samson ▼ la vie est plus effrayante que la mort.
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samson ▼ la vie est plus effrayante que la mort.

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MessageSujet: samson ▼ la vie est plus effrayante que la mort. samson ▼ la vie est plus effrayante que la mort. EmptyVen 26 Oct - 12:53

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✖ Samson Becker ✖
vingt-deux ans ∞ Agent d'entretien au cimetière ∞ né à chicago ∞ aussi vide soit-il, il semblerait touché en plein coeur
« Tu t’es tracée dans l’air comme une fuite de gaz, t’as laissé l’allumette entre mes mains ordure. Et c’est moi qui ai craqué, et mon poing explosé dans le mur. Tu t’es tirée comme ça, toi t’as tiré sur moi, t’as shooté en plein vol. J’ai gouté le bitume, des rivières aux paupières, et la mer qui me laisse l’amertume. Tu m’as laissé comme ça, comme un homme à la mer. ▲ Saez. »

all these things that i've done
Vous êtes vous déjà intéressés à la signification de votre prénom ? À ce que ces lettres peuvent bien porter en elles ? À ce qu'elles renseigneront aux inconnus qui les croiseront au cimetière, lorsqu'elles seront gravées sur votre tombe ? Faites le, par simple curiosité, au moins. Moi j'crois qu'on s'est planté avec le mien, de prénom. Ou alors je le porte mal. Je l'ai peut-être enfilé à l'envers le jour de ma naissance. Ou peut-être que mes parents ont mal vu ma tête. Parce que sinon ils auraient compris que je n'avais rien d'un petit soleil. Rien du tout. Ni l'éclat, ni la chaleur. Je suis froid. Froid et creux, comme un coquillage sur le sable. Et le temps m'use, à la manière des vagues, qui viennent et reviennent éroder un peu plus le dos fatigué des coquillages abandonnés. C'est ce que je suis. Un coquillage lassé par la vie. Lassé, et lassant. Parce que je crois bien que les gens en ont ras le bol de chercher à savoir ce que je cache. Pourquoi j'affiche cette sale tronche du matin au soir. Pourquoi je crise pour rien. Pourquoi j'ai arrêté de sourire. Parce que si je ne porte pas en moi la signification de mon prénom, la vie non plus ne porte pas la sienne. Il y a des rires, des sourires, des baisers, des étreintes. Ce ne sont que des moments futiles. Des moments qui s'envolent aussi rapidement qu'ils sont venus, juste comme ça. Et ensuite, ils laissent place au reste. Au vide, à la douleur, aux larmes, à la fatalité. La vérité, c'est que l'Homme déguise la vie en espèce de truc joyeux. On cache les fissures, les tâches. Il n'y a que des accidents, des malchanceux qui traversent la rue au mauvais moment. Comme s'il y avait un échappatoire à la sortie. Sauf qu'il n'y en a pas. Ceci est notre damnation. Ce qui nous attend tous. Le trou noir, le rien du tout, l'après-vie, la mort. On aura beau chercher à être heureux, on aura beau se donner la peine de réussir quelque chose de beau, tout sera détruit au bout du compte. Comme un château de sable terrassé par la mer. Aucune digue ne peut arrêter la fatalité. Je m'appelle Samson. Je n'ai rien d'un petit soleil. Je n'ai pas envie d'aimer pour qu'ensuite on finisse par m'arracher ceux qui auront fait de ma vie quelque chose d'un peu moins moche. Parce que j'ai aimé ma mère. Je l'ai aimée comme un fou. Mais elle est partie. Elle m'a donné la vie, et je la lui ai rendu en retour, ma vie. Il ne me reste plus rien aujourd'hui. Rien qu'un espèce de vide, et ça me va très bien. Parce que je me suis rendu compte que ma petite soeur allait partir elle aussi. Puis mon père. L'inconnue qui vit à côté de chez moi. Et toi aussi, derrière ton écran. Ton père. Ta mère. Ton frère. Ta soeur. Ta meilleure amie. Ton prof de collège, celui qui avait un cheveu sur la langue. Puis la pétasse qui te bousculait tous les jours dans les couloirs. Et le gars qui était toujours là mais que tu n'as jamais remarqué, celui au fond de la classe, qui mangeait seul à la cantine, qui ne parlait à personne. Alors qu'importe qui on a pu être, qu'importe ce qu'on a pu faire de sa vie. Rien n'a de sens en fin de compte. C'est pour ça que j'ai décidé de rendre copie blanche.


