∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.
TOP PARTENAIRES DE PWL

plus?vous?voter


MEMBRES DU MOIS
PWL

RPGISTE DU MOIS
Adel De Lavauderie

RPGISTE DU MOIS
Chuck B. Onekung

AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Fermeture de PWL.
-20%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, 144 Hz, FreeSync ...
399 € 499 €
Voir le deal

Partagez

∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité



∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Empty
MessageSujet: ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène. ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  EmptySam 25 Aoû - 13:37

∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Tumblr_m5zysinDYJ1r5erxpo1_500 Adriàn Donovan et Danaé Hawthorne. Une histoire tumultueuse qui dure depuis des mois et des mois. La journaliste écrivait une ébauche d'article qu'elle s'apprêtait à poster sur son blog. Il s'agissait d'un gros scandale entre deux acteurs qui se sont fait surprendre plein adultère. C'était moche. Danaé n'arrivait pas à trouver les mots pour décrire la situation, elle n'arrivait pas à être frappante et blessante, parce qu'elle avait l'impression de se trouver dans cette situation. Techniquement Adriàn et Danaé sont séparés, elle ne savait pas si lui l'avait compris de la même manière. Il était partit pendant deux longues semaines dieu sait où s'occuper de dieu sait quoi, un mensonge de trop pour la jeune femme qui en avait marre de ses paroles de beau-parleur. En amour, elle n'avait pas eu de chance, elle se demandait ce que cupidon pouvait bien faire avec ses satanées flèches en mousse. Il y avait eu Léo qui l'avait prise pour la dernière des imbéciles, lui faisant gober que l'amour c'était beau et encore plus lorsqu'ils finiraient grâce à la magie du mariage à sceller leur "amour éternel" à tout jamais et puis il y a eu Adriàn, une tornade qui avait chamboulé son quotidien de manière permanente. Elle avait l'impression que l'histoire se répétait, comme elle l'avait confié à son (petit) ami Noam au Verseau quelques jours avant son départ. Une seule soirée en tête à tête avait suffit pour tout faire basculer. La journaliste était resté très attaché à l'écrivain, pendant longtemps elle cru que jouer les frères et soeurs les aideraient pour passer à autre chose, mais Danaé s'était mit le doigt dans l'oeil ; il y avait toujours eu beaucoup plus que ça entre eux, c'était indéniable. Ils sont meant to be. Il est de loin la seule relation où elle n'avait pas souffert, même lorsqu'ils ont rompu tout était resté calme, aucun mot n'avait été plus haut que l'autre. Elle mis ses doigts sur ses lèvres repensant au baiser qu'ils avaient partagés, il y a quelques jours de cela chez Hogan. Noam lui avait avoué ce qu'il éprouvait encore à son égard, la journaliste avait été touché par sa déclaration ; une déclaration faite sur mesure pour elle. Il avait cette façon de manier les mots qui avait le don de la faire fondre, il pourrait dire n'importe quoi qu'elle serait complètement sous le charme. Elle se sentait coupable vis-à-vis d'Adriàn, alors qu'elle ne devrait pas. Il l'avait contacté ce matin même pour qu'ils discutent, naturellement dans sa chambre d'hôtel. Danaé ne savait pas quel comportement elle devrait avoir vis-à-vis de lui, elle hésitait même à le rejoindre tout court. Lui annoncer de vive voix qu'il ne se passerait plus jamais rien entre eux était inconcevable et pourtant, elle devait le faire parce qu'il devrait accepter qu'il n'aurait plus aucune chance avec elle. Danaé savait qu'ils ne resteraient pas amis, avoir son ex en ami, c'était un mélange malsain. Elle était trop perturbé sentimentalement parlant pour pouvoir continuer à critiquer les amourettes des autres. La journaliste laissait rarement ses soucis personnels prendre autant de place dans sa vie professionnelle, mais il s’agissait de Noam et d'Adriàn, alors forcément tout était différent. Il était important pour Danaé qu'il sache ce qui était en train de se produire entre l'écrivain et elle, c'était primordiale tellement elle avait l'impression de lui lancé un poignard dans le dos. Elle lui en voulait certes de lui mentir sur la nature de son vrai travail, de l'avoir fait souffrir comme il l'avait fait, mais il restait Adriàn, ce garçon mystérieux qui l'avait sauvé du grand méchant loup. Elle savait que ce baiser qu'elle avait partagé avec Noam confirmait juste ce qu'elle avait ressentit à son égard au Verseau, ils seraient toujours plus que des exs et jamais que de simples amis. C'est pour cela qu'elle se devait d'effectuer une mise à jour dans le cerveau d'Adriàn. Danaé ne voulait pas retomber dans ses bras et faire souffrir l'écrivain, elle en était incapable et connaissait que trop bien le "comptable", il s'imaginait certainement que tout s'arrangerait en un claquement de doigts. La jeune femme se leva d'un seul coup puis sortie de l'appartement pour partir rejoindre Adriàn, laissant son article en plan avec ses deux pauvres lignes d'écriture. Danaé pensait prendre la bonne décision, en faite elle n'en savait pas grand chose puisqu'elle était indécise comme pas deux. Elle avait la capacité de changer d'avis tous les quarts de secondes, c'est pour dire à quel point c'était grave lorsqu'elle se mettait à trop réfléchir sur une décision à prendre. Adriàn habitait dans un luxueux hôtel à Bridgeport, elle adorait cet endroit, mais moins les confidences que lui faisait le réceptionniste. En effet, il semblerait qu'Adriàn ait aussi des révélations à lui faire. Ces femmes qu'il emmenait dans sa chambre d'hôtel, Danaé ne voyait pas ce qu'un comptable pouvait bien parler avec ce genre de personne au beau milieu de la nuit. Il lui devait des explications, elle avait toujours tenue à être honnête avec lui, c'est pour ça qu'elle devait lui parler, mais elle attendait quelque chose en retour. Une fois arrivée dans le hall de l'hôtel, elle partie voir Micah histoire de lui passer un petit bonjour même si nous étions au beau milieu de la nuit. Adriàn ne devait même plus l'attendre à cet heure-là, il était précisément vingt-trois heures. Danaé espérait qu'il n'était pas en charmante compagnie, elle s'en fichait qu'il voit d'autres femmes maintenant, mais c'était juste par principe. Il l'avait appelé pour qu'elle vienne, malgré qu'il soit aussi tard, nous étions toujours le même jour et jusqu'à minuit il se devait d'être seul. La journaliste quitta son ami puis partie rejoindre l’ascenseur. Comme toujours il avait le don de lui remonter le morale simplement par sa présence. Elle remit ses cheveux en place dans le miroir qui lui faisait face, la jeune femme était partie sans vraiment prendre le temps de faire quelque chose pour être un minimum présentable. Danaé se posait des millions de milliard de questions, elle se faisait une tonne de film à propos d'Adriàn et d'une de ces femmes mystérieuses. Elle essayait de chasser tout cela de son esprit et le bruit de l’ascenseur qui annonçait qu'elle était arrivé à destination, s'en chargea à sa place pour qu'elle songe à autre chose. Une fois arrivée devant la porte de la chambre, elle hésitait plusieurs secondes avant de frapper. Tout un tas de souvenirs lui vinrent à esprit, des bons comme des mauvais, ils s'en étaient passé des choses ici plus ou moins inoubliables. Elle pris son courage à deux main puis elle manifesta sa présence, en donnant deux coups contre la porte. La jeune femme attendit plusieurs secondes, puis il pointa la bout de son nez. « Salut. Je te dérange ? Je sais qu'il est tard, mais j'ai eu pas mal de travail. » dit-elle en lui accordant un faible sourire, elle essayait vraiment de faire des efforts, mais elle avait l'impression de ne plus être autant la bienvenue qu'avant. Danaé était le genre un peu névrosée, on même dire paranoïaque. « J'aurai peut-être pas dû venir, je suis désolé. » Lunatique ? Il y avait de cela aussi. La jeune femme se sentait stupide, réellement stupide. Il ne l'attendait plus, c'était certains, ses cheveux étaient en pagailles et il portait seulement un pantalon noir, il avait dû l'enfiler en quatrième vitesse ou c'était purement une simple coïncidence peut-être qu'il s'était endormit à force de l'attendre.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Empty
MessageSujet: Re: ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène. ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  EmptyDim 26 Aoû - 19:09

