LOÏS & ZEPHYR → Time is a drug. Too much of it kills you.
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Sujet: LOÏS & ZEPHYR → Time is a drug. Too much of it kills you. Mer 9 Nov - 1:26
« Time is a drug. Too much of it kills you. »
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« Passer l'aspirateur dans sa chambre pour ensuite ouvrir le sac et récupérer les bouts de shit qui y sont, c'est être maniaque, recycleur ou junky ? » « ... J'hésite. » Zéphyr avait l'habitude de recevoir des messages ou appels inutile, mais celui là était vraiment hors catégorie. Il ne comprenait pas ce besoin qu'ont les gens de leur raconter leur vie ou blaguer avec lui, il n'était pas très sympathique et encore moins souriant en clair ce n'est pas une personne que l'on veut fréquenter. Après avoir répondu il jeta le téléphone sur son lit et se laissa tomber comme un caca d'oiseau sur ce dernier. Aujourd'hui il n'avait pas trop de boulot, juste une ou deux livraisons à faire dans la nuit, mais d'ici là il avait du temps à perdre. Puis d'un seul coup il s'endormit. Il est vrai que la nuit dernière il avait travaillé tard de plus il y avait eu quelque soucis qu'il lui avait valu un petit hématome sur la joue. Zéphyr ne se réveilla que quelques heures plus tard, le soleil commençait déjà à ce coucher, il devait sans doute être dans les dix-huit heures. Il se releva et se regarda dans le miroir. Ses cheveux ressemblaient à un champ de bataille et il avait gardé une marque du drap sur la joue, en gros il ne ressemblait à rien. Cependant, il n'allait pas se peigner avec le vent qu'il y avait dehors il serait de toute façon décoiffer et puis la marque partirait toute seule, Zéphyr repartit donc vers la chambre.
D'accords il était dix-huit heures, il avait une sacré tête de vainqueur, mais bon sang qu'est ce qu'il s'emmerdait du coup. Zéphyr décida d'envoyer un message à une de ses clientes, Loïs.
Citation :
J'ai plus rien à te vendre trouver un autre dealeur.
Zéphyr.
Il était toujours aussi direct donc elle ne devrait pas être surprise à ce niveau. Le jeune homme avait pris la décision de ne plus rien lui vendre d'une les temps était dur alors il allait l'être tout autant, de deux il l'avait déjà rendu accroc et il savait qu'elle serait prête à payer encore plus pour en avoir de nouveau, mais il prenait aussi le risque qu'elle aille voir un autre revendeur. Puis il fallait dire aussi qu'il aimait bien embêter son monde. Zéphyr ne savait pas si elle allait venir directement chez lui ou bien essayait de le croiser dans la rue, de toute manière il n'allait pas se cacher. Il décida néanmoins de lui envoyer un second message.
Citation :
Je serais chez moi donc perd pas de temps à me chercher un peu partout.
Zéphyr
Mister Halliwell était plutôt de bonne humeur aujourd'hui et il avait décidé de lui dire directement où il était qu'elle ne perd pas de temps à chercher et elle serait sans doute moins de mauvaise humeur quand elle le trouverait.
Dernière édition par H. Zéphyr Halliwell le Jeu 10 Nov - 1:20, édité 2 fois
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Sujet: Re: LOÏS & ZEPHYR → Time is a drug. Too much of it kills you. Mer 9 Nov - 23:20
LOÏS & ZÉPHYR you have my drug. So you are my drug. Yeah we can say that !
C’était l’envie de toucher à la poudre blanche qui réveilla de si bon matin Loïs. Accro au sport des marmottes, elle était plus habituée à faire la grasse matinée, ce n’était pas commun de la voir opérationnelle si tôt. La douleur nasale devenait de plus en plus forte, faisant à quelques reprises saigner son fin nez ; mais peu lui importait. Ce n’était pas quelques gouttes de sang qui allait arrêter la belle. Elle renifla gravement et ressentit derechef de long picotement. Cherchant du regard son disque et sa paille usée, elle sourit quand elle les vit non loin, abandonné sur la moquette blanche de la pièce.
