Tell me this is a joke - Adonis
TOP PARTENAIRES DE PWL

plus?vous?voter


MEMBRES DU MOIS
PWL

RPGISTE DU MOIS
Adel De Lavauderie

RPGISTE DU MOIS
Chuck B. Onekung

AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Fermeture de PWL.
Le Deal du moment :
Display One Piece Card Game Japon OP-08 – Two ...
Voir le deal

Partagez

Tell me this is a joke - Adonis

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité



Tell me this is a joke - Adonis Empty
MessageSujet: Tell me this is a joke - Adonis Tell me this is a joke - Adonis EmptyDim 30 Déc - 0:10


Tell me this is a joke


Tell me this is a joke - Adonis Tumblr_m0abc9Sz6d1rn385vo1_250Mes idées ne sont pas très claires, j’ai l’impression de flotter, où suis-je ? J’ouvre les yeux, ma chambre. Classique. Dissimulé sous la couette, j’attends que mon gouvernant vienne me secouer. Une minute, deux minutes, rien. Je vérifie en un éclair l’heure qu’il est, onze heures. Il est largement temps que je me lève, j’aurais d’ailleurs déjà dû être réveillé. Pourquoi ce crétin n’est pas venu me voir ? Je dis crétin, mais bien évidemment je ne le pense pas, après tout c’est lui qui m’a élevé, et puis il m’a toujours conseillé, il a toujours été là : tant dans les bons que dans les mauvais moments. Bon, où est-ce qu’il se cache ce fripon ? Fripon de plus de quarante oui, ça arrive.
Je me lève doucement, faut pas déconner quand même, m’étirant tout aussi doucement et regarde vaguement autour de moi. Personne dans la chambre. Mes pas me mènent dans toutes les pièces du loft, mais il n’y a personne. Personne sauf un post-it posé sur le frigo. Ce fripon se doutait bien que mon ventre m’y guiderait. Je suis si prévisible sur ce point, c’est triste.

QUOI ? Des courses ? Même pas un « bonne journée sale chenapan » ? Même pas une petite remarque du style « Te lève pas trop tard, n’est-ce pas ? » ? Ah si, écrit en minuscule. Un soupir émane de ma bouche. Des courses ? Vraiment ? Je n’ai pas envie de faire les courses moi, je serais bien allé à la piscine municipale à la place. J’aime bien aller à la piscine, parce qu’il y a des jolies filles, mais surtout parce que j’adore nager. C’est peut-être le moment de la journée où je suis le plus concentré. Bon on verra ça plus tard. Comme à mon habitude je traine, je mange un bol de céréales et fait un petit tour dans la salle de bain. Et puis pour finir, contrairement aux trois quart des garçons selon mon idée, je fais attention aux vêtements que je choisis avant de partir. Et il ne faut pas oublier l’argent aussi, ce serait plutôt bête. Cent dollars dans la poche, ça suffira bien à deux personnes pour le temps d’une semaine. Habillé d’un gilet et d’un skinny jean je m’en vais alors en vélo jusqu’au supermarché où je prends bien soin d’attacher mon bicycle. Bicycle, c’est pas un peu bizarre comme mot ça ? Bref. Une fois toute cette petite entreprise faite, je pénètre dans le supermarché, armé de mon caddie et commence mes courses. Il faut savoir que lorsque je fais des courses, il y a plutôt intérêt à ce que je ne craque pas sur un produit sur deux, car je les achèterais presque tous sans exceptions, presque sans regarder le prix. Il faudrait me faire faire les courses avec un bandeau les yeux. Je fais un petit tour et prend tout ce dont j’ai besoin avant de m’arrêter dans le rayon des shampooings et des gels douche. L’avantage c’est qu’il y a de tout, et que du coup tu peux varier. Aller hop, un nouveau dans la collection établie sur la baignoire. Celui-là ou celui-là ? Un petit doute m’envahit. Eurm..

