il court il court, le furet (oakley)
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il court il court, le furet (oakley)

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MessageSujet: il court il court, le furet (oakley) il court il court, le furet (oakley) EmptySam 25 Aoû - 23:27

« SI TU SUCCOMBES AU PARFUM C'EST PARFAIT POUR NE FAIRE QU'UN. VANILLE, FRAISE OU BIEN CERISE, T'AURAS LES POILS QUI S'HÉRISSENT, MAIS JE SAIS CELLE QUE TU PRÉFÈRES, C'EST CELLE EN GUISE DE DESSERT. »
Chaque jour est un autre jour. Chaque jour est fait pour tenter d'emballer une nouvelle conquêtes. Autant tenter par la même occasion une nouvelle technique. Tu arrives au resto où un pote est serveur. Il t'a dit de venir parce que, soit disant, « le vendredi soir, y'a de la shnek ». C'est toujours bon à savoir quand même. En plus il a une technique infaillible à te refiler. Bon, pas que t'aies réellement besoin de technique pour pécho non plus, mais pourquoi pas tenter, ça n'te coûte rien de toute façon. Ce n'est ni trop vide, ni trop plein. Et effectivement y a de quoi se servir. Tu vas voir ton pote en cuisine, tu rentres comme si t'étais le roi. Un cuisinier te regarde de travers, mais tu l'emmerdes. Tu fais c'que tu veux, s'il est pas content, il n'a qu'à démissionner. Ouais bon, en agissant de la sortes, tu joues l'emploi de ton pote, mais t'en as strictement rien à faire. « Bon alors, c'est quoi ton plan pour tirer un coup efficacement ? » Il te tend un polo du restaurant, un sourire gigantesque aux lèvres. « Enfile ça. » « Non mais, t'arriveras pas à me faire faire ton boulot merdique, t'es un grand malade ! » « Merci du compliment, connard. Allez, enfile ça j'te dis. Tu vas "servir" une meuf, et puis tu l'emballes dans les vestiaires. C'du tout cuit j'te dis ! » Tu rigoles et t'exécutes, enlevant ta chemise pour enfiler le polo. Tu te regardes rapidement dans le miroir, arrangeant tes cheveux en despi, et te dirige vers la salle. Tu lui balances un « Connard de nègre ! » en partant qu'il te répond d'un doigt d'honneur. Drôle d'amitié que voilà. Une femme te passe devant à l'instant même et va s'asseoir à une table. Ta cible. Blonde, l'air asiatique, pâle, et, oh, ne serait-ce pas une marque légère de bronzage due à une alliance ? Fort intéressant. Tu t'approches d'elle, l'air confiant. Sa tête te dit quelque chose, mais tu n'arrives pas à mettre le doigt dessus. Tant pis. Tu prends un air naturel et détaché. « Qu'est-ce qui vous fera plaisir ? » Tu lui sors ce sourire mi-poli, mi-charmeur qui en fait craquer plus d'une. Pourtant tu sens que ça ne va pas être si facile que ça avec elle. C'est peut-être ça qui te pousse à tenter le coup.

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MessageSujet: Re: il court il court, le furet (oakley) il court il court, le furet (oakley) EmptyDim 26 Aoû - 1:17