"A-LIÉ-NOR, A-LIÉ-NOR." Il articule en exagérant au possible. C'est ridicule. Elle ne lui dira rien. Ni son prénom, ni même d'aller se faire foutre. Même si au fond, je suis sûre qu'elle en a envie. Ma soeur a six ans. Et elle ne parle pas. Elle n'a jamais parlé. À part à moi. Et même si j'ai quatre ans de plus qu'elle, j'ai l'impression qu'elle est ma jumelle, et qu'elle porte en elle une partie de moi. La plus belle partie de moi. J'attrape la main d'Aliénor dans la mienne, et nous quittons la pièce. Papa nous attend dans la salle d'attente. "Un incapable, comme tous les autres." Il me regarde, et hausse les épaules. Puis il jette un dernier regard au médecin, apparemment vexé par mes paroles. "M-merci, au-revoir." Et il nous suit vers la sortie. C'est le septième que nous allons voir. Et il est encore plus nul que celui d'avant, qui lui même était plus nul que son prédécesseur. "Je ne veux plus qu'Aliénor subisse ça. Je ne veux plus." Papa ouvre la voiture, et nous nous installons tous les trois à l'intérieur. "Alors nous nous arrêtons là." Ma soeur me sourit, et je sens qu'elle est soulagée. Ce que personne ne comprend, c'est qu'elle n'est pas malade. Si elle ne parle pas, c'est parce qu'elle n'a rien à dire. Et surtout pas à ces vieux imbéciles en blouse blanche. Et puis Aliénor n'a pas besoin d'ouvrir la bouche pour communiquer. Il suffit de la regarder pour comprendre ce qu'elle a sur le coeur, pour comprendre ce qu'elle ressent, ce qu'elle pense. Elle savoure chaque seconde de son existence, comme elle s'applique à ramasser toutes les miettes du pain d'épices de maman. Je crois qu'elle ne veut rien laisser, qu'elle veut tout prendre. Même les trucs dégueulasses. Même les endives au jambon, les files d'attente chez le médecin. Et même les moqueries des gamins de sa classe. Peut-être qu'elle a la capacité d'éteindre ses sentiments. Comme on ferme les yeux, ou on se bouche les oreilles. Peut-être que quand c'est trop dur, elle décide de ne plus rien ressentir. Et si la vie n'était pas plus compliquée que ça ? S'il suffisait d'emprunter les déviations pour éviter les malheurs ? S'il suffisait de filtrer nos émotions comme on filtre nos appels ? Non, je n'ai pas envie de souffrir de la mort de mon grand-père. Non je n'ai pas envie d'être touché par les insultes des gosses d'à côté. J'ai juste envie de faire comme si tout allait bien. Et c'est ce que je vais faire. Alors la vie n'aurait plus aucune crédibilité. Plus aucune. Et la question que je me pose moi, c'est comment fait-elle ? Pour paraître si neutre. Comme détendue, apaisée. Y-t'il dans son corps de petite fille une force si immense qu'il est impossible d'en voir les limites ? Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais moi c'est ce que je décide de croire. Aliénor est un mystère. Le plus beau mystère de l'univers.

Maman est malade. C'est ce qu'ils disent. Qu'elle est malade. Mais ce n'est pas vrai. C'est pire que ça. Maman n'est pas seulement malade. Parce que quand on est malade, on se soigne. Maman elle, elle ne se soigne pas. Elle va mourir. "Ce n'est pas grave de mourir, hein Sammy ?" Elle me regarde avec ses grand yeux gris. J'ai l'impression qu'elle a toujours six ans. Et qu'elle aura toujours six ans. Qu'elle ne grandira pas, qu'elle restera ma petite perle pour toujours. Mais ce n'est pas le cas. "Non, ce n'est pas grave. C'est seulement passer d'un endroit à un autre. Un passage obligatoire." Ses sourcils se froncent. Je sais qu'elle a dix ans, que je pourrais lui dire les choses simplement au lieu de faire des détours pour essayer de la préserver. C'est comme quand on dit à un enfant que grand-père est au ciel, ou qu'il est parti, au lieu de lui dire qu'il est mort. Mais je ne peux pas m'en empêcher avec elle. "Alors elle ne sera plus là, avec nous ?" Je secoue la tête. "Non, elle ne sera plus là, allongée dans son lit, ou avec nous dans le salon. Mais elle restera là." Et je pose ma main sur son coeur. Parce qu'il faut qu'Aliénor y enferme tout ce qu'elle peut de maman, l'éclat de son rire, l'étincelle de ses yeux, le son de sa voix. Pour que jamais elle n'oublie d'à quel point elle a été belle. Parce que bientôt, maman ne sera plus maman. "Promets. Promets que tu le feras. Que tu ne me laisseras pas devenir un légume Sam'. Je veux garder ma dignité. Je ne veux pas que ta soeur me voit dans un état pitoyable, je ne veux pas qu'elle souffre de ça." J'acquiesce. "Je te le promets maman."

