La mode est la pire des prostituées (pv)
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La mode est la pire des prostituées (pv)

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MessageSujet: La mode est la pire des prostituées (pv) La mode est la pire des prostituées (pv) EmptyLun 16 Juil - 23:50



help me, please


J'ai encore cette musique dans ma tête. Une musique qui bouge qui me donne l'envie de me déhancher. Il est environs 00h00, je suis dans la rue et légèrement éméchée. Habillée d'un mini short en jean et d'un simple débardeur blanc laissant apparaître mon soutien gorge, je profite de ma fin de soirée comme je peux. Après avoir enchaîné les verres au bar pour oublier qu'en rentrant je devrais faire farce à mon stupide mari, sur le chemin du retour je prends mon temps et décide de flâner dans les rues. À cette heure-ci il n'y a que quelques voitures qui passent, certaines s'arrêtent devant des filles plus que dénudés et ça me fait sourire. Surtout qu'à plusieurs reprises quelques-unes se sont stoppées devant moi me demandant mon tarif. Au lieu de le prendre mal, j'en rigole. Ça ne me blesse pas qu'on me prenne pour une prostituée, ça m'amuse et j'en joue peut-être un peu. Sans doute à cause de l'alcool qui me fait délirer un peu plus que d'habitude. Je continue ma route, pour le moment sans embûches, jusqu'à ce qu'une voiture de poulets s'arrête près de moi. Toujours dans mon petit délire, je l'ouvre sans faire gaffe aux conséquences de mes paroles. « Vous, aussi vous voulez connaître mon prix pour une nuit torride ? ». Un petit rire amusé s'échappe de ma bouche. Inconsciente, je m'éloigne de la voiture pour continuer mon chemin. Bien évidemment les petits poulets ne pouvaient pas laisser passer ça. Un d'entre eux sort de la voiture et vient à ma rencontre. « Vos papiers s'il vous plaît ! ». Je le regarde interloquée. Mes papiers ? Comment pourrais-je en avoir sur moi, je n'ai pas de sac à main et les poches de mon short sont trop petites. Elles peuvent à peine contenir la monnaie qui m'a servi à consommer dans le bar du coin. Je rétorque poliment que je ne les ai pas sur moi et qu'il pouvait me fouiller s'il voulait. J'ai pour excuse d'être bourrée et d'être fofolle. Sans que je ne m'en rends compte, je me retrouve à l'arrière de la voiture, direction le commissariat. Ma petite blague ne l'ait ont pas a beaucoup amusé. Sur le coup je ne dis rien mais quand une fois sur place je vois qu'il souhaite me mettre en cellule de dégrisement, le ton monte. « Mais vous vous prenez pour qui ? J'ai l'air d'une poulette à qui on donne du fric pour coucher ? Si vous me connaissiez, vous saurez que pour me sauter, pas de besoin d'une liasse de billet ! ». Je vois qu'ils n'apprécient mon humour et encore moins que je me permets de répondre. Une fois en cellule, je tourne en rond. J'ai réussi à me foutre dans une sacrée merde telle l'idiote que je suis. Les heures défilent et je tente de résonner celui qui me surveille. Rien à faire. Quant au loin je croise le regard d'un beau brun. Un regard familier qui me donne une soudaine une once d'espoir. Je cris alors son prénom. « ANDREA ! ANDREA ! ». Il me remarque et esquisse un petit sourire. J'aurais préféré croiser quelqu'un d'autre, quelqu'un de plus compatissant, mais je me contente de lui. « Tu peux expliquer à ses gentils policiers que je ne suis pas une prostituée ! Ou au moins, aide-moi à sortir de ce trou ! ». Je joue alors la carte des yeux doux et j'attends sa réaction. Qu'il se foute de moi ? C'est bien sûr ce à quoi je m'attends dans un premier temps mais peut-être que après il compatira et m'aidera. Je peux toujours rêver.

