DANNY W. STONEM & CHUCK B. ONEKUNG

This is Halloween !

Ce qui m'a poussé à aller à cette soirée d'Halloween ? A quitter mon confort de petite maison, pour aller dans une soirée pleine de jeunes tous ivres et surtout dont je n'ai rien à faire ? Un seul mot suffit. Mary-Lou.
Si tu refuses d'y aller... je te force à aller faire la tourné du quartier avec le gosse pour demander des bonbons. Je manque de m'étrangler, elle me fixe avec un air défieur, et je vois qu'elle ne plaisante pas et qu'elle est fière de son chantage. C'est puéril ! Elle sourit, et tourne les talons sachant que sa "mission" est terminé. Mary-Lou ou son étrangeté, elle plus coincée tu meurs, et pourtant elle est là à m'obliger à sortir sous prétexte que ça fait une semaine que je passe mes soirées chez elle. Sympa la meilleure amie. Oui en gros voila comment je me suis retrouvé ici vêtu d'une cape noir, d'une chemise blanche avec des traces de sang et d'un teint blanc de maquillage, je déteste Mary-Lou réellement. Bref, ayant finit par écumer les bouteilles unes à unes, du moins celles qui me passaient sous la main, je décide qu'il est temps d'arrêter ce massacre, d'aller trouver une consolation ailleurs. Peut-être Keenan... Non c'est bon arrêtons les conneries l'alcool ne m'aide vraiment à penser clairement. Je quitte donc les lieux, dehors il fait froid, et je suis heureux d'avoir une cape ma foi. Marchant lentement, en écoutant le calme aux alentour, je me perds dans mes idées, cherchant si je rentre à la maison ou si je vais dans un bar, ou chez un ami. Aucune idée. Hey, sal…Chuck, qu’est-ce que tu fiches ici ? T’es pas à la fête ? Je relève la tête à l'entente d'une voix, mon regard se posant sur... morveux ignoble qui me sert de voisin. P*tain c'est pas ma soirée ou quoi. Je le fixe lui en débardeur, moi encapé, lui mal habillé moi bourré. Parfait ma journée est parfaite en débilité. Il sourit bizarrement, et je n'y prête pas attention. Je la quitte la soirée. Pourquoi je lui réponds d'ailleurs ? Non mais j'ai pas à lui répondre, d'où je dois lui donner des renseignements ? Joli costume au passage. Heu…C’est Dracula, non ? Heu... il me fait la conversation là ? Sérieusement ?! Je le regarde un moment, sans expression, bugeant pour savoir comment réagir. Je le fixe comme absent avant de fermer les yeux et de reprendre. ouai... sans doute... aucune idée. Je pensais que c'était plus ton genre de soirée... ce genre de.. fête ! Je lui réponds. En effet je l'aurais plus vu là-bas, déjà qu'il est déguisé continuellement et dans le genre effrayant il peut bien s'en sortir parfois. Oui ok je l'aime pas, j'en sais rien pourquoi moi ! Je le fixe un moment, je devrais rentrer, j'ai rien à lui dire. Pourquoi t'es là à te cailler dans le froid ? Quoi ? Hein ? Pourquoi j'ai dis ça moi ? D'où je lui demande des choses ? Il est déjà bien assez collant comme voisin sans en plus lui donner des raisons de me parler. Je devrais pas boire quand je le croise lui, après ça me met la tête à l'envers.