Citation :
« Tu es ou ? J’ai besoin de toi là, ça peut pas attendre, donc dépêches toi de ramener ton cul devant ma porte Zéphyr. »
Loïs
Toute addiction suppose d’avoir une muse et « la muse » de Loïs pour s’approvisionner en drogue c’était Zéphyr Halliwell. Jeune homme qu’elle ne connaissait que peu, avec qui elle avait peut-être déjà couché quatre, cinq fois –voire plus sous l’effet de la coke- mais qui commençait à prendre une place considérable dans sa vie de junkie. Et il le savait ; c’est pourquoi quelque fois il se faisait prier comme aujourd’hui en ne daignant pas répondre à ses appels rébarbatifs. Chose qui avait tendance à agacer fortement la blonde plantureuse. A la quête d’un reste, elle retourna toute sa maison, dans la possibilité qu’elle en ait oublié un fond. Rien, Nada. « Fais chiiiiiier !! » Tentant de se calmer, se forçant à garder le contrôle et ne pas partir à la dérive parce que Mademoiselle n’avait pas eu sa dose matinale, Loïs partit en cours bredouille, sachant pertinemment qu’elle allait devoir tenir dans cet état jusque un bon dix-neuf heures, autant dire un supplice pour elle.
Citation :
« J'ai plus rien à te vendre, trouves toi un autre dealeur. »
Zéphyr
Dix-huit heures quinze, toujours posté bêtement en cours d’anatomie, baillant inlassablement, sentant enfin les conséquences de ce réveil brutal, Loïs pestiféra à l’égard de son IPhone.
Citation :
« Je serais chez moi donc perd pas de temps à me chercher un peu partout. »
Zéphyr
Citation :
« Fais tes adieux chéri, t’es un homme mort. »
Loïs
Attrapant son sac violemment, la jeune femme sortit immédiatement de son cours pour se diriger à grande enjambée chez le fameux dealer. L’anatomie pouvait attendre, pas la poudre. Et puis de toute manière, elle ne suivait pas vraiment, trop occupée à essuyer ses perpétuels saignements de nez et simultanément à flirter avec son voisin de table.
Elle appuyait désormais, comme une forcenée sur la sonnette, prenant une pose sensuelle, contre la porte boisée. Cette dernière s’ouvrit enfin, avec fracas après trois tentatives. « Je t’ai manqué ? » lança la belle à l’égard du jeune homme. « Sympa la tête ! » Loïs entra sans prendre la peine de demande l’hospitalité, bien trop habituée à venir ici comme dans un moulin. Prise de regain du fait de l’avoir enfin en face de lui, elle ne se précipita pas de suite sur la raison de sa venue et provoqua Zéphyr tant bien que mal. « Tu pouvais le dire si tu attendais plus de moi, ça aurait été avec plaisir… »Un air coquin se dessina sur son visage et disparut aussitôt. Cela ne dura toutefois pas longtemps pour qu'elle attaque enfin le vif du sujet. « Bon t’en veux combien ? »
Dernière édition par Loïs P. Wingfield le Jeu 17 Nov - 22:24, édité 2 fois
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Sujet: Re: LOÏS & ZEPHYR → Time is a drug. Too much of it kills you. Jeu 10 Nov - 2:09
« Time is a drug. Too much of it kills you. »
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Zéphyr ne faisait pas parti du cercle des personnes aimables et ouverte aux nouvelles rencontres, il ne se privait pas pour faire souffrir les gens sans doute une vengeance sur son passé, un complexe de gamin. Obligé de rabaisser les gens pour se sentir puissant. La réponse à son message ne se fit pas tardé, il faut dire qu'il avait été plutôt direct, c'était simple il ne vendrait plus de drogue à Loïs, un excuse pour en réalité augmenter le prix. Il compris à la lecture de son message que cela allait être très intéressant, le jeune homme savait que d'une seconde à l'autre elle allait déboulé chez lui en furie et cette perspective l'amuser plus que ne l'effrayer. Il ne se donna donc pas la peine de répondre à son message. Elle arriva bien entendu quelque instant plus tard en s'acharnant sur sa sonnette qui n'avait pourtant rien demandé. Il soupira puis laissa quelques secondes passées pour un peu plus de suspens et aussi pour l'énervé un peu plus, il ne pouvait vraiment pas s'en empêcher en plus ça l'amusait. Le jeune homme se décida tout de même de bouger pour lui ouvrir, elle attendait sur le pas de la porte avec sa fameuse pose aguicheuse, mais la colère lui fit perdre la moitié de son charme, voire plus. Loïs entra alors comme-ci c'était chez elle sans lui demander son avis. Il resta quelques secondes à fixer l'endroit où elle se trouvait il y a une seconde et fit un petit monologue tout seul « Oui moi aussi ça va très bien, mais je t'en pris entre voyons. » Puis il se retourna tout sourire vers elle. « Tu pouvais le dire si tu attendais plus de moi, ça aurait été avec plaisir... » Si en plus il pouvait encore plus profiter de la situation pourquoi pas, mais elle mis fin à ses idées tout de suite. « Bon t'en veux combien ? »
