➜ Sven Julian Zlatan Magnus ☆ 26 ans ☆ Suédois ☆ célibataire ☆ policier ☆ sans enfant ☆ à Montsimpa depuis peu ☆ respectueux ☆ loyal ☆ fidèle ☆ intelligent ☆ cultivé ☆ généreux ☆ sensible ☆ solidaire et solitaire à la fois ☆ jaloux ☆ possessif ☆ discret ☆ possessif ☆ froid aux premiers abords ☆ franc ☆ sérieux ☆ mature ☆ maladroit ☆ détruit ☆ impatient ☆ nerveux ☆ lunatique ☆ ambitieux ☆ à l'écoute ☆ bordélique ☆ patient ☆ persévérant ☆ rancunier ☆ rassurant ☆ mystérieux
FUCK OFF
➜ Il boit régulièrement, mais n'est pas dépendant à l'alcool • il est paranoïaque, il a l'impression d'être suivi • il a été violé à sept ans par son voisin • il a été séquestré et violé à seize ans pendant trois jours par John/Joe • a une cicatrice sur la fesse gauche, on peut y lire 'Joe' ce dernier l'a gravé avec un couteau • il refuse de tomber amoureux • observe les orages la nuit et compte le nombre d'éclairs • gaucher • plusieurs de ses os ont déjà été brisé, la plupart lors de combats • regarde peu la télévision, si ce n'est pour regarder Criminal Minds et The Walking Dead, deux séries qu'il apprécie énormément • d'ailleurs il possède toutes les BD de The Walking Dead • ne parle jamais de sa famille ni de son passé, ou de son adolescence • est convaincu que le monde pourrait basculer du jour au lendemain suite à une invasion de zombie • se ronge les ongles • il est un peu bordélique • il n'a jamais mis les pieds dans un cinéma • il ne sait pas danser • n'oublie jamais les rencontres qu'il fait • mange sainement • évite de sortir durant la nuit • fait son jogging chaque matin à la même heure • adore le Red Bull et le Coca Cola Light • utilise rarement l'ordinateur • il était très bon élève lorsqu'il était aux études • il a déjà essayé de comprendre les aveugles en se bandant les yeux durant toute une journée • son groupe favori est Nirvana • plus jeune, il a fait un petit boulot pour acheter une collection de minéraux, il en est fier et la contemple chaque jour • il a une peur bleue de la mer et de ce qui est enfoui dans les abysses • a assisté à un combat de chiens, à la fin de ce dernier il n'a pu s'empêcher de vomir ses tripes • il attend toujours l'automne avec impatience • il adore Noël, il trouve ce moment magique • n'a jamais touché une manette de playstation • joue souvent au BlackJack • ne parie jamais • il a tenu pendant longtemps un journal intime et lui arrive de le relire • il recherche un certain Slevin Ibrahimovic depuis un an à présent • garde ses émotions et ses sentiments pour lui • il aime beaucoup la culture asiatique • parle le suédois, l'anglais, et se débrouille assez bien en français • il a déjà fait un saut à l'élastique, offert par des amis • se mord la langue pour se retenir de dire certaine chose • il s'en voudrait de faire pleurer une femme, ou même un homme • le soir, il éteint toutes les lumières et passe de longues minutes à observer la flamme d'une bougie • la seule végétation qu'il possède chez lui est un banzaï en pot, il s'assure de le tenir en vie • il craque souvent volontairement ses doigts et sa mâchoire • sort rarement en boite de nuit, il préfère se poser dans un bar pour faire des rencontres, ou pour sombrer dans sa solitude • il est bisexuel • il n'aime pas les femmes qui ressemblent à des sacs d'os, il les préfère avec quelques kilos de trop • il aime les hommes grands, tatoués et barbu • il a fumé pendant deux ans • il n'a aucune religion, mais respecte celle des autres • il veut fonder une famille, mais il ne sait toujours pas qu'il est stérile...
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DEMANDE DE LIEN : OUVERTE
Je recherche tout type de lien, positif, négatif, complexe, il faut savoir que Sven ne fait qu'arriver à Monstimpa et qu'il n'y a jamais mis les pieds auparavant.
