Tu n'as jamais reçu d'éducation de la part de tes parents, l'amour tu n'as jamais connu ça. Ton père était un simple ivrogne toujours vautré sur le canapé et ta mère était une prostituée qui vendait ce qu'elle avait encore à vendre pour s'occuper de toi. Elle ne t'as jamais envoyé à l'école elle trouvait sa inutile, tu avais mieux à faire de ton temps; mieux ? Chaque soir tu accompagnais ta mère dans les rues de New-York, elle te laissait dans un bar derrière elle, où tu étais simplement assis derrière le comptoirs, un verre de coca à la main et l'interdiction de bouger. C'est à l'âge de sept ans que tu es tombé amoureux de la musique, derrière le bar tu écoutais cette musique électronique, tu bougeais en rythme derrière le bar. Le soir où tu as découverts la musique ta mère c'est fait embarqué par la police pour racolage, à la fin du service du barman il t'as mit dehors, tu devais rentrer chez toi. Comment reconnaître ton chez toi parmi toutes ces tours qui touchaient le ciel sûrement étoilé. Tu t'es retrouvé seul, sans la seule personne qui te portait le peut d’intérêt dont tu avais besoin. Dans un semblant de raison tu t'es rendu dans un poste de police le plus proche, mais personne ne te croyait pensant que tu étais un vulgaire enfant de la rue qui cherchait un endroit ou se réchauffer. En sortant du poste tu as tiré un fuck au policier avant de partir en courant, tu as couru jusqu'à ne plus sentir tes jambes. Pendant une fraction de seconde tu as réalisé que maintenant tu étais seul, complétement seul. Et qu'il fallait que tu te débrouilles pour manger et dormir. Ton père mettra sûrement des années pour comprendre que tu n'es jamais rentré à la maison. Ton premier soir dans les rues de New-York c'est plutôt bien passé, tu as réussis à manger des pancakes et à dormir chez une serveuse dans la chambre de son fils, elle t'as accueillit pendant près de trois ans, pendant ce temps tout les matins tu lui faisais croire que tu allais à l'école mais enfaite tu traînais dans New-York pour essayer de te faire de l'argent, tu es tombé bien bas, tu n'en a jamais consommé mais tu as vendu de la drogue. Personne ne pourrait soupçonner un enfant au visage d'ange comme toi de dealer. Au bout de trois ans, la seule femme qui méritait d'être appelée "Maman" venait de te foutre à la porte, elle prétendait que tu aies une mauvaise influence sur son fils. Ni une ni deux tu t'es retrouvé avec un sac sur l'épaule assis par terre à réfléchir de ce que tu allais faire de ta vie.

Acte deux, scène 1 ►

Depuis ce moment où tu étais assis dans la rue avec toute ta vie dans un sac, tu as continu à dealer, mais la vie d'adolescent c'étais tellement le paradis, des fêtes toutes les nuits. Tu n'avais pas encore l'âge de touché une goutte d'alcool mais les barmans n'ont jamais prêter attention à ça. C'est maintenant dans un de ces fêtes que tu as touché des platines pour la première fois dans une boîte de nuit, tu as mis le feux. Tu étais en extase derrière cette table de mixage, un sourire était affiché sur tes lèvres. Tu demandais même comment tes muscles savaient faire ça puisque tu n'en avais jamais affiché avant. C'est dans cette même soirée que t'as vie à basculé, un homme de noir vêtu, il n'a rien dit, il t'as simplement donné un bout de papier avec une adresse et une heure pour le lendemain. Tu n'avais rien à perdre finalement, ça aurait pu être pour te tuer, tu aurais été quand même, tu es trop curieux pour dire non à ce genre de rendez-vous. À la fin de la nuit tu as ramassé tes affaires et tu as quitté la boîte de nuit avant d'aller prendre une chambre dans un hôtel mytheux de la ville avec le peut d'argent que tu t'étais fait tout à l'heure. à peine arriver dans la chambre tu as jeté ton sac d'habits sur le lit avant de t'allumer une cigarette et de te poser assis sur la cage d'escalier de secours à l'extérieur de la chambre, tirant des taf et fumant clopes sur clopes tu regardais les gens dans la rue qui marchaient sûrement pressé de rentrer chez eux, d'autres couples qui s'embrassaient dans la rue. Des mains dans la mains, je les regardaient avec un petit sourire avant de te mettre une claque, pourquoi j'étais aussi mielleux! Tu as fini par rentrer et t'endormir pour les quelques heures qu'il te restait de repos. La nuit est passé aussi vite que si tu n'avais pas fermé l’œil de la nuit, comme si tu ne t'étais pas reposé. Tu t'es levé et assis au bord du slip, une clope allumée à la bouche, tu n'étais rien sans cette clope au saut du lit. Il te restait moin de deux heures pour aller à ce rendez-vous et étais tout sauf motivé pour te rendre, et pour montrer ton mécontentement, tu t'es habillé d'un jean troué, de basket qui avait du connaître la deuxième guerre mondial, d'un Marcel et d'un peut de gel dans tes cheveux. En faisant ton sac, tu as enfilé une jaquette blanche et des lunettes à soleil sur ton crâne car c'est plus stylé d'abriter ses cheveux des rayons du soleil plutôt que ses yeux. Tu es arrivé au rendez-vous avec une heure de retard, tout ça parce que tu t'es arrêter draguer une fille, et failli te faire casser la gueule par son petit ami. Tu ne t'es même pas excusé, tu as posé ton sac par terre avant de regarder les gens autour de toi qui te fixait, tu t'es présenter et l'homme de la veille et venu vers toi en te serrant la main. Il t'a dit en deux mots pourquoi tu étais ici, ça ne t'a pas branché tout de suite mais maintenant que tu étais là et que y avait de jolie filles pourquoi partir plus loin ? « Salut moi c'est Iason », elle a posé une main sur ton bras en te regardant dans les yeux avec un petit sourire aguicheur « et moi je suis lesbienne ». La journée n'étais pas sous le signe de la drague à ce que tu as pu comprendre.... « Iason que ferais tu avec la célébrité ? aider des associations ? des enfants dans la rue ? » j'ai haussé un sourcil en mettant une main dans ma poche « et puis sauver les baleines, les dauphins de leur triste sort.. je fais pas miss monde ! » alors lui il avait pas inventer la poudre.