Elle avait donc bien compris que le prix allait augmenter, mais Zéphyr ne lâcherait pas le morceau comme ça, il en tirerait le maximum. « Je t'ai dit que je ne t'en vendrais plus. Une jeune fille de bonne famille ne devrait pas en prendre voyons. » Étape numéro la provoqué un peu histoire de lui faire perdre encore plus patiente, cela pouvait tout aussi bien se retourner contre lui, mais qui ne tente rien n'a rien. Il lui fit son plus beau sourire avant d'ajouter sur le ton de l'ironie. « Je me lance dans le social comme tu peux le voir. » Le jour où ça arriverait les poules auront des dents. Il se reprocha d'elle et la fixa dans les yeux, elle avait ce regard de junkie en manque. Parfait, il allait pouvoir être encore plus vicieux. « J'en oublie d'être poli ! Tu veux boire un truc ? Un café, de l'eau, un jus d'orange ou de la coke enfin ... du coca cola bien sûr. » Il s'installa alors sur une des chaises du salon tout en faisant mine de réfléchir. « Tu imagines si ton école de médecine apprenait pour ta dépendance à la drogue. Tu crois qu'il voudrait encore de toi ? » Il était si vicieux qu'il pouvait s'attaquer à tout pour obtenir ce qu'il voulait. Qu'allait-elle faire, lui crier dessus ? L'insulter ? Le frapper ? Il attendit de voir sa réaction avant de décider de la suite des événements.
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Sujet: Re: LOÏS & ZEPHYR → Time is a drug. Too much of it kills you. Dim 13 Nov - 22:53
LOÏS & ZÉPHYR you have my drug. So you are my drug. Yeah we can say that !
Loïs Wingfield n’était pas une fille qui manquait d’argent. Avec un père chirurgien de grande renommée et une journaliste de mère désirée dans d’innombrables magazines, il fallait dire que le mot pauvreté n’existait pas. Malgré qu’elle avait désiré couper les ponts, et surtout avec sa mère, Loïs recevait tout de même, une bonne somme de cash par mois. Sans compter les suppléments qu’elle réclamait quelque fois à son papounet –quand par exemple elle a voulu acheter la nouvelle Porsche Cayenne-. Cependant, elle ne s’amusait pas à jeter l’argent par les fenêtres, et même si elle en avait, elle ne le distribuait pas à qui le voulait. Même pas pour un peu de coke. Quoi que là, il fallait dire qu’elle était sur le point de craquer, du fait qu’elle n’avait rien pu sniffé depuis au moins trois jours. « Bon t'en veux combien ? » « Je t'ai dit que je ne t'en vendrais plus. Une jeune fille de bonne famille ne devrait pas en prendre voyons. » Elle ricana faiblement, comprenant le petit jeu du jeune homme. « Si tu me connaissais si bien, tu retirerais cette phrase. » « Je me lance dans le social comme tu peux le voir. » Faisant mine de ne pas l’écouter, elle fit le tour de la pièce à plusieurs reprises. Partagée entre l'envie de lui lancer une bottine dans la figure ou de jouer bien mieux que lui à ce petit jeu. Il faut dire qu’il n’existe pas plus grande joueuse que Loïs. Elle adorait ça. La vie entière pour elle ne signifiait que jeu ; rien n’était vraiment pris au sérieux.
Le jeune homme s’avança près de la belle, la fixant gravement. « Dis le-moi si tu veux que je me prenne en photo. Tu pourras ainsi me contempler, même quand je ne serais pas là. » « J'en oublie d'être poli ! Tu veux boire un truc ? Un café, de l'eau, un jus d'orange ou de la coke enfin ... du coca cola bien sûr. » L’agacement se faisait sentir, mais il était hors de question de craquer, ou bien il gagnerait. Et cette idée de défaite était prohibée. Elle l’imita et s’asseyait tout en réfléchissant sur quel sujet elle pouvait le faire chanter. « Tu imagines si ton école de médecine apprenait pour ta dépendance à la drogue. Tu crois qu'il voudrait encore de toi ? ». DONE. « Et toi tu crois qu’on te laisserais en liberté dans cette si grande et belle maison, si l’on découvrait que tu fournissais de la drogue à tous ces pauvres habitants … hum ? ». Elle se leva et se posta derrière la chaise où était posté le beau brun. La belle glissa ses mains sur ses épaules les laissant descendre jusque son torse. « Je pourrais mettre ça sur le compte du stress des exams. Mais toi chéri, tu diras quoi aux autorités, si je te balançais ? » La jeune femme se détacha de lui et lui fit face pour contempler ce doux visage qui pouvait laisser entrevoir une faiblesse. « Enfin, bon. Je t’avoue que tu me manquerais un peu quand même ! » Si il cherchait adversaire, que le meilleur gagne !