Dernière édition par Sven J-Zlatan Magnus le Dim 30 Sep - 15:58, édité 15 fois
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Sujet: Re: SVEN ▽ Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. Lun 9 Juil - 18:39
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RÉPERTOIRE RP'S
FERMÉ ••• ••• ••• ••• ••• •••
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☆ EN COURS ☆
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] a time to pick a fight | ft. slevin [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] l’obscurité ne chasse pas l’obscurité seule la lumière peut le faire | ft. aeldrinn Titre du sujet | ft. Prénom
[url=http://www.playwithlife.net/t4151-for-the-pain-that-you-drive-into-the-heart-of-me-swannsven#169025]☆ for the pain that you drive into the heart of me | ft. swann Titre du sujet | ft. Prénom [url=http://]☆ Titre du sujet | ft. Prénom
Dernière édition par Sven J-Zlatan Magnus le Dim 30 Sep - 15:48, édité 12 fois
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Sujet: Re: SVEN ▽ Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. Lun 9 Juil - 19:10
ANECDOTE I
❝ La douleur diminue... mais elle ne disparaît jamais. ❞
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"SVEN 16 ans. /!\ scène de viol":
Bonsoir, Sven. dit-il sur un ton rauque tout en fermant la porte à clef derrière lui. Fils de p*te ! répondit Sven en serrant les dents, surpris et stressé par le bruit de la porte que cet homme venait de fermer. J'ai appris beaucoup d'informations sur toi, je t'ai vu aussi... Je dois dire que tu es plutôt doué pour un gamin de seulement seize ans, j'aime les gosses doués ! Alors que l'homme s'approchait, Sven recula, mais ne fit pas attention aux obstacles au sol, ce qui le fit tomber sur le canapé. Je ne te savais pas aussi rapide. ironisa John en s'approchant davantage de l'adolescent. Ce dernier se redressa et le poussa, mais John ne bougea même pas d'un centimètre et le bloqua de son grand bras. La pire erreur que tu aies faite est de m'avoir traqué, petit... Tu aurais dû te renseigner sur mon compte avant de t'aventurer seul dans mes griffes. ajouta John en laissant échapper un rire sadique de ses lèvres. Sven déglutit en entendant ce rire alors que la peur commençait à l'envahir. Il tenta de se débattre, de quitter cette emprise que cet homme avait sur lui, mais ses efforts semblaient ne le mener à rien. Lâche-moi espèce de sale porc ! s'écria le suédois, la gorge nouée. Pourquoi donc te lâcher, je n'ai pas l'occasion d'avoir un sex-toy humain tous les jours et ce gratuitement. répondit-il en rigolant, comme s'il s'agissait d'une évidence. Sven se débattait, il donna des coups de coudes, lui écrasa les pieds, mais une fois encore cela ne servit à rien, si ce n'est énerver son agresseur qui lui porta un coup à la tête, le faisant sombrer dans ses bras...
Sven se réveilla les mains ligotées derrière le dos, ainsi que ses pieds, le tout avec des cordes. Il ne fallut quelques secondes à Sven pour constater sa nudité. Situation qui le gênait déjà, et qui le terrorisait déjà rien qu'à l'idée d'imaginer la suite. John apparut quelques secondes plus tard dans ce qui semblait être sa chambre, un grand sourire déformant son visage de tueur. La nuit va être longue, Sven, les prochains jours aussi. lança-t-il en s'approchant pour détacher son jean. Le suédois tenta de se déplacer, de se détacher, mais il ne fit que s'irriter la peau en la brûlant. John s'approchait encore, se déshabillant au fur et à mesure. Il tira Sven hors du lit et l'obligea à rester à genoux. Tu sais ce qui te reste à faire. Le suédois tremblait de peur, sa vue devenait de plus en plus floue à cause de ce sentiment haineux qui prenait possession de lui. Sven redressa son regard vers celui de l'homme qui attendait impatiemment que sa victime lui fasse une fellation. Va te faire foutre ! cria l'adolescent en essayant de l'éloigner de lui. John se mordit la lèvre inférieure, ses poings se serrèrent et sans plus attendre il se jeta sur sa victime pour le ruer de coups. Recroquevillé sur lui-même, Sven sentit ses larmes rouler le long de ses joues. John le réinstalla correctement face à lui, mais le suédois refusait de faire ce que lui demandait son agresseur. Ce dernier empoigna la tête de Sven et la colla contre ses parties intimes. Maintenant espèce de petit c*n, fait ce que je dis ! vociféra l'homme en maintenant pression sur la tête de Sven. Il pleurait toutes les larmes de son corps et commençait à regretter d'avoir tant cherché à traquer ce genre d'homme. L'adolescent exécuta l'ordre donné par John. Il ne cessait de pleurer et ce qu'il faisait le dégoûtait au plus haut point, il voulait arrêter, mais son agresseur lui maintenait fermement la tête.