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MessageSujet: Re: La mode est la pire des prostituées (pv) La mode est la pire des prostituées (pv) EmptyJeu 19 Juil - 21:09





La débauche coule dans mes veines victorieuse dans sa splendeur elle fait de moi un salaud notoire et le prince incontournables des virées VIP champagne-vodka et filles. Plus le temps avance et plus je sens cette envie d'aller toujours plus loin. Mes jeux de petits riches célèbres en agacent plus d'un et le fait que je montre tellement peu d'intérêt à ces gens qui me critiquent les rends alors encore plus remonté. Je ne dénigre pas les gens qui m'aiment, comme mes fans mais ceux qui ne reconnaissent pas mon talent et me juge de gamin incompétent en pleine crise existentielle. Je les emmerde tous, je vais très bien et je suis tout à fait heureux, ce n'ont pas eux qui gâcheront ma vie. Mais ceux qui m'énervent sans doute le plus ce sont ces poulets qui me plaque contre le capot de leur véhicule, je me retiens alors de faire quoique ce soit sachant très bien qu'ils seront capables de nouveau à abuser de leur pouvoir. Oui bien je suis trop défoncé pour riposter et articuler une quelconque réponse crédible, je crois avoir encore sur-estimer mes capacités. Ils articulent quelque chose dont la signification m'importe peu mais me fait rire, instantanément je reçois un coup dans le ventre pas assez violent pour me coucher. « Allez-vous faire foutre. » je plante mon regard complètement défait de la réalité sur eux, ils chuchotent entre eux j'abandonne le fait de comprendre et continue à rire. Ils me balancent à l'arrière de leur bagnole puante après avoir capturé mes poignets avec leurs menottes. Je regrette un moment d'avoir fuit la vigilance de mon garde du corps, ça aurait bien éviter des misères, celle de me faire arrêter par des poulets ayant un problème de supériorité et de complètement me défoncer oubliant même où je crèche. Je colle mon front contre la vitre, regardant le paysage défilés. « Hé bande d'incapables, a quoi ca sert de m'amener aux postes sachant que dans même pas une petite heure je vais en sortir ? » il me dise de la fermer pourtant je ne m'exécute pas, je continus à les provoquer tout le long du trajet jusqu'à ce qui me balance dans une cellule.
Une, deux, et peut-être trois heures passent j'ai perdu la notion du temps pour enfin rechuter complètement, je suis allongé comme un clodo et j'attends en chantonnant. Je ne trouve que cette occupation maudissant mon paternel de me faire autant languir dans ce trou à rat. Il sait tous de mes actes, ce fumier est pire que tout, il me suit à la trace même si des milliers de kilomètre me sépare. « Hé gamin. » je me redresse enfin la libération m'attend. « Tu es libre. Et la prochaine fois.. » il se coupe et hausse les épaules, et m'ouvre la porte, je me mets debout attrapant ma veste. « Bien vous économisez votre salive. » dis-je en lui tapotant l'épaule à sa hauteur, je connais si bien les lieux que je crois que je devrais arrêter d'y venir si je tiens à ma réputation. Les journaux vont dire que je suis en pleine crise, il suffit je veux juste m'amuser. Je suis jeune après tout, on m'éloigne de mes jouets j'en trouve d'autre. « ANDREA , ANDREA. » je lève alors la tête à l'appelle de mon nom, une fan ? J'en doute cette voix m'es assez familière pour savoir à qui elle appartient. Je tourne mon regard vers elle en finissant de rouler ma cigarette je m'approche à tout petit pas pour arriver à sa hauteur. « Tiens donc mais qui voilà? » Je la regarde de haute en bas avec un sourire arrogant et écoutant son service d'une oreille. « Tu sais que je ne fais rien gratuitement. » je lui décroche un large sourire en posant mon regard dans le sien. « Ca te valorise tellement d'être derrière les barreaux que j'hésite. »elle sait très bien qui je suis et que dans certaines situations je n'agis pas comme une personne le veut. Elle est mon amie ou quelque chose qui y ressemble, je devrai l'aider et pourtant je me moque d'elle mais, au fond j'y serai toujours moi derrière les barreaux si je n'avais pas mon père. Alors en soupirant et en passant mes doigts dans mes cheveux « Sors toi de cette merde toute seule.» je la regarde dans les yeux amusé pour tourné les talons. Je lui laisse peut-être l'impression de l'abandonner mais je n'enfile pas mon rôle de goujat. J'articule quelques mots à ces policiers qui se mettent à rire et leurs yeux se mettent à pétiller comme lorsqu'on agite une gamelle à un chien affamé, ils vont la lâcher.
Je sors du poste de police allumant ma cigarette, je m'appuie sur le mur attendant qu'elle sorte et lorsque sa tignasse blonde. « Tu m'en dois une. » je lui affiche un sourire un peu plus sympathique en me déplaçant vers elle. Je viens de l'aider, c'est peut être étonnant de ma part, mais allez savoir je n'allais pas la laisser croupir ici toute la nuit sachant que je peux profiter d'elle et surtout de son si jolie corps. Désormais elle ne peut rien me refuser.
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MessageSujet: Re: La mode est la pire des prostituées (pv) La mode est la pire des prostituées (pv) EmptyMar 24 Juil - 22:53