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Non sérieusement ce mec je peux pas l'encadrer. Il est toujours à l'ouest, toujours à côté de ses pompes, parfois on dirait qu'il oublie que la douche c'est tous les jours, jamais habillé de manière... regardable, toujours entrain de sourire. Juré la première fois j'ai crus qu'il était malade mental. en fait je crois toujours qu'il l'est un peu, mais c'est pas polie de dire ça de son voisin, alors je dis rien, même si j'ai de gros doutes. Passons. Je le fixe là dans la nuit, seul, dans le froid et habillé comme un gigolo, ce mec n'est pas net sérieusement il doit lui manquer quelques cases. J'en dis rien. Mon genre ? Ah ah, oui c’est vrai, j’aime bien les fêtes. Juste bien aimer ? La plus part du temps je dois me retenir de pas appeler les flics quand il reçoit des potes, et surtout quand je le croise le matin pour aller au boulot alors que lui rentre chez lui en se trainante, limite il serait sur le ventre à ramper, pour rentrer de soirée, mort de fatigue ou défoncé j'en sais trop rien. C'est pas mes affaires après tout... Ouai voila ce sont pas mes affaires. Alors j'ajoute rien, hochant juste la tête. Eh…Ce que je fais là…Je, heu… Je suis entrain de faire la collecte des bonbons ! Pardon ? Je le fixe un moment trop surprit de sa réponse pour répondre. Non mais il est sérieux ? C'est pas l'alcool qui me fait divaguer ?! Génial j'avais réussis à me tenir écarter de toute folies profondes... Je réplique à voix haute me fichant royalement qu'il soit face à moi. En teps normal je garde mes répliques pour moi, ou du moins j'essaye mais là... pas cette fois, et puis quoi c'est vrai, j'avais pas du tout l'envie de me retrouver avec un malade qui est sans doute atteint du syndrome de Peter Pan. Et puis heu, je n’ai pas trop froid. On n’est pas encore en hiver, hein ! Si il le dit... Son reniflement dégueulasse qui suit juste après me tire une grimace et une envie de vomir, ce mec est ignoble. et surtout pas crédible, je soupire, ayant la ferme impression d'être face à un gamin. Enfin pas loin… Tu veux pas me prêter ta cape de Dracula ? Je le fixe en serrant les dents, il me donne mal à la tête c'est simple. Et puis zut pourquoi je me suis arrêté pour lui parler, pourquoi faut-il toujours que je lui accorde du temps ?! Non... Direct, non mais quoi ! T'avais qu'à te couvrir. Qui a dit que j'étais gentil, adorable et protecteur envers autrui ? Bon ok tout le monde, je suis peut-être un peu comme ça, mes avec mes proches, pas avec ce crétin de voisin. Je continue mon chemin. Oh et puis, tu rentres à pied ou tu es garé pas très loin ? Non parce que bon…Ça fait une trotte d’ici jusqu’à chez toi. Et puis on ne sait jamais ! Il y a des fous dans la rue ! Au pire, comme ça j’peux t’accompagner t’sais…J’te défendrai ! Oh mon dieu faites le taire ! Je serre les poings, faisant appelle à toute ma patiente pour ne pas faire un meurtre, je pourrais peut-être le faire passer sous le compte de Dracula, non ? Je déraille. Il faut que je rentre, à pied, dans le noir c'est bon j'suis bien plus costaud que ce.. gringalet ! Mais il va aussi devoir rentrer, et il va sans doute me suivre, me faire chier, et au moins il rentrera pas bourré... Mais qu'est-ce que j'en ai à foutre ? Rien. Je vais donc le laisser crever ici, sans doute se faire tuer par un monstre. L'espoir fait vivre. Je soupire. Tirant sur le nœud de ma cape, je vais me faire damner je le sens. D'accord tiens, et tu peux venir. Pire qu'un gosse, je lui passe la cape sur les épaules sans grande douceur, et sans lui attacher, noin mais quoi j'aurais pu lui foutre dans les mains et basta. Et tu la fermes !

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Il m'agace, à peine lui ais-je parler que ce sentiment était déjà là, alors là cinq minutes et je frôle déjà la crise de nerf, encore heureux que j'ai de l'alcool dans le sens ce qui me permet donc d'être presque adorable, presque je dirais. Mais pas avec lui, faut pas rêver. Il est chiant c'est tout. Non pas que je sois grincheux, je suis jamais grincheux d'habitude c'est vrai, j'suis même du genre... drôle, amusant et super attentionné... Mais pas avec lui, limite avec Charlie je pourrais l'être genre mille fois plus, c'est pour dire. Woah, merci, t’es vachement sympa en fin de compte ! J’peux te faire un bisou pour te remercier, hum, dis ? Je regrette déjà mon acte, non mais sérieusement il s'arrête jamais ?! Je serre les dents, le fusillant du regard, il essaye je le but. Quoi que... NON. C'est bon maintenant l'alcool s'y met, et j'ai même pas eus le temps de bloquer mon esprit que déjà une image que j'aurais jamais voulut imaginer s'impose à mon esprit. Je vais vraiment vomir ma parole. Grimaçant légèrement je la chasse de mon cerveau et heureusement l'alcool me permet de pouvoir me concentrer que sur presque une chose à la fois. Je regrette déjà mon geste... Rêves pas ! On reprend la route, puré faite que le chemin avance vite, que je sois déjà arrivé, près à me dé-peinturer le visage et me foutre dans mon lit, où alors sur le tapis du salon - chercher pas, mon ivre c'est le monde à l'envers dans les préférences. Et mais du coup, ça va aller toi ? T’as pas trop froid ? Non parce que si c’est le cas, j’peux te rendre la cape ! Moi t’façon je suis déjà malade, alors que je crève de froid ou non ça ne changera rien. Je serre les dents. C'est bon j'ai pas froid. Je répond pour lui faire clouer le bec mais rien à faire il repars, je l'écoute à peine, comptant mentalement... mais c'est peine perdu j'ai l'esprit légèrement embrumé. Je le fixe un moment. Se rent-il compte de son côté gamin chieur ? Si t'e smalade comment ça se fait que t'es là à me faire... la conversation sur rien du tout, au lieu d'être chez toi, hein ?! Je soupire sans attendre de réponse, quoi c'est vrai il fait quoi ici malade par une nuit froide ? Il est pas net je le savais bien. Je lui jette un coup d'oeil, ma cape sur les épaules le fait encore plus ressembler à rien. Pitoyable. Mais il est mignon dans son genre. Oh mon dieu, je dois vraiment me coucher, l'alcool me dérègle entièrement c'est horrible, je pensais pas qu'elle pouvait à ce point inverser le monde cette satané bouteille de tequila. Atch ! Attends, deux secondes ! j’ai un fucking cailloux qui me viande le pied. Quoi ?! Il manquait plus que ça, j'ai envie de juré mais au lieu de ça je serre les dents, essayant de tenir immobile et droit, peine perdue faut se l'avouer. Une voiture s'arrête et je pris pour que se soit Mary-Lou qu'ait eut un soupçon de conscience et soit sortit de chez elle pour me chercher. Mais la voix dégueulasse, vieille et masculine me détrompe. Les paroles aussi. Je le fixe sans comprendre, comment ça "deux pour le prix d'un" deux pour le prix d'un quoi, deux pour le prix d'... Oh mon dieu ! Je le fixe carrément à l'ouest. allez vous faire foutre pour que je vous baise vous aurez jamais les moyens. Chuck dans toute sa splendeur, bourré, franc, colérique et surtout grognon. En clair le Chuck vulgaire et direct que j'évite la plus part du temps de montrer mais là... sérieusement. C'est trop.