Une rencontre, un regard, un baiser, tout cela peut changer une vie. Adriàn le savait il n'aurait jamais dû accepter de l'embrasser et accepter de la revoir, il aurait dû passer son chemin et sa vie aurait continué paisiblement. Danaé Hawthorne. Elle lui avait emprisonné le cœur, chose que personne avant elle n'avait réussi. Il aimait la compagnie des femmes mais il aimait aussi avoir sa liberté, la plupart du temps cela se résumait à une seule nuit et jusqu'à maintenant il n'avait jamais ressentie ça pour l'une d'entre elle. Si on lui avait dit quelque année auparavant qu'il serait embarqué dans une relation quelque peu sérieuse, il aurait ri au nez de cette personne en lui affirmant que cela n'arriverait jamais. Et pourtant, cette jolie blonde lui avait fait tourner la tête, l'obligeant à lui mentir, à se faire passer pour un comptable, en y repensant sur ce coup-là, il avait été idiot, toute personne le connaissant un minimum se rendait vite compte qu'il était nul en math et pas qu'un peu. Le jour où Danaé lui avait demandé quel métier il exerçait, Adriàn avait été pris de cours, il dit la première chose qui lui vient à l'esprit, comptable. Il se serait frappé la tête contre un mur s’il l’avait pût, il avait juste aperçu un panneau publicitaire d’un cabinet de comptable, ironie du sort pourrait-on dire, si ce jour-là, sur ce panneau avait été affiché une pub pour un commercial, cela aurait été plus crédible. On ne peut changer le destin, Adriàn avait bien pensé à prendre des cours de compta mais il n’avait jamais aimé étudier et ce n’était vraiment pas son truc, rien que d’y penser était insupportable. Danaé était loin d’être une femme idiote, Adriàn se rendait compte qu’elle ne le croyait qu’à moitié quand il lui annonçait qu’il devait partir à l’étranger pour son boulot, où lorsqu’il devait partir précipitamment et qu’il lui lançait une excuse bidon. Leur relation était complexe, il était ensemble sans l’être vraiment, cela arrivait à Adriàn de voir une autre fille lorsqu’il était loin de Danaé, il pensait que ce qu’elle ignorait ne pouvait pas lui faire de mal mais il se trompait, la jeune femme commençait à avoir des doutes et le questionnait de plus en plus. C’est ce qu’il détestait dans la vie de couple, être sans cesse questionner « Où tu étais ? Qu’est-ce que tu faisais ? C’était qui cette fille ? » Il détestait les prises de tête mais même s’il en avait avec Danaé, il n’arrivait pas à imaginer sa vie sans elle, il ne pouvait pas affirmer qu’elle était la femme de sa vie, où lui promettre fidélité, il en était juste incapable mais en même temps il ne pouvait pas non plus lui dire la vérité, qui voudrait entendre pareille vérité. Il ne pouvait pas changer et lui être cent pour cent fidèle, alors pendant un moment il avait pensé à être juste amis pour ne pas la faire souffrir. Chose impossible, elle était comme une drogue et l'imaginer dans les bras d'un autre homme le mettait hors de lui, venant de lui il se savait égoïste. Il l'a voulait rien que pour lui alors que lui avait le droit de voir d'autre femme, c'était insensé. Cela faisait deux semaines qu'il ne l'avait pas vu, ils s'étaient quittés dans de mauvais termes, Adriàn n'avait pas fait attention lorsqu'elle lui avait dit que c'était terminé entre eux, il savait qu'une fois rentrer il lui présenterait des excuses avec son plus beau sourire et elle lui pardonnerait comme à chaque fois. Il était parti en Italie pour démonter un réseau terroristes qui possédait des renseignements compromettant sur leur alliance. Tout c'était déroulé selon le plan et il était maintenant de retours à Bridgeport. Sa chambre d'hôtel bien que spacieuse lui sembla bien petite par rapport à sa chambre en Italie mais il n'avait rien de mieux que d'être chez soi. Il balança sa valise dans un coin, mit de la musique et fila prendre un bain. Pendant que l'eau coulait, il prit son portable et envoya un message à Danaé lui disant de venir car il fallait qu'ils parlent. A 20 heures, elle n'était toujours pas arrivée quand quelqu'un frappa à sa porte. Enfin, elle était là, c'est affichant son plus beau sourire qu'il ouvrit rapidement la porte. Il se retrouva nez à nez avec Lola, une femme dont il s'était rapproché pour lui soutirer de l'argent. Désolé j'attends quelqu'un de très important, on se voie demain.» Il s'apprêta à fermer la porte mais la jeune femme la bloqua avec son pied et entra dans la chambre. Adriàn soupira, si Danaé se ramenait maintenant, il allait avoir de très gros problème. « Lola, je n’ai vraiment pas le temps de te voir maintenant alors s’il te plait tu dégages. » Il se voulait persuasif et lui faire comprendre qu'elle était loin d'être la bienvenue mais elle n'en fit qu'à sa tête et ne bougea pas d'un poil. Il eu beau tout essayer, elle ne voulait pas partir. Il abandonna, ça ne servait à rien, en plus sa tête lui tournait, il ne se ferait jamais au décalage horaire, il s'allongea sur le lit et la fatigue prit le dessus, il se sentit partir, après tout vu l’heure, Danaé ne viendrait pas alors Lola pouvait bien rester si ça lui chantait. Quelqu'un frappait à la porte, Adriàn regarda son réveil, il était bientôt minuit, il s’était écrouler comme une masse, il n'avait aucune idée de qui ça pouvait être quand il se rendit compte de la présence de Lola allonger à côté de lui, elle l'avait déshabiller, son tee-shirt avait disparu et elle tenait fermement Adriàn dans ses bras, parfois il avait l'impression de ne servir que de doudou pour certaines femmes dont Lola. Il l'a repoussa et partit regarder dans le judas voir si la personne était toujours là. Danaé. Elle était venue finalement, il ne l’espérait plus mais il aurait préféré qu'elle ne vienne pas maintenant. Adriàn commença à paniquer, il réfléchit en quatrième vitesse. Espérant qu'elle ne se réveillerait pas il souleva délicatement Lola pour l'allonger sur le sol et la fit rouler sous le lit. Il courut à la porte et ouvrit à Danaé. « Salut. Je te dérange ? Je sais qu'il est tard, mais j'ai eu pas mal de travail. » Pourvut qu'elle ne réveille pas, c'est tout ce que pouvait penser Adriàn en ce moment. « J'aurai peut-être pas dû venir, je suis désolé. » « Entre » L'ambiance était tendue, ils se regardèrent sans parler, elle était toujours aussi belle mais il sentait qu'elle n'était pas comme d'habitude, une lueur dans ses yeux montrait qu'elle s’apprêtait à faire quelque chose d'horrible. Il vit qu’elle avait quelque chose à dire mais elle hésitait, si Lola ne se trouvait pas sous le lit, il l’aurait pris dans ses bras et l’aurait forcé à lui avouer tout ce qu’elle avait sur le cœur mais là, il devait à tout prix se sortir de cette situation et au plus vite, si Lola venait à se réveiller, il serait dans le pétrin. Il avait voulu que Danaé voie qu'il était seul c'est pourquoi il l'avait fait rentrer, ça aurait été étrange s’il ne l’avait pas fait, tout ce qu'il devait faire c'était ce conduire comme d'habitude. Sans un mot, il prit une chemise propre et l'enfila. Il prit la main de Danaé qui n’avait toujours pas dit un mot « Vient on va boire un verre au bar, on pourra discuter tranquillement » et l'entraîna vers la porte. Ce qu'il n'avait pas prévu, c'est que Lola marmonna dans son sommeil. Il croisa le regard de Danaé et comprit qu’il allait passer un mauvais quart d’heure.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Empty
MessageSujet: Re: ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène. ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  EmptyMar 4 Sep - 1:10