L’obscurité m’assomme d’un coup. Rideau. Non, aucun rideau ne me tombe dessus, non aucun grand rideau rouge comme au théâtre ne tombe du plafond, c’est juste que… il n’y a plus de lumière. Rideau d’obscurité. Un petit semblant de lumière se dégage de la porte vitrée par laquelle je suis entré, mais rien de plus. Un vent de panique s’étend à l’ensemble du supermarché, et je reste planté là, comme un crétin, devant les gels douche. Ma dubitation s’arrête là pour laisser place à une autre. Que faire ? J’attends 5 minutes en éclairant le rayon avec le flash de mon téléphone, mais la lumière et l’électricité ne revient pas. L’électricité étant coupée, les portes ne s’ouvrent pas. Ok c’est cool, on va passer notre vie dans ce supermarché. Je prends mon panier, parce que non je n’ai traîné tant de temps dans ces rayons pour ne finalement rien acheter, et me dirige du mieux que je peux vers les caisses. Un jeune petit blondinet se tient à la sienne, je ne sais pas trop ce qu’il fabrique, tout comme les autres. Parti pour lui demander ce qui se passe et comment les choses vont évoluer, je me stoppe net. C’est un gosse, enfin façon de parler, il ne saura certainement pas me répondre. Bon, regardons qui sont les autres caissiers. Je ne distingue pas les visages. Bon tant pis, c’est parti pour le blondinet, j’esquive deux ou trois chariots ainsi que deux ou trois papis et mamies et arrive enfin à la hauteur du jeune homme. Personne ne me criera dessus, personne ne me dira que ce n’est pas à mon tour de passer puisque ce n’est au tour de personne. Il n’y a plus d’électricité, alors personne ne peux rien me dire. Je pourrais même voler un truc, mais c’est pas trop mon style. « Excuse-moi » Vouvoyer, tutoyer ? J’aurais peut-être dû vouvoyer. « Vous, toi… Vous ». Je deviens confus mais je me reprends. « Sauriez-vous ce qui se passe ici ? » Si t’oses rigoler à ma face, t’es mal mon petit.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



Tell me this is a joke - Adonis Empty
MessageSujet: Re: Tell me this is a joke - Adonis Tell me this is a joke - Adonis EmptyDim 30 Déc - 14:21



adonis & shawn

Parait-il que si on se convint sincèrement d'une chose, ça finit par arriver. Mais sincèrement, réellement, profondément. Pas juste se dire "oh ba tiens on va y croire un peu". Non de touts son corps, son être, sa volonté même faisant plier la réalité du monde. On est libre de ses choix, on a toujours le choix, jusqu'à choisir de dire non et que la conséquence soit la mort ou autre, mais on a toujours le choix. Alors notre volonté peut faire flancher n'importe quoi, non ? Et bien faut croire que ce matin, la mienne ne fera rien flancher du tout. Pas assez voulut, pas assez convaincu que je peux changer le court de mon existence. Et puis bon c'est pas que je sois narcissique ou autre mais, mourir pour ne pas aller travaille,r je trouve ça un peu extrémiste comme choix et fin. C'est pas comme Sartes qui prenait exemple d'un soldat appelé à la guerre qui pouvait choisir de dire non au combat en se laissant tuer plutôt que de faire la guerre. Non je n'ai pas ce tragique destin et j'en remercie sincèrement mon époque de nativité. Je dé cide donc de me lever, arrêter l'alarme douce de reggae qui tourne en boucle depuis cinq minutes. Si ça ne m'a pas levé e suite, ça m'a apprit cependant que maman est partit à ses cours à l'université. Je suis don tranquille. Et je me sors du lit, n'enfilant rien d'autre qu'un tee-shirt, je descend en caleçon à la cuisine alors que je me prépare un bol de chocolat chaud au café -oui c'est excellent. Prenant des croissant déposé la part ma mère dans un élan d'admiration total son mot me fait soupirer alors qu'elle me charrie en disant que si j'ai croqué dedans je dois laver le salon avant le dîner ce soir. Ma mère est sadique épisode deux-cent cinquante huit mille. Chaque jours j'ai un nouvel exemple. Je l'aime mais là... Je soupire en finissant mon croissant en prenant un deuxième pour le coup, quitte à faire le ménage autant ne pas se privé de manger, ma tasse dans la main, le croissant coincé dans ma bouche je remonte avec une extrême concentration pour réussir, pour une fois, à atteindre la chambre sans renverser mon breuvage. Tasse posée, level win !