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Le mec dans la voiture s'énerve, et moi je sens que ça& va mal finir. Non mais oh, qu'on m'aborde, qu'on me fasse chier oui, qu'on me prenne pour une p*te alors là c'est non. Je suis pas un gigolo, on me paye pas pour coucher, encore plus avec un vieux comme ça, alors là c'est juste dans un rêve quoi ! Il s'en prend à Stonem et dans un sens j'ai envie de lui foutre mon poing. Non pas que j'aime bien Daniel bien au contraire, mais traiter les gens de p*te et puis même... vu son comportement. Surtout que l'autre débile à mes côtés ne réagit même pas pour se défendre, à croire qu'il fait vraiment le trottoir ce débile. Hé tu vas te calmer et lui faire des excuses... rapidement conna... Je sens un truc sur mon poignée, et je me sens tirer en arrière, n'ayant que très peu d'équilibre déjà sur mes jambes et par surprise je suis donc amené plus loin, tandis que je coupe ma phrase dans mon élan. Je reconnais là une main qui me tire en arrière tandis qu'on s'enfonce dans des chemins étranges. Sait-il seulement que là on s'éloigne totalement de nos habitations. Hééé Rien d'autre sort de mes lèvres parce qu'il va trop vite et que moi mon cerveau va trop lentement. Je vous jure c'est son jour de chance à l'autre Stonem, j'suis bourré et donc pas en état réel de le jeter et de vivre ma petite vie. On arrive dans des ruelles de plus en plus bizarre et sombres et je me dis qu'il a vraiment aucun sens de l'orientation ce débile. Non mais limite il a fuit comme on fuit devant un fantôme... Il se laisse glisser contre un mur et je le regarde en m'appuyant un moment contre celui-ci, le mur tanguant pourtant dangereusement. Le gars dans la caisse était sacrément bourré dit donc ! Ah ah ! Son rire et bizarre et son sourire mal joué, je fronce les sourcils, ayant la certitude que ça veut dire quelque chose. Sauf que les litres d'alcool n'aidant pas, j'arrive juste à mettre le doigt dessus et juste me dire que c'est pas normal. Bravo Chuck tu fais vraiment fort ! Je le regarde là tout recroquevillé sur lui, avec ma cape trop grande et son air de clochard pourrit. Il est mignon. Hum dis…Tu ne veux pas t’asseoir à côté de moi deux minutes ? J’me sens un peu seul, là. Non rectification il est pas mignon, il est collant, chiant, débile et stupide. Je peux pas l'encadrer. Non je veux rentrer, je veux enlever ce maquillage de débile et être chaud alors vient. Je me penche pour le prendre part les épaules et le relève de force. De toute manière il est pas bien gros, ni bien lourd et c'est assez facile de le porter. Et ça l'aurait été encore plus sobre... je tangue et tombe légèrement en arrière me rattrapant au mur juste derrière lui. Résultat, je ferme les yeux pour retrouver mon équilibre, une demie secondes les réouvrant je vois qu'il est beaucoup trop près ce morveux, de moi et qu'il est entre le mur... et moi...