John prenait du bon temps et rigolait de la situation, il repoussa Sven sans grande douceur pour mieux le retourner et terminer en lui. Il voulait jouir en lui, à travers une capote, mais malgré tout en lui. Le corps entier du suédois brûlait, il était si mal sous les coups de reins que lui donnait ce sala*d. Il essayait tant bien que mal d'arrêter de pleurer, mais il n'y parvenait pas, ce qu'il vivait, la douleur, l’humiliation, le dégoût, le mélange était atroce et il priait tout et n'importe quoi pour que ce calvaire s'arrête... Mais il était loin de s'imaginer que d'autres jours l'attendaient... La deuxième nuit, il l'obligea à se masturber devant lui et l'obligea également à être actif. Évidemment, Sven avait encore une fois refusé de le faire, mais après l'avoir tabassé, Sven ne put se résoudre à lui obéir... La troisième journée, Sven était assis sur le lit et piquait du nez. Après l'avoir giflé pour le réveiller, John approcha un verre d'eau vers les lèvres du suédois qui avala le contenu sans même réfléchir. L'homme se redressa et posa le verre sur une commode avant de s'approcher de lui et de prendre son visage dans l'une de ses mains. C'est ton dernier jour. Tu ne m'excites plus... Mais contrairement à toutes mes autres victimes, je te laisserais en vie, car toi au départ, tu n'étais pas ma proie, c'est toi qui est venu à moi, et rien que pour ça, je dois te laisser la vie sauve.
Ce dernier jour fut tout aussi violent. Comme l'avait si bien dit John, Sven ne l’excitait plus, mais ça ne l'empêcha pas pour autant de le violer, avec divers objets sexuels. L'adolescent en était même venu à le supplier d'arrêter, ce que bien sûr il ne fit pas. Sven le vit prendre un couteau, et l'approcher de lui, prit de panique il hurla encore plus. Il ne voulait pas mourir... en fait si. Peut-être serait-ce mieux ainsi... John approcha la lame vers les fesses du suédois et grava sur la fesse gauche le prénom ''Joe''. Et lorsqu'il fut satisfait du résultat, il coupa les cordes des poignets et des chevilles ensanglantées. Sven avait essayé de s'enfouir, il s'était brûlé les poignets et les chevilles, il s'était charcuté lui-même dans l'espoir de s'échapper des griffes de ce monstre. John lui rendit ses vêtements et le jeta dehors. Tu as été la meilleure expérience de ma vie, j'espère que cela te fait plaisir, j'espère surtout que tu te souviendras de moi. Ton joli petit cul lui, se souviendra de moi... Sur ces mots, il ferma la porte alors que l'adolescent tentait de s'habiller. Il faisait nuit, il n'y voyait pas grand chose. Et le moindre geste lui faisait atrocement mal, par les viols qu'il avait subis pendant trois jours, ainsi que les bleus et peut-être même certaines côtes froissées. Il parvint à rentrer chez lui, ou plutôt chez ses parents adoptifs, et lorsque ses parents, inquiets le virent, ils furent heureux. Mais où étais-tu passé ?! s'écrièrent-ils pratiquement ensemble. Je... avec Jo... avec John. Un... violeur... Ils tombèrent des nues à cette annonce et son père adoptif composa le numéro de la police...
Sven vit sa mère l'approcher et elle le prit dans ses bras, le serrant contre elle, mais lui faisant surtout très mal. J'ai mal... tu me fais mal... dit-il en retenant ses larmes. Sa mère se recula et souleva le tee-shirt de son fils, lorsqu'elle vit qu'en grande partie son thorax et son ventre étaient remplis de coups, elle joignit ses mains à sa bouche et éclata en sanglot. Le père de Sven qui avait observé la scène s'approcha de lui et le serra légèrement dans ses bras. La police est en chemin... murmura son père qui se retenait de pleurer. Cet homme m'a violé... il m'a violé... pendant trois jours. Il m'a obligé. Il m'a fait mal. Il a pris des objets. Il m'a fait mal... Il m'a gravé... Il a gravé son nom... Il m'a fait mal... Il m'a gravé son prénom sur mes fesses... Papa, il m'a gravé son nom sur mes fesses... Papa, il a... Il s'effondra dans les bras de son père et pleura encore et encore...