Danaé voulait mettre les choses au clair avec Adriàn, contrairement à lui, elle avait toujours été honnête et cela n'était prêt de changer. Elle ne voulait pas qu'il y ait de sous-entendus entre eux, elle voulait tout sauf lui donner de faux espoirs. La journaliste passera pour la méchante de l'histoire, c'est elle qui allait partir avec son prince charmant malheureusement pour le "comptable", il ne s'agissait pas de lui. Danaé allait lui briser le coeur, elle le savait cette soirée n'allait pas se passer comme lui l'envisageait. La jeune femme avait longuement réfléchit avant de venir ici devant cette chambre d'hôtel. Ce n'était pas une décision qu'elle avait pris à la légère sur un coup de tête, si elle avait réellement le choix, elle serait surement en train de finir son article. Danaé n'arrivait pas à critiquer les couples d'hollywood tout en sachant que sa vie amoureuse n'était pas au point. La belle blonde ne cessait de songer à cette soirée chez Hogan où Noam l'avait embrassé. Une soirée qui aurait pu mal finir, ce qui aurait certainement arrangé les affaires d'Adriàn, mais de loin celles de Danaé. Elle ne sait pas ce qu'elle ressent vis-à-vis du "comptable", elle ne l'a jamais su. Cette relation avait tellement été tumultueuse, sans répits qu'elle avait du mal à déterminé ce qu'elle pensait du jeune homme. Une chose était sur c'est qu'il y avait eu quelque chose de fort entre eux, c'était différent de sa relation avec l'écrivain et pas comparable. Les deux histoires étaient complètement différentes. Elle se demandait comment son voyage avait pu se passer, ça se trouve il ne lui mentait pas, mais cette version-là elle avait du mal à se le faire croire. Danaé n'était pas la dernière des idiotes, parfois il l'a plantait au restaurant pour des raisons complètement sogrenue et d'autres fois c'était carrément dans sa chambre d'hôtel. La jeune femme femme ne voulait plus s'engager dans ce genre de relation où l’honnêteté devait marcher dans un sens. Ils étaient trop possessifs l'un de l'autre et par conséquences, ils se faisaient du mal. Danaé voulait que ça se finissent bien entre eux, mais elle le savait d'avance que ce serait tout ou rien. Ce qui au fond n'était pas plus mal, parce que rester ami avec son ex c'était vraiment malsain. Elle en avait fait l'expérience et avec Noam il était certain qu'ils ne pouvaient pas faire autrement qu'être amis étant très fusionnels. Ils s'étaient quitté de manière douce et l'envie de se côtoyer était toujours présente. Depuis qu'il était entré dans sa vie, il était impossible pour Danaé de s'en passer. Elle espérait seulement qu'Adriàn serait un minimum honnête avec elle histoire de finir en beauté. La journaliste pouvait se mettre le doigt dans l'oeil, mais au moins ce ne serait pas faute d'essayer. Il était vingt-trois heures, le jeune homme ne devait plus l'attendre à une heure pareille, mais tant pis, il voulait la voir aujourd'hui et techniquement elle n'était pas en retard. Jouer sur les mots, la blonde savait le faire. Lorsqu'elle frappe à la porte, elle attend un petit moment puis lorsqu'il pointe le bout de son nez, elle a envie prendre les jambes à son cou. « Entre. » Danaé passa devant Adriàn et pénétra dans la chambre d'hôtel. Ils en avaient passé des moments ici, des bons comme des mauvais. C'était dommage que ça se finisse ainsi entre eux, comme toujours cela lui faisait un petit pincement au coeur lorsqu'elle repensait à ce qu'ils avaient vécus. Evidemment qu'elle tenait encore au "comptable", ils étaient restés un petit bout de temps ensemble et comme toute personne possédant un semblant de coeur, elle se sentait autant mal que nostalgique. La journaliste était atteinte de mutisme se contentant d'observer ce qui se passait tout autour d'eux. Apparemment il était seul, alors elle conclu définitivement qu'il avait dû s'assoupir en l'attendant. Au moins, cette fois tout allait plus ou moins bien se passer, elle appréciait le geste même si lui allait moins apprécier le sien. « Vient on va boire un verre au bar, on pourra discuter tranquillement. » Elle se sentait la pire des garces, elle avait la boule au ventre et elle commençait légèrement à s'inquiéter. Elle ne pouvait pas lui lâcher cela de but en blanc, elle ne pouvait pas lui dire clairement qu'elle s'était remise avec Noam. Danaé n'aurait jamais accepté qu'il lui fasse cela. Elle suit donc Adriàn qui s'était rhabillé au passage l'entraînant vers la porte. La jeune femme entendit des marmonnements bizarre, pourtant aucun des deux n'avait ouvert la bouche. La voix était plutôt féminine et... Bon dieu quel enfoiré. Danaé regarde d'instinct Adriàn, lui en envoyant des foudres, des éclairs, des tornades. « J'suis vraiment conne d'avoir cru que tu faisais des efforts ! » s'écria la blonde. Une femme, une femme était dans la chambre et il l'avait fait entré comme si de rien était. Danaé était dans une colère folle, elle ne savait plus où se mettre autant avant il avait le tact de ne pas les ramener lorsqu'elle était en sa compagnie, autant maintenant c'était la fête, la bamboula. Elle essayait de se calmer, de chercher où il avait bien pu la cacher. « Tu sais, c'est pas parce qu'on est plus ensemble que tu dois te permettre d'inviter des femmes alors que tu m'invites gentiment chez toi. D'accord, il est vingt trois heures, mais tu sais très bien comment je suis. Si tu avais un rancard fallait m'imposer un horaire spécifique parce que "faut qu'on parle" c'est vague ! » dit-elle en retournant la chambre d'hôtel, c'était devenu une sale habitude ces derniers temps de traîner dans ce genre d'endroit. Danaé avait aimé Adriàn, mais pas comme lui aimerait. Tout comme elle, il avait le don de tout gâcher. Si elle ne se sentait pas obligé de mettre les choses à plat, elle aurait été heureuse de le revoir. Après tout il était de charmante compagnie quand ils se mettaient à discuter de la pluie et du beau temps. La jeune femme n'avait même pas songé à crier sur ce dernier de manière discrète même les voisins avaient dû l'entendre faire sa scène de "ménage" qu'elle avait dû par la même occasion réveiller la mystérieuse conquête d'Adriàn. Elle entendit un cognement et le bruit provenait du lit. Il n'y avait visiblement rien dessus, mais dessous ? « On est plus ensemble Adriàn. » lâcha t-elle d'un coup, elle n'avait pas le courage d'aller tirer cette fille par son string et la mettre dehors, elle n'en avait même pas le droit. Ils n'étaient plus ensemble. Cela faisait un bout de temps qu'elle l'avait réalisé, mais elle ne lui avait jamais dit de vive voix. « Je pensais que tu tenais un peu plus à moi que ça, mais je peux pas t'en vouloir parce qu'on est plus ensemble. J'suis vraiment conne de me torturer alors que t'est déjà passé à autre chose. J'suis vraiment, mais vraiment conne. » Par principe, Danaé n'aurait pas invité Noam sachant qu'Adriàn pourrait débarquer à tout moment. Ils n'étaient plus des adolescents, passer par la fenêtre pour éviter le pire, ils avaient passé ce stade depuis un bon moment. Il était vingt-trois heures et ils avaient vingt-quatre ans. Danaé regarde Adriàn peinée, il avait tout gâché. Des amis jamais ils ne pourrons l'être. Elle se retient de fondre en larme, elle ne le détestait pas et c'était surement pour cela qu'elle se détestait elle même. Il arrivait toujours à s'en sortir sans encombres, il était différent de Léo, mais il lui provoquait la même souffrance. Comme s'il venait de l'a tromper en laissant cette femme dans la même pièce qu'elle. La journaliste s'apprête à quitter la pièce jugeant qu'ils n'avaient plus rien à faire l'un avec l'autre. Danaé avait toujours rêvé d'avoir une vie pleine d'aventures, chose qu'Adriàn pouvait lui offrir, il ne le savait pas, mais il avait toujours eu tout qu'elle recherchait. Enfin, s'il travaillait bien évidemment pour l'état cela aurait été vraiment au top malheureusement il était bien trop tard.


Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Empty
MessageSujet: Re: ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène. ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  EmptyLun 22 Oct - 22:25