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Le sol tremble lourdement et le mur n'est pas plus stable mais heureusement qu'il était là sinon je serais tombé. Par terre. Et j'aurais eus mal. Bravo Chuck parfois tu peux avoir des pensées vachement cohérentes ma parole ! Sauf que si le mur n'est pas stable, les yeux que j'ai face à moi quand je réouvre les paupières le font se rendre encore moins stable. Mince. Hé qu'est-ce qu'il fait là ? Il est trop près pour être... souvenir que c'est moi qui l'est forcé à se remonter pour qu'on se casse. Ouai c'est vrai je veux me démaquillé et dormir. C'est vrai. Et son regard m'énerve vraiment, et son visage me complique légèrement la vie pour que je me remette à penser normalement. Mais sérieusement, pourquoi il est là ? Non je veux dire pourquoi je suis encore là ? A le fixer de cette manière ? Enfin c'est pas vraiment lui que je regarde mais plus... Non mais faut que je me reprenne. Chuck arrière ! Sauf que mon ami le rhum, la vodka et la tequila ne m'aident guère beaucoup, sympa l'amitié, ils me soulent et puis voila. Haha. C'est bon je déraille pour de vrai ma parole. Et Daniel qui bouges pas, où qui semble... Sauf qu'en fait si il a bougé, et avant que je me rende compte de ce qu'il fait... Mon cerveau bug royalement que ses lèvres terminent sur les miennes. Oui les lèvres de Daniel finissent sur les miennes, à moi. Merde qu'est-ce qu'il fait l'autre débile ? Non enfin qu'est-ce que je fais ? Parce qu'il y a pas que lui la qui fait que.... Humf, désolé ! Et moi je reprend ma respiration, de l'air pur, pou irriguer mes neurones gravement touchés... par l'alcool évidement. J’ai, hum, trébuché sur tes lèvres. Ouai voila, c'était pas voulut et moi je les laissé faire parce que... parce que je suis ivre c'est tout et parce qu'il a trébucher alors il faut toujours du temps pour réagir. ouai... voila. Pathétique maintenant j'accepte ses théories totalement débiles. Je le fixe et comprend facilement que c'est pas mes yeux qu'il regarde et que finalement je descend mon regard dangereusement vers la partie que lui regarde sur mon visage, sauf que moi c'est le sien. P*tain je m'embrouille. Haaaannn mais pourquoi tu t’approches autant de moi aussi ! J’peux pas résister bordel de merde ! Tu le cherches hein ! C’est de ta faute tout ça ! Je relève le regard surprit de son ton, hein il peut pas résister à quoi ? Je fais pas exprès... c'est lui en plus qui me tente... Non mais quoi ?! Hein ? Quoi.... c'est... la tequila. Mais oui c'est ça, c'est pas ma faute, c'est la tequila qui fait ça. Je suis pas moi même c'est ça. Je me rassure... Enfin je crois. Enfin je sais plus. Par contre je sens très bien que là je repars en avant, et que son visage se rapproche trop du mien, ou vise versa. Qu'importe, non ? Si! Non... je sais pas moi. Par contre je rencontre de nouveau les lèvres de l'autre abrutis qui me serre de voisin, oui parce que c'est ça c'est mon voisin, juste mon voisin hein ?!

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Daniel me demande ce que je viens de dire, peu importe. J'ai même pas la présence d'esprit de reprendre ma phrase, de toute manière hormis tequila je sais plus trop ce que je viens de dire. Et puis une image bien plus tentante me fait peu à peu perdre le fil de mes pensées. Envie que je met guère plus de deux secondes à réaliser, l'alcool désinhibe on vous l'a jamais dit ? Non pas que j'ai besoin d'alcool pour embrasser quelqu'un, loin de là mais pour l'embrasser lui ?! Alors là je n'aurais jamais imaginer que l'alcool pourrait à ce point me faire divaguer. Pourtant là à l'instant précis, la seule chose dont j'ai envie ce sont ses lèvres et alcool ou pas alcool j'en ai rien à faire, rien à cirer. Je réfléchis même pas. Je recommence, et peu après je sens sa main sur ma joue, et ba il en faut peu pour le motiver. Peu ? Ouai bon ok j'exagère légèrement... C'est en plus sa langue qui vient directement jouer avec la mienne, en temps normal j'aurais trouver ça légèrement bizarre que ce soit un autre que moi qui soit si entreprenant mais là.... le moment où je pense à vouloir faire quelque chose et le moment où je le fais... il y a un temps considérable et c'est Daniel qui le gère à ma place. Sympa. Je le déteste encore plus. Enfin je le détesterais encore plus si j'étais sobre. Il se rapproche de moi et je manque de perdre le si peu d'équilibre que j'ai avec ma main contre le mur, non mais quand je vous dis que le sol n'est pas très stable je dis vrai. [...] Non mais qu'est-ce qu'on est entrain de foutre ? Dehors par un temps aussi froid en plus. Non ça on s'en fout, c'est qu'est-ce que je suis entrain de faire avec lui quoi !!! Sa main quitte ma nuque et quand je sens la froideur de ses doigts sous mon tee-shirt mes abdos se contractent dans un frisson. Froid ? Ouai tellement. Mais pas que ça. C'est flippant je devrais arrêter de boire. Où peut-être continuer plus. Chuck wake up reprends tes esprits. Que dalle ouai... Il s'arrête et mes neurones comprennent pas trop. Trop de changement là ça va pas ! Il se laisse tomber contre le mur et je suis le mouvement en manque d'équilibre, ce que je vois moi c'est qu'il m'embrasse pu. Et que c'est chiant. Hein ? Pourquoi c'est chiant ? Non c'est très bien! Je dois être ravis ! Ses lèvres à quelques millimètres des miennes ne m'aident pas à choisir la bonne réaction. Sa main sur ma peau non plus. Et je crois que la tequila aussi.[...] Peu importe. Je regarde dangereusement vers ses lèvres, avant de supprimer encore cet écart entre nos deux lèvres, ma main qui ne me tient pas contre le mur venant dans sa nuque. Putain il est froid ce mec, il est pas normal quoi. M'en fou. Ou pas. Peu importe, ma langue glisse sur ses lèvres. J'sais pas ce que je fais. Tant pis, non ?!