ANECDOTE II
❝ Le trop de confiance attire le danger. ❞
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Malgré son corps d'adolescent, Sven venait de gagner un autre combat. Il était bon dans les combats de rue, il n'y avait pas à dire. Il savait se battre contre un homme. Il arrivait à trouver rapidement les faiblesses de ses adversaires et utilisait toujours sa petite technique qui l'avait aidé à gagner plus d'un combat. Il ramassait aussi, il n'en sortait jamais indemne, il lui était aussi arrivé de perde, mais pas aujourd'hui. Aujourd'hui il en ressortait vainqueur... ou pas. Qu'est-ce qu'on avait conclu ?! entendit Sven, alors qu'il recevait au même moment un coup au genoux droit, le faisant tomber au sol. On a rien conclu T-J, okay ?! J'suis pas le genre de gars qui est né pour perdre ! Il était hors de question que je salisse mon image de vainqueur uniquement pour te faire gagner un putain de pari, surtout si ce pari te sert à t'acheter ta coke ! répondit Sven en se redressant difficilement. Ce coup-là, il ne l'avait pas vu venir, et T-J l'avait bien attrapé. Ce dernier plaqua l'adolescent contre le mur de l'immeuble et sortit une lame d'une vingtaine de centimètre qu'il plaça sous la gorge de Sven. En sentant la lame effleurer sa peau, il cessa de se débattre, tout en posant son regard dans celui de T-J. Ce type n'était pas méchant, il devait probablement être en manque... Je m'en fous okay ? Je m'en fous de ton image, si je te dis de perdre, tu perds ! Si je te dis de gagner, tu as intérêt à gagner ! Si tu refuses encore une fois de faire ce que je te dis, crois-moi, tu... T-J ne termina pas sa phrase, et lâcha brusquement Sven. Qu'est-ce qui lui prenait tout à coup ? Il ne fallut pas beaucoup de temps au suédois pour comprendre ce qu'il venait de se passer. La situation s'était inversée, la chance avait-elle enfin tournée pour lui ? Tu quoi ? Qu'est-ce que tu vas faire, hein ?! vociféra cette voix qui était inconnue à l'adolescent. C'était qui ce type qui plaquait T-J contre ce mur ? D'où il sortait ? Comment avait-il fait pour prendre le poignard de T-J sans que ce dernier ne comprenne se qui lui arrive ? Écoute-moi bien espèce de petit merdeux, si tu le touches encore une fois, t'auras affaire à moi. Tu devrais peut-être t'en prendre à un type de ta corpulence au lieu de t'en prendre à un p'tit jeune. continua l'homme en appuyant la lame du poignard sur la gorge du drogué. Suis-je suffisamment clair ? T-J hocha légèrement la tête. Convaincu, l'homme le lâcha et se recula. Allez dégage, maintenant tu dégages ! dit-il en le poussant plus loin. T-J quitta la ruelle en courant. Décidément... L'inconnu emballa la lame du poignard dans un chiffon et le glissa dans une de ses rangers, avant de porter son regard vers Sven. Toi le joli minet, t'as pas à te sentir victorieux dans cette histoire! Si t'arrêtais de chercher la merde avec les plus grands que toi, t'aurais pas de problème, et des mecs dans mon genre n'aurait pas à venir te sauver la peau du cul, okay ?! sermonna l'inconnu en s'approchant de lui. Mais pour qui se prenait-il, son père ? J't'ai rien demandé, s'toi qu'est venu jouer à Batman. J'avais pas besoin de ton aide ! répondit Sven, par fierté, alors qu'au fond, il était reconnaissant envers cet homme. Batman ? L'homme commença à rigoler, le p'tit avait vraiment un sacré culot de lui tenir tête. Toi, tu viens boire un verre avec moi ! Tu te bats bien, et tu m'as l'air d'un bon gars. Faire ta connaissance ne doit pas être si déplaisant que ça, même si tu me sembles aussi casse-couille que l'autre, mais y a moyen de bien s'entendre. Ou comment inviter un adolescent attirant, - repéré depuis plusieurs semaines - à boire un verre.