« T'ES PAS DU RIZ, J'SUIS PAS CHINOIS MAIS J'VOUDRAI BIEN T'SAUTER.. »,
Personne n'a de 9 millimètres sauf si tu parles de zizi.
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T’es la sale gosse par excellence. Quand t’étais gosses, tu n’hésitais pas à sécher les cours, toujours plus barbant d’heures en heures. Faut croire que t’as gardé tes sales habitudes à part que c’est plus avec les cours que tu fais ça mais avec ton job. C’est plutôt ironique. Sécher son job. Qui aurait l’idée de faire ça. T’es animatrice radio, t'es reconnue dans ton métier, tes auditeurs fidèle t'attendent de pieds ferment pourtant, tu t’en bas les couilles. Limite, t’as rien à foutre du monde. Tu l’emmerdes. Tu vis ta vie comme tu l’entends et que personne ne vienne t’en faire la remarque. Parce que c'est beau d'avoir un métier, et t'as bon le kiffer comme pas possible, des fois, t'as besoin de souffler. De prendre l'air et prendre congé n'est pas aussi excitant, soyons clair. Ce matin, tu t’es quand même levée, juste pour le plaisir. Tu t'es même habillée d'un jeans alors que limite t'en es allergique. T'es avoir les jambes à l'air, mais à la radio, limite si faut pas se cacher des pieds au cheveux, sérieux, qu'est-ce que ça peuvent leur foutre? Ce sont que des jambes. C'est pas comme si tu passais au JT où tout simplement à la télé. Non, t'es juste dans un studio, derrière un micro. Merde quoi. Puis si on te choppe manquant à ton poste, tu sortiras une bête excuse de genre, « Je voulais acheter des croissants pour l'équipe et finalement, un fan m'a proposé un café, je n'allais pas lui refuser. » Hum, c'est pourri, mais au pire, tu ferais un peu de charme et ça passerait comme une lettre à la poste. Fin bref, c'est pas ce qui compte à l'instant même. Ton estomac gronde de faim, tu vas farfouiller dans les armoires. Elles sont vides. Ton putain de mari est encore passé par là à coup sur, quel chieur celui-là. Tu décides finalement de sortir manger dans un petit resto peu fréquenté. Tu mets les pieds à l’intérieur et directement ton regard se pose sur le serveur. Maigrichon, cheveux soignés, yeux profonds, pas mal le coco. Instinctivement, tu affiches un sourire béa. Il t’as déjà remarqué, la façon dont il te matte te fait rire. Tous les même, dès qu’ils posent leur yeux sur une femme, leur regard les dévore carrément. Tu lui offres un léger sourire pourtant mystérieux. « Connard de nègre. » Tu l’entends clairement prononcer ces mots. Instinctivement, tu penses à ta famille. Tu sens la gifle te bruler ma main. Non, zen. Ta vengeance sera plus conséquente. Tu reprends ton calme intérieur et tu vas t’installer à la table à côté de la fenêtre. Tu fais mine de regarder ce qu’il y a la carte pour finir interrompue par le beau serveur pourtant connard sur les bords. Tu lèves les yeux vers lui, il te demande ce que tu désires avec un air charmeur. Dans ta tête, tu choisis tes mots avec soin. T’espère qu’ils auront l’impact que tu imagines. « Hum, toi. » Tu n’en dis pas plus. Tu accordes simplement ta phrase d’un sourire naturel et sexy.

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600 pour toi. ♥
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MessageSujet: Re: il court il court, le furet (oakley) il court il court, le furet (oakley) EmptyDim 26 Aoû - 15:50

« SI TU SUCCOMBES AU PARFUM C'EST PARFAIT POUR NE FAIRE QU'UN. VANILLE, FRAISE OU BIEN CERISE, T'AURAS LES POILS QUI S'HÉRISSENT, MAIS JE SAIS CELLE QUE TU PRÉFÈRES, C'EST CELLE EN GUISE DE DESSERT. »
Alors t'es là, t'exerces pour la première fois de ta vie un boulot, même si ce n'est qu'à moitié. Exercer un boulot. Thadé Licious qui travaille. Ah ça, si il y avait un paparazzi qui passait par là, il sauterait sur l'occasion pour te faire un article dans la presse dès le lendemain. Un titre du genre « Licous est serveur, papa maman lui airaient-ils coupé les vivres ? » ou encore « Thadé Licious travaille ! Il s'est décidé à se sortir les doigts du cul ? ». Tu en rigoles intérieurement. Ah, s'ils savaient ! Quelle supercherie. Non, vraiment, le jour où tu travailleras vraiment, et surtout en tant que serveur, les cochons se mettraient à voler. Et encore, il faudrait que quelqu'un en jette un d'un toit, parce que même avec des ailes les pauvres ne décolleraient pas du sol. Non, non, en fait t'as juste trouvé une autre activité. Qui en soit reste la même puisqu'elle va se finir, sans aucun doute de ta part, par un coup tiré vite fait bien fait. Et ton occasion justement de tirer ton coup c'est cette petite cliente blonde. Tu te la ferais bien, il faut l'avouer. Et un petit regard aux alentours te montre que tu n'es pas le seul. Normal. Mais le hic, c'est qu'avant de pouvoir la baiser, tu dois d'abord la "servir", ça c'est une autre histoire. Tu t'sens un peu comme dans une émission du genre "vis ma vie" t'sais, genre tu serais rentré dans le rôle du pauvre qui est obligé de bosser pour avoir de l'argent, sauf que personne n'a prit ta place, encore heureux. Des fois tu plains un peu les gens qui n'ont pas d'argent, mais tu te dis que c'est le karma qui veut ça, alors tant pis pour eux. Bref, tu lui demandes ce qui lui fera plaisir, la phrase bateau qu'on t'a sorti jenesaiscombiendefois quand tu allais au restau, et tu lui tends le menu. Elle le prend et fais mine de le lire. « Hum, toi. » Tu souris, mi-amusé, mi-étonné. Tu ne t'attendais pas vraiment à une telle réponse de sa part. Finalement ça sera plus facile que prévu. Tu la regardes dans les yeux, finalement pas du tout gêné de la situation, au contraire même plutôt intéressé. Son regard est vif et te percute. Si tu n'avais pas su gérer tes pulsions, tu aurais déjà "débarrassé" la table d'un revers de la main et te serais occupé de son cas. Ouais, heureusement tu sais gérer tes pulsions, ça aurait été plutôt mal vu par le gérant et les clients sinon. « Bien évidemment. Où, quand, comment ? » Tu imagines déjà une réponse du genre "ici, maintenant, comme tu le sens", mais autant en profiter pour tester sa répartie. La balle est dans son camp.