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Mes lèvres glissent sur les siennes mais voila qu'il s'éloigne et y met fin. Pourquoi ? A-Attends... On devrait rentrer là, il commence vraiment à être tard. Et j’pense qu’il vaut mieux qu’on arrête là. T’es pas dans ton état normal. Sérieusement ? Il me dévisage depuis tout à l'heure à limite me supplier de l'embrasser, ouai ok la tequila me fait peut-être avec des idées, mais quand même. Il m'a embrassé... Il y a à peine cinq minutes c'était lui qui se collait à moi, et là il me joue le coup du " je fuis", allez hop on rentre à la maison t'es pas dans ton état normal. Mince c'est pas comme si il allait me drogué, j'suis consentant la preuve. Alors si je suis consentant, si il est consentant, pourquoi il a mit fin à ce stupide baiser. C'était qu'un baiser en plus. Rien de grave. Mais non monsieur s'éloigne et me conseil de rentrer. Le monde à l'envers. Néanmoins je rétorque rien, j'vais pas le violer quand même. Allez, Let’s go ! Il sourit et moi je dis rien d'autre, parce que bon y'a plus rien à dire. On vient de revenir au point de départ, on veut rentre dans nos maisons respectives, je veux rentrer et j'aime toujours pas ce mec. Même si il embrasse bien. Même si il a des yeux de dingue. Mais si il est très attirant. Mais si... P*tain mais non j'aime pas ce mec un point c'est tout. Il m'insupporte. Je sens sa main dans mon dos, et je fronce les sourcils me redressant pour revenir en position quasiment droit et pouvoir avancer. Doucement. Très doucement je dois dire. Non parce que la l'alcool que j'ai prit en dernier à la soirée, remonte encore à ma tête, et je me dis qu'il est grand temps que j'arrive dans un endroit où je pourrais être en mode allongé. On avance retrouvant la rue adjacente à la nôtre, heureusement pour nous c'est pas super loin. Enfin heureusement pour moi, lui j'en sais rien. On est quasiment arrivé, cinq cent mètres, et on est bon ! Il me prend pour un gosse ou quoi ?! J'avance quand même. Merci Daniel je sais où on est ! Je réplique en marmonnant, passant une main sur mon visage, des traces blanches sur mes doigts m'annonce que je viens d'enlever un peu beaucoup de blanc sur ma joue droite, peu importe. Dans peu de temps j'en aurais finit avec ce massacre. D'un coup Stonem s'écrit sur le fait qu'il voit le toit de sa main et je maudis mon voisin encore plus. Cherchez pas c'est physique. On avance et sans que j'ai eus le droit d'aller vers ma maison je me retrouve dans son jardin, à avancer avec lui. Sérieusement je devrais pas boire quand j'ai toutes les chances - enfin les mal chances - de le croiser sur mon chemin après. Il entre dans son jardin et appelle Sergi. C'est qui ça ? J'suis sur que c'est son lourdaud de chat. Non mais sérieusement son chat je l'aime pas non plus, je crois que c'est pire que Daniel même. L'autre jour il était carrément dans ma maison, je sais pas comment il est rentré mais il était dedans. Passons, je le regarde de dos un moment, les images de tout à l'heure revenant légèrement. je passe une main dans ma poche. Hein ? Chuck, ça va comme tu veux ? Quoi ? Je relève les yeux un moment, carrément à l'ouest. Je met je crois quelques secondes à comprendre sa question même. J'sais pas où sont mes clefs. Pathétique.