Dernière édition par Sven J-Zlatan Magnus le Lun 6 Aoû - 23:22, édité 6 fois
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Sujet: Re: SVEN ▽ Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. Ven 20 Juil - 14:50
ANECDOTE III
❝ C’est quoi la passion ? C’est une attirance irrésistible. Comme celle d’une aiguille magnétique qui a trouvé son pôle. ❞
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Sven zigzaguait entre les nombreuses voitures de police garées devant l'immeuble, attachant rapidement les sangles de son gilet pare balles. Il était nerveux. Comme toujours lorsqu'il était appelé pour faire son métier. Mais aujourd'hui était un autre jour, il assistait pour la première fois à un braquage de banque. Son premier... Arrivé devant la porte de la banque, le policier se stoppa, prenant le temps de respirer un bon coup. Les criminels acceptaient de relâcher deux otages en échange d'un policier, le suédois s'était proposé sur un coup de tête, mais ne regrettait en rien son geste. Si ça pouvait sauver la vie de quelques personnes... Il frappa à la porte afin de signaler sa présence et quelques secondes plus tard, un des deux criminels vint ouvrir la porte, une arme pointée sur la tête d'un otage lui servant de bouclier, au cas où les policiers voudraient faire feu. L'accord convenu fut exécuté, le malfaiteur qui semblait être noir de peau laissa sortir deux otages, une femme enceinte et son compagnon, tandis que Sven refermait la porte à clef derrière lui avant de jeter la clef vers le criminel, comme ils l'avaient convenu quelques minutes plus tôt. Maintenant que je suis rentré, je vais sortir mon arme et la faire glisser vers toi, d'accord ? dit-il en exécutant ses paroles dans de gestes lents, mais peu assuré. Il avait peur. Il prit son arme en main et la redressa légèrement afin de l'envoyer valser beaucoup plus facilement vers l'homme, mais un coup de feu retentit. Son arme tomba au sol en même temps que le corps du policier suite à l'impact de la balle contre son épaule. Merde mais pourquoi t'as tiré ! s'écria le malfaiteur en se tournant vers son complice qui revenait d'une autre pièce et qui venait de tirer sur le policier. J'ai cru qu'il allait te tirer dessus ! Tu n'as pas vu qu'il redressait son arme ?! ajouta l'homme en s'approchant de Sven qui était assit au sol, comprimant sa blessure à l'épaule. Le malfaiteur qui était blanc de peau éloigna l'arme d'un coup de pied avant de s'abaisser vers le flic. Sven ?! murmura-t-il, surpris. Le jeune suédois porta son regard vers le criminel qui semblait le connaître, mais il n'arrivait pas à le reconnaître sous ce bas en nylon qui déformait totalement son visage. Il cherchait dans sa mémoire après cette voix qui lui était familière, mais il n'arrivait pas à remettre un nom dessus. Le malfaiteur se redressa et en fit de même avec le policier afin de l'entraîner dans une autre pièce. G. Je vais parler avec le poulet, toi tu surveilles les autres ! ordonna l'homme en poussant Sven dans une autre pièce. Une fois la porte fermée, il retira le bas en nylon sur son visage et porta son regard vers celui du policier. Henrik... murmura le policier, déçu de le voir lui. Ce n'était pas un mauvais type, pourquoi faisait-il ça ? Mais merde, pourquoi t'es flic ? Pourquoi toi, t'es devenu flic ? Pourquoi t'es là le jour de ce foutu braquage en plus ? ! vociféra Henrik en s'approchant du policier qui appuyait sur sa blessure afin de stopper au maximum le saignement.Il faut que tu m'aides, joli minet, tu dois me sortir d'ici. demanda-t-il beaucoup plus calmement en ne lâchant pas le regard de Sven. Ce dernier dévisageait Henrik, cherchant à comprendre cet acte criminel dans laquelle il s'était fourré. Tu viens de me tirer dessus, donne-moi une raison valable de le faire ? demanda le policier en serrant les dents à cause de la douleur. Je t'ai sauvé. » enchaîna Henrik. Sur le coup, il ne pouvait pas donner tort à Henrik. Ce dernier l'avait sauvé, Sven pouvait bien en faire de même. Je suppose que tu as les plans de l'immeuble ? demanda Sven. Le criminel s'éloigna de lui pour prendre les plans et revint auprès de lui. Le policier jeta un bref coup d'oeil vers le visage d'Henrik avant de se concentrer sur les plans. Okay. Bon, toutes les entrées sont sécurisées, mais celle-ci, dit-il en la pointant du doigt sur les plans, elle l'est très peu. Il doit y avoir quoi, deux flics. Donc je te propose qu'on assomme les flics, on prend la voiture, et on se barre. Tu me laisses proche d'un hôpital, tu continues ton chemin, puis au bout de quelques kilomètres, tu abandonnes également la voiture. Pour le reste, je saurais me montrer convainquant envers mes collègues. termina le policier en regardant Henrik. Il était trop proche, dans d'autres circonstances, peut-être que Sven aurait apprécié ce peu d'espace qui les séparait, mais pas là. Là, il s'apprêtait à devenir le complice d'un criminel. Je t'ai tiré dessus, donne-moi une raison valable de te faire confiance ? demanda Henrik, après avoir longuement dévisagé le policier. Tu m'as sauvé...