Filant à la douche, j'ouvre ma pendrie passant un temps à chercher mon tee-shirt superman que je ne trouve pas, ni le batman. Je soupire déçu, au bord des larmes, blasé. Bref en deux seconde je reporte mon attention sur une chemise et un jean que j'enfile en prenant ensuite soin de mettre des chaussettes -pas les même malheureusement- avant de mettre mes basket. Fait. Finissant mon petit déjeuné, je refile à la salle de bain pour un brossage de dent dans les normes et coiffé mes cheveux. Heu non passer une main dedans en disant que oui un jour je les couperais. Mais pas aujourd'hui.De toute manière j'ai plus le temps, je prend mon téléphone, ma veste, mes clefs et je file. Pare que mine de rien j'ai huit minutes de longboard avant le boulot et que je suis en retard. Attrapant ma planche je saute dessus et c'est partit pour la vadrouille. Et zou que je te dégomme un trottoir, flou un esquivage de mémé dans les règles, oups un virage trop brute. Et j'arrive à l'arrière boutique du super-marché alors que je pose mes affaires, j'enfile mon petit badge avec mon prénom mignon, je colle un sourire freedent sur mes lèvres pour le boss et je file à la caisse. Madame Fristies m'attends déjà, elle vient qu'à ma caisse pour me parler de ses petits enfants et leur gout pour les céréales. Great. Génial. Fabuleux. J'ai une tête de vieilles à amer les enfants qui font des biscuits aux chocolat ?! Je soupire.

La journée passe sans incident alors que je soupire faisant passer ma cliente et lui indiquant le montant à payer, la saluant ensuite quand elle quitte le magasin. C'est finit pour celle-ci, regardant les clients qui attendent derrière ma caisse, peu nombreux pourtant, je fais avancer mon petit tapis roulant alors que d'un seul coup.... c'est le drame ! Ouvrant grand les yeux en essayant de voir quelque chose, je comprend que c'est pas moi qui ait les paupières closent mais bien le magasin. La source de lumière provenant de dehors me l'indiquant alors. Ainsi que les protestations et les exclamations dans le magasin, la musique coupé, et le silence qui règne finalement. Génial. super. C'est bien ma vaine ça ! Tapotant sur mon écran noir de causse enregistreuse je soupire ayant espéré un miracle. Excuse-moi Vous, toi… Vous Sauriez-vous ce qui se passe ici ? Je tourne le regard pour voir dans la demie obscurité se qui ressemble à un jeune, et qui s'en approche par la voix, se débattre avec la langue parlée pour essayer de communiquer. Silence. Heu... oh... il s'adresse à moi ?! Me retournant pour constater qu'il y a personne je comprend que oui c'est à moi. Oh, bonjour. Non je ne sais pas se qu'il se passe je suis navré pour le dérangement occasionné. Phrase apprise presque par coeur par mon boss, je suis trop doué. Je regarde les portes closes. Mais sans électricité je crains que nous ne soyons bloqué. Je suis sur que c'est encore le générateur à l'arrière. En même temps il a jamais été changé. Pas faute de l'avoir dit. Mais on m'écoute jamais, alors que la vieille Doubs on l'écoute, alors que quoi ? Elle a pu toute sa tête , et moi je suis le plus jeune, évidement on l'écoute elle ! Je m'emporte dans mes explications oubliant un peu que je m'adresse à un client. Chouette.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



Tell me this is a joke - Adonis Empty
MessageSujet: Re: Tell me this is a joke - Adonis Tell me this is a joke - Adonis EmptyLun 31 Déc - 1:31


Tell me this is a joke



Tell me this is a joke - Adonis Tumblr_m0abc9Sz6d1rn385vo1_250C’est typique de moi, j’ai l’air d’un pur crétin. Je ne sais même plus aligner trois mots à la suite. Pourtant je ne suis pas si bête que ça, et ce n’est pas comme si j’avais croisé quelqu’un qui m’aurait coupé le souffle. Ce n’est pas comme si j’étais raide dingue de quelqu’un et que je pensais à cette personne, ou comme si j’étais tombé amoureux du petit blondinet là. Certainement pas, et puis quoi encore ? Oh et puis quoi, c’est qu’un gosse ce petit, pourquoi je l’ai vouvoyé ? C’est vrai, originellement on vouvoie par politesse, mais ce n’est pas parce que je le tutoie que je ne le respecte pas, après tout c’est mon cadet. Oh et puis j’en sais rien. J’alternerai pour la peine.

