Une journée ensoleillé s'annoncait. Je dois avouer que pour un week end cela me donner largement le sourire. Celui ci devenait rare depuis quelques temps, surtout en apprenant le retour de mon ex petite amie et donc la mère de Enzo, mon fils. Je me réveillais doucement mais rapidement des petits pas venait m'interpellait. Allonger dans mon lit mon fils venait alors ouvrir doucement la porte de ma chambre et courir afin de sauter sur mon lit et m'embrassait. Ce lien paternel que j'avais crée avec lui me plaisait vraiment, j'étais réellement heureux avec lui, je dois avouer qu'il est ma seul raison de vivre maintenant. Depuis ce fameux échec sentimentale je ne supporte plus aucune femme, enfin très peu. L'embrassant et m'amusant un peu avec lui je venais me lever et lui préparer son petit déjeuner. « Bonhomme, ca te tente une petit virée au parc ? On ira jouer au foot si tu veux ! » Le jeune blondinet me regarder et souriait alors. Je le vis sourire et me dit. « Ouiiii ! » Je souriais et le laissais sautillait doucement. Il parlait pas beaucoup mais le si peu il ce faisait très bien comprendre. Prenant mon petit déjeuner avec lui je préparer notre déjeuner pique nique pour le parc et étant enfin prêt nous partions main dans la main vers le parc qui ce trouvait non loin de notre habitation. Le laissant alors ce diriger vers l'air de jeux je souriais et venait m'installer rapidement sur un banc. Le soleil était présent, le vent doux et surtout un moment de détente s'annonçait bien. Prenant un magazine je l'observais et venais lire quelques articles. Rapidement je perdis mon fils de vue et commençant a paniquer je tournais autour de l'air de jeux avant de l'entendre pleurer et m'appeler. Me dirigeant vers un buisson je le vis derrière celui ci avec une jeune femme et soupira de soulagement. « Enzo ! Chéri, je suis la.. Chut. » Je le prenais dans mes bras et le serrait doucement avant de l'embrassais et me relever vers la jeune femme. « Merci. » Je me voulais froid mais je devais aussi faire preuve de reconnaissance, elle c'était occupée de lui le temps que je le trouve.