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Sujet: Re: LOÏS & ZEPHYR → Time is a drug. Too much of it kills you. Lun 14 Nov - 0:28
« Time is a drug. Too much of it kills you. »
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Le jeu commencait entre les deux jeunes gens, Zéphyr n'était pas du genre à lâcher le morceau et même si ça le mettait en danger. Il lança les hostilités en premier, il aurait pu éviter et tout simplement lui demander le double de ce qu'elle paye actuellement, mais cela aurait été beaucoup moins drôle et s'il doit perdre une cliente pas grave il se sera bien amusé. Il lui demanda si elle serait toujours accepté dans son école si l'on savait pour son addiction à partir de ce moment-là elle commença elle aussi à le menacer et cela amusait beaucoup le jeune homme. « Et toi tu crois qu'on te laisserait en liberté dans cette si grande et belle maison, si l'on découvrait que tu fournissais de la drogue à tous ces pauvres habitants ... hum ? » Elle passa ses mains sur son corps comme-ci elle voulait l'exciter et le faire changer d'avis. Raté. Quand Zéphyr est sérieux rien ne peux le détourner de son but, en l'occurrence emmerder Loïs un maximum. « Si tu crois que ça va marcher avec moi tu te fourres le doigt dans l'oeil et jusqu'au coude. » Malgré sa phrase ça n'arrêta pas Loïs. « Je pourrais mettre ça sur le compte du stress des exams. Mais toi chéri, tu diras quoi aux autorités, si je te balançais ? » Zéphyr se mis à rire elle ne l'effrayait pas du tout, en fait il devait être trop insouciant, mais rien au monde ne pouvait l'effrayer ou l'arrêter quand il s'était fixé un but. « Tu peux le faire si tu veux j'ai assez d'argent pour payer tous ces putins de juges corrompu de cette fichue ville. Au pire des cas je ferais un peu de prison et honnêtement ça ne me fait pas peur. » Il faut dire que les prisons d'aujourd'hui ne ressembler à rien à celle que l'on voit à la télé , c'était moins glauque et moins violent enfin sans doute il n'en savait rien, mais il y avait une différence quand même entre la fiction et la réalité. Le jeune homme fixa à son tour Loïs, prêt à répondre à sa prochaine attaque. Elle était vraiment forte, mais pour l'atteindre il en faudrait beaucoup plus. « Enfin, bon. Je t'avoue que tu me manquerais un peu quand même ! » Zéphyr rajouta à son air narquois un sourire en coin. Elle était géniale comment ne pas aimer une fille comme ça ? Cependant, il était curieux de savoir ce qu'elle ferait réellement si cela arrivait. « Mais toi dis moi tu ferais quoi après ? Tu ne pourras plus faire médecine et tu finiras par vivre aux crochets de t'es parents, mais au final tu ne seras pas heureuse. » Il continua à ricaner comme un petit diable en allant chercher le téléphone à l'autre bout de la pièce, il le balança juste devant Loïs, sur la table. Puis il alluma une cigarette en donnant une à Loïs, il était pas si méchant que ça finalement. « Oh mais tu sais quoi vas y tiens appel dénonce moi j'ai pas peur, mais tu devras assumer les conséquences, bien entendu. Ou alors tu repars tu te fais une petite cure de désintoxication et tu m'oublies ? C'est toi qui vois à moins que tu es une autre option à proposer. » Il ne lâcherait pas l'affaire avant qu'elle soit devenue complètement dingue et il voyait mal ce qu'elle pouvait faire contre lui, le frapper elle n'était pas assez forte et le drogué pour ensuite le frapper, il lui faudrait déjà de la drogue pour ça, mais il savait qu'elle était pleine de ressources donc il attendit son prochain coup avec impatiente. Zéphyr avait un peu l'impression de jouer à toucher couler grandeur nature et version humaine.