Aliénor et papa sont assis dans le couloir. C'est mon tour. Mon tour de passer une trentaine de minutes seul avec maman. Comme tous les dimanches. Chacun d'entre nous a le droit à du temps seul avec elle. Pour parler de choses plus confidentielles, pour rester allongé dans son lit d'hôpital à ses côtés, ce genre de choses. Mais aujourd'hui ça sera différent. Je lance un dernier sourire à Aliénor tandis que papa discute avec le médecin. Puis je pousse la porte, tout en sachant que je ne la reverrai probablement plus. Ma si belle petit soeur, ma moitié. Maman m'attend. Le regard lourd. Elle n'a pas voulu leur dire au-revoir. Elle a insisté pour que je sois le premier des trois à passer du temps seul auprès d'elle. Le premier, et le dernier. Elle ne parle plus très bien, maman. Alors elle ne dit rien. Et moi non plus. Je m'approche d'elle, et caresse ses cheveux, cinq longues minutes. Je la regarde vivre, surtout. Vivre, pas encore survivre. Car même si elle ne parle plus très bien, son état reste raisonnable. Mais elle ne veut pas aller plus loin. Elle ne veut pas mourir d'envie de crier qu'elle nous aime et ne rien faire d'autre que de baver en essayant tant bien que mal de prononcer le moindre mot. Je sors finalement de ma poche les cachets qu'elle m'a demandé de lui prendre. Les cachets qui mettront fin à sa vie. Elle se les était procurés quand elle était encore à la maison, et les avait cachés dans la cabane du jardin. Je dépose la boite sur sa table de chevet, puis m'empare du livre que je tiens sous mon bras. Les Hauts de Hurlevent. Mon livre préféré. Et je lui lis mon passage préféré. Quand il se termine enfin, elle pose sa main sur la mienne, et je sens dans son regard comme une lueur de fierté. Peut-être que j'ai réussi, que j'ai été un bon fils. Mais la tuer pour respecter sa volonté, est-ce que ça fait de moi un bon fils ? Aucune idée. Mais je n'en suis pas sûr. Maman finit par attraper les cachets. J'acquiesce, comme pour lui dire que je suis prêt à la regarder partir. Parce que je n'ai pas d'autres choix, de toutes manières. Elle en prend plusieurs, d'un coup, et avale une gorgée d'eau. Je ne sais pas combien de temps il lui reste. Mes yeux sont secs, mes lèvres pincées. Peut-être que comme Aliénor j'ai réussi à éteindre mes sentiments. À couper mon humanité. L'espace d'un instant au moins. Les minutes défilent. Ma main serre celle de maman. Je l'aime. Elle le sait, n'est-ce pas ? Ses yeux ne clignent plus. "Je t'aime maman." Mais c'est trop tard. Elle n'est plus là. Elle est au ciel, au paradis. Elle est partie. Elle est morte. C'est fini. "Je t'aime…" Je baisse la tête. À deux doigts de craquer. Mais je ne dois pas me laisser aller. Je dois fuir. Je ne peux pas rester là. Par chance, maman est, ou était devrais-je dire, au premier étage. J'ouvre la fenêtre, et bondis à l'extérieur, atterrissant dans un buisson. Je ne fais pas attention aux égratignures causées par la chute, celles causées par la mort de maman prenant le dessus. Je me mets à courir, et à hurler, les larmes défilant sur mes joues. Je cours, aussi rapidement que possible jusqu'à la maison, y arrivant dix minutes plus tard. Je me dirige dans le jardin, et attrape mon sac déjà tout prêt que j'ai planqué dans la cabane. Je range Les Hauts de Hurlevent à l'intérieur, en compagnie d'une vingtaine d'autres livres (je n'ai pris que mes préférés), de quelques fringues, et d'un peu d'argent… Puis je pars, vers l'inconnu. Du haut de mes vingt ans. Je laisse tout ici. Même s'il ne me reste plus grand chose, à vrai dire.

