez bien que les artistes ont souvent un esprit bien décalé. Ouais, ils sont barges. Comme toi. Il sait comment te charmer, et ce baiser dans le cou te fait frémir d'envie. Ton sourire aux coins de tes lèvres en dit long sur ton état d'esprit. « En manque de ce genre d'inspiration ? » Tu ne dis toujours rien. Putain, comment il fait ? Il te comprend si bien. Il est de la même gamme. Et de toute façon tu n'as pas le temps de l'ouvrir qu'il dépose déjà ses lèvres sur les tiennes. Tu ricanes, mais putain qu'est-ce que tu aimes ça. « Ou bien de celle-là ? ». Tu es toujours muette, tu ne peux toujours rien dire, car de toute façon il sait comment prendre les devants. De nouveau vos lèvres se touchent, mais cette fois-ci de façon plus intense. Vos corps sont dorénavant proches, puis il l'ouvre à nouveau. « Les habits léger ne te vont pas du tout, tu es plus rayonnante, le corps nu. », un nouveau sourire s'affiche sur Ton visage. Tu te décales de son étreinte et ôte de façon sensuel ton haut. Quasiment nue devant lui, tu prends enfin la parole. « La nudité est une absence de vêtements qui ne manque pas d'effets » Les artistes et leurs citations. Tigra s'en balance de ce que tu viens de dire, de toute façon il est trop obnubilé par tes pêches bien juteuses. Tu t'approches de nouveau de lui, tu lui donnes envie de te prendre et de te faire l'amour. Un seul regard suffit pour lui faire passer cette envie. Sauf qu'une fois proche de lui, tu ricanes d'un rire cristallin et tu te contentes d'un simple baiser sur ses lèvres avant de t'éloigner pour rejoindre ta pièce. Oui, ta pièce. Celle que tu loues pour peindre, pour exprimer ton art, pour laisser ton imagination divaguer. Lumineuse, elle est idéale pour l'artiste que tu es. Devant ton chevalet, tu sais pertinemment qu'il ne tardera pas à te rejoindre. « Ôte ton t-shirt ... » ce n'est ni un ordre, ni une obligation, mais tu sais qu'il le fera.

« DÉSIR INSPIRANT », Le désir de l'homme trouve son sens dans le désir de l'autre.

Ça fait pas longtemps que cette nana tu la connais pourtant, t'as l'impression de la connaitre comme personne. C'est peut-être dingue et insensé. Elle a bon être une artiste du genre incomprise, toi tu sais ce qu'elle vaut et ça t'suffit pour te faire kiffer. C'est pas une question de sentiments, ça non. Dans ton genre, c'est pas ton truc, t'es plus un connard de première classe et non sentimental à souhait. Mais c'est plutôt une question d'attraction, de désir, de passion. Et aussi le fait que dans le fond, t'es un peu un incompris, mais personne ne s'est jamais posé la question, où n'a même jamais pensé creuser sous la carapace. Tant mieux, tu ne le laisserais pas faire. Fin, ce qu'il y a de mieux avec l'artiste, c'est qu'vous savez tous les deux, autant l'un que l'autre ce que vous voulez, et vous vous le donnez sans prise de tête. Si bien que dès l'entrée en matière, vous aviez commencé sur les chapeau de roue à déjà vous chercher. Tu cherchais ses lèvres, tout comme son corps. Tu n'avais pas hésité à l'embrasser avec une légère hargne lui faisant comprendre que oui, tu voulais d'elle, plus que de n'importe qui à l'instant même. Puis tu avais reculé de quelques pas pour lui avouer qu'tu la préférais nue. Elle était tellement bien dessinée, le corps parfaitement proportionné, les courbes fines et douces. Rien qu'avec lui comme atout, elle en faisant craquer plus d'un. Pire même, elle était capable de créer l'effet d'un bombe dans la tête d'un homme. Dans la tienne du moins. Cette pensée t'arrache un léger soupire de désir. Comment résister à une créature pareille ? « La nudité est une absence de vêtements qui ne manque pas d'effets. » T'es tellement omnibulé par ses prunelles que tu en perds le file de la discussion. Par ses prunelles ou ses seins bien définis alors qu'elle venait de tomber le haut. De toute manière, les phrases savantes, c'est pas trop ton truc alors tu ne rates pas grand chose. C'est ça aussi qui t'fais kiffer chez elle. C'est sa manière unique d'être toujours en décalé avec le monde qui l'entour. Elle y ajoute sa petite touche personnelle sans prêter attention aux commentaires des gens qui l'entour. Tu redescends sur terre alors qu'elle se rapprochait de toi avec son air de tigresse qui voulait tout dire. Message compris. Elle n'allait pas le regretter. Comme à chaque coup d'ailleurs. Puis en fidèle peste qu'elle est, elle t'avais ris au nez en te déposant qu'un médiocre baiser au coin de la bouche. Elle faisait sa petite joueuse là. Pire, elle t'avait planté pour rejoindre sa pièce d'artiste torturé à la recherche de l'inspiration suprême pour innover. Tu n'étais pas décidé à la rejoindre. Si elle voulait te laisser mijoter, tu ne lui ferais pas ce plaisir de la retrouver dans sa pièce. « Ôte ton t-shirt ... » Tu l'entends au loin avec sa voix déterminée. T'sais pertinemment qu'elle va pas se faire prier parce que tu vas la rejoindre. Au fond, t'es qu'un faible qui se fait mener par le bout du nez par son putain de désir. Mais alors que t'étais prêt à te résigner, une idées te vint à l’esprit. Comme quoi, il n'y avait pas que la demoiselle qui faisait preuve d'imagination. Direction la petite cuisine, tu en profites pour te foutre à poil. Quelques minutes plus tard alors que l'Ice Tea avait du s'impatienter, tu l'avais retrouvée. Posté sous ses yeux, tu lui présentais ton corps nu, les tétons recouverts de crème chantilly avait une petite cerise comme supplément. Tes parties intimes étaient elles aussi cachées par la chantilly. « Un petit creux? »