ma réponse est trop pérave putain.
edit; 69ème message pour toi, c't'un signe héhé (a)
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MessageSujet: Re: il court il court, le furet (oakley) il court il court, le furet (oakley) EmptyLun 27 Aoû - 2:04

« T'ES PAS DU RIZ, J'SUIS PAS CHINOIS MAIS J'VOUDRAI BIEN T'SAUTER.. »,
Personne n'a de 9 millimètres sauf si tu parles de zizi.
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Ce qui a de bien avec toi c’est que tu peux aller n’importe où, tu finis toujours pas être reluquée. Que t’ailles à une station service ou encore au supermarché, tu finis toujours avec le pompiste dans les chiottes ou avec le cassier à la réserve. T’es peut-être mariée, c’est pas pour ça que t’es fidèle. Ton mari, c’est juste une couverture. Une erreur. Un jeu tout simplement. Le plus marrant dans l’histoire c’est que tu te tapes tout le monde sauf lui et inversement. Rien ne vous relie si ce n’est l’alliance que vous portez mutuellement. Bref, tu entres dans le restaurant et le serveur n’échappe pas à la règle. T’as à peine mis le pied à l’intérieur qu’il te matte déjà. Dans ses yeux, t’es capable d’imaginer ce qu’il aimerait faire avec toi. Un sourire s’étire le long de tes lèvres jusqu'à ce que tu l’entendes pestiférer sur un noir. Tout de suite, t’as le seum. Tes parents sont black. Il est raciste où quoi. T’as envie de pousser la gueulante et de le remettre à sa place, la queue bien entre les jambes. Finalement, en y réfléchissant, une meilleure idée s’impose à toi. Rien que d’y penser, un sourire fleurit en toi, intérieurement. Ce que tu peux être machiavélique à tes heures perdues. Tu t’installes à table et tu n’attends pas longtemps pour que le serveur en question ne rapplique et te sort la phrase bateau du "je te sers quoi". A pleines dents, tu lui réponds sensuellement que c’est lui que tu veux. Il a l’air étonné, agréablement même. Dans le mile, tout marche à merveille. Personne ne semble lui avoir déjà fait ce coup. Tant mieux. T’es décidément la seule à être capable d’innover un tant soit peu dans ce monde. Tu plonges alors ton regard dans le sien et tu sens que son esprit boue déjà. Il a envie de toi. Si tu avais pu le faire, tu l’aurais laissé te prendre sur la table devant les clients, mais pas sur qu’il désire se faire virer. Tant pis pour lui. Il fini par te répondre du tac au tac, « Bien évidemment. Où, quand, comment ? ». Il semble aimé jouer. Tu vas t’amuser. Adoptant ton air angélique comme tu savais si bien le faire, « Je me tâte, je me tâte. J'hésite entre le plat et le dessert ou juste après le dessert. Ce qui serait parfait c'est d'en avoir un entre et un après si tu vois ce que je veux dire.. » Que la partie commence. tu te mets à explorer les alentours dans l’espoir d’apercevoir un autre serveur canon. Bingo. Tu tires le gros-lot. Décidément, tu vas finir par revenir plus souvent dans ce restaurant si tous les serveurs sont aussi chauds.

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raconte pas de conneries, genre, haha.
comme par hasard.. un, elle m'tend ses bras. (a)
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MessageSujet: Re: il court il court, le furet (oakley) il court il court, le furet (oakley) EmptyLun 27 Aoû - 14:48