Il l'aimait, il s'en rendait de plus en plus compte, il l'aimait comme un fou, il s'en rendait malade mais, il foutait tout en l'air comme à chaque fois. Pourquoi avait-il fallu qu'elle vienne ce soir, il aurait aimé être seule avec Danaé, elle lui avait manqué. Jamais dans sa vie il avait aimé une personne comme il l'aimait mais il était égoïste, il le savait, il ne pouvait se priver de la présence d'autre femme. Au fond de lui, il savait qu'il pourrait devenir ce que Danaé voulait qu'il soit mais il n'y arrivait, il n'avait pas la force nécessaire. Ce n'est pas qu'il ne le pourrait pas mais c'est qu'il ne le voulait pas. Danaé ne semblait pas comme à son habitude, elle semblait avoir quelque chose sur le coeur. Adriàn avait un mauvais pressentiment, il redoutait le pire. Ils étaient sur le point de quitter la chambre quand Lola murmura, il était foutu, comment expliquer à Danaé ce qu'elle venait faire dans sa chambre mais surtout comment lui expliquer qu'il ne s'était rien passé entre eux, que ce n'était pas ce qu'elle croyait. Il connaissait Danaé, il savait que ça n'allait pas être facile. « J'suis vraiment conne d'avoir cru que tu faisais des efforts ! » Elle commença à parcourir la chambre de long en large cherchant Lola, Adriàn essaya de la calmer, de la retenir mais Danaé le repoussa, elle était dans une colère noire, il ne pouvait pas lui en vouloir, à sa place, il serait dans le même état, voir pire. « S'il te plait, Danaé, calme toi, laisse-moi t'expliquer ce n'est pas ce que tu crois ! » Le genre de phrase que tout homme coupable sort mais l'ironie du sort c'est que c'était vrai mais Danaé ne voulait rien entendre. « Tu sais, c'est pas parce qu'on est plus ensemble que tu dois te permettre d'inviter des femmes alors que tu m'invites gentiment chez toi. D'accord, il est vingt trois heures, mais tu sais très bien comment je suis. Si tu avais un rancard fallait m'imposer un horaire spécifique parce que "faut qu'on parle" c'est vague ! » Elle devenait complètement folle, tel une tornade, elle mit sans dessus dessous la chambre d'Adriàn, dans un coin de sa tête il pensa qu'il serait bien de déménager, de se trouver une petite maison. « Calme toi, je t'ai dit que ce n'était pas ce que tu croyais si tu me laissais le temps de t'expliquer, tu verras qu'il n'y a aucune raison de t'énerver comme ça » Danaé ne faisait pas dans la dentelle, d'habitude, l'endroit était calme mais, pas ce soir, il entendit des pas au plafond, Danaé avait surement dû réveiller tout l'immeuble et pas que. Un grognement plus distinctif ce fit entendre de dessous le lit, un regard à Danaé et Adriàn compris qu'elle savait où se trouvait ce qu'elle cherchait. Il s'attendait à ce que Danaé, la chasse d'ici, la tire du lit et la vire hors de la chambre mais, elle ne fit rien, elle se contente de rester là en face d'Adriàn. « On est plus ensemble Adriàn. » Il était sous le choc, il ne s'y attendait pas du tout, il ne savait pas quoi dire, alors il repensa à tous les moments passés avec elle, il devait tout faire pour la garder. Et pour la première fois il lui dit ce qu'il avait toujours eu envie de lui dire sans trop oser le faire « Je t'aime putain, tu comprends pas, je t'aime, tu me tues un peu plus à chaque fois que je te voie, je t'aime, tu ne peux pas me quitter comme ça, tu n'en as pas le droit » C'était au tour d'Adriàn de devenir hystérique, il perdait la raison, il n'arrivait pas à réfléchir correctement, tout ce chamboulait dans sa tête et puis merde, il commençait à en avoir marre des changements d'humeur de Danaé, il savait très bien que même si elle lui disait que c'était terminé, ça ne l'était pas. En même temps, il ne savait jamais ce qu'elle pensait, était -elle vraiment sérieuse ? Ils avaient peut t'être des problèmes et n'était pas un couple normal mais, ils étaient faits l'un pour l'autre. Il se demandait quelle serait la meilleure solution pour lui expliquer la situation, lui mentir une nouvelle fois ne serait pas vraiment intelligent, il devait lui dire la vérité mais, il était cent pour cent sûr qu'elle ne le croirait pas peut importe ce qu'il lui dirait. Adriàn soupira et s'assit sur le bord du lit, lui qui était fatigué, il avait tout gagné. « Ecoute, je peux te jurer qu'il ne sait rien passé ce soir, c'est juste une amie qui est passée me voir et comme j'étais crevé, je me suis endormis et puis tu es arrivé. Tu vas croire que je me fous de ta gueule mais c'est tout le contraire, c'est la stricte vérité. Et puis, franchement Danaé, je te connais depuis le temps, si tu l'avais aperçu tu serais repartie aussitôt sans me laisser l'occasion de m'expliquer...alors je l'ai mis sous le lit, je me rends compte maintenant que c'était débile mais, je ne voulais pas qu'on se prennent la tête pour rien. » J'avais dit ma tirade sans m'arrêter, elle m'avait laissé parler sans rien dire, me regardant en se demandant si elle devait me croire ou non. Pour montrer un peu de bonne foi et que Danaé comptait plus pour lui que Lola, il se pencha et souleva un pan de la couette, agrippa le pied de Lola et la tira. « Tu penses vraiment que s'il s'était passé quelque chose elle serait habillée ? » Lola me regarda la mine ébahit puis Danaé, elle ne devait rien comprendre, « Adriàn ... qu'est ce que je faisais sous le lit ? » « T'es tombé, désolé Lola, faut que tu partes ... » Sans lui laisser le temps de répondre, il l'a prit par le bras et l'a mit à la porte puis se retourna pour faire face à Danaé. « Je pensais que tu tenais un peu plus à moi que ça, mais je peux pas t'en vouloir parce qu'on est plus ensemble. J'suis vraiment conne de me torturer alors que t'est déjà passé à autre chose. J'suis vraiment, mais vraiment conne. » Elle ne le croyait pas, il s'en doutait un peu mais ça faisait mal de savoir qu'une personne proche de vous ne vous croie pas. Il se retourna vers elle, il n'arrivait pas à décrire l'expression de son visage, était-elle triste ou en colère, il n'avait jamais su l'a décrypter, c'était peut t'être pour ça que sa ne marchait pas aussi bien qu'il le voulait. Ce n'est pas ce qui venait de se passer qui allait arranger les choses, il ne savait pas comment réagir, elle le rendait fou, il perdait complètement la raison, il l'a détestait pour ça. Puis il repensa aux conversations qu'il avait eus avec Téo et sans réfléchir il lui sortit de but en blanc « Tu me quittes pour lui ? » Dès qu'il vu l'expression de ses yeux, il su qu'il n'avait pas à préciser, elle savait de qui il parlait, le visage de Danaé se décomposa, il avait eu raison, sur toute la ligne alors dans un mouvement de rage, il prit ce qu'il lui passait sous la main et le lança violemment contre le mur. Qu'elle le quitte parce qu'elle avait découvert qu'il l'a trompé, ça il pouvait l'accepter mais qu'elle le quitte pour l'autre crétin, il ne pouvait pas l'accepter. Comment elle pouvait le quitter pour lui, il ne valait pas mieux que lui, il était même pire que lui. Il devait admettre que le fait que ce soit Danaé qu'il lui dise que c'était fini le choquer, c'est lui d'habitude qui quittait les femmes par l'inverse mais, il devait s'habituer aux premières fois avec Danaé. C'était la première fois qu'il aimait une femme plus qu'une autre, c'était la première femme qui chamboulait son coeur à ce point, qui le rendait incertain. Lors de leur premier rendez-vous, il ne s'était jamais senti aussi nerveux que ce jour là. C'était un espion, il avait appris à contrôler et gérer ses émotions mais quand cela touchait Danaé, il n'arrivait pas à ce contrôler. Il ressentait tout un tas de choses et il n'arrivait à mettre un mot sur ce qu'il ressentait, sur ces sentiments. Il disait qu'il l'aimait mais, au plus profond de lui, il n'était pas sur. Et si un jour, il se réveillait et qu'il se rendait compte que ce qu'il ressentait n'était pas de l'amour mais seulement de l'affection basique ? Et si au contraire elle était l'amour de sa vie, s'il l'a laissait partir maintenant il le regretterait toute sa vie. « Laisse-moi une seconde chance ! Je te promets que je changerais pour toi ! » Tout ce qu'il voulait c'était de pouvoir rester avec elle, il ne voulait pas l'a quitté mais, il ne pouvait pas non plus l'a forcé à rester avec lui, si elle ne le voulait pas. Danaé était prête à quitter la chambre, non elle ne pouvait pas s'enfuir, il devait parler, il devait s'expliquer. « Épouse-moi ! » Il n'était pas sérieux, il ne voulait pas l'épouser mais il savait que grâce à ça, il capterait toute son attention et il ne fut pas déçut.

Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Empty
MessageSujet: Re: ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène. ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  EmptyLun 29 Oct - 14:11

∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Tumblr_lznuywzydN1r4jww9o1_500
"Even the best fall down sometimes, even the wrong words seem to rhyme, out of the doubt that fills my mind, I somehow find You and I collide... "
Une colère folle, monstrueuse, surdimentionée. Voilà dans quel état était à présent Danaé grâce à l'honnêteté d'Adriàn. Elle pensait réellement qu'il ferait des efforts, qu'il ne se ficherais pas d'elle une nouvelle fois. Apparemment, il lui faudrait une bonne leçon pour comprendre la douleur qu'elle ressentait à cet instant. Elle n'était pas non seulement déçu, mais blessé qu'il l'a traite ainsi. Danaé pensait que leur relation avait compté un minimum pour lui, qu'il lui offrirait un certain respect vis-à-vis de cela, mais rien. Encore une de ces filles, un de ces mensonges. De plus, il croyait vraiment qu'elle le laisserait s'expliquer, il pouvait se mettre le doigt dans l'oeil. Le mal est fait. Elle avait fait l'effort de se déplacer à une heure aussi tardive rien que pour être honnête envers lui, alors maintenant il assumerait les conséquences de ses actes. Danaé n'est pas quelqu'un de commode en générale surtout lorsqu'il s'agissait de trahison. Il n'y a pas moyen pour elle, même si elle essaye de faire abstraction et être rationnelle, son cerveau lui dicte toujours de suivre son instinct. Autrement dit, nous sommes en pleine troisième guerre mondiale. Elle sortait les armes, son regard envoyait un milliard de million de balles à son encontre pour l'avoir fait passer pour une imbécile de premier lieu. C'était comme se retrouver devant Quentin, mais en pire. Lui c'était juste un crétin, alors qu'avec Adriàn elle avait vécu quelque chose d'assez fort pour lui en vouloir plus qu'à quiconque. « Calme toi, je t'ai dit que ce n'était pas ce que tu croyais si tu me laissais le temps de t'expliquer, tu verras qu'il n'y a aucune raison de t'énerver comme ça. » C'est la meilleure, il lui demandait de se calmer alors qu'il cachait sous son lit encore une de ses conquêtes à deux balles. Elle avait envie de lui faire tout le mal du monde, elle voulait vraiment qu'il ressente à quel point il enfonçait d'avantage le couteau dans la plait et surtout comment au fur et à mesure que les secondes défilait, il empirait son cas. La journaliste se contrefichait que tout le bâtiment l'entende, pour une fois il n'avait qu'à se conduire comme un parfait gentleman. On ne demande pas quelqu'un de venir pour en inviter une autre au passage. Non, ce n'est pas dans le code Hawthorne, ce genre de comportement. Elle lui annonce sans le ménager entre deux cris qu'ils ne sont plus ensemble. La jeune femme le savait qu'elle était bien la seule au courant dans cette pièce. Cet annonce eut l'effet d'une seconde bombe, mais cette fois elle avait atterrit sur Adriàn. Elle ne regrettait rien, rien n'est facile, mais personne n'aime que ça se finisse mal. Elle avait toujours eu l'espoir que ça se finirait autrement entre eux. Sans doute Micah avait raison, elle aurait peut-être dû l'écouter plus tôt lorsqu'il lui parlait des allées et venues de ces femmes, il ne s'en est jamais mêlé, mais étant sa meilleure amie, il l'a mettait tout de même en garde. En garde contre cette souffrance qu'elle ressentait actuellement. Elle pensait que ça serait plus simple, que ce ne serait pas autant difficile. En aucun cas, il l'a ménageait comme si elle ne possédait pas de coeur et qu'il avait le droit de le piétiner autant qu'il le souhaitait. « Je t'aime putain, tu comprends pas, je t'aime, tu me tues un peu plus à chaque fois que je te voie, je t'aime, tu ne peux pas me quitter comme ça, tu n'en as pas le droit. » Jamais il n'avait prononcé ces mots, jamais ces trois mots, ces sept lettres n'étaient sortis de sa bouche. Il avait été son sauveur, celui qui lui avait empêché d'être anéantit encore une fois par Léo, il avait su être là quand elle en avait le plus besoin. Malheureusement, il était trop tard. Elle n'était pas touché par cette déclaration, elle s'en contrefichait même. C'était dur de penser ainsi sachant que pour lui cela représentait un grand moment. Peut-être qu'avant que l'autre ne parle dans son sommeil, elle aurait pu penser différemment, mais le mal est fait. Le coeur de Danaé était tellement abîmé que de ressentir le moindre sentiment à son égard était trop difficile et très compliqué. Elle était lassé de toujours devoir faire des efforts pour rattraper ses erreurs. Ce n'était pas à elle de mettre encore une fois du scotch sur son coeur ou d'y mettre de la glue histoire qu'il ne se fissure plus. Non, seul le temps était capable de pouvoir rétablir ce petit bout d'elle et surtout de le soigner. La journaliste le savait, elle aurait surtout besoin de l'aide de Sadie. Seule sa présence comptait. « Ecoute, je peux te jurer qu'il ne s'est rien passé ce soir, c'est juste une amie qui est passée me voir et comme j'étais crevé, je me suis endormis et puis tu es arrivé. Tu vas croire que je me fous de ta gueule mais c'est tout le contraire, c'est la stricte vérité. Et puis, franchement Danaé, je te connais depuis le temps, si tu l'avais aperçu tu serais repartie aussitôt sans me laisser l'occasion de m'expliquer...alors je l'ai mis sous le lit, je me rends compte maintenant que c'était débile mais, je ne voulais pas qu'on se prennent la tête pour rien. » La blague. Elle a juste envie de prendre les jambes à son cou. Pourtant, elle restait stoïque parce qu'un partie d'elle tenait toujours à cet enfoiré de première. Elle se détestait parce que rester ainsi à l'écouter c'était comme s'il gagnait d'une certaine manière. Evidemment qu'elle serait nue s'il s'était passé quelque chose, mais sans doute qu'elle était arrivé à temps avant que le désastre ne commence. Elle n'avait même pas envie de répliquer, elle l'observait juste en train de jeter cette pauvre fille à la porte. Danaé aurait envie de le pousser juste un peu pour que lui aussi se retrouve de l'autre côté et rester détruire le lieu du crime. Elle n'était pas rationnelle, elle ne l'avais jamais été. Il devrait le savoir depuis le moment, de même pour cette possessivité mutuelle qu'ils partageaient. Ce serait Noam et elle qui se serait retrouvé dans cette pièce de Adriàn qui serait venu, il aurait certainement été moins patient qu'elle. « Tu ne m'aimes pas Adriàn, tu ne m'as jamais aimé. Quel monstre saint d'esprit peu m'infliger autant de souffrance et s'en contreficher ? Me dire que tu m'aimes ne fait que d’amplifier la haine que j'ai envers toi. Tu te fou de moi depuis le premier jour, tu n'en a rien à faire de ce que je peux ressentir. Tu n'est qu'un égoïste sans coeur, piétiner celui des gens, finalement c'est ça ton boulot. » dit-elle d'une voix froide, elle contrôlait sa colère malgré tout, même si elle passait pour la dernière des imbéciles. Ce soir, c'était une chance pour lui de se racheter une dernière fois auprès d'elle, chance qu'il avait littéralement ruiné. Elle garderait cette sale image de lui pour le restant de ses jours, ce n'était plus son problème maintenant, il avait toujours le don de tout gâcher de toute façon même le peu d'estime qu'elle avait pour lui. Il lui demande si elle le quitte pour lui, sous entendu, pour Noam. C'est bête, il était déjà au courant. Elle aurait pu se ménager de s'être fatiguée autant à être venue ici pour vivre une telle scène puisqu'il était déjà au courant. Le regard de Danaé voulait tout dire, il parlait de Noam, c'était instinctif et normal que son regard change du tout au tout. « Qu'es-ce que ça peut te faire ? Il n'a rien à voir avec nous deux, comme moi je n'est plus rien à voir avec toi. » Elle n'avait plus que du dégoût à son égard repensant à cette Lola, ouais parce qu'il savait en plus comment elle s’appelait ce qui voulait dire que ce n'était pas la première fois qu'elle venait ici. Quand il s'agit d'un coup d'un soir généralement il est difficile de se souvenir du prénom de la personne avec qui on couche. C'est du vécu. La journaliste le savait, elle le mettait dans une situation compliqué. Une situation dont il n'avait pas l'habitude d'être. Il a joué, il a perdu. C'est la fin de la partit et oui Adriàn, tu as perdu. Game over. « Laisse-moi une seconde chance ! Je te promets que je changerais pour toi ! » Fini les bêtises, il était temps de partir, sans un mot, elle ne lui devait rien, alors qu'il lui devait tout. Elle restait impassible, il n'aurait pas la moindre larme, la moindre expression qui exprimait cette putain de douleur qu'elle pouvait ressentir. Non, il n'aurait plus jamais rien. Changer pour Danaé, il en était incapable. Elle lui avait laissé assez de temps pour prouver qu'il était capable d'être quelqu'un d'autre, la jeune femme en avait marre de laisser des chances à ceux qui finissait par la détruire. Continuer ainsi ne ferait que de la détruire un peu plus. Elle avait assez donné en amour, un mot qui d'ailleurs ne signifiait plus rien lorsqu'elle croisait le regard d'Adriàn ne ressentant que du dégoût. Elle de poursuivre son chemin, de ne pas se retourner, de le laisser en plan comme une vieille chaussette. Elle essaye de toute ses forces de ne pas fondre en larme, elle voulait être juste derrière cette fichu porte pour encore une fois couler ses dernières gouttes dans ce couloir maudit. « Épouse-moi ! » Non, mais le ciel lui était tombé sur la tête ou quoi. Cette phrase l'a pétrifia de tout son être. L'épouser et puis quoi encore ? Elle se retourna vite fait bien fait et colla sa main sur la joue d'Adriàn, autrement dis il s'agissait d'une gifle. Elle avait encore une fois perdue, elle qui voulait se montrer forte ne réussi pas à contenir ses larmes. « Tu m'as eu et tu as tout gâché ! » elle essaye de se reprendre, elle était de nouveau dans une colère noire, il fallait qu'elle se contrôle. Elle repensa alors à leurs beaux moments, elle le détestait encore plus, mais c'était le seul moyen de faire apaiser ses ardeurs. « Tu m'as eu et tu as tout gâché. Alors que tu sois quelqu'un d'autre ne changera strictement rien. Je n'est plus la force d'écouter ton baratin, Adriàn. Je t'est déjà dis, c'est fini entre nous, je ne reviendrais pas sur ma décision. Il y a eu Lola, dont tu souviens si bien du prénom, mais il y en a eu d'autres et il y en aura d'autres. On ne change pas du jour au lendemain. Arrête de me prendre pour une imbécile de chercher à me blesser davantage. (...) Nous deux, ça ne rime à rien. » Elle ne cessait d'être dur, mais elle n'avait pas le droit de s'en vouloir, c'était à lui de ressentir ce qu'elle ressentait. Elle se sentait bien égoïste de faire cela, mais chacun son tour, il n'avait pas le droit de vivre son petit train de vie, tandis qu'elle se sentait brisé et devrait encore une fois se remettre d'une déception amoureuse houleuse. Parce que oui, lorsque l'on souffre, c'est que la personne à bien fini par compter. Elle repensait à cette demande en mariage, cela ne lui ressemblait pas, il était désespéré ça se voyait. Il arrivait encore à la toucher, quel enfoiré. « Une demande en mariage n'arrangera pas les choses. » fini t-elle par dire simplement, d'un air calme, elle rassemblait toutes ses forces pour ne pas non plus le détruire. Elle n'était pas Adriàn, ce n'était pas son genre de mettre les gens plus bas que terre et pourtant c'est ce qu'elle venait de faire. « On est incompatible. » Pourtant Adriàn tu avais tout à lui offrir, tu avais tout ce qu'elle recherchait, malheureusement tu as perdu. Elle voulait rentrer chez elle, laisser couler les vannes déjà ouvertes et ne plus le revoir. Danaé aurait tellement aimé que ça se passe différemment. Il lui fallait peut-être cette histoire pour l'a renforcer davantage. A cet instant-même elle avait besoin de sa meilleure amie pour l'a consoler, de Noam pour l'a relever. « Et si c'est fini entre nous, ce n'est pas à cause de Noam, mais à cause de toi et uniquement de toi. Jamais je n'est voulue te faire du mal, comme toi tu m'en a fait. » Elle pose ses mains sur ses yeux, afin de ne plus le voir, histoire de se ressaisir complètement. La jeune femme savait qu'Adriàn était tout bonnement maladroit avec elle et que ses sentiments étaient sincères. Mais ils n'avaient pas du tout la même vision des choses. Elle en avait eu des bons moment avec lui, c'est surement pour cela qu'elle était autant aveugle. Danaé ne voulait pas voir la vérité en face, car elle le pensait incapable de lui causer autant de mal. Prononcer le prénom de Noam lui faisait un pincement au coeur, ce prénom rendait complètement dingue Adriàn, mais la faute à qui ? Elle ne serait jamais retombé dans les bras de Noam s'il n'avait pas fait le con. Elle n'était pas du genre à courir deux lièvres à la fois, pas comme ses exs avaient tendance à faire. Elle lui tourne le dos, s’apprête encore une fois à partir, mais une question lui vint à l'esprit, une dernière. Elle enlève ses mains et affronte son regard, elle sait pourquoi elle l'avait aimé et c'est ce qui l’agaçait d'autant plus. « Tu dis m'aimer, mais qu'es-ce que j'ai fais pour que tu me fasse autant de mal ? Me dis pas que c'est un rite de passage, je ne te croirais pas. » Danaé veut qu'il se remette en question, elle veut rendre service aux futurs prétendantes de ce dernier, plutôt généreuse la journaliste surtout que rester encore quelques minutes à ses côtés, c'était comme s'auto-torturer ; du sadisme à l'état-pur.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Empty
MessageSujet: Re: ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène. ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  EmptyMer 31 Oct - 1:13

∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Tumblr_mc4rweW2SQ1qdz7j3
« Tu ne m'aimes pas Adriàn, tu ne m'as jamais aimé. Quel monstre saint d'esprit peu m'infliger autant de souffrance et s'en contreficher ? Me dire que tu m'aimes ne fait que d’amplifier la haine que j'ai envers toi. Tu te fou de moi depuis le premier jour, tu n'en a rien à faire de ce que je peux ressentir. Tu n'es qu'un égoïste sans cœur, piétiner celui des gens, finalement c'est ça ton boulot. » Adriàn avait tout foutu en l'air, il le savait, tout était de sa faute et de sa foutu stupidité, il avait été un vrai crétin de croire que ça allait pouvoir s'arranger, il ne voulait pas le reconnaitre, il avait parlé sous l'effet de la colère ou de la folie, peut t'être un peu des deux. Danaé était en droit d'être en colère, tout ce qu'elle lui reprochait, l'entendre de vive voix, l'entendre d'elle, elle avait raison. Adriàn c'était bercer d'illusion et il ouvrait enfin les yeux, il ne voulait simplement pas voir la vérité en face. Il se pensait sincère mais il était tout le contraire, il pensait avoir toujours dit ce qu'il avait sur le coeur mais il se trompait, tout était bien plus compliqué que ça. Tout avait été compliqué, la mort de ses parents, le jour où il avait rencontré Danaé mais aussi toutes ses fois où il était avec d'autre femme. Peut t'être avait-elle raison, peut-être qu'il se fichait de sa gueule, qu'il n'en avait rien à faire, qu'il jouait tout simplement avec elle. Peut t'être était-il vraiment un connard sans coeur qui aimait faire souffrir les autres. Elle l'avait si bien caractérisé, oui, il était un monstre sans coeur, Danaé était en colère mais Adriàn l'était également et si elle voulait mettre les choses au clair, ils allaient les mettre une bonne fois pour toute. « Tu ouvres enfin les yeux, ce n'est que maintenant que tu t'en rends compte, que tu le remarques et bien désolé si je suis comme ça » Adriàn affichait un visage froid comme ses paroles et celle de Danaé, ils étaient rendus à un point tous les deux, où cela ne servait plus à rien de faire semblant.Il avait été con, il repensait à toutes ces fois où il s'était demandé s'il l'aimait et toutes ces fois où il pensait réellement l'aimer, il était juste con. « Qu'es-ce que ça peut te faire ? Il n'a rien à voir avec nous deux, comme moi je n'est plus rien à voir avec toi. »Elle ne cessais de répéter que c'était fini, ce qui énervait encore plus Adriàn, a force, il avait compris, très bien elle ne voulait plus de lui mais elle allait le regretter. Regretter de l'avoir quitté, qu'elle parte, qu'elle s'en aille avec Noam, elle se rendra vite compte qu'il ne vaut pas mieux que lui. Comment avait-il pu lui parler ainsi, lui demander une seconde chance. Tout n'était que mensonge, tout n'avait été que mensonges. Leur relation était basée sur les mensonges alors pourquoi ne se serait-il pas menti à lui-même sans s'en rendre compte quand il disait l'aimé, qu'il disait que pour elle, il changerait car non, au grand jamais il ne changerait. Il ne pouvait pas et il ne le voulait pas, il était Adriàn et il resterait Adriàn. Il avait parlé sous l'effet de la folie, à présent il voulait juste vider ce qu'il avait réellement sur le coeur, il lui en voulait, il lui en voulait tellement. Lorsque qu'il l'avait demandé de l'épouser il eut la réaction escompter, Danaé était pétrifiée et encore plus en colère qu'elle gifla Adriàn de toute la force et de la haine qu'elle avait. Elle céda, les larmes remplirent ses yeux mais cela n'avait plus d'importance pour Adriàn, pour la première fois de sa vie, il s'en fichait. Il se fichait de ce que pouvait ressentir Danaé. « Tu m'as eu et tu as tout gâché. Alors que tu sois quelqu'un d'autre ne changera strictement rien. Je n'est plus la force d'écouter ton baratin, Adriàn. Je t'est déjà dis, c'est fini entre nous, je ne reviendrais pas sur ma décision. Il y a eu Lola, dont tu souviens si bien du prénom, mais il y en a eu d'autres et il y en aura d'autres. On ne change pas du jour au lendemain. Arrête de me prendre pour une imbécile de chercher à me blesser davantage. (...) Nous deux, ça ne rime à rien. » Pourquoi chercherait-il à le nier, il n'avait plus rien à perdre, la seule chose qu'il pensait compter à ses yeux n'était plus. C'était fini entre lui et Danaé, fini. Alors il se remit en question, là dans cette chambre, en face de la personne qu'il croyait aimer et qu'il l'accusait de la faire souffrir. C'était peut t'être entièrement sa faute, il l'avait peut t'être cherché mais pourquoi en faire tout un plat, il se ridiculisait en cherchant à la reconquérir mais pourquoi le faisait-il. Danaé n'était pas la seule femme de la planète, pourquoi elle, pourquoi décider que c'était cette femme qu'il aimait et qu'il voulait. « On est incompatible. » Incompatible, ce mot résonnait dans la tête d'Adriàn, il s'était dit qu'ils étaient fait l'un pour l'autre, qu'elle était peut t'être la femme de sa vie mais là maintenant il se rendait compte que ça ne pouvait être vrai. S' ils étaient réellement fait l'un pour l'autre ne devrait-elle pas le comprendre un tant soit peu. Après tout qu'est-ce qu'il connaissait à l'amour ? Qu'est-ce que c'était l'amour, il pensait le savoir mais il était encore complètement aveugle à ce sujet. « Peut t'être... Peut-être qu'on n'aurait jamais dû se rencontrer, je n'aurais jamais du t'embrasser cette journée là et encore moins te revoir, que le diable m'emporte pour l'avoir fait. » Il s'en fichait de savoir qu'il l'a blessait encore plus, il avait le coeur en miette car peu importe ce qu'il ressentait pour elle, il avait passé du temps ensemble, elle avait compté, elle avait une place dans son coeur et le fait que ce soir il se rend compte que plus jamais ils ne revivront ces moments, cela lui déchirait le coeur. Le fait qu'elle remette Noam sur le tapis n'arrangeait en rien les choses, cela les empiraient « Et si c'est fini entre nous, ce n'est pas à cause de Noam, mais à cause de toi et uniquement de toi. Jamais je n'est voulue te faire du mal, comme toi tu m'en a fait. » Elle ne le voulait pas mais elle l'avait fait, elle n'était pas la seule à en souffrir car tous ces moments passés ensemble, ils étaient précieux pour Adriàn quoi qu'elle pouvait en penser, il n'avait jamais voulu lui faire du mal, il lui avait mentit pour la protéger, il avait tout essayé pour la rendre heureuse, il avait pensé l'aimer et avait tout fait pour se comporter comme une personne amoureuse. Ce n'était peut t'être pas dans sa nature après tout, il n'était peut t'être pas capable d'aimer une personne mais au contraire de les faire souffrir. « Je n'ai jamais voulu te faire du mal Danaé... » Celle-ci cachait ses yeux, elle ne voulait certainement pas qu'Adriàn l'a voie pleurer puis elle lui tourna le dos. Cette fois-ci Adriàn ne l'a retiendrait pas, il ne se sentait plus capable de le faire. Pourtant, elle se retourna d'elle-même et lui posa une dernière question. « Tu dis m'aimer, mais qu'es-ce que j'ai fais pour que tu me fasse autant de mal ? Me dis pas que c'est un rite de passage, je ne te croirais pas. » Un rite de passage ? Non, ce n'était pas ça, il disait l'aimer oui, il le disait mais il n'en avait jamais été vraiment sur. Danaé avait été la première femme avec qui il avait entretenu une relation « durable » si on pouvait dire ça comme ça. Elle ne lui avait rien fait, à part déchainer en lui des sentiments qu'il n'avait jamais soupçonnés. Que pouvait-il lui répondre à ça ? Qu'il aimait les femmes, qu'il aimait les draguer, qu'il aimait leur présence ? Quelle femme voudrait-entendre pareille vérité ? « Je suis un imbécile, qu'est-ce que tu veux que je te dise de plus ? Je suis comme ça un point c'est tout, comme tu l'as dit, je suis égoiste ... vouloir te faire du mal ? Non, je ne l'ai jamais voulu et ça Danaé tu peux me croire, tu dois me croire, tu me connais quand même suffisamment pour savoir que je ne suis pas comme ça ... » Toute colère avait disparu d'Adriàn, il était maintenant lasse, fatigué de cette conversation. Puis, tout un coup, une révélation lui vient, la solitude. Il détestait la solitude, il en avait peur. Depuis la mort de ses parents, malgré lui il s'était enfermé dans une bulle de solitude, il avait eu ses grands parents mais ce n'était pas pareil, il avait eu des amis mais pas des vrais. Tout ce qu'il voulait c'était de ne pas être seul, lorsque Danaé, quitterai sa chambre il se retrouverait seul et ça, il ne le supportait pas. Avec Danaé, tous ces moments de solitudes s'envolaient, il ne l'avait jamais remarqué jusqu'à maintenant, c'était un peu comme être avec Olive, lorsqu'il était avec elle, tous ces soucis s'envolait et lorsqu'il était avec Danaé, c'était sa solitude qui partait. « Je sais que c'est terminé entre nous deux et que tu ne voudras pas de moi-même en temps qu'ami mais sache que si tu as besoin de moi, je serais là, pour toi, je serai toujours là ... » En fin de compte, il l'aimait peut t'être réellement ?
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Empty
MessageSujet: Re: ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène. ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  EmptySam 10 Nov - 19:36

∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Tumblr_m1cpnvcQHx1r9a334o4_250
" I used to think you were like me. You were attracted to the darkness. Tate, you are the darkness… I love you Tate. But I can’t forgive you. You have to pay for what you did. All the pain you caused, all the sorrow… "
« Tu ouvres enfin les yeux, ce n'est que maintenant que tu t'en rends compte, que tu le remarques et bien désolé si je suis comme ça. » L'atmosphère dans cette pièce est insoutenable. Adriàn est devenu froid comme elle l'avait été avec lui. C'est plus fort qu'elle, il faut que ça sorte, s'il y avait un malaise, il fallait qu'elle cri au haut et fort ce qui n'allait pas. Généralement elle ne mâchait pas ses mots et se montrait plutôt dur, Danaé savait qu'elle blessait Adriàn autant qu'il l'avait blessé. Elle se sentait tout sauf fière de réagir ainsi, mais on n'échappe pas à sa vrai nature comme Adriàn ne pouvait échapper à la sienne. Elle était épuisée de toute cette situation, il faut voir les choses en face l'amour ce n'est pas fait pour elle. Danaé devrait sans doute arrêter d'aimer les personnes qui l'entourent histoire de se protéger, parce qu'aimer ça devenait trop compliqué. Elle ne cesse de lui rabâcher que c'est fini entre eux, elle veut qu'il le comprenne, afin qu'il arrête de se faire du mal. C'est tout, sauf une bonne samaritaine. Adriàn a beau avoir trompé Danaé, la jeune femme avait l'impression de le tromper à son tour en étant avec Noam. La culpabilité, c'est moche. Pourtant, elle n'a rien fait de mal mise à part céder à ses sentiments. La possessivité des deux ex-amants, Adriàn et Danaé, les avaient consumé à petit feu. Ils sont en train de se déchirer pour mieux se séparer. C'est ridicule. Elle s'est mise à pleurer, elle lui a collé une gifle et dit tout ce qu'elle ressentait. « Peut t'être... Peut-être qu'on n'aurait jamais dû se rencontrer, je n'aurais jamais du t'embrasser cette journée là et encore moins te revoir, que le diable m'emporte pour l'avoir fait. » Saleté de culpabilité. Elle ne peut s'empêcher de repenser à leur première rencontre, ce qu'elle a ressentit à l'instant où son regard à croisé le sien, ce baiser qu'ils ont partagés. Danaé lui sera redevable toute sa vie, mais elle ne pouvait pas lui dire. Elle ne pouvait pas le laisser croire qu'il a encore une chance avec elle. Ce sera mieux pour lui comme pour elle, s'il garde ses distances, car même s'il l'a fait souffrir, elle est capable de le détruire sans réellement le vouloir. Au fond, il n'est pas méchant, elle sait. « Je n'ai jamais voulu te faire du mal Danaé... » Il ne sait juste pas gérer une relation, c'est tout. Malheureusement, c'est elle qui en paye les pots cassés. Il a réellement compté autant que les autres et pour cela qu'il l'a met dans un tel état, qu'elle prend la peine de le descendre plus bas que terre. Chacune de ses relations s'est terminée de manière différente. Lorsque Léo est partit, elle n'a pas cherché à le revoir, elle s'est juste morfondue dans son coin et reconstruite comme elle a pue. Lorsqu'avec Noam ils ont décidé de revenir à une relation basique, pas un mot n'a été plus haut que l'autre, pas un vase n'a été cassé, aucune souffrance n'a été engendré. Et maintenant avec Adriàn, elle vivait la rupture la plus difficile qu'elle est jamais eu à vivre. Cette fois, ils s'affrontaient seuls en face à face esclaves de leurs sentiments. Elle n'arrive pas à être forte comme elle sait le faire, ses larmes coulaient malgré elle. Danaé avait caché ses yeux pour éviter de montrer sa faiblesse, s'est retournée et avait essayé de partir... Mais non. C'est encore trop facile de partir ainsi, une autre question lui était venu à l'esprit. Question qu'elle posa oubliant complètement dans quel état elle était. Danaé devrait être tout sauf désirable, son mascara et son fond de teint, devaient s'être mélangé laissant place à une sorte de peinture abstraite. « Je suis un imbécile, qu'est-ce que tu veux que je te dise de plus ? Je suis comme ça un point c'est tout, comme tu l'as dit, je suis égoïste ... vouloir te faire du mal ? Non, je ne l'ai jamais voulu et ça Danaé tu peux me croire, tu dois me croire, tu me connais quand même suffisamment pour savoir que je ne suis pas comme ça ... » Elle le croit. Elle veux le croire. La question qu'elle lui avait posé n'avait fait que l'enfoncer un peu plus et elle se dit qu'elle aurait mieux fait de partir. Il ne méritait pas tout ce qu'elle lui faisait subir, elle ne pouvait pas lui en vouloir de l'aimer. Danaé se persuade qu'elle peu le détester ainsi du jour au lendemain, mais elle se déteste plus de ne pas y arriver. Elle s'en rend compte, elle l'a aimé, mais ne l'avouera jamais. Elle ne peut vraiment pas lui laisser croire qu'il a encore une chance avec elle, cela ne le ferait que souffrir davantage. Il faut qu'il cesse de l'aimer et elle aussi. « Je le sais Adriàn... » dit-elle en baissant les yeux, toute cette situation est ridicule. « Je le sais. Il faut juste que l'on prenne nos distances, je n'arrive pas à aller au dessus de tout ça et encore moins à te pardonner. Le mal est fait, il faut juste le surmonter. » dit-elle d'une voix calme tout en reposant ses yeux sur lui. Elle se sent détruite, comme si une bombe venait de lui exploser à la figure et qu'elle se devait se reconstruire dans son ensemble. Oui, aimer quelqu'un ça ne fait pas que du bien. Il faut accepter le revers de la médaille et apprendre à y faire face. Les larmes qui avaient coulées commençaient à sécher et elle essuya ses yeux avec sa main. « Je sais que c'est terminé entre nous deux et que tu ne voudras pas de moi-même en temps qu'ami mais sache que si tu as besoin de moi, je serais là, pour toi, je serai toujours là ... » Elle appréciait le geste même si elle se voyait mal venir aller se confier à lui, au moins cela se finissais plutôt bien. Elle sait aussi que certaines questions n'ont toujours pas de réponses et qu'il ne le lui fournira sans doute jamais. Danaé a l'impression d'être sortie avec un étranger, il savait tout d'elle, mais elle ne savait rien de lui. C'est étrange comme sensation, au départ cela lui plaisait, mais au finale c'est comme sortir avec James Bond. Au bout d'un moment, l’excitation passe et on se lasse. Des tas de souvenirs lui viennent à l'esprit, essentiellement les meilleurs. Ils avaient été heureux, dommage qu'il est tout gâché. « C'est enregistré. » C'est le moment pour elle de s'en aller, il le sait et elle le sait. Elle aurait réellement aimé que ça se passe différemment, qu'il n'est pas laissé cette fille dans sa chambre et qu'ils se parlent calmement. Comme toujours, ils devaient être théâtrales, même en se séparant ils n'y échappaient pas. La jeune femme s'apprête à partir une énième fois, c'est toujours aussi peu facile de tourner une page pour passer à la suivante. Saletés de sentiments.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Empty
MessageSujet: Re: ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène. ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  EmptyDim 11 Nov - 17:03

∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Tumblr_m3xrf42UrV1r1yxc1o1_250
Ils avaient fait le point, ils s'étaient clairement dit les choses, ils s'étaient blessés mais, pas pour mieux se retrouver, c'était clairement terminé, la fin tragique d'une histoire d'amour. Adriàn était passé par beaucoup de choses mais c'était sa première peine de coeur, Danaé était la seul qui avait aimé plus qu'une autre. C'était la première fois qu'il devait dire adieu à une personne qu'il ne voulait pas quitter. Alors, il repensa à tous ces jours qui s'étaient déroulé depuis leur rencontre, le baiser qu'il avait échangé alors qu'il n'était que de parfaits inconnus l'un pour l'autre, leur deuxième rencontre, puis tous les rendez-vous qui avaient suivi. Si Adriàn s'était comporté différemment, est-ce qu'ils se trouveraient dans cette situation, là maintenant, s'il avait été sincère depuis le début, s'il ne lui avait jamais menti, s'il lui avait tout raconté à propos de son histoire, serait-il ensemble et heureux aujourd'hui. Il avait joué au con et il avait ce qu'il méritait, peut-être que le destin avait décidé que ça devait se passer ainsi et pas autrement. « Je le sais Adriàn... » Danaé baissa la tête pour fuir une nouvelle fois le regard d'Adriàn. « Je le sais. Il faut juste que l'on prenne nos distances, je n'arrive pas à aller au-dessus de tout ça et encore moins à te pardonner. Le mal est fait, il faut juste le surmonter. » Elle le regardait dans les yeux à présent, prendre ses distantes, c'était la chose la plus intelligente à faire, ils s'étaient trop fait souffrir l'un comme l'autre, elle avait raison, il devait laisser l'eau couler sous les ponts, prendre un nouveau départ mais, chacun de son côté. La vie lui semblait injuste, plus que jamais. Ils s'étaient criés dessus, avait dit tout ce qu'il avait sur le coeur et Adriàn se sentait plus léger, qu'ils ne séparent pas en colère. Ils avaient réussi à gérer la situation, quand bien même compliqué. Il ne s'était pas attendu que cette soirée se termine ainsi. Mais il restait tout de même une gêne chez Adriàn, il ne voulait pas quitter Danaé comme ça, elle méritait de savoir la vérité, ça ne l'a ramènerait pas mais il devait lui dire. Il pourrait alors l'a laissé partir et refaire sa vie, l'oublier ou plutôt essayer de l'oublier. « C'est enregistré. » Au moins, elle savait qu'elle pouvait compter sur lui, même s'il savait qu'elle ne viendrait pas à lui. Il n'avait plus rien à se dire, elle le compris aussi, il était temps pour elle de partir, de franchir la porte et de disparaître à tout jamais. « Mes parents sont morts » Jamais dans leur relation, il n'avait parlé de lui, il savait des choses sur Danaé, il connaissait sa vie mais il n'avait jamais pu en faire autant. Elle le lui avait toujours reproché de garder pour lui ce qu'il pensait, de ne jamais lui révéler quoi que ce soit comme deux personnes ensemble font généralement. « Et je n'ai jamais été comptable. » Il soupira, il n'avait pas pensé que lui dire aurait été si libérateur, c'est le mensonge le plus dur qu'il est dû porter dans sa vie. Alors, Danaé se retourna une nouvelle fois pour lui faire face, il n'arrivait pas à la quitter en fin de compte. Mais il le devait, pour lui comme pour elle. Finit les mensonges, il allait lui dire la vérité, toute la vérité mais par ou commencé. Danaé affichait une mine sérieuse mais ne s'enfuit pas, il lui en fut reconnaissant, après tout ce qu'il s'était dit, elle aurait pu tout simplement l'ignorer et partir. Alors, il commença à parler sans s'arrêter, lui parlant de l'endroit où il avait grandi, la mort de ses parents, comment ses grands-parents l'avaient recueillie, les personnes peu fréquentables avec qui il avait traîné, ses différents métiers qui n'étaient pas glorieux mais qui payait bien et enfin ce qu'il avait toujours essayé de lui cacher son véritable métier et comment il avait découvert que ces parents n'étaient pas morts dans un simple accident « ... et voilà comment je me suis retrouvé impliquer dans cette agence, devenant espion à déjouer les plans de l'état, à faire mission sur mission, tout ça pour retrouver les meurtrier de mes parents. » Danaé n'avait pas dit un mot depuis qu'il avait commencé à parler, il l'a comprenait, ça devait faire beaucoup de choses à assimiler tout d'un coup. Son visage était comme à son habitude, indéchiffrable, il aurait bien aimé cette fois, savoir ce qu'elle pensait. Comment allait-elle réagir à cette révélation ?
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Empty
MessageSujet: Re: ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène. ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  EmptyJeu 22 Nov - 19:38

∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Tumblr_m9kg13ccop1rszvkgo1_250
" life is too short for so much sorrow. "
L'amour ça n'apporte rien. On dirait qu'une malédiction sévit sur la famille Hawthorne. Elle n'a jamais connu son père, elle a dû élever sa mère et faire face à toutes ses peines de coeur jusqu'à ce qu'elle trouve le bon. Danaé ne peut s'empêcher de comparer les deux situations, elle devait souffrir pour accéder à l'ultime pallier. C'est la vie, souffrir pour devenir heureux. Aujourd'hui elle est colère contre Adriàn, mais elle sait qu'un jour cela s'estompera. Il n'est pas le bon, elle n'y peut rien, ils n'y peuvent rien. « Mes parents sont morts... » Il l'a prend au dépourvue, se confier jamais il ne l'a fait. Ils se sont souvent disputés concernant le métier de la jeune femme, elle a toujours fait passé ses articles avant son couple quitte à s'enfermer dans une pièce pendant plusieurs jours. Une source de dispute. Le métier d'Adriàn semblait louche, il en parlait et dès qu'ils déviaient sur le sujet, il changeait de conversation. A chaque fois. Danaé n'avait jamais pu lui faire cracher le morceau, pourtant elle ne l'a pas quitté parce qu'il lui mentait sur son métier. Alors oui, qu'il lui dise que ses parents sont mort ça l'a touche, ne pouvant que compatir à sa peine. « Et je n'ai jamais été comptable. » Il pousse un soupire de soulagement. La journaliste tombait de haut, elle s'en était douté, mais ça lui faisait bizarre d'avoir raison. Il n'avait jamais été doué avec les chiffres. Pour les calculs simple il se débrouillait, mais dès que ça se compliquait, il n'y avait plus personne. Elle est incapable de sortir la moindre parole se contentant simplement de le regarder. « ... et voilà comment je me suis retrouvé impliquer dans cette agence, devenant espion à déjouer les plans de l'état, à faire mission sur mission, tout ça pour retrouver les meurtrier de mes parents. » Un jardinier, un pompier, un policer, tout et n'importe quoi sauf ça. Elle n'aurait jamais pensé qu'il était un espion, une sorte de James Bond, mais un mauvais James Bond. Danaé Hawthorne est sortie avec un espion, c'est complètement démentielle, mais surtout... surréaliste. C'est difficile à encaisser ce lot d'informations, il lui avait tout déballé d'un seul coup, un peu comme un kinder, mais périmé. Elle ne sait pas comment elle aurait réagit s'il avait été honnête plus tôt, mais une chose est sur c'est qu'elle aurait pris la peine de réfléchir si elle pouvait accepter cela. Maintenant, c'est trop tard. Elle le détestait parce qu'il s'y était pris trop tard. Peut-être qu'elle l'aurait aidé, peut-être qu'ils auraient pu passer au dessus de tout cela et elle aurait accepté sa double voir triple vie. La jeune femme appréciait qu'il se confie, mais ce n'est pas maintenant que ces révélations vont changer quelque chose. Au moins, elle a eu le droit à la vérité, il se rattrapait. Elle ouvre la bouche plusieurs fois puis elle l'a referme, ses yeux sont vides et elle n'arrivait pas à réaliser. En faite, elle ne réalisait pas. Elle qui tout à l'heure criait à tout bout de champs est devenue complètement muette comme une tombe. La journaliste n'a plus rien à faire ici, alors elle le regarde une dernière fois, complètement déconcerté par ses révélations puis sort de la chambre. C'est un espion. C'est un espion... Un espion. Ce mot l'a tourmente, elle n'arrive pas à croire qu'il ait pu lui cacher quelque chose d'aussi énorme. Pourtant tout colle, absolument tout.

+ end.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Empty
MessageSujet: Re: ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène. ∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.  Empty

Revenir en haut Aller en bas

∆ la plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. en fait, on a surtout besoin d’oxygène.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» ELVIS ►« Cyniques - Se disent des gens qui disent tout haut ce que nous pensons. »
» (M) ORDINAIRE - j'ai besoin de toi pour vivre et être heureuse.
» Anne Laure, rêver sa vie mais surtout vivre ses rêves..
» TOBIAS & BRETZEL • Faire l'amour fait perdre environ 360 calories. On fait un régime ensemble ?
» NEAL♔ tu te consume de l’intérieur, tu brûles et tu le gardes pour toi surtout, autrement tu passes forcement pour un con.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
THE SIMS™ play with life. :: 404 ERREUR :: DEMOLIR LE TERRAIN :: Corbeille PWL 2.0 :: Cimetière rpgique-