Ce petit con possède un petit quelque chose qui fait naître en moi de drôle de sentiments. Je ne parle pas d'amour, ça serait un comble pour une fille comme moi. Mais d'une alchimie, de l'extase, d'une explosion de sensations diverses. Moi, folle ? Tout à fait. Folle de ce que ce mec me permet de faire. C'est-à-dire me lâcher, laisser mon esprit divaguer et peindre des choses que je n'aurais jamais imaginé poser sur une toile. Il est ma source d'inspiration, ma muse ? Sans doute. En tous cas j'aime venir ici pour laisser exploser mon inventivité. Et cela, tout en baisant. Si ce n'est pas beau. Habituellement il n'est pas le genre de mec vers qui je serais allée. Je n'aime pas les pauvres type dans son genre. Je préfère les petits puceaux timides. Chacun son style. Mais en plus de son physique ravageur, il a quelque chose. Sauf que je ne saurais dire quoi. Du coup je ne peux m'empêcher de revenir encore et encore. Puis j'ai aussi une pièce que je lui loue. Dorénavant dévêtue suite à un de ses sous-entendus, je me pose face à mon chevalet. L'attendant, le jeune homme se fait attendre. Il doit sûrement préparer quelque chose. À force de petits moments comme celui-ci, je me surprends à mieux le connaître. Sauf que je ne m'attendais pas à tant de sa part. Le voilà qui fait son entrée -royale- transformé en un banana split géant. « Un petit creux? » Je ne peux m'empêcher de rire. Un rire que je n'arrive plus à stopper tellement cette vision me faire délirer. Il n'y a que lui pour faire des choses pareilles. Ce mec est aussi dingue de moi. Je me lève pour lui faire face, mais j'ai énormément de mal à garder mon sérieux. Il me reste de mon délire, un léger rictus qui se force à rester intact pour ne pas repartir en éclats de rire. Me mordillant la lèvre pour empêcher que cela ne se produise, je tente d'afficher un regard coquin et gourmand. De mon doigt, je lui ôte un peu de chantilly de son téton droit avant de le mettre dans ma bouche. Et cela, je vous pris, de façon très, très sexy. « Hum ... c'est vrai qu'elle est bonne ... ». J'ajoute un petit clin d'oeil avant de continuer. « ... mais j'ai déjà mangé mon ange ! ». Je lâche un petit ricanement avant de me retourner et de me poser à nouveau devant mon chevalet. Biatch ? Je le suis. Mais j'aime le chercher pour qu'il m'en dévoile un peu plus. Même si on ne peut pas faire plus nu que ça. Je prends mon pinceau et un peu de peinture, puis je commence à peindre. Je n'en oublie pas mon petit en-cas. À peine quelques traits de tracés, je ne peux résister à la tentation de me retourner. Tournant sur mon tabouret, je lui fais donc à nouveau face. Ou plutôt, face à ses parties recouvertes de chantilly. Un nouveau petit rire m'échappe. « Tu sais ... je ne suis pas fan de la chantilly ... ». Je prends une pause, fixe ses parties puis ses yeux, et reprends. « ... par contre, je suis très fruits. Surtout des bananes ... ». Quelle cochonne.

« DÉSIR INSPIRANT », Le désir de l'homme trouve son sens dans le désir de l'autre.