"(…) J'espère qu'un jour tu pourras comprendre ce que j'ai fait. J'espère aussi qu'un jour je pourrais voir ce que tu es devenue. Savoir si tu as réussi à être architecte, comme tu le voulais, et si tu laisses aux autres la chance d'entendre ta si belle voix. Fais attention à toi. Et à papa… S'il te plait. Et même si je suis loin, et même si j'ai ruiné vos vies, je continue à vous aimer. Sam." Je lèche l'enveloppe, et y enferme la lettre que je viens d'écrire pour Aliénor. Puis je quitte mon appartement, aussi ridicule soit-il, pour me rendre à la boite postale la plus proche. Comme tous les mois. C'est une fréquence suffisante il me semble. D'autant plus qu'ils brûlent certainement mes lettres avant même de les lire. Papa doit me haïr au plus haut point. Je lui ai enlevé la femme de sa vie. Aliénor doit me haïr elle aussi. Elle aimait maman autant que je l'aimais. Cela fait deux ans que je vis à Bridgeport. J'y suis agent d'entretient au cimetière. Je nettoie les tombes, je les fleuris, je m'occupe de ceux que l'on abandonne au fond des trous. Ils sont tellement plus intéressants que ceux qui les ont creusé, que les vivants. Et puis ils sont avec maman. Alors j'espère qu'ils lui diront du bien de moi, et qu'ils prendront soin d'elle. Et puis il y a cet autre trou, un peu plus loin, sous le vieil arbre. Je l'ai creusé pour le grand-père de Siam. Siam, c'est celle qui partage ma vie. Enfin, y'a rien à partager au fond. Disons plutôt qu'elle passe le temps auprès de moi. Elle est arrivée il y a un an. Avec le corps sans vie de son grand-père. C'est comme ça que l'on s'est rencontré. Pas autour d'un verre, mais autour d'un trou. Puis je l'ai revue, quelques jours plus tard, vivant sous les ponts. Alors sans lui laisser le choix, je l'ai ramenée chez moi. Mais le problème, c'est qu'il y a un putain de truc qui va pas. Parce que cette fille, malgré tout, est attachante. Et même si ça me dégoute, je crois bien que je l'aime. Je l'aime au point de la chercher partout à chaque fois qu'elle se fait la belle. Au point de m'exploser les poings contre les murs plutôt que contre son visage à chaque fois qu'elle me pousse à bout. Et au point d'être assez intelligent pour ne rien lui dire...
the man i am
a tué sa mère. • a dû fuir sa vie et sa famille suite à la mort de sa mère. • écrit à sa soeur tous les mois. • fume un peu trop. • se ronge la peau autour des ongles. • se mange l'intérieur des joues. • fronce régulièrement les sourcils, et serre souvent la mâchoire. • fait toujours quelque chose de ses mains. • pense à voix haute. • range régulièrement sa bibliothèque. • déchire tous ses tickets de caisse en mille morceaux. • se racle fréquemment la gorge. • ne regarde jamais devant lui. • chantonne ou sifflote toujours quelque chose. • ne se retient jamais de regarder les personnes qu'il trouve bizarres. • est souvent dans la lune. • aime saucer les plats. • est très mauvais cuisinier. • adore le grillé. • a peur des sauterelles. • n'aime pas la sensation du textile sur les dents. • n'aime pas avoir les doigts fripés après les avoir laissés trop longtemps dans l'eau.
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MessageSujet: Re: samson ▼ la vie est plus effrayante que la mort. samson ▼ la vie est plus effrayante que la mort. EmptyVen 26 Oct - 13:05


✖ you should run away. ✖

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Altera sententia est, quae definit amicitiam paribus officiis ac voluntatibus. Hoc quidem est nimis exigue et exiliter ad calculos vocare amicitiam, ut par sit ratio acceptorum et datorum. Divitior mihi et affluentior videtur esse vera amicitia nec observare restricte, ne plus reddat quam acceperit; neque enim verendum est, ne quid excidat, aut ne quid in terram defluat, aut ne plus aequo quid in amicitiam congeratur.
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Altera sententia est, quae definit amicitiam paribus officiis ac voluntatibus. Hoc quidem est nimis exigue et exiliter ad calculos vocare amicitiam, ut par sit ratio acceptorum et datorum. Divitior mihi et affluentior videtur esse vera amicitia nec observare restricte, ne plus reddat quam acceperit; neque enim verendum est, ne quid excidat, aut ne quid in terram defluat, aut ne plus aequo quid in amicitiam congeratur.
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Altera sententia est, quae definit amicitiam paribus officiis ac voluntatibus. Hoc quidem est nimis exigue et exiliter ad calculos vocare amicitiam, ut par sit ratio acceptorum et datorum. Divitior mihi et affluentior videtur esse vera amicitia nec observare restricte, ne plus reddat quam acceperit; neque enim verendum est, ne quid excidat, aut ne quid in terram defluat, aut ne plus aequo quid in amicitiam congeratur.

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