Comme tout bon client, je garde mon calme et ne panique pas d’une once. Contrairement à monsieur papier toilettes ou à papi lames de rasoir qui s’exclame et font toutes sortes de scène. Oh c’est inadmissible, comment cela peut-il arriver, INADMISSIBLE. Ce genre de discours me fait toujours lever les yeux au ciel, virtuellement ou physiquement d’ailleurs. Vous savez, c’est comme lorsqu’il y a une panne d’électricité chez vous, vous n’y pouvez rien et ce n’est pas de votre faute. Je n’insinue pas du tout que le supermarché représente votre maison, il n’y a pas marqué « refuge » non plus sur l’enseigne, même s’ils sont bien contents de vous voir lorsque vous passez. Bref, le tout dans l’histoire, pour en revenir à nos moutons, est de rester calme et de respecter tout le monde. Parce qu’il y en a aussi qui se mettent à hurler dans tous les sens contre tous les clients, tous les caissiers, et contre l’enseigne tant qu’on y est. Tout ça alors que personne ici n’est spécialement fautif, mais tout va bien.

Bref. Moi, je suis un type exemplaire, tout le monde l’aura compris. Non je déconne, mais c’était drôle non ? Disons simplement que je suis plutôt gentil, et respectueux. Mais bref, bref, bref. Je prends alors mon air poli et demande calmement des renseignements au cassier qui, à mon avis, n’en sait pas plus que moi. Après tout l’électricité vient de se couper, à mon avis personne n’est au courant du problème en soi. Mais sait-on jamais, peut-être que ce petit est éclairé par la science, ou averti d’un hypothétique problème. Puisque j’ai eu quelques difficultés à trouver mes mots, toujours à cause de cette histoire de vouvoiement et de tutoiement oui, je m’attends à ce que le jeune homme sourît, voire à ce qu’il se moque de moi. Vous allez me dire : Mais comment est-ce que tu pourrais voir ses expressions faciales, puisque vous êtes dans le noir ? Tout simplement parce qu’il fait jour à l’extérieur, et que sa caisse appartient au groupe près de la porte, du moins aujourd’hui.

Bref, pour en revenir au sujet, le jeune homme ne s’est pas moqué de moi, mais à la place de ça il m’a sorti une vieille phrase qui feint d’être polie mais qui te dit presque gentiment d’aller paître autre part. Et je déteste ce genre de phrases, ça va quoi vous n’êtes pas des robots à la fin ! Liberté d’expression quoi ! Bon, je vois que je m’enflamme un peu. Mais pourtant euh… j’ai envie de dire que je suis loin d’être le seul, et puis le blondinet là… il est pire que moi. Moi j’ai de la réserve, je divague dans ma tête, lui il pète carrément son câble à haute voix. Remarque, ça met de l’ambiance, c’est assez marrant à voir. Ce petit blond doit être un vrai spectacle à lui-même. Je retiens un rire, toujours par politesse, même si c’est assez difficile. « Pourquoi, mamie Doubs elle est bête ? » lui répondis-je alors, d’un ton amical. « Ça viendra, il faut du temps pour que les gens accordent leur confiance » ajoutais-je. « Tu m’as l’air… nerveux, une bière peut-être ? Tu sais il faut dormir la nuit mon petit. Tu as peut-être tes chances aussi en électricité, t’as l’air de t’y connaître. Ou en management remarque peut-être » continuais-je, un petit sourire en coin de lèvres. Il pouvait très bien le prendre mal, mais ce n’était pas le but. Mon but était seulement de détendre l’atmosphère dans ce vent de panique, après tout, autant être utile. S’il le prend mal et bien… tant pis pour lui, il n’a pas qu’à être susceptible.