« SI TU SUCCOMBES AU PARFUM C'EST PARFAIT POUR NE FAIRE QU'UN. VANILLE, FRAISE OU BIEN CERISE, T'AURAS LES POILS QUI S'HÉRISSENT, MAIS JE SAIS CELLE QUE TU PRÉFÈRES, C'EST CELLE EN GUISE DE DESSERT. »
Et tu es là, planté devant elle, tu la regardes dans les yeux et tu attends. Tu attends quoi au juste ? Ah oui, qu’elle fasse son choix. Aujourd’hui tu as de la chance de tomber sur une cliente joueuse avec laquelle tu ne risques visiblement pas de t’ennuyer. C'est pas pareil que ces filles qui, comme t'avait prévenu ton pote, risquaient de te prendre de haut parce que tu serais un simple serveur. Non parce que très franchement, tu n'aurais pas supporté une nana dans ce genre-là, ça serait parti en couille et .. Il ne vaut mieux pas que sa parte en couille. Elles se pensent supérieures parce que tu es employé et que “le client est roi” –tseuh, roi mon cul, ouais !– alors qu’elles viennent dîner ans un restaurant miteux dont elles ne pourraient même pas être fières et la plupart du temps elles y viennent pour colporter les ragots avec leurs copines –ah parce que ça, il est inutile de préciser à quel point elles sont fortes pour les ragots, hein– ou pour finir par tromper, une fois de plus, leur mari. Tu te dis que c’est tant pis pour lui s’il est cocu, parce que si c’est le cas c’est qu’il l’a mérité ou alors qu’il n’est pas si bon que ça au lit. C’est d’ailleurs souvent pour ça que tu interviens, enfin du moment que la femme est baisable, le reste tu t’en fiches. Pourtant il fut un temps où tu ne réfléchissais pas comme ça, où tu attachais de l'importance à tout ce que tu pouvais trouver à l'intérieur, un temps où tu éprouvais des sentiments. Ce temps qui n'est plus, tout ce semblant d'âme qui t'a été brutalement retiré. Et tu ne t'en plains même pas. Bon, en attendant, fais donc face à cette cliente blonde au prénom qui t’es encore inconnu. « Je me tâte, je me tâte. J'hésite entre le plat et le dessert ou juste après le dessert. Ce qui serait parfait c'est d'en avoir un entre et un après si tu vois ce que je veux dire.. » Un fin sourire s'étend sur tes lèvres. Bien évidemment que tu vois ce qu'elle veut dire. Enfin, tu le pensais. Jusqu'à ce que tu la voies chercher aux alentours. Alors tu ne lui suffis pas ? Une croqueuse d'homme qui fait cocu son mari, drôlement intéressant, héhé. Mais tu ne t'avoues pas vaincu, non, non. Elle va devoir se contenter de toi, et tu comptes bien lui faire comprendre. Tes yeux restent fixés dans les siens, tu poses tes deux mains sur la table et tu t’approches d’elle, comme un prédateur d'approche de sa proie : lent, doux, mais sauvage. « Tu n'as pas peur d'avoir les yeux plus gros que le ventre ? C'est que, il serait dommage que tu sois rassasiée dès le début .. » Un petit sourire en coin est glissé. « Mais puisque mademoiselle .. » Tu te rappelles la marque de l'alliance et décide de lui faire jouer carte sur table. « Enfin, madame, semble être endurante .. Je te conseille les deux, en effet. » Tu te relèves, toujours ce sourire coquin imprimé sur tes lèvres. « J'peux t'offrir le meilleur truc que t'as jamais goûté .. À moi tout seul. » Tu appuies bien sur ce fait, hors de question de partager ton coup avec un pauvre plouc de serveur. « Mais pas ici, j'voudrais pas faire jalouser les autres clientes .. »

haha le hasard fait bien les choses (a)
deux, elle n'attend pas (a)
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MessageSujet: Re: il court il court, le furet (oakley) il court il court, le furet (oakley) EmptyLun 27 Aoû - 15:38

