« Le sexe avait toujours fais partie intégrante de ma vie. Je dois dire que je n'y suis pas pour grand chose, et que quelque part, j'étais programmé pour finir ainsi. La génétique, mes chers amis, cette précieuse génétique destinée à tracer le destin d'un homme avant même sa naissance, avant qu'il ne prenne sa première bouffée d'air, avant qu'il ne montre le bout de son nez dans ce monde. Enfin, n'allez pas croire que je me déculpabilise »

☇ chapter one - me résoudre au bonheur fade de ma naissance.

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]La jeune femme avait hurlé, avait crié, avait tapé du poing. Rien n'avait su apaiser la colère et le désir qu'elle pouvait lire dans le regard de son agresseur. Il l'avait attrapée, l'avait violemment plaquée contre le mur, avant d'arracher sa courte robe et de s'emparer de sa culotte. Elle s'était trouvée nue, lamentable, avait hurlé à en perdre la voix, à en perdre la tête, s'était faite frappée, et de multiples echymoses parsemaient son corps telle une étoile élégante. Il eut tôt fait de clore cette courte affaire, de la menacer une ultime fois du couteau aguisé qu'il pressait contre sa gorge, et de s'enfuir, la laissant seule, perdue, effrayée, en pleurs. Les larmes se pressaient contre ses yeux, torturaient ses joues en y traçant de courts chemins salés, et elle se retrouva accroupie contre le mur où elle avait été violée, conscient que jamais, oh grand jamais, elle ne saurait oublier cet instant. Si elle savait à quel point.. De cette union meurtrière d'un soir était né un petit garçon, un mignon Nolan. La jeune femme n'avait pas eu le courage d'avorter, et elle avait tenu à mener à terme sa grossesse pour voir le petit bout d'chou qui aurait pu, dans une autre vie, être l'enfant qu'elle aurait tant voulu chérir. Elle ne le pourrait pas, elle ne le pourrait jamais, elle en avait conscience avant même qu'il ne pointe le bout de son nez dans ce monde. Déjà, elle avait trouvé une riche famille de la ville pour s'occuper de ce gamin indésiré, une famille certes noble, mais incapable de procréer. Elle avait sauté sur cette occasion en or de renflouer ses poches odieusement vides en abandonnant une partie d'elle, cette si précieuse partie aux yeux sombres et au minois adorable. Pourtant, même si un petit pincement s'était emparé de son coeur lorsqu'elle avait donné le petit à sa future mère adoptive, il fut vite remplacé par des étoiles dans les yeux à la vue de la montagne d'argent qui l'attendait. Finalement, Nolan avait hérité d'une famille sinon plus naturelle, au moins plus aimante, et il s'en sortirait nettement mieux. Ce lourd secret ne s'était jamais ébruité. La famille de Nolan, les Chaplins, avait préféré taire leur incapacité à procréer, et le gamin était devenu aux yeux de tous celui de Grace et Alan Chaplin. Même ceux qui se doutaient bien d'une curieuse mascarade n'avaient pas osé lever le voile sur ce mystère au grand jour, et tous avaient veillé silencieusement à ce que ce secret reste dans sa tombe.

☇ chapter two - j’avais cru que se serait un souvenir d’adolescence auquel je repenserai.