L'alchime qui te reliait à ce petit bout de femme était sans doute unique. Unique et surprenante. Tu ne détenais cet hermétisme avec aucune autre. C'était sans doute ce qui faisait que tu finissais toujours par retourner vers elle, à profiter de son corps. De chaque petite parcelle de peau que tu te régalais de découvrir à nouveau à chaque partie de jambe en l'air. Tu saivais pertinemment qu'avec elle, l'ennui ne te gagnerait jamais. Vous étiez pareil sur ce point. L’ennui tue, le jeu amuse. Sans doute qu'au final, tu avais trouvé ton double féminin. Elle s'était comme imposée à toi. C'était sans doute ta première attache depuis bien des années, en dehors de Thadé. Cette pensée ne te plaisait guère, mais tu te devais de l'avouer. Elle était spéciale. Comme toi. Elle avait d'ailleurs tout pour elle. La personnalité décalée, la belle gueule, les formes, le style. C'était Ice Tea quoi. Elle était à peine arrivée chez toi que votre passe-temps favori avait déjà repris. Ôtant ses vêtements, tu avais à peine eu le temps d'apprécier la vue qu'elle t'avait planté pour se rendre dans sa pièce où elle t'avait apostrophé en te donnant l'ordre de la rejoindre torse-nu. La coquine, si elle voulait du spectacle, elle allait être servie. Pas qu'un peu même. Te présentant à elle, tu étais totalement dépouillée de toute vêtement. Seule tes parties étaient camouflée par de la chantilly. En la regardant, tu vois tout de suite que ta petite tenue lui bien bien de l'effet. Son regard te dévorait presque pourtant, elle semblait se retenir de rire. « Hum ... c'est vrai qu'elle est bonne ... » Clin d'oeil à l'horizon. Elle venait de se poster devant toi et enfonçait son indexe dans le paquet de crème qui dissimulation téton. « ... mais j'ai déjà mangé mon ange ! » Tu plonges ton regard dans le sien alors qu'elle ricane comme une pin-bêche. Dès qu'elle jouait sur ce terrain là avec toi, c'est qu'elle en voulait plus. Tu avais appris à déchiffrer ses désirs. Pourtant, elle allait devoir attendre un peu avec le coup qu'elle venait de lui faire. Un sale rictus recouvrait tes lèvres alors qu'elle s'était saisit de son pinceau pour peindre. Elle allait craquer bien avant d'avoir fait ne serait-ce qu'un trait sur la toile vierge. « Tu sais ... je ne suis pas fan de la chantilly ... » Tu fais tes petits yeux avant de rétorquer, « C'est bien dommage, il va falloir que je me satisfasse tout seul.. » Tu laissais ta phrase en suspend en reculant de quelques pas. Note que vu le degré de sa perversion, elle serait bien du genre à t’observer tandis que tu te faisais du bien. Décidément, cette fille, elle en ratait aucune. C'était un phénomène à elle toute seule. « ... par contre, je suis très fruits. Surtout des bananes ... » Voila, qu'est-ce que tu disais. Tu lui cèdes un rire pour sa bêtise. La banane au cul, elle ne l'avait pas raté. Mais dieu, si elle savait à quel point c'était inconfortable. Limite t'avais l'impression de te faire sodomiser sur place. « Ah oui, tu veux la goûter ? » Tu souris fièrement en secouant légèrement le bassin pour l'allécher d'avantage.

Être en sa compagnie t'amuse. Avec lui, il n'y pas a une seule seconde qui se passe sans une vanne ou un sous-entendu pervers. Il est toi, tu es lui. Pas besoin de parler, de vous raconter vos journées, vos ébats, pas d'attache, mais juste de l'amusement. L'idéal en somme. Perchée sur ta chaise à t'inspirer du spectacle qu'il t'offre pour écrire quelques chansons, tu ne peux te concentrer une seule minute. À faire le singe, banane au cul, cela t'amuse énormément et tu le montres en éclatant de rire. Jamais en manque d'inspiration celui-ci. Le cherchant un peu, il n'en perd pas pour autant le nord. « Ah oui, tu veux la goûter ? ». Regard coquin, petit sourire d'allumeuse sur les lèvres, tu te lèves de ta chaise pour lui faire face. À proximité de son visage, tu passes ta main derrière son dos, le frôle et la fait descendre jusqu'à ses fesses, là où trône la délicieuse banane. Tu la saisies et la ramène à ta bouche. Sensuellement, tu en croques un bout. « Délicieuse ... ». Puis tu esquisses un petit sourire avant de glousser. À eux deux ils pourraient être des stars du porno. À cette pensée, tu ris de plus belle. Finalement tu jettes la banane par terre et sort de la pièce où vous vous trouvez. Te dirigeant vers la cuisine, tu vois sur le comptoir, la bouteille de chantilly trôné. Tu la prends avec toi et vois que le jeune tigra t'a rejoint. Tu le lui agites alors sous le nez. « J'ai faim ... » dis-tu de ton petit air aguicheur. « ... malheureusement tu l'as vidé, du coup ... tu permets ? » lui fais-tu en indiquant son téton enchantillyoné (ouais, ça existe pas, tant pis). Sans même attendre sa réponse, tu te sers de ton doigt pour en prendre un peu. Mais joueuse, au lieu de le mettre dans ta bouche, tu approches celui-ci de la sienne. D'une façon cochonne, il te lèche le doigt et tu glousses à nouveau, telle une ado en chaleur. « Elle est bonne n'est-ce pas ? Sauf qu'il t'en reste .. hum .. attend .. ». Approchant ton visage du sien, de ta langue tu lui ôtes le restant de chantilly au coin de ses lèvres. « On pourrait t'appeler peggy, espèce de cochonne va ... » dis-tu une fois ton visage décalée. À noter, rendre plus souvent visite à ce charmant jeune homme (...)