« T'ES PAS DU RIZ, J'SUIS PAS CHINOIS MAIS J'VOUDRAI BIEN T'SAUTER.. »,
Personne n'a de 9 millimètres sauf si tu parles de zizi.
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Tu le regardes, il te regarde, tu lui souris, il te sourit. L’affaire est dans la poche. Au fond, t’es qu’une peste qui joue avec les gens. T’assumes entièrement. T’es à peine arrivée au restaurant que le mec tente de te pécho. Enfin même si à la base, c’est toi qui lui a fait une proposition. Il n’attendait que ça, tu as juste forcé un peu les choses, rien de plus. Tu lui offres un nouveau sourire. Tu vois clair dans son jeu. T’es même certaine qu’à l’heure actuelle, il a du mal à retenir ses ardeurs pour lui. Tu ris intérieurement. Ce que t’es diabolique de rire des envies des autres. Tout de suite, le plan drague commence, il commence bêtement par une phrase bateau et tu renchéris sensuellement, tu continues sur ta lancée persuadée que tu vas le faire craquer. Du coup pour bien jouer le jeu à fond, tu arbores un sourire des plus magnifiques. L’image de ton mari te revient à l’esprit, c’est exactement le genre de sourire que tu n’auras jamais pour lui. Il ne sait pas ce qu’il rate, quel dommage. Et oui tu te rends sexy pour les inconnus, mais pas pour ton mari. Tu dois être une femme horrible. Sans doute. Tu t’en fiches après tout, "Ta moitié" est exactement comme toi après tout, il te pourrit la vie, tu te contentes simplement de lui rendre la pareille et pour ça, ce bel inconnu va t’y aider. Un mal pour un bien comme on dit. Tu t’es toujours demandé ce qu’il pensait en te voyant avec un autre homme. Peut importe à l’instant même tu t’en fiches. Tu te concentres à nouveau sur le serveur sexy alors qu'il s'était abaissé légèrement pour approcher son visage du tien, laissant une faible proximité entre vous. Ses yeux, tu fonds. Une impression de déjà vu te perturbe quand même, son visage. C'était comme si tu l'avais déjà vu quelque part, pourtant tu ne parvenais pas à remettre le doigt sur le où. Peu importe, t'étais sur le pont de conclure avec un beau gosse. Retrouvant ses iris, tu t'y plongeais en l'écoutant parler. Tu ne pouvais pas faire autrement, c'était limite si ses yeux ne t'omnibulaient pas. Quelle douce sensation. Il est décidément canon. Hop hop, stop Oakley, ne pas perdre ton objectif de vue, il a quand même une dent contre les blacks. Du coup, t’as envie de pousser un soupire seulement tu te retiens pour ne pas que ça paraisse suspect. Bref, tu souris simplement. « Tu n'as pas peur d'avoir les yeux plus gros que le ventre ? C'est que, il serait dommage que tu sois rassasiée dès le début .. » Tu as envie de rire, ton jeu marche à merveille et ce serveur se révèle de plus en plus intéressant. « Mais puisque mademoiselle .. » Petit blanc faisant monter la température, « Enfin, madame, semble être endurante .. Je te conseille les deux, en effet. » Ton alliance lui a sauté aux yeux, t’as déjà une petite idée de l’excuse que tu vas lui sortir, tellement bidon pourtant, plutôt amusante. Généralement les gens en rient. « Anneau de chasteté, chéri. Ça fait toujours bonne impression. » Tu laisses un petit rire s’échapper de tes lippes tout en lui offrant un clin d'oeil avant de renchérir, « J'ai un appétit insoupçonnable. Puis pourquoi ne se contenter d'un plat alors que le dessert est si alléchant? » Il va en baver avec toi, c'est sur. Si tu pouvais parier, tu dirais qu'après ta phrase, son sourire malicieux disparaîtrait de son joli minois. Quelle dommage quand même, ça serait un vrai gâchis. « J'peux t'offrir le meilleur truc que t'as jamais goûté .. À moi tout seul. » Tu le fixes alors qu'il insiste bien sur les derniers mots. Il te veut à lui seul, pas mal. C'est qu'il est sur de lui en tout cas, tu souris sans répondre.. « Mais pas ici, j'voudrais pas faire jalouser les autres clientes .. » Affichant ta mine déçue, tu lui fais passer à travers ton regard le fait qu'il manque de couilles. Ce n'est qu'une petit insinuation pour voir si ça va le déstabiliser. « Oh attention, je ne voudrai pas choquer ton harem. » Ton ton est léger et plaisantin. Tu reprends plus sérieusement, « Tu me proposes quoi alors ? »

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et oui, on est trop bonne pour ça, haha
trois, j'la prends sur moi (a)
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MessageSujet: Re: il court il court, le furet (oakley) il court il court, le furet (oakley) EmptyMar 28 Aoû - 23:41

