| Sujet: doux amour, ike Sam 8 Sep - 15:11 | |
| « DOUX AMOUR »,Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c’est leur connerie, pas leurs différences... Le soleil se lève et petit à petit, ses rayons filtrent à travers la fenêtre de ta chambre jusqu’à se poser délicatement sur ton visage. Une douce chaleur qui te fait penser à un délicieux baiser se faire ressentir sur ta joue. Machinalement tu ouvres les yeux. Tu tournes la tête vers le réveil posé sur la table de nuit. Il affiche six heures trente du matin. La blague ! Tu commences déjà à pestiférer. La nuit à été longue. Tes yeux ont envie de se refermer mais ce fichu soleil t’en empêche. Tu grognes un petit coup et tu te tournes sur ton autre flanc pensant être en paix pour retrouver un sommeil certain. C’est raté, une sale tronche te gâche la vue. Qu’est-ce qu’il fou là lui ? Tu grognes. Pourquoi il dort avec toi, depuis quand monsieur se permet une telle chose. Tu t’accoudes histoire de voir si c’est pas un sale coup qu’il t’a préparé. Il serait bien capable d’avoir ramené une sale gonzesse juste pour te foutre les boules. Et oui, c’est ça votre truc, vous faire souffrir jusqu’à ce qu’un l’un de vous deux finisse par craquer. Il n’y a rien, t’as limite envie de pousser une soupire de soulagement mais tu te retiens dans l’optique où ça lui ferait trop plaisir. De toute manière, t’as une autre idée derrière la tête. Rien que d’y penser, t’affiches un sourire narquois. Tu remues un peu pour t’assurer qu’il dort toujours, parfait. Sans un bruit, tu passes l’un de tes bras près de son coup et lui caresse le torse, il ne réagit pas. « Mon chéri, c’est l’heure de te lever.. » Toujours pas de réaction, tu sais pertinemment qu’il t’a entendu mais qu’il ne bouge pas pour t’emmerder. Tu le connais mieux qui quiconque à présent. Sa réaction t’amuse même. Il aurait pu trouver mieux quand même. Tu commences quand même à t’ennuyer. Tu continues alors de balader ta main le long de son torse et tu la descends petit à petit pour arriver à la hauteur de son basin. Oh, il n’a pas de caleçon, encore mieux. Tes lèvres s’étirent et d’un coup, tu presses ses parties génitales. Tu ris, la tête qu’il tire, c’est du grand art. Il n’y a que dans des moments pareils où tu lui discernes un léger charme. S’il pensais que tu ne lui réservais que ça, il s’était foutu le doigts bien profond. Sans qu’il ne puisse réagir, tu déplaces tes jambes et d’un coup sec, tu le pousses à terre. Son corps qui claque contre le sol fait retentir un bruit sourd dans la pièce. « Oup’s, je commençais à manquer de place. » Excuse bidon, tu te fiches ouvertement de lui et tu attends avec impatience sa vengeance qui tu le sais, sera loin d’être douce. « La prochaine fois, tu sauras que dormir avec une femme de mon genre c’est dangereux. » Cette fois tu affiches un air angélique.
mise en page par fade out 1000 pour toi. ♥ |
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