Acte trois, scène 4 ►

Ce rendez-vous à bouleverser ta vie en quelques heures, après avoir compris qu'il s'agissait d'un casting pour être mannequin, le soir même tu es passé d'un endroit pourris à la grande classe, un homme vêtu d'un costume de pingouin t'as accompagné jusqu'à ta chambre avant de te laisser tranquille. Tu as lâché ton sac, choqué de tant de beauté devant toi, jamais tu n'avais vu autant de chose belle, neuve et cher devant tes yeux. Ta bouche restait ouverte alors que tu avançais dans la pièce avant de sauter à pied joint comme une fille devant le lit qui devait être aussi grand que la chambre. Tu as enfin compris que ta vie venait de changer. Un virage à cent huitante degrés. Dès le lendemain tu as enchaîné séance photo avec des essayage d'habits. Le soir même tu quittais New-York pour Milan la capital de la mode et ton premier défilé. En deux jours tu vivais la vie de star, strass et paillettes, et tu ne t'en privais pas tu adorais ça. Voyager, vivre gratuitement ne jamais rien payer tu y a pris goût à une rapidité éclair. Tu étais jeune quand tu as connu ce succès, ne plus pouvoir te promenais dans les rues seul ou discrètement. Tu as des souvenirs inoubliable de cette vie là, et tu sais que tout peut s'arrêter à n'importe quel moment, tout est éphémère dans ce style de vie, il suffit de faire un faut pas, ou de ne pas être bien habillé pendant une sortie et tu es sous le feux des projecteurs. Tu en a d'ailleurs fait rapidement les frais. Tu n'es pas du genre à te laisser marcher sur les pieds alors ce soir là, alors que tu étais à Londres avec une ancienne petite-amie, tu as frappé un paparazzi qui essayait de te prendre en photo, au bout du rouleau psychologiquement de voir toujours des gens te suivre toute la journée à chacun de tes déplacements. Après ce geste tu as finalement passé quatre jour en prison, pour finalement sortir comme si de rien n'était. Tu as bien entendu fait la une des tabloïds anglais, " le petit américain qui refait le portrait à un paparazzi " tu étais presque fière, tu espérais au moin que maintenant on te laisse un peut tranquille. Tu à vécu cette vie de mannequin pendant près de sept ans, tu as rencontré tout le gratin de la mode, ton téléphone portable et rempli de numéro de téléphone que la moitié de la planète rêverais d'avoir, tu as couché avec sûrement les plus belle fille de la terre. Mais après tout ce temps tu as décidé de changer radicalement de métier, tout en gardant mannequin de côté mais tu es devenu DJ reprenant ta plus grande passion qui est de faire de la musique.