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Il me demande si tout va bien et je dois bien finir par avouer que je sais pas où sont mes clefs, ni même si je les ai prise, si je les ai caché quelques part près de ma porte, où si elles sont chez Mary-Lou, où encore je ne sais où. C'est simple j'arrive pas à savoir quoi faire, j'sais juste que je trouve pas mes clefs. Et l'autre imbécile me demande si j'ai bien regardé partout. connard. J'ai bien envie de lui dire quand non j'ai pas regardé dans mon c*l, mais j'ai un sursaut de bonne idée qui sort de la brume que forme l'alcool et qui m'empêche de répondre ça. Au lieu de ça j’émets un grognement peu compréhensible comme réponse. Je m'en fiche totalement, je veux juste... en fait je sais pas ce que je veux, pauvre type que je suis. Non mais d'habitude je tiens bien à l'alcool, d'habitude je suis pas autant à l'ouest, mais y'avait pas Keenan et donc j'ai bu pour deux. Pitoyable je sais bien. Au pire, t’as qu’à rester dormir à la maison ! Mon lit est assez grand pour deux. hein ?! Quoi ? Il parle à son chat n'est-ce pas ? Non parce que moi j'dors pas avec lui. J'vous signale que je le déteste, j'peux pas le supporter ce mec. Il est trop... trop lui. C'est physique. je ne dormirais pas avec lui, c'est non. Sauf que le temps que toute cette réflexion monte au cerveau il semblerait que ça face un moment car je le vois tourner les talons. Hé non j'ai pas dis oui, j'veux pas dormir ici. J'croyais que tu savais que je pouvais pas te blairer, ou presque. Hum, si tu veux te débarbouiller, la salle de bain et juste à côté. Je fixe son dos qui monte les escaliers, merde. Mes yeux s'attardant sur ses fesses avant que je me remettent les idées en place - ou plutôt que j'essaye. Soupirant, je finis par me diriger vers l'endroit qu'il m'a montré, mon doigts rencontre l’interrupteur et mon regard le miroir. Oh mon dieu. Entièrement blanc par le maquillage, il semblerait que des traces sur ma joue et autour de mes lèvres soient passé par la pour tout barbouiller. Les images de la ruelle me reviennent en tête et j'allume le robinet d'eau. M’aspergeant le visage d'eau, j'ai l'impression que mes neurones perdent enfin cette température surchauffée. Enfin. Je passe mes doigts dans mes cheveux , l'impression d'eau froide se répandant avec aisance. Je frotte mon visage. Toujours aucune trace des clés ? Je relève la tête à l'entente de sa voix. Je serais pas ici si je les avais trouvé. Bon dans le genre gentil polie et doux on fait mieux, j'y peux rien en plus l'alcool me rend lunatique. Et puis j'aime pas cette soiré,e j'aime pas être bourré et avec lui, j'aime pas... sa tenue qui le rend diablement attirant et que le miroir me renvoie. Damn il joue à quoi ?! Je passe une main sur mon visage pour essayer d'enlever au mieux le maquillage. Le regardant du coin de l'oeil je le voix ôter les trace que j'ai du lui mettre. T'en as là aussi ! Je lui montre le dessous de son menton, me demandant comment il a pu s'en foutre là, mais je crains que ce soit moi avec ma main qui lui en ai foutu ici. Encore un fois les images reviennent se mettre sur ma rétine, et je le fixe avec une envie irrémédiable de recommencer. Je sais que je dois pas. Et puis en temps normal j'en ai pas envie alors j'ai pas à céder à ces envies bizarre sorties de nul part ... Sauf qu'en même temps que je pense ça, je me suis rapprocher encore plus de Stonem et c'est avec une main dans sa nuque que je le fais se rapprocher pour reprendre ses lèvres. Prix de la retenue dédié à Chuck Onekung !

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Je sais pas ce qui me prend, généralement j'arrive un tant soit peu à me contrôler même ivre mort, enfin même ivre. Non parce que ivre mort je peux même pas remuer une main. Passons. Mais là c'est différent, je sais pas la tequila est mal passée et puis... j'en sais rien s'est peut-être aussi la tenue un peu trop indécente de Daniel envers son voisin. J'en sais rien, j'arrive pas à trouver l'origine du "problème". Mais en tout cas c'est moi qui retourne chercher ses lèvres pour la... troisième fois de la soirée qu'on s'embrasse. Ma main dans sa nuque, je le sens malgré tout un moment hésiter, cependant ses lèvres finissent par s’accrocher aux miennes et je me sens presque rassuré. Il s'arrête, quoi il a quelque chose à dire ? Mais les lèvres de nouveau contre moi, je sens surtout ses doigts s'accrocher à ma chemise de manière assez significative. Non parce qu'un mec qu'en a pas envie, il s'agrippe pas de cette manière, ouai même ivre je sais le reconnaitre. À quoi tu joues ? Hein ?! Je bug un instant mais déjà que nos lèvres se retrouvent et nos langues aussi, ça demandait une réponse ou pas ? Il me semble que oui, sauf que le temps que mes neurones la comprennent,puis qu'ils concoctent une réponse ça devient long. On dérive du lavabo jusqu'à la porte et je sens mon dos la rencontrer avec une légère violence. Hého attendez, j'suis peut-être ivre mais je vais peut-être pas non plus le laisser prendre tout les devants. Non pas que ça me plaise pas, mais y'a un p'tit détail légèrement important, qui fait que si je le laisse continuer ainsi il va finir par croire qu'il peut aller plus loin. Et je tiens à préciser que mon arrière train reste vierge de tout passage. ok je me la ferme ! Je sens ses doigts sur mon ventre et un léger frisson recommence. Tandis que mes doigts s'accrochent à sa nuque. Ah oui la réponse, il voulait une réponse. Je me détache de ses lèvres, la lumière me brûlant vachement les rétines ma parole ! Parce que je dois le préciser ? ... Je demande avec un léger sourire, tandis que mes mains descendent le long de son corps, venant agripper légèrement ses cuisses plus bas. Ça s’appelle le sexe... tu veux que... je t'explique les règles ? Je reprend avec un sourire amusé et provocateur, tandis que ma main glisse sous son débardeur bien trop grand. Ivre certes mais le sexe c'est mécanique, y'a pas besoin de beaucoup de neurones, pour savoir comment pratiquer, il faut se laisser guider par son instinct. Et là sérieusement vu l'envie que j'ai pour Daniel c'est pas très difficile. Je replaque mes lèvres les siennes, tandis que je nous fais tourner pour prendre sa place, lui contre la porte, avec un sourire revanchard. Qu'il soit heureux putain je sourie.

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This is Halloween !