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]L'adolescence de Nolan s'était déroulée sans événement majeur. Il avait ouvert les yeux sur la beauté du monde, de cette Terre qu'il foulait de ses pieds arrogants avec avidité. C'était un homme plein de bon sens et de volonté, désireux d'accumuler toujours plus de connaissances, toujours plus de savoir, d'être fier de ce qu'il faisait, de lire la satisfaction dans le regard de son père. Tout ce qu'il faisait ou disait ne pouvait avoir qu'un seul but, et c'était celui-là. Son paternel avait influencé sa vie plus que quiconque, et il lui apportait une confiance aveugle, hurlant un 'amen' glorieux à la moindre de ses paroles, même inutile ou fausse. Nolan l'adorait, l'admirait. Lui aussi aurait voulu être si intelligent. Son père venait de loin, et alors qu'enfant il avait côtoyé la misère, il était devenu un homme de la Haute par son seul savoir, sa seule intelligente parfois machiavélique. Sa célébrité lui était entièrement incombé, il ne devait rien à personne. C'est cette réussite sociale qui permit à Nolan de fréquenter les meilleures écoles, de se lier d'amitié avec les nobles les plus prétentieux mais parfois les plus adorables des environs, de voir Montsympa sous un jour lumineux. Grâce à son père, ce gamin avait tout, était promis aux avenirs les plus radieux. Sa vie entière était placée sous le signe d'un soleil permanent, d'une étoile sympathique, d'une bonne fée toujours là à veiller à son bien être. Nolan n'aurait pu naître dans de meilleures conditions, dans une famille si heureuse.. selon lui. Car alors que le secret de sa naissance reposait allégrement dans sa tombe, lui même n'était en rien au courant de sa véritable venue au monde. Il pensait, comme tout un chacun, qu'il avait hérité des gènes de la réussite de ses parents. Et en effet, il se découvrit très tôt une adoration pour le tennis, un don pour ce sport, une vision de sa future réussite qu'il ne devrait qu'à lui.. Petit à petit, le jeune homme se rapprochait de son paternel et marchait dans ses traces. Rien n'aurait pu lui faire plus plaisir. Jeune talent, il profita de la renommée de son nom pour se faire une place, usant de son don pour fréquenter les plus haut classés, rejoignant très vite leur rang. Il n'avait que quatorze ans lorsqu'il remporta son premier trophée, le point de départ d'un avenir qui s'avérerait florissant, d'une gloire qu'il ne laisserait pas s'échapper. Jamais.

☇ chapter three - et je dis merde à l’amour...

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]« Dégage avec tes poupées Barbie ! J'ai dis qu'aujourd'hui, on jouait avec mon Batman ! » Parce que célébrité et renommée pouvait aussi rimer avec enfance normale. Malgré les paparazzis qui, dès sa plus tendre jeunesse, n'avaient cessé de le mitrailler pour montrer à la face du monde la jolie progéniture des Chaplins, Nolan avait eu une enfance et une adolescence assez basiques. Elle n'avait été resplendissante que grâce à la présence de cette chère Deva, petite de la famille des Cortès, grande et puissante alliée (ou amie, voir les deux) des Chaplins. Deux familles de si hautes importances ne pouvaient que s'entendre, et les dîners chez l'un ou chez l'autre des couples étaient fréquents. Un dîner auquel les jeunes étaient, bien évidemment, conviés. Jamais Nolan n'avait rechigné à s'y rendre, bien trop satisfait de revoir cette jolie brune qui était devenue une amie, comme une véritable chieuse de son état. Ils riaient bien ensembles, tels deux gamins, puis deux adolescents proches sans l'être trop. Puis un beau jour, tout avait dérapé. Un simple baiser avait été échangé, baiser qui avait tenu lieu de véritable déclaration d'amour. Un sentiment que Nolan n'avait jamais expérimenté, autrement que dans le lit de femmes inconnues, et un quotidien qu'il était prêt à changer pour Deva. Pour elle, il était prêt à tout, il aurait décroché la lune et l'aurait entourée de guirlandes d'étoiles avant de la transformer en pendentif pour auréoler le cou de la belle. Quoi que la lune aurait paru bien pâle devant la suprématie incontestable de la jeune Cortes. Bref, il l'aimait. Et pour la première fois de sa vie, il se sentait vraiment vivant, goûtant aux joies banales d'une existence simpliste, annulant tous les penchants qu'il croyait supprimés à jamais. Grossière erreur... Leur couple fut la perfection absolue. Ils s'aimaient éperdument, s'adoraient, s'humiliaient, se haïssaient, et s'aimaient encore. Ils se disputaient, se pardonnaient sous la couette, s'embrassaient tendrement, se câlinaient nerveusement, se comprenaient totalement. Leur liaison était évidente aux yeux de leur famille comme des journalistes, et tous s'accordaient à dire qu'il n'aurait pu en être autrement. Nolan & Deva. Tout simplement.

