∞ nom :Zöhre ∞ prénom : Véra Dunya-Briséïs Electr ∞ âge et date de naissance : Vingt ans. Elle est née le 15 Janvier 1991 ∞ lieu de naissance et origines : Montsimpa. Américaine. ∞ études ou profession : Etudiante en Littérature moderne. ∞ statut civil : anarchie, anarchie. ∞ traits de caractère : Une vrai emmerdeuse, voila ce que tu es Dunya. Tu t'amuses à foutre le bordel partout. Tu te nourris des douleurs des autres, de leurs peines, leurs tourments. Tu es une petite princesse friquée qui ne se soucie que de son petit cul et rien d'autre. En même temps, ce n'est pas de ta faute; n'est-ce pas ? Tu es née avec une cuillère d'argent dans la bouche. Tu fais chier le monde en évacuant tout ce qui te passe par la tête sans y penser, sans peser le pour ou le contre. Maussade ? Cela ne fait pas partie de ton vocabulaire. Tu emmerdes le monde et avec le sourire en prime. Tu es toujours de bonne humeur à raconter des blagues bien pourries, à discuter avec des inconnus, à aborder des relous. Rétive, rebelle, tu n'en fais qu'à tête. Tu trouve un plaisir fou à défier tes parents, briser les barrières qu'ils t'ont fixé. Ils faut les comprendre ma pute, en même temps tu es une Zohre. Ils ont peur, ils craignent la réputation que tu vas te coller. Ils ne veulent pas que tu finisses seule ou encore en cloque. Tu es la seule héritière de la famille, de l'entreprise. Tu dois arrêter d'être distraire; tu dois te concentrer, te calmer. Toi, tu t'en fous. Tu ne prends même pas la peine de les écouter. Ils t'emmerdent, hein ? Tu les trouves bien trop inutiles, vieux, grincheux. Toi, tu es vive, une vrai boule d'énergie. Tu vagabondes partout, tu n'aimes pas le silence, le calme. Tu manques de manières, et tu trouves cela attrayant. Tu es grossière et en es fière. Tu es nihiliste, c'est pour ça. Une vrai anarchiste. Pour toi, la vie est dénudée de tout sens, de toute valeur. Pour toi, la vie est une pute. ∞ groupe et aspiration :Sims ordinaires. Aspiration; plaisir.



C'est bon. On a baisé, c'était bien. On ne va pas en parler toute la matinée. Agacée, tu te lèves et te diriges vers la fenêtre. Il fait beau dehors. C'est paisible, comme toujours à Montsimpa. Rêveuse, tu commences à dessiner des cercles invisibles avec ton doigt sur la vitre. James se lève et se colle à toi. Il passe ses bras autour de ta taille et commence à t'embrasser dans ton cou. Tu soupires. C'est bien pour cette raison que tu préfères ne pas dormir après une bonne partie de jambes en l'air. Tu regrettes d'avoir cédé. Tu aurais du être ferme et quitter son appartement tout de suite après. Mais pourquoi n'acceptent-il pas de te laisser partir ? Pourquoi demandent-ils toujours plus ? Qu'on te laisse tranquille. Tout le monde te veut quelque chose. Tout le monde s'attend à ce que tu changes; que tu réagisses autrement. Putain. Ne comprennent-ils pas que c'est ta vrai nature ? Que tu ne fais pas semblant d'être mystérieuse ? Que tu te lasses rapidement de la compagnie des gens ? Que tu enchaînes les conquêtes l'une après l'autre juste pour t'amuser ? Non tu n'es pas tourmentée. Non tu n'as pas de soucis pour les évacuer en couchant avec des garçons. Tu t'amuses, seulement. Voila ce que c'est. Reste encore, Bri. Tu ne l'écoutes pas. Il n'existe pas. Tu continues de regarder par la fenêtre, égarée. Tu es épuisée moralement plus que physiquement. Tu t'écartes de lui et passe une main sur son visage. Tu ne le regardes même pas. Tu t'habilles rapidement et quitte la chambre qui a été témoin de vos ébats torrides et le restera pour toujours comme plein d'autres chambres.
Tu es moche. Tu grimaces. Tu le trouves extrêmement laid et tu as mal aux yeux. Tu détournes le regard. Ta mère fait tomber le plateau qu'elle tenait entre les mains. Elle est choquée, frustrée, gênée, furieuse. Toi, tu t'en fous. Tu les emmerde tous et surtout ce puceau de "Hutchinson". Qu'ils arrêtent de te filer des époux minables et tu te montreras peut être bien plus polie. Les petites manières, les convenances: tout cela ne t'a jamais vraiment impressionné. Tu vis dans une famille aristocrate dans un monde pourri et lécheur. On te lèche les bottes constamment, on se tue pour te faire plaisir, pour voir au moins un bout de ton sourire ( la p'tain de rime ). Toi, t'en profites. T'es la reine et ils sont les valets, non les esclaves. Andrea Hutchinson se crispe. Il est bien trop coincé pour oser te défier ou répliquer après ta remarque. Il croise les bras et implore sa maman pour rentrer. Tu laisses échapper un rire gai, enfantin et te lève brusquement pour te diriger vers la porte. Tu ne fuis pas le regard de ta mère - furieuse . Au contraire, tu t'y attardes, tu la défies. Ils te saoulent avec leurs habitudes pourries et leurs manières. Tu t'ennuies et décides donc de sortir, de t'amuser.
Ton père ne sera pas très content le soir quand ta mère lui balanceras tout. Mais tu le contrôles. Tu verseras deux trois larmes et il tombera dans le trou. Ils sont des pions eux aussi. Tu t'amuses à les faire bouger sur ton grand échiquier de petite emmerdeuse bourgeoise. Reviens me voir quand t'auras enfin vu une paire de nichons. Tu es belle, tu le sais et t'en abuses. Tu peux obtenir tout ce que tu veux en clignant les yeux et tu ne fournis donc aucun effort. Tu quittes rapidement la grande villa en pensant à ce que tu feras cette nuit. Il te fallait un nouveau cow boy, une nouvelle poupée. Lasse, tu décides de partir à la chasse aux garçons.


∞ prénom et pseudo : Miriam. ∞ âge : Dix-neuf ans. ∞ sexe : J'ai pas de zboub si c'est ça ce que tu veux savoir. ∞ comment as-tu connu le forum ? Je le connais depuis bien longtemps. J'avais juste trop la flemme de m'inscrire dessus. ∞ t'es plutôt du genre à traumatiser tes sims où à aimer les belles et grandes familles parfaites ? Les traumatiser, bien sûr. Ziva j'me serai tapée la tehon en balançant l'autre réponse. ∞ raconte-nous ta vie : Dracaufeu c'mon bébé. ∞ tes autres comptes sur pwl : Pas encore schizo, merci. ∞ célébrité : La plus belle: ma Brynja Jónbjarnardóttir .