Je sais pas ce qui me prend en fait, répondre encore une fois à ses lèvres, alors que d'habitude même ivre je couche pas avec mes proches, pas avec les gens avec qui plus tard je pourrais le regretter. Pas avec lui quoi. Pourtant là je sais pas c'est vraiment différent, je continue sans me mettre de barrière. Peu importe. Et quand je lui demande si il veut que je lui explique les règles de ce jeu appelé communément "sexe" il ne répond rien se contentant de reprendre mes lèvres d'assaut, à moins que ce soit moi. Peu importe. Il rétorque rien au fait que je reprenne les commandes, fort bien, sinon il y aurait eu un vague problème entre nous.
D'un seul coup je le sens se dérober en arrière par la porte et emporté par son élan je le suis me rétablissant sur mes jambes tant bien que mal. Hého faudrait pas qu'il oublie que dans ma tête le sol ce soir est pas mon meilleur ami. Alors pas trop vite. Il arrive devant l'escalier et grimpé sur une marche il m'arrive presque à la même taille. Non j'ai pas dis qu'il était petit, seulement... non en fait monté sur une marche il me dépasse légèrement. Je le regarde avec ce regard étrangement tentant, provoquant. Je me mors la lèvre me rendant compte à quel point ce type que je déteste en temps normal est devenu vraiment vraiment attractif en une soirée. Il grimpe à reculons les marches toujours à me fixer, tandis que je monte derrière lui de manière deux fois moins rapide par précaution, parce que les escaliers non plus là ils sont pas potes avec moi. On débouche sur une chambre, rapide coup d’œil circulaire, je retiens même pas les informations que je viens d'entre apercevoir dans cette pièce, hormis que c'est une chambre, parce qu'il y a un lit. En fait ce sont ses mouvements à lui qui me font arrêter de regarder la pièce, je le regarde enlever son débardeur - trois fois trop grand - et rester en caleçon bizarre et torse nu. De manière encore une fois qui donne trop envie. Je le fixe, remarquant qu'il me regarde l'air d'attendre. Attendre quoi ? Peu importe. Je le rejoins en deux enjambés, mes doigts déboutonnant à peine ma chemise et au lieu de la défaire entièrement je l'a fais passer par dessus ma tête. Bout de tissu au sol, mes mains se glissent sur sa peau, mes lèvres revenant sur les siennes, je le fais reculer. Mes doigts découvrant centimètre par centimètres sa peau tellement blanche comparé à la mienne. On atteint le lit de manière rapide et d'ailleurs plus vite que je ne l'aurais pensé. Sacré tequila qui floute mes repères, je le "pousse" sans violence sur le lit, ne séparant ni nos lèvres ni mes mains dans son dos et sur sa peau.

DANNY W. STONEM & CHUCK B. ONEKUNG

This is Halloween !

Je sens ses doigts sur ma peau, tandis que je quitte pas ses lèvres, mes mains découvrant que sa peau est pire qu'un glaçon. L'alcool m'embrumant énormément le cerveau, j'ai vraiment l'impression de pas contrôler ce que je fais, comme si mon corps agissait sans que je le demande. Habitué ? Quelque peu faut dire mais quand même, là c'est mon voisin. Celui sur qui je ne me gêne pas de criser, celui que je déteste. Non à ça j'y suis pas habitué, et j'aurais dans un sens bien voulut que mon cerveau fonctionne. Dans un sens seulement je crois, parce que sinon je suis juste entièrement d'accord avec le "jeu" qu'on vient de commencer. Ses doigts s'arrête dans le bas de mon dos et j'étouffe un rire contre ses lèvres. Pas moqueur, loin de là, je ne suis pas du genre à me moquer des autres, non ce sont seulement ses "pulsions" qui le porte à aller plus loin et qui semble un moment le stopper. Ça me fait rire.
Ses baisers dévient de mes lèvres à l'arrête de ma mâchoire, et je sens ses doigts descendre sur mon torse de manière qui me redonne un frisson. Mon esprit embrouiller à du mal à tout capter la moindre seconde pourtant mon corps en éveil par ce genre d'excitation lui reçoit chaque caresses. Je le sens descendre vers mon pantalon, le laissant le défaire tandis que je retrouve ses lèvres pour un autre baiser endiablé. Encore une fois on y met fin, lui ou moi peu importe, et je descend mes baisers dans son cou, continuant de descendre lentement sur son corps, passant sur son torse, tandis que mes mains frôlent sa peau. Je continue de descendre mes baisers, mes doigts accrochant légèrement le haut de son caleçon, un regard lancé vers Daniel sentant sa jambe se relever, je me mors la lèvre. Soir l'alcool m'amène un effet monstre, soit c'est ce mec, je préfère me dire que c'est l'alcool... Mes mains caressant sa taille, je glisse mes mains dans son dos quand il se cambre de manière beaucoup beaucoup trop tentante je dois avouer. Dans de la pure provocation je ralentis le rythme, descendant encore plus lentement les lèvres, , m'arrêtant à l'élastique de son sous-vêtement déjà bien descendu, je remonte plus rapidement vers son cou, tandis que ma main passe l'élastique du seul vêtement qui lui reste. Si cette proximité et cette excitation fait accélérer depuis tout à l'heure mon rythme cardiaque, je me doute bien que ce n'est que le début. Ma main caresser son bas-ventre, par frôlement seulement jouant avec la sensibilité de Stonem.