Spoiler:

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



Tell me this is a joke - Adonis Empty
MessageSujet: Re: Tell me this is a joke - Adonis Tell me this is a joke - Adonis EmptyVen 25 Jan - 22:41



adonis & shawn


La coupure de courant ayant plongé le magasin dans une légère cacophonie, l'impatience se fait ressentir alors que moi, d'un seul coup. Ba je suis accaparé par un mec d'environ mon âge qui se met à me parler. Et comme avec toute personne sur terre, je me met facilement à déblatérer se que je pense, limite j'en serais presque à parler de la pluie et du beau temps. Et que ma mère me saoule en venant chaque fois dans la salle de bain quand je me lave. Mais bon. Au moins personne n'ira dire que je ne suis pas sociable, je suis réservé je le conçois. Je ne vais que rarement vers les autres,mais alors quand les autres viennent vers moi -sans se douter de se qui les attend j'en conçois aussi - je ne me fais pas prier pour y mettre de ma personne. Pourquoi, mamie Doubs elle est bête ? Il me répond et... il a vraiment écouté se que je disais en plus. C'est rare quand même qu'un étranger me pose des questions quand je parle. Généralement ils fuient presque, se que je trouve presque impoli mais peut-être compréhensible. Mais bref. Quand même. Bête ?! Bien sur que non, ça va pas ! Elle est juste vieille. Mais alors d'une vieillesse. Sérieusement vous iriez vous parlé des allumes gaz de l'an dix-huit ? Bon ok il y en avait pas, mais sincèrement moi je n'irais pas vers un mec qui tente de remettre en état les réverbère au gaz de mille neuf-cent. Et bien elle devrait faire pareil,l'électricité c'est plus de son temps... Je réplique réellement emballé dans le sujet de discussion. Il reste là même, face à moi semblant même pas avoir envie de profiter de l'obscurité pour déserter.Et ba ça alors, m'en voila surprit je dois le reconnaitre.

Ça viendra, il faut du temps pour que les gens accordent leur confiance. Tu m’as l’air… nerveux, une bière peut-être ? Tu sais il faut dormir la nuit mon petit. Tu as peut-être tes chances aussi en électricité, t’as l’air de t’y connaître. Ou en management remarque peut-être. Je fronce les sourcils, plissant ainsi mon nez sans que je le contrôle réellement, ayant ce tic vraiment chiant que toutes les filles qualifie de "trop chouuuu". N'ont-elles jamais, bordel, apprit qu'un mec n'aime pas vraiment entendre qu'il est "chou" ?!!! Passons. Attendez je rêve il m'a appelé petit ? Petit ? Genre, petit... petit ! Non mais il a sans doute le même âge que moi, peut-être même qu'il est plus jeune. Bon n'exagérons rien, mais déjà que les filles de vingt-cinq piges me font "petits" ça me blase de voir autant de débilité. Mais là... mais là ! MAIS LA ! On doit avoir l même âge à un ou deux ans de plus alors, petit petit... hormis de taille de cm j'm'aventurerais pas la dedans... Je grommelle sans pour autant mettre fin à la discussion, étant biologiquement pas conçu pour agir ainsi, faut croire. Et puis nerveux ? Non mais y'a pas de quoi l'être, c'est pas comme si on était enfermé dans une cage de zombie comme tous ces jeux de guerre... ou pire une cage à fauve... quoi que... je ne sais pas avec quoi je serais rassuré... des fauves... ou des vers de terre. J4ai toujours l'impression qu'ils attendent de nous bouffer... JE frissonne en y songeant avant de secouer la tête. Et puis non, j'suis ps trop branché électricité... non pas que je dise que ce soit pas un chic métier, il n'y a pas de chic métier hormis celui qu'on décide aimer mais... non ça me branche pas. ... Ok, je devrais me taire. Vraiment !
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



Tell me this is a joke - Adonis Empty
MessageSujet: Re: Tell me this is a joke - Adonis Tell me this is a joke - Adonis Empty

Revenir en haut Aller en bas

Tell me this is a joke - Adonis

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» BEV' ☞ life isn't joke. joke is the life.
» adonis ◊ wild child
» l'imagination se créer du réel, hein popole ?! (adonis)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
THE SIMS™ play with life. :: 404 ERREUR :: DEMOLIR LE TERRAIN :: Corbeille PWL 2.0 :: Cimetière rpgique-