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Sujet: Re: LOÏS & ZEPHYR → Time is a drug. Too much of it kills you. Lun 14 Nov - 19:13
LOÏS & ZÉPHYR you have my drug. So you are my drug. Yeah we can say that !
C’était comme couler pour remonter et recouler ensuite. Loïs était enfin face à une personne digne de sa folie du jeu. D’habitude, les personnes craquaient, avait-elle à peine eu le temps de mettre en place une stratégie tenant debout. Là elle avait à perdre : sa coke hebdomadaire. Cependant, elle était prête à tout, juste pour sa dose d’amusement. Et quel qu’en soit le prix. L’extrême étant le l’outil préféré de la demoiselle, elle n’hésita pas de lui lançait qu’optionnellement, elle pouvait le dénoncer au flic, n’oubliant pas de mentionner la peine qu’il pouvait encourir : rester derrière les barreaux pendant un petit moment. « Tu peux le faire si tu veux j'ai assez d'argent pour payer tous ces putins de juges corrompu de cette fichue ville. Au pire des cas je ferais un peu de prison et honnêtement ça ne me fait pas peur. » Elle le fixa un moment, pour juger si oui ou non, il bluffait. Une technique que de scruter chaque mimique et réactions corporelles. Chose vue dans la série Mentalist, que l’italienne avait toujours rêvé de mettre en œuvre. Souhait accompli. « Mais toi dis-moi tu ferais quoi après ? Tu ne pourras plus faire médecine et tu finiras par vivre aux crochets de t'es parents, mais au final tu ne seras pas heureuse. » Un rire narquois sorti de la bouche de Loïs. « Si tu savais. La médecine c’est juste pour faire plaisir à papa. Juste quelques années pour faire beau. Alors tu m’enlèverais une grosse épine du pied si t’arrivais à me faire virer de là. » Elle lui fit un clin d’œil. TRY AGAIN. « Je repartirais alors en trip, que rêver de mieux ! » Oh oui. Elle pensait souvent à cette époque de sa vie, où elle avait quitté Venise pour faire le tour du monde. La blonde y avait découvert des cultures passionnantes, de magnifiques lieux et paysages ainsi que d’incroyables personnalités. Si la jeune femme le pouvait, elle repartirait sans hésitation. Partir de Montsimpa lui éviterait de revoir toutes ses têtes et surtout celle de Quentin qui lui rappelait odieusement un important échec. Bref !
Loïs suivait des yeux la silhouette du dealeur partit à l’autre bout de la pièce. Il revint avec un téléphone et un paquet de clopes. Il lui lança le combiné et lui alluma une misérable cigarette. « Si j’avais voulu une clope, je serais parti m’en acheter au tabac du coin… » Elle l’accepta tout de même, aspirant deux trois taffes. « Oh mais tu sais quoi, vas y tiens appel dénonce moi j'ai pas peur, mais tu devras assumer les conséquences, bien entendu. Ou alors tu repars tu te fais une petite cure de désintoxication et tu m'oublies ? C'est toi qui vois à moins que tu es une autre option à proposer. » La fumée lui brulait péniblement sa longue trachée remontant jusqu’au conduit nasal. Elle sentit cet insupportable liquide remontait et sortit derechef un mouchoir de sa poche pour égoutter les quelques gouttes rouges qui commençaient à se former. Loïs se retourna de la vue du jeune homme le temps que le sang daigne bien arrêter de couler et reprit sa moue joueuse. « Tu peux toujours courir. Je les appelle ». La jeune femme pianota sur le clavier téléphonique puis déposa délicatement le combiné sur son oreille. « Oui allo, je pense avoir découvert la planque d’un dealer de drogue… Rue du monde… Montsimpa… » Loïs prenait un air grave comme effrayée pour donner encore plus de vraisemblance dans son discours, alors qu’elle était enfait, affalée sur sa chaise tout sourire, restant fixé sur les yeux accrocheurs de Zéphyr. Elle mit sa main quelques secondes sur le microphone pour qu’on ne l’entende pas et chuchota au jeune homme mimant une grave déception. « Tu me manques déjà ! »
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Sujet: Re: LOÏS & ZEPHYR → Time is a drug. Too much of it kills you. Dim 20 Nov - 21:01
« Time is a drug. Too much of it kills you. »