« SI TU SUCCOMBES AU PARFUM C'EST PARFAIT POUR NE FAIRE QU'UN. VANILLE, FRAISE OU BIEN CERISE, T'AURAS LES POILS QUI S'HÉRISSENT, MAIS JE SAIS CELLE QUE TU PRÉFÈRES, C'EST CELLE EN GUISE DE DESSERT. »
Drôle de journée, qui aurait crû que tu serais allé te faire passer pour un serveur juste pour draguer, franchement ? C'est de l'idée assez originale quand même, il faut l'avouer. Drôle de compagnie, la tête de la jeune femme te dit quelque chose, étrangement sa voix encore plus, et pourtant tu as beau retourner ça dans tous les sens possibles inimaginables, tu ne trouves pas. Drôle d'objectif, pécho une femme mariée, c'est pas vraiment dans tes habitudes, d'ailleurs si tu ne te trompes pas, ça va bien être la première fois. Comme quoi faut une première fois à tout .. Drôle de vie. Il n'empêche que tu te trouves assez chanceux pour le coup, tomber sur une fille aussi canon, ça .. Bon, si, en fait, avec toi ça arrive tout le temps. Mais pour pas faire trop vantard, on va dire que ce n'est pas quelque chose qui arrive tous les jours. En tout cas, une canon et joueuse, c'est pas tous les jours, ça c'est sûr. Elle a l'air autant joueuse que toi, et c'est franchement pas mal, elle t'intéresse de plus en plus décidément. Penché vers elle au-dessus de la table, tu fais remarquer indirectement que tu as vu son alliance, ce à quoi elle répond, rigolant : « Anneau de chasteté, chéri. Ça fait toujours bonne impression. » Un sourire amusé s'étire sur tes lèvres. Il faut bien avouer que tu ne t'y attendais pas à celle-là, c'est sûr. Mais tu n'as pas dit ton dernier mot. Tu attrapes sa main gauche, faisant rouler l'anneau entre ton pouce et ton index, puis tu le fais glisser tout doucement le long de son doigt jusqu'à l'enlever, rétorquant un : « Alors tu n'en auras pas besoin, on peut l'enlever. » Tu poses la bague sur la table, et rajouter : « Pas vu, pas pris. », pour bien appuyer sur le fait qu'il n'y aura pas chasteté entre vous. « J'ai un appétit insoupçonnable. Puis pourquoi ne se contenter d'un plat alors que le dessert est si alléchant ? » Ton sourire retombe quelque peu. Elle est en train de fortement insinuer qu'elle ne se contentera pas de toi, et ça ne te plaît absolument pas. Mais elle verra bien par elle-même, une fois qu'elle aura eu droit au plat de résistance avec toi, c'est de ton dessert dont elle aura envie, et pas de celui d'un autre, c'est certain. « Oh attention, je ne voudrai pas choquer ton harem. » Tu rigoles, regardant aux alentours. Il est vrai que beaucoup de regards furtifs te sont lancés. Et pourtant, ton harem est bien loin de se trouver ici. « C'est pour ta sécurité que je dis ça, il serait fort dommage que tu te fasses tuer par l'une d'entre elles parce que tu as eu ce qu'elles voulaient et qu'elles n'auront pas .. » « Tu me proposes quoi alors ? » Un sourire en coin apparaît sur ton visage, ton regard est plein de sous-entendus, vif. « Le nirvana, tu connais ? » Tu te veux sérieux, pourtant c'est le côté bestial et avide du corps de la petite blonde qui prend le dessus. « Si tu me suis, je peux t'y faire goûter. Ou sinon, tu peux te contenter d'une simple baise, fade, c'est toi qui voit .. » Tu accompagnes tes paroles en désignant du menton l'autre serveur. Logiquement, là, elle devrait se lever et te suivre sans discuter.

quatre, j'lui bouffe la .. ahh (a)
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MessageSujet: Re: il court il court, le furet (oakley) il court il court, le furet (oakley) EmptySam 1 Sep - 1:56