ANECDOTE IV
❝ Les blessures d'amitié sont inconsolables. ❞
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Tu m'emmerdes ! s'écria Sven en balançant son oreiller à travers la chambre d’hôtel qu'il occupait depuis peu. Un hôtel pas très classe, d'où son prix abordable. Certes, le suédois aurait préféré autre chose que ça, mais il ne pouvait pas se permettre mieux, du moins pas sans dépenser toutes ses économies. Il avait besoin de ces dernières, le temps de trouver un nouveau poste. Mais pour ça, il avait besoin de prendre contact avec son ancien patron/meilleur ami. Mais pour ça, il fallait déjà que ce dernier daigne répondre au téléphone ! Sven avait déjà tenté de l'appeler six fois, tombant toujours sur sa messagerie. Il pouvait admettre que son meilleur ami lui en veuille d'avoir tout plaqué du jour au lendemain pour retrouver un inconnu – qui pouvait être son frère - , mais pas au point d'ignorer ses appels... Le policier se laissa tomber sur le lit et tenta une dernière fois de l'appeler. La dernière fois de la journée, car il commençait déjà à se faire tard et puis, il commençait vraiment à se lasser de s'accrocher de cette manière. Quoi! Qu'est-ce que tu me veux?! Wouah... quel accueil. Ça ne lui ressemblait pas, mais il avait décroché. Il venait enfin de décrocher ce foutu téléphone au bout du septième appel ! Depuis quand tu réponds au septième appel ? grogna Sven en s'asseyant sur son lit, tout en observant la peinture sur le mur en face de lui. Contrairement à certain, je bosse ! répondit son meilleur ami avec amertume. Même s'il s'agissait de son ancien patron, il restait avant tout son meilleur ami.
Ils s'étaient rencontrés au lycée, avaient fait l'école de police ensemble, avaient été engagés dans le même commissariat, et avaient été coéquipiers durant un certain temps, jusqu'à ce que son meilleur ami reçoive une promotion... Au départ, Snäll avait voulu la décliner pour rester avec Sven, mais ce dernier l'avait obligé à la saisir sans se poser de questions. Qu'il devait faire ça pour leur amitié... excuses bidons qui avaient malgré tout porté ses fruits. Écoute... excuse-moi, d'accord ? Ça me fait plaisir d'entendre ta voix. Bref... j'ai besoin que tu m'aides, soupira le suédois en passant sa main sur son visage. Snäll était en colère, il lui en voulait et Sven le connaissait suffisamment pour savoir qu'il ne l'aiderait pas. T'aider ? Alors que tu m'as laissé comme une grosse merde ? Tu as préféré tout abandonner pour retrouver quelqu'un qui n'existe peut-être même pas ! T'es fou ! T'es complètement taré, en fait ! Et tu voudrais que je t'aide ? La seule chose que je puisse faire pour t'aider est de t'envoyer dans l'asile le plus proche ! commença Snäll sur un ton se voulant de plus en plus agressif. Sven savait que son meilleur ami s'énervait rapidement, qu'il élevait souvent la voix, mais il ne l'avait encore jamais fait contre lui, du moins, pas de cette manière... Je sais... Je sais que je suis fou, Snäll. Même si pour le coup tu me sembles aussi tapé que moi... Je sais que j'ai foiré... Je sais aussi que je t'ai déçu... Mais il existe. Slevin Ibrahimovic existe vraiment, et c'est mon frère. Je l'ai retrouvé. C'est mon frère, ma vraie famille... répondit le policier, le plus calmement possible. Il n'aimait pas quand on lui parlait sur ce ton-là. D'autant plus lorsque cela était fait par une personne qu'il considérait plus comme un grand frère qu'autre chose...