help me, please


Je poireaute dans ma cellule. Je me rends compte de ma stupidité, mais qu'est ce que je m'en balance. J'ai toujours été ainsi ; inconsciente, délurée. Les ennuis n'ont pas besoin de me trouver, je les cherche toute seule, comme une grande. La situation me fait limite rire sauf que agacé d'être bloquée dans un endroit aussi restreint, je suis plutôt énervée sur le moment. Je tourne en rond. Désespérant. Et le pire, c'est lorsque je croise le regard de Andrea. J'espérais un miracle et voilà qu'il me tombe dessus. Je rabats donc mon dernier espoir sur lui. Pitoyable. Je crie son nom jusqu'à m'époumoner, on ne sait jamais, il pourrait ne pas m'entendre. Sauf que ce n'est pas son genre de ne pas profiter de la situation. Je le vois dans son regard lorsqu'il croise le mien, il a l'air amusé. Ça m'agace. Se sentir si faible, vulnérable et surtout dépendante de ce type, c'est descendre bien bas. Je tente quand même le coup en réclamant son aide. Je joue même de mon charme en lui faisant de magnifiques yeux de merlans fris. Finalement après une brève hésitation, il vient à ma rencontre. Se postant à ma hauteur, il l'ouvre. « Tiens donc mais qui voilà? ». Je grimace en guise de réponse. « Tu sais que je ne fais rien gratuitement. ». J'esquisse un petit sourire mais je ne dis toujours rien. Si je l'ouvre, je risque d'enfoncer ma situation déjà bien pittoresque. « Ca te valorise tellement d'être derrière les barreaux que j'hésite. » « Ne fais pas le con .. ». L'envoyer chier ? Non, je me retiens. Je sens dans son regard qu'il veut jouer, qu'il hésite même à me laisser pourrir dans cette cellule. Je le savais en lui réclamant de l'aide, mais tout de même, ça me chier. Avec ce genre de personne, il ne faut jamais rien attendre de leur part. Ils ne bougeront jamais le petit doigt pour vous aider. Vous vous êtes foutus dans la merde ? Et bien débrouillez-vous. « Sors toi de cette merde toute seule.» En voici la preuve. Il se casse en me lançant un dernier regard. Je me mords la lèvre pour éviter de lui lancer un connard ou une connerie de la sorte. Je le vois disparaître, mais avant ça, toucher deux trois mots aux poulets, qui hilarent, me jettent quelques regards. « Allez vous faire foutre ! ». Je le sors d'un ton sec. À se croire si supérieur, si influant, ça me sort par les trous de nez. Mais malgré mon insulte, légère soit disant passant comparée aux pensées négatifs que j'ai, un d'entre eux se dirige vers moi, tout sourire et m'ouvre la porte. Je ne lui adresse pas un regard et quitte les locaux. Je ne suis pas étonné de retrouver l'autre gigolo, accoudé contre le mur et clope à la main, à m’attendre avec ce petit sourire. Un sourire qui vous donne envie de le claquer mais aussi de l'embrasser tellement il est craquant. Saleté de sourire. « Tu m'en dois une. » « A voir ... ». Lui lâche-je en sortant également une cigarette de ma poche. Enfin cigarette, plutôt un joint déjà roulé que je n'avais pas eu le temps de fumer avant de me faire coffrer comme une vulgaire prostituée. Je l'allume en jetant un brève coup d’œil à mon sauveteur. « Ne compte pas sur moi pour te remercier d'une quelconque manière ». J'affiche alors un petit sourire avant de rajouter. « Mais merci pour ce coup-là ! ».

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