« T'ES PAS DU RIZ, J'SUIS PAS CHINOIS MAIS J'VOUDRAI BIEN T'SAUTER.. »,
Personne n'a de 9 millimètres sauf si tu parles de zizi.
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Le comble d'un homme marié n'est-il pas de se lever un matin en se demandant quel était le prénom de la fille à côté de lui. C'était plutôt marrant à y penser quand tu savais que ce comble était le tien et que tu n'hésitais par à sauter sur la moindre occasion de rendre cocu celui qui était sensé être ton mari. En lui accordant une de tes pensées les plus minimes, tu l'imaginais déjà bien entrain de ruminer dans le salon de votre appartement à attendre ton retour pour t'assassiner à coup d'insultes sanglantes sur tes activités extra conjugales qu'il pratiquait lui aussi. Un sourire intérieur avait alors fleuri face à cette image de lui. Ça, c'était bien la paternité de ton oeuvre. L'essence même qui faisait de toi une femme mariée parfaite et attentionnée. D'ailleurs pour bien le prouver, tu avais reporté toute ton attention sur le serveur que tu avais commencé à draguer sans la moindre gène. La discussion tournait justement autour de la fameuse alliance qui décorait ton majeur gauche, après avoir décrété qu'il ne s'agissait que d'une bague de chasteté. « Alors tu n'en auras pas besoin, on peut l'enlever. », t'avais-il murmuré en prenant soin de la retirer de ton doigts pour la faire glisser sur la table. « Pas vu, pas pris. », tes lèvres s'étirent face à ses mots qui pèsent lourd. Tu savait que l'enjeu entre vous était de taille, mais tu ne comptais pas le laisser avoir ce qu'il désirait si facilement. L'idée de le faire mariner t'étais alors venue tout naturellement et tu lui avais avouer avoir un appétit improbable, cachant au passage le sourire charmeur qui animait ses lippes. Méchante Oakley. En une phrase, tu avais quasiment détruit tous les espoirs du jeune homme. Il avait très vite repris la main, et heureusement. Quand tu offrais ton corps à un homme, il devait le mériter (ce que n'avais jamais réussis à obtenir ton mari d'ailleurs). Ensembles, les yeux dans les yeux, vous échangez quelques rires en observant les recoins du petit restaurant et les gens qui vous avaient à l'oeil. « C'est pour ta sécurité que je dis ça, il serait fort dommage que tu te fasses tuer par l'une d'entre elles parce que tu as eu ce qu'elles voulaient et qu'elles n'auront pas .. » Tu ris. Malicieusement, tu affiches ton air sexy avant de lui demander ce qu'il proposait. Exit les pertes de temps inutiles, tu voulais de l'actions. « Le nirvana, tu connais ? » Sous-entendu bonjour. Mordillant légèrement ta lèvres inférieur, tu avais posé tes doigts sur sa main et tu avais entrepris de douces caresse histoire de faire monter quelque peu le désir qui vous réunissait désormais. « Je devrai ? » A ton tour, tu joues sur les mots. Tu le sentais alors de moins en moins patient, la passion s'était emparée de son ton, « Si tu me suis, je peux t'y faire goûter. Ou sinon, tu peux te contenter d'une simple baise, fade, c'est toi qui voit .. » Sourire à pleine dent, une remarque te brûlait les lèvres. C'était plus fort que toi, autant t'y risquer pour apprécier sa réaction et voir son degré de plaisanterie. « Pourquoi, tu as déjà testé ? » Pause. Sourire espiègle. « Non parce qu'un plan à trois, je suis pas contre. » Sans un mot de plus, tu t'étais levée pour suivre. C'était ça qu'il attendait depuis le début alors... Vite fait, tu avais saisi ton alliance que tu avait fourré dans la poche avant de ton slim. Il t’emmenait alors dans une petite pièce sombre où qu’importe, tu n'y avais prêté aucune attention, tu étais juste focalisée sur ses yeux. Ses yeux et ses lèvres dont tu t'étais sauvagement emparées alors qu'il avait à peine refermer la porte.

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800 pour toi, ♥
sois belle et tais-toi (a)
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MessageSujet: Re: il court il court, le furet (oakley) il court il court, le furet (oakley) EmptyDim 30 Sep - 16:31

« SI TU SUCCOMBES AU PARFUM C'EST PARFAIT POUR NE FAIRE QU'UN. VANILLE, FRAISE OU BIEN CERISE, T'AURAS LES POILS QUI S'HÉRISSENT, MAIS JE SAIS CELLE QUE TU PRÉFÈRES, C'EST CELLE EN GUISE DE DESSERT. »
Il t'est bien difficile de réaliser que tu es, à l'instant même, en train de faire le travail de quelqu'un qui cherche à gagner sa croûte. Non, c'est sûr, tu n'as pas pour habitude de travailler, et tu te demandes même comment quelqu'un peut choisir de faire un boulot comme ça. Servir des gens la plupart du temps désagréables, porter des plats brûlants à travers la pièce, slalomer entre les tables tout en ne faisant rien tomber bien évidemment, te faire claquer des doigts par des gens impatients et impolis, c'est un travail tout sauf agréable. Heureusement pour toi, ce n'est pas ton boulot. En fait, tu ne bosses même pas. Et c'est le pied. Mais là, pour une fois, tu fais ça par pur plaisir : le plaisir de te faire de la chair fraîche. Et aux vues des regards que les femmes présentes te jettent, tu leur rends un grand service par ta présence. Soit elle n'ont pas l'habitude d'avoir des serveurs aussi canons ici, soit elles n'ont pas l'habitude de voir des mecs aussi canons tout court. Au choix. Toi, tu opterais plus pour le fait, simplement, qu'une femme ne peut pas s'empêcher de te regarder, tout bêtement parce que tu es super canon. Normal, rien que quand tu les regardes, tu es persuadé qu'elles ne peuvent plus lâcher tes yeux bleus. Comme cette petite asiatique qui, décidément, te dévore du regard. Tu as lancé la balle qu'elle a magnifiquement attrapé au vol. Elle est très joueuse, visiblement coquine aussi. C'est vraiment un caractère que tu adores. Tu es persuadé que tu vas passer un bon moment avec elle, c'est certain même. C'est bien parti pour, en tout cas. « Le nirvana, tu connais ? » Un sourire en coin qu'elle te répond en mordillant sa lèvre inférieure. Sa main vagabonde lentement sur la tienne, ça te chatouille, ton cœur s'accélère peu à peu en même temps que ton désir pour elle qui devient de plus en plus pressant. « Je devrais ? » Tu lui proposes alors de te suivre afin de lui faire goûter à ce qu'est le plaisir, le vrai, lui faisant comprendre par la même occasion que ce n'est certainement pas l'autre serveur qui la fera grimper aux rideaux. « Pourquoi, tu as déjà testé ? » Un sourire franc étire tes lèvres. Bien sûr que non. « Tu es trop curieuse. » « Non parce qu'un plan à trois, je suis pas contre. » Décidément, elle ne s'est pas enlevé de la tête l'idée de finir par se faire l'autre aussi. Pourtant elle verra bien par elle-même, qu'après toi, elle n'aura plus assez d'énergie pour aller faire quoi que ce soit d'autre chose, et, par la même occasion, elle trouvera les autres bien fades en comparaison. Dommage pour elle d'être tombée sur toi, elle ne pourra bientôt plus se passer de toi. Elle se lève alors, coopérative, et te suis jusqu'à la réserve dans laquelle tu la mènes rapidement. Tu n'as même pas le temps d'allumer la lumière qu'elle attrape déjà férocement tes lèvres, avide d'un baiser passionné. Tu la pousses jusqu'au mur derrière elle où tu la plaques doucement avant de faire redescendre tes lèvres jusqu'à son cou puis son épaule, descendant d'une main sa bretelle, calant l'autre au creux de ses reins. La meilleure expérience de sa vie, c'est maintenant.