Sven entendit à travers son téléphone portable un objet se briser. Un verre ? un vase ? une assiette ? Excès de rage venant de Snäll ? Vu sa façon de lui parler, ça n'étonnerait pas le suédois. Ta vraie famille elle se trouve en Suède ! Auprès de moi, auprès de tes parents ! Tu sais, ceux qui t'ont recueilli, nourri, aimé, car ta soit disant vraie famille t'a abandonnée ! Tes parents adoptifs ont été présent pour toi, même dans les pires moments, et tu sais de quoi je parle, Sven ! Ta soit disant vraie famille, elle était où quand Joe te vio... TA GUEULE SNÄLL ! Arrêtes ! Tu peux pas... Tu peux pas me parler de ça. Je t'interdis de me parler de ça ! Tu peux pas... s'en était trop pour Sven qui ne pu s'empêcher de retenir ses larmes. Son meilleur ami... Comment pouvait-il lui dire ça, alors qu'il était au courant de toute cette histoire, de chaque détail ? Comment pouvait-il lui jeter ça à la tronche alors qu'il avait pleuré en même temps que Sven à la fin de ses explications ? Je n'aurai jamais dû t'appeler. Mais je l'ai fait... car je pensais que tu étais mon ami. Mon meilleur ami ! Merde, j'te considérais comme un frère ! Et là tu me lâches ça ?! Tu me reparles de lui et de ce qu'il m'a fait ! Tu veux quoi au juste ?! Que je finisse alcoolique, dépressif et suicidaire ?! continua le policier dans un mélange de colère et de tristesse, ses larmes roulaient le longs de ses joues sans qu'il ne puisse les retenir. Sven était bien trop rancunier pour pardonner de telles paroles, des mots qu'il ne risquait pas d'oublier avant longtemps. Tu m'as blessé, Sven... Assumes-en les conséquences... sur ces mots son meilleur ami lui raccrocha au nez.
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Sujet: Re: SVEN ▽ Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. Lun 6 Aoû - 23:23
« Les hommes, un mâle nécessaire... »
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HENRIK N. OTTOSSON
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SLEVIN Z. IBRAHIMOVIC
FRÈRE ~ Slevin... Depuis toutes ces années tu étais présent, tu étais en vie, et pourtant, tu n'existais même pas à mes yeux. Ton existence ? Je l'ai apprise en voulant connaître celle de mes parents. Il a fallu que cet homme, celui de l'orphelinat où j'ai été abandonné, vienne chambouler ma vie en me donnant ce papier qu'il avait malencontreusement oublié de me donner à ma majorité. Un papier que ta m... notre mère lui avait laissé... Un simple morceau de papier contenant six lettres. Ton prénom y était inscrit. Slevin. Tout simplement Slevin. Rien de moins, rien de plus. Qu'est-ce que j'étais censé faire avec cette information ? La jeter à la poubelle sans savoir ce qui se cachait derrière ? Je l'aurai regretté toute ma vie... Je t'ai cherché pendant des mois entiers, j'en dormais plus, t'étais une obsession, tu me pourrissais la vie... Je t'ai même détesté. Car chercher un frère ayant eu la chance de vivre avec ses vrais parents, ça me tuait. Ça me tuait tellement que j'ai plus d'une fois abandonné mes recherches, pour mieux les reprendre, mais s'était toujours pareil. Ça n'avançait pas vite à mon goût. Puis je t'ai trouvé. Je t'ai localisé ! Je t'ai vu... Je t'ai vu, je t'ai touché et s'est seulement à ce moment-là que j'ai compris que tu n'étais pas qu'un rêve, qu'une illusion. Non, tu étais réel. Un frère. Depuis ce jour, depuis le jour de notre rencontre je me suis promis une chose, faire de nous des frères. De vrais frères, et rattrapés ce temps que nous avons perdu...
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T. AELDRINN MALARKEY
QU'EST-CE QUE... ? ~ [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] Contexte du sujet : Sven est sous emprise d'alcool, il s'est perdu dans la forêt. Il trébuche et tombe dans un lac. Il retire ses vêtements afin de les essorer. Ayant toujours voulu se baigner la nuit, il compte bien retourner dans l'eau. Alors qu'il s'apprête à sauter dans le lac, il entend le prénom "Joe" prononcé par une voix masculine. Terrifié, il panique et décide de se rhabiller tout en courant dans la forêt. Sven va rapidement comprendre qu'Aeldrinn est différent, et surtout que ce dernier sera présent pour l'aider à retrouver son chemin...
