Vendredi soir bondé dans les transports qu’emprunter Nalàh alors qu’elle sortait du travail. Il était 20 heures passés et la belle n’avait pas pu quitter les studios de tournage plutôt. Elle avait en effet réalisé une interview de dernière minute et le journaliste sentant la jeune femme pressée de finir sa journée, prenait un malin plaisir à la faire lambiner et s’arranger pour que les plans soient tournés plusieurs fois. Heureusement la belle blonde avait appris à se maîtriser avec le temps et avait su garder son sourire alors qu’intérieurement elle bouillait de sauter sur le malappris et l’insulter de tous les noms. Et bien sûr en ce début de week end la station était pleine à craquer, et Nalàh se trouva prise en sandwich entre deux personnes à l’odeur plus que douteuse. Mais pas le choix, elle s’y était prise trop tard pour avoir un taxi. La jeune femme vit arriver avec soulagement le moment de descendre à sa station. Elle prit enfin le temps d’attraper son téléphone auquel elle n’avait pas eu le temps de jeter un coup d’œil, et bien sûr comme à chaque fois dans ces moments-là plusieurs messages l’attendaient. Elle en fit rapidement le tri, s’empressant de répondre à ceux de sa mère, sachant les problèmes de cette dernière, elle devait en permanence la rassurer. Enfin elle prit le temps de lire le message d'un(e) ami(e). Celle-ci avait prévu un sachet de pop-corn et proposer à son amie de passer au vidéo club prendre un film d’horreur. En jetant un coup d’œil à sa montre, la belle tira une grimace, au vu de l’heure la boutique allait fermer, et elle s’y pressa d’un pas ferme, distribuant son plus beau sourire au vendeur pour l’amadouer. Heureusement pour elle cela semblât fonctionner et elle se pressa de trouver son bonheur. L’enjôleur tentât bien de lui soutirer son numéro de téléphone mais en vain. Quand elle arriva son ami(e) n’était pas encore là et son chat l'attendait impatiemment manifestant son impatience à coup de forts miaulements. Nalàh finissait de le nourrir quand son invité arriva enfin rentrant aussi du boulot. Les ami(e)s échangèrent les ragots de la journée avant de se poser dans le canapé, le saladier de popcorn a la main. Quelques instants plus tard, alors que les deux jeunes genss étaient plongées dans le film, Nalàh entendit quelqu’un essayer de crocheter la serrure et eut pour réflexe de lâcher le saladier renversant les popcorns en partie sur son ami(e)et le sol. Celle-ci jeta un œil noir à son amie « Désolé j’ai eu peur je nettoierais plus tard » lança Nalàh avec une petite moue qui ne convainquit pas son invité(e), se doutant qu’au final cette tache lui incomberait comme souvent. Pendant ce temps Nalàh alla voir qui leur avait causé une telle frayeur. Elle tourna la clef dans la serrure pendant que son ami(e) ramassait la nourriture qui jonchait le sol. La jeune femme se retrouva alors face à face avec son voisin Danny, celui-ci tenant ses clef à la main. En effet Danny étant un bon ami il avait les clefs de Nalàh et inversement, mais pour le coup la blondinette ne le reçut pas avec autant d’entrain que d’habitude, mais plutôt par une ferme bourrasque a l’épaule. « Bon sang Dan’ on t’as pas appris à frapper aux portes, tu m’as fichu la frousse ! » Les sourcils du jeune homme se froncèrent et il haussa les épaules « Désolé je pensais que vous étiez absentes. J’aurais besoin de sel … une urgence ! » Dans un grognement Nalàh continua de pester sur son ami « la prochaine fois toque tu seras fixé. Et du sel à cette heure-ci tu te fiches de moi ? » Elle le savait le jeune homme était ce qu’elle appelait un conquérant ou si vous préférez un homme a femme, et sa spécialité étant de leur concocter des petits plats après avoir passé la nuit avec. Il lui fit une grimace moqueuse s’engouffrant dans l’appartement allant saluer son invité(e) et se servir lui-même dans la cuisine. « Quel hôte je ferais si je laissais ma charmante compagne mourir de faim. » Son ami(e) eut un ricanement qui résumait parfaitement ce que pensait Nalàh. « Si elle savait que tu faisais le coup a toutes les filles que tu ramènes, je pense qu’elle n’en ferait pas une affaire d’état. » Elle poussa un peu le jeune homme vers la sortie. « Allez file ou elle va se demander ce que tu fais, et tu nous rapporteras ça demain assez de frayeur pour ce soir. » Il saluat Nalàh et celle ci referma la porte derrière lui regagnant la confortable couverture posé sur le canapé. Elle se sera contre s son ami(e)qui remit le film en marche. Une demi-heure plus tard, elle entendit la poignée de la porte se tourné, elle regardât vers son invité(e) et remarqua que celle-ci avait entendu aussi. Elle se leva agacé et ouvrit la porte d’un coup sec. « Je t’ai dit que ça pouvait attendre de… » Mais elle se figea en ne voyant personne sur le palier. Elle rejoignit son ami(e) dans le salon. « Ce film, nous rends parano… Personne. » Mais quelques minutes plus tard les deux jeunes gens ré entendirent le bruit à nouveau, et en se précipitant virent nettement quelqu’un essayer d’entrer. Se saisissant de la bâte de base ball, que par chance un ami avait oublié a l’appart elle fit signe silencieusement a son ami(e) d’ouvrir la porte à son signal. Puis faisant un mouvement en sa direction, on ami(e) ouvrit en grand la porte tandis que Nalàh haussât sa batte au-dessus d’elle en hurlant « Banzaaaiiii » mais prise dans son élan elle atterrit les quatre fers en l’air dans le couloir, qu’elle découvrit étrangement vide…