600 ♥
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MessageSujet: Re: il court il court, le furet (oakley) il court il court, le furet (oakley) EmptySam 6 Oct - 15:56

« T'ES PAS DU RIZ, J'SUIS PAS CHINOIS MAIS J'VOUDRAI BIEN T'SAUTER.. »,
Personne n'a de 9 millimètres sauf si tu parles de zizi.
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« Tu es trop curieuse. » Un rictus couvre tes lèvres. Oh, s'il savait à quel point tu pouvais l'être. Curieuse de lui, curieuse de ses lèvres, curieuse de son corps. Petit à petit, tu commençais à perdre patience. C'était maintenant que tu le voulais, pas dans des heures. Il t'avais déjà assez baratinée ainsi. Pourtant, tu ne perdais pas ton objectif premier, celui dont tu avais eu l'idée après qu'il ait critiqué une personne de couleur. Il t'avais demandé de le suivre, ce que tu avais fait sans hésiter, sentant que l'instant fatidique arrivait. Enfin. Si bien qu'une fois qu'il t'avait fait entrer dans la petite pièce sombre, tu l'avais attrapé sans la moindre douceur pour plaquer tes lèvres contre les siennes. Tu laissais alors libre court à ta sauvagerie et tu lui avais mordillé légèrement la lèvres inférieure tandis qu'il collait ton cors contre le mur qui se situait à quelques pas derrière toi. Ton dos avait claquer, mais tu n'avais pas lâcher ses lèvres pour autant, éprise par le désir qu'il créait en toi. Tu avais ressentis ses lippes descendre le long de ton cou puis vers ton épaule pour qu'il finisse pas faire glisser l'une de tes bretelles le long de ta peau. C'était maintenant que tout se jouait. Ne pouvant retenir tes mains de se balader, elles avaient fini sous son t-shirt à l’effigie du petit restaurant dans lequel vous étiez. D'un coup de maître, tu lui avais enlevé. Tu aurait pu lui arraché, m'enfin, il t'aurait peut-être prise pour une folle ou une sadomasochiste au désir incontrôlé. Ressentir sa peau nue contre ton corps te faisait bien plus d'effet que tout le reste. C'était le moment suprême que tu préférais sans doute dans chaque partie de jambes en l'air. Tu t'étais retrouvée la poitrine à demi-nue et tu le sentais te la caresser. Tu avais alors passé l'une de tes jambes derrière les siennes de manière à le rapprocher davantage de toi. S'il pensait toujours à t'offrir la meilleure expérience de ta vie, il allait devoir s'accrocher et faire un peu plus d'effort parce que là, il était loin de t'en faire cadeau. « Alors, j'suis sensée ne plus me sentir c'est ça , », lui avais-tu soufflé au creux de l'oreille, un soupçon de défi au bout des lèvres. Après avoir fait un peu la connaissance de son égo, tu avais tout de suite compris comment le toucher et comment faire pour qu'il t'offre le meilleur de lui-même. Il était vrai que tu avais bon, mais il ne s'était encore rien passé de spécial, rien qui ne se démarquait de tes autres coups d'une fois et tu attendais CE truc, CETTE surprise qu'il t'avait promise. En quelque sorte.

mise en page par fade out

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