oui je m'aime qu'elle dit j'aime ton pseudo, sans parler d'hayden, gosh quoi bienvenue chez ton nouveau chez toi en tout cas si tu as la moindre question, t'as le droit de me harceler sans modération..

nan mais pire, quand j'ai cette gueule, je m'aime, je m'idolatre, je m'fais l'amour sauvagement 25484513 fois par jour
être accueillie par une administratrice si hot de son état, putain, c'est de l'incitation à la tromperie, c'pas drôle tu m'rends la tâche trop difficile, méchante
en tout cas, merci beauté et je n'hésiterais pas .

je sais, je sais, je suis parfait, c'tout, nobody peut rivaliser avec ma superiorité, je suis le dieu et la suprêmatie incarnée je m'incline devant moi même vous êtes des purs amours, j'espère que deva sera aussi satisfaite que vous l'êtes

raj, m'approche pas, t'as d'la bave mousseuse au coin des lèvres (un jour, je postulerai pour l'humour le plus pourri du monde ). ceci dit, t'es booonne
merci à vous mes beautés .

cooper, azy comme tu m'fais flipper, c'pas du jeu (/me angoisse, now, et c'est ta faute ! vas-y, culpabilise, méchant bonhomme ). j'vais essayer d'être à la hauteur .

gaaaaaaaaaaaaah iiiiiiiiiiiiiiiceeeeeee, comme le monde du rp est p'tit trop bive de te retrouver ici quewa c'est clair que ce scenario c'était une pure tuerie, j'me suis tapée un big flash genre illumination

attends que je la défonce ta jolie petite gueule, on verra toujours si tu te kiffes après ça.. mais t'sais, j'peux venir t'aider à te faire l'amour m'enfin, j'dis ça, mais ça finira sans doute par te ruiner si t'acceptes bref, je raconte vraiment de la merde là, c'est le soir t'as vu comment, j'suis trop canon hein, faut bien scotcher les petits nouveaux (pervers) comme toi pour les faire rester hein. du coup, le staff est bien obligé de se déshabiller un peu.. la tromperie, ça peut être bien t'sais.. haha petite coquine, je t'ai à l'oeil du coup.. puis il me semblait bien que ton pseudo me parlait (oui oui, j'ai un sixième sens ), j'étais sur cbl aussi

quhinn ☇ ah ouais, y'a aussi les deux soeurs ?! voilà qui est une trèèèès bonne nouvelle (ou comment déjà bien m'attirer les foudres de ma charmante fiancée, leçon numéro 1 ). merci mr l'tueur a gage
cooper ☇ mais attends, azy c'est la vie genre, je ne vis plus sans cette expression pourrave ouaip, j'le voyais bien flipper devant un chihuahua, trop l'genre puis bon, faut admettre que c'est affreux, ces bêtes la, glurps .
raf' ☇ (ouais j'me permets, j'me permets tout moi ) t'étais qui sur cbl ? curiosité oblige . bref, ouais, viens m'aider, aide moi carrément même, fais de moi ton esclave et.. *censuré* (chambre 312, je t'attends bébé ). ben j'tassure que ton charme marche, assurément manque plus que t'enlèves le haut, et là tu peux être sure que j'reste pour des décennies (au moins, ouais ouais ).

cooper ☇ ouais habillés d'une petite fourrure avec la laisse rose et les diaaamoooond$ avec la voix de tasspé qui fringue ses clebs j'suis pliée la comment ça, c'pas