DANNY W. STONEM & CHUCK B. ONEKUNG

This is Halloween !

Ses soupires commencent à troubler le silence de sa chambre, chambre plongée dans une quasi obscurité, qui me permet de ne voir que très peu de chose hormis lui. Ce qui est pour le moment amplement suffisant à mon goût. Je sourie légèrement au fait qu'il me tende son cou avec tant de gentillesse... ok je m'égare je sais. Mes doigts continuant de frôler sa virilité, j'ai beau avoir les idées embrouillées , je sens néanmoins à quel point notre nouveau jeu de voisin l'excite au plus au point. Je retourne à ses lèvres quand au bout d'un moment je me sens pousser sur le côté, et sans véritable équilibre je n'ai même pas la présence d'esprit d'essayer de me stabiliser. Pire je laisse Daniel rouler au dessus de moi, car évidement c'est lui l'investisseur de mon déséquilibre. Prenant la place que j'occupais tout à l'heure, je crois discerner un sourire triomphant sur son vissage. Connard. Pourtant je le pense pas assez fort pour que ça passe la brume qu'officie l'alcool sur mon cerveau. Je domine ce soir, chaton ? Hein ? Heu... ça dépend jusqu'à où tu veux dominer "chaton" parce que rendu à un moment si tu veux encore dominer je crois bel et bien qu'on va avoir un soucis de conciliation tout les deux. Son rire et ses baisers qui descendent m'empêche de trouver les neurones suffisant pour répondre une phrase compréhensive. Je me mors la lèvre réprimant un frisson. P*tain ce gosse de voisin est entrain de faire ? Au juste je sais pas ce qu'il entend par dominer, si c'est juste les actions, pourquoi pas j’admets ne pas être un total état. Mais si il parle de tout dominer... les restes de mes pensées commencent à voir troubler. Je le sens baisser mon pantalon tandis que je "l'aide" à le faire passer plus vite pour descendre le long de mes jambes. Baisers dans le cou qui d'un coup deviennent presque "superficiels" comparé à sa main glissée dans mon caleçon, je me mors la langue réprimant un soupire, réussissant pour le moment à contrôler cela. mes mains glisser dans son dos descendent jusqu'à ses fesses, tandis qu'il faut l'avouer je me laisse entièrement faire. Qu'il profite, moi ivre dans cette position avec lui ça se refera pas. Parole de Chuck - Chuck ivre mais passons.
Ses baisers descendant le long de mon corps quand je comprend la destination qu'il empreinte je le regarde faire virer le dernier morceau de tissu nous séparant, et ici le séparant lui de l'objet de ses "désirs". Mes yeux accrochent un moment son regard, et je me dis à ce moment là je dois vraiment être ivre, pour trouver à se point son regard envoutant. Chuck tombe pas dans la philosophie de sentiment pitié. Heureusement Dan' me remet bien les idées dans le présent tandis qu'un soupire m'échappe alors que sa langue vient contre mon membre. Je perds le fil de mes pensées, mes doigts se contractant légèrement par l'effet que me font sa main et ses lèvres en action. Mes soupires se multiplient au fil des secondes. Quand je le sens revenir à ma hauteur et que ses lèvres rencontre ma peau, mes mains glissent le longs de son dos avant de le laisser s'étirer vers sa table de chevet. Sachant pertinemment se qu'il va en sortir. J’te laisse faire ? Dire que je suis soulagé et presque un euphémisme, je sourie et comme seule réponse un rire amusé et séducteur franchit mes lèvres. Je le regarde se tourner et se laisser tomber sur le lit, tandis que j'ouvre le papier saisissant cet auquel on apporte si peu d'attention et qui pourtant doit être l'une des parties les plus intégrante de ma vie... et aussi du corps des hommes avec qui je suis héhé. [...]Une fois celui-ci glissé et mis en place , je reviens sur Daniel , lui "volant" un baiser enflammé ma main glissé dans sa nuque, qui commence sensuellement à descendre le long de son ventre, avant de se glisser dans son dos entre le lit et sa peau, mes mains caressant son postérieur, tandis que bassins coller l'un contre l'autre je simule un mouvement de hanche. C'est pas sa première fois ça c'est vu ses gestes et son assurances j'ai au moins pas cette question. Mes lèvres quittant les siennes, je me serre de l'appuie de mes jambes pour le tirer légèrement vers moi, mes doigts descendant le long de ses fesses mon indexe empruntant le chemin qui dans peu de temps sera surtout destiné à mon entre-jambe. Mais passons, j'suis pas bestial non plus, malgré les apparences - parait-il que plus t'es baraque, plus tu passes pour le mec sans délicatesse - non j'y vais doucement. Mon autre main de libre perdu dans les cheveux en plus que désordre de Stonem. Imitant quelques va et vient avec mon poignet, je le soulève quelques peu pour pouvoir pouvoir pénétrer mon membre en lui ne m'attardant pas plus avec ma main. Tandis que je me penche sur lui pour attraper sa lèvre entre les miennes, je le lâche pour soulever ses cuisses, commençant de "lents" va et vient en lui.