ORDINAIRES CÉLÉBRITÉS VAMPIRES FANTÔMES
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W. HAINES DAWKINS
LIEN ~ Haines. La prononciation de ton prénom est quelque chose qui bloque ma gorge. Tu es une personne qui m'a déçue par le passé. Je t'ai rencontré au collège, enfin, moi j'étais au collège, toi tu étais déjà au lycée. Tu as vu ces trois types qui m'ennuyaient, qui me bousculaient, et toi tu es venu m'aider. J'étais jeune, j'étais nouveau, et je ne savais pas encore me défendre à ce moment-là. Par ce geste, tu m'as fait penser au grand-frère que je n'avais pas. Le grand-frère protège son petit frère, et ce jour-là, tu as fait ce que tout grand-frère aurait fait... J'ai alors commencé à venir près de toi, apprendre à te connaître, malgré notre différence d'âge, tu ne me voyais pas comme un gamin de douze ans, mais bel et bien pour un garçon de ton âge. J'étais déjà très mature, d'ailleurs, je pense que c'est ce qui a joué en ma faveur pour continuer à te côtoyer. Ensuite... du jour au lendemain, plus rien. Et j'crois que je t'en veux toujours de ce que tu as fait. Bon, j'ai fait la même chose à une autre personne... mais moi au moins je l'ai prévenu. Toi... rien. Du jour au lendemain tu as disparu, me laissant là, seul comme un pauvre con. J'avais confiance en toi. J'crois que je te faisais même plus confiance à toi qu'à moi-même. Tu étais important, une sorte de confident. Je savais que si j'avais un coup de mou, je pouvais aller te trouver, tu aurais été celui qui m'aurait redonné le sourire. Mais tu es parti... sans un mot, sans me prévenir, plus rien. Et malgré les années qui ont passé, je ne saurais jamais te pardonner ce geste sans te revoir, te reparler. Au moins, je pourrais toujours essayer de comprendre...
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NOM & PRÉNOM
LIEN ~ Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Sed non risus. Suspendisse lectus tortor, dignissim sit amet, adipiscing nec, ultricies sed, dolor. Cras elementum ultrices diam. Maecenas ligula massa, varius a, semper congue, euismod non, mi. Proin porttitor, orci nec nonummy molestie, enim est eleifend mi, non fermentum diam nisl sit amet erat. Duis semper. Duis arcu massa, scelerisque vitae, consequat in, pretium a, enim. Pellentesque congue. Ut in risus volutpat libero pharetra tempor. Cras vestibulum bibendum augue. Praesent egestas leo in pede. Praesent blandit odio eu enim. Pellentesque sed dui ut augue blandit sodales. Vestibulum ante ipsum primis in faucibus orci luctus et ultrices posuere cubilia Curae; Aliquam nibh. Mauris ac mauris sed pede pellentesque fermentum.
ORDINAIRES CÉLÉBRITÉS VAMPIRES FANTÔMES
Dernière édition par Sven J-Zlatan Magnus le Sam 6 Oct - 13:24, édité 11 fois
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Sujet: Re: SVEN ▽ Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. Ven 10 Aoû - 22:47
« Coeur des femmes, abîme insondable ! »
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PRIMROSE-RUBY CHAPLIN
AMIE ~ Aussi étrange soit-il, tu ressembles à une de mes amies de Suède. Les mêmes mimiques, les mêmes défauts, les mêmes qualités. Incroyable ce que tu lui ressembles. Je dirais que s'en est presque troublant. Ce n'est donc pas étonnant que je me sois rapidement attaché à toi, et inversement. D'ailleurs, je pense que tu m'idéalises de trop, je ne suis pas exceptionnel, juste quelqu'un d'ordinaire. Enfin... je n'ai pas vraiment à discuter là-dessus. Moi je t'idéalise également. En tant que mère de mon enfant. Non, je ne veux pas vivre avec toi, non je ne veux pas me mettre en couple avec toi, ni même me marier avec toi. J'aimerais que tu deviennes la mère porteuse de mon enfant. Mais bon... comment annoncer une telle chose ? Comment être certain que d'ici quelques années, lorsque je voudrais vraiment un enfant tu seras toujours là ? Cette situation me rend chaque jour un peu plus nerveux, d'autant plus que tu m'attires quand même assez bien, suffisamment pour faire sortir mon côté bisexuel. Ce lien qui nous réunit va me rendre fou à coup sûr. Faut qu'on aille une discussion, et vite !
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Dernière édition par Sven J-Zlatan Magnus le Sam 6 Oct - 13:22, édité 7 fois
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Sujet: Re: SVEN ▽ Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre.
SVEN ▽ Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre.