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One attracts and destroys both

Célian feat Célizée

Respirer, expirer. Sa course se faisait de plus en plus rapide. Évacuer le stresse de sa journée tout en laissant son jolie regard bleu azur frôler et flirter avec les jolies derrières qui se tenaient dans cette ville. Dépaysé? Cela serait mal connaître la jolie brune. Tant qu’elle continue de faire ce qu’elle aime et qu’il y de quoi s’amuser ici , tout va très bien pour elle. Deux jours qu’elle avait rejoins la communauté des Montsimpa. Elle n’avait pas tout vu de cette ville étant assez occupé par son travail à l’école de danse , ses répétitions pour le ballet et les shootings dont elle était le mannequin principale.

Deux jours, qu’elle était ici et deux semaine qu’elle avait reçu une lettre de son pére. Une lettre sagement fermé et qui n’avait aucune chance d’être ouverte. Elle en mourait d’envie, mais ce dernier l’avait lâchement abandonné ,alors qu’elle n’avait pas demandé à arrêter. Elle était prête à le retrouver et à l’aider de temps à autre dans ses arnaques. Elle avait grandi depuis ses douze ans et son corps de femme fatale était plus que parfait pour attiré et escroquer les hommes d’affaires ne vivant que pour la richesse.

Elle s’arrêta contre un arbre s’étirant , laissant ses muscles s’étirer et se détendre tout en faisant craquer la plus part de ses os. Son ancienne professeur de danse serait là serait déjà là entrain de l’étriper pour ne pas prendre soin de son gagne pain. C’était limite une relation de prostitué/mac avec elle des fois. Enfin, la jeune femme reprit la route de son appartement. D’une démarche calme et envoûtante , elle traversait le parc laissant son regard s’éterniser sur les enfants, laissant son esprit divaguer jusqu’à sa propre enfance. Un sourire se peignit sur son visage laissant ses souvenirs s’en fuir tel un coup de vent.

Elle ne connaissait pas la ville et n’avais nullement l’envie de rentrer chez elle. La jeune femme marchait laissant ses jambes choisir la trajectoire qu’elle devait emprunter. Quelque minute, après avoir quitté le parc ,elle arriva au niveau de la plage. Admirant et scrutant au loin le paysage ,elle se laissa convaincre de se détendre sur le sable. Elle enleva rapidement ses baskets laissant ses pieds rentrer en contact avec le sable.

Les yeux fermés appréciant la légère brise qui venait à sa rencontre. Il ne faisait guère chaud, mais elle aimait tant observer les vagues s’écraser sur les rochers laissant son esprit divaguer à la vitesse des vagues. Elle se laissa tomber sur le sable se couchant sur ce dernier laissant son regard guetter les étoiles qui commençait à apparaître. C’est là qu’au loin elle entendu des bruits de moteur qui la fit rêver. Attiré, elle se leva pour rejoindre tout se monde qui s’y trouvait pour revivre ses folles course qu’elle vivait là bas à paris.