Acte cinq, scène 8 ►

T'es début dans la musique n'ont pas été aussi magnifique que tu le pensais, personne ne croyait au petit mannequin qui subitement faisait un caprice de star en voulant se lancer dans la musique. Alors que tout ça était loin d'être un caprice de star, c'était ce pourquoi tu avais accepté de devenir mannequin, ton rêve n'était pas de porter des habits à plusieurs centaine de dollars, ni de défilé sur des podiums avec les regards fixé sur toi. Mais tout ça à servit à te rendre célèbre, tout le monde de la mode à voulu travailler avec toi à un moment de ta carrière et maintenant c'est juste un tournant de ta vie. Il t'a fallu près d'une année pour réussir à percer dans la musique en y allant au culot, en faisant jouer toutes les relations que tu possédais, et tout à un prix. Le prix de tant d'acharnement était la réussite dans ce métier. Tu es encore loin de David Guetta mais tu as déjà mixé dans les clubs les plus huppés des états-Unis ainsi que deux semaines à Ibiza sur l'île des fêtards, avec les meilleurs DJ du monde. Tu as réussis ta vie, pourtant tout le monde ce permet de te descendre au plus bas, faisant tout pour te faire craquer et la plus part du temps sa réussis, bagarre à la sortie d'une discothèque, plusieurs première page de journaux people avec une fille différente sur une semaine complète. Des photos montages de toi en train de te droguer, alors que la seule vrai drogue que tu prends c'est la cigarette, car oui tu prends ça pour une drogue puisque ça crée une dépendance. Ta vie d'enfant des rues à également était montrée au grand jour, quand tu faisais partie du monde de la mode, tu étais intouchable protéger par tellement de gens mais là tu étais seul, comme un gamin roulé en boule par terre qui se recevait des coups de pieds de tout les côtés. Tu as fait une chute au, tu ne bossais plus tu passais ton temps chez toi à faire une sorte de dépression. Tu as mis plusieurs mois pour remonter la pente, avant de finalement revenir sur le devant de la scène comme si rien ne c'était passé. Tu as continué à mixer dans les boîtes de nuit et tu as repris le mannequinat à côté, tu as repris ce métier pour avoir une sécurité, on ne s'attaque jamais au mannequin sous peur de voir le monde entier se tourner contre vous.

Acte six, scène sept ►

C'était un soir comme les autres pour toi, une table de mixage dans les hauteurs et des gens qui dansent sur la piste. Une soirée parfaite en tout point, après mes deux heures de mixage un autre dj et venu prendre la relève et j'ai pu profiter de la soirée. En me rendant sur la piste j'ai croisé les yeux d'une jeune femme, très belle, une beauté très fraiche. On aurait pu croire qu'il n' y avait qu'elle dans la boîte. Elle te plait déjà et tu feras tout pour l'avoir. Et plus la soirée avance plus le flirte augmente le célèbre jeux du cap ou pas cap fait même irruption dans la conversation, et dans la première phrase elle demande si je suis cap ou pas de l'épouser. Mon moi intérieur disait que jamais j'épouserais personne mais mon côté joueur à tout de suite pris le dessus en répondant oui ! Et ni une ni deux on était marié. La belle connerie oui ! Quand tu vois maintenant quelques mois après, ce que c'est le mariage avec ce truc là ? Ho mon dieu, tu aurais tourné ta langue cinq mille fois dans ta bouche si tu avais su que tu allais te réveiller au côté du diable tout les matins ! « Je savais que tu rentrerais plutôt mon amour ! », j'étais coucher dans notre lit conjugale, car oui même si on couche pas ensemble on dort dans le même lit, mais je préfère être castrer que de coucher avec elle. Je n'ai jamais su être fidèle et ce n'est pas avec elle que ça allait changer, et ramener des filles dans notre appartement était mon passe-temps favoris et là c'était là première fois que Oakley rentrait plutôt de son travail. La fille que j'ai ramené était sous la douche, et l'eau venais de s'arrêter, le troisième round allait pouvoir commencer. « m'en veux pas chérie mais j'ai bien mieux à faire que de te regarder. ». Tu as posé tes pieds par terre avant de te lever et d'avancer vers Oakley, tu as posé la main sur la poignée de la porte de la chambre afficher un grand sourire et refermer la porte. Tu as finalement passé l'après midi en charmante compagnie avant de lui dire qu'elle pouvait dégager sans claquer la porte. Le lendemain tu as renouvelé l'expérience mais cette fois avec une collègue de Oakley, frapper encore plus fort. Et cette fois Oakley à tout surpris, mais tu n'as même pas pris plaisirs à coucher avec cette femme, c'était simplement pour faire enrager Lucifette ! Dès que Oakley à tourner les talons tu as poussé la jeune femme hors du lit en lui lançant ses vêtements.