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Loïs avait visiblement envie de jouer et Zéphyr n'était pas du genre à se défiler au contraire si elle voulait jouer alors ils allaient jouer tous les deux. Le jeune homme se demandait jusqu'au tout cela irait, mais même s'il finissait en prison il prenait le risque après tout ça avait l'air marrant comme jeu. Il pouvait voir les dégâts que la drogue avaient faites sur elle, Zéphyr savait très bien ce qui se passait quand on était en manque. Pour cette raison il n'avait jamais vraiment essayé d'en prendre, parfois il en prenait un peu, mais il n'était jamais tombé dans l'excès, Zéphyr n'avait pas envie de devenir accroc et de ressembler à une vieille épave. Alors, il vendait, mais ne se servait jamais. Puis Loïs, après avoir essuyé les dégâts, se retourna et déclara qu'elle allait les appeler, Zéphyr ne cacha pas sa joie, il n'était pas assez fou pour laisser tout son stock de drogue ici. En réalité, il avait loué un petit entrepôt pour y stocker la grande majorité ainsi que plusieurs affaires de contrebande et oui les temps sont durs, il s'agit juste d'être aussi dur qu'eux. « Tu peux toujours courir. Je les appelle. » « Fais-toi plaisir. » Il n'avait pas peur, d'ailleurs il n'avait peur de pratiquement rien donc ce n'était pas cette jeune fille frêle qui saigne du nez complètement drogué qui allait lui faire ne serait ce qu'une petite frayeur. Zéphyr pouvait facilement la faire passer pour une folle ou du moins une droguée certainement ferait-elle un petit tour par la case désintoxication. « Oui allo, je pense avoir découvert la planque d'un dealer de drogue... Rue du monde... Montsimpa... » « Et bien si tu penses que je vais te filer de la drogue après ça ... Tu te mets le doigt dans l'oeil jusqu'au coude. » Ah oui, il fallait aussi préciser un de ses gros défaut, il était très rancunier et généralement il fallait presque le supplier pour qu'il pardonne, en n'accordant sa confiance à personne il évitait en quelque sorte ce genre de situation. « Tu me manques déjà ! » « J'aimerais t'en dire autant. » Cependant, il n'avait pas envie d'aller en prison tout de suite, le jeune homme venait d'avoir une petite idée qui mettrait fin au petit jeu de la demoiselle. Sans doute, non, sans aucun doute, elle allait lui en vouloir à mort et le traiter de tous les noms, voir elle aurait peut-être envie de le frapper. Il lui attrapa le téléphone des mains, sans lui laisser le choix, il commença alors à parler sur un ton calme. Zéphyr, s'il n'aurait pas été dealer, aurait dû essayer une carrière de comédien, remarque Loïs aussi. « Désolé de vous déranger moi aussi, mais je crois qu'une dingue sortie d'un hôpital psychiatrique est rentré chez moi par effraction et est entrain de vous appeler donc si vous... Il a raccroché... » Il connaissait comme sa poche, l'impatiente de la police de Montsimpa, donc ce n'était pas très dur de les obliger à raccrocher et de leur faire croire à une blague. Il lança son portable sur la table du salon et se dirigea vers la cuisine tout en ne perdant pas de vu Loïs, on sait jamais. « Aller pour la peine je te sers une petite Vodka ? Ou un jus d'orange si tu veux ? » Il se baissa comme pour attraper la fameuse bouteille, mais en réalité, il versa de la drogue dans son verre, assez pour la rendre inconsciente tout en n'abusant pas, parce que bon un cadavre chez soi c'est jamais bien vue, surtout s'il voulait revendre la maison. Elle allait sans doute se douter de quelque chose alors il continua à lui parler et lui proposa un marché. « Vodka Red Bull ? Ouais aller, tiens, cul sec ! » Il pris un sachet de drogue et fit comme d'habitude quand il s'apprête à lui en vendre. « Y a pas grand-chose, 1 grammes, cocaïne, 80 euros. » Il abusait ? Non pas vraiment c'était le prix habituel pour un gramme, il attendait juste avec impatiente qu'elle avale son verre. Zéphyr continua de la fixer comme-ci il allait pouvoir l'aspirait du regard, qu'elle ne pense à rien, mais ça ça marchait qu'à la télé.
Spoiler:
Désolé pour les fautes, je les corrige après j'avais trop la dalle Et vu que mon ordi fait ch*** je voulais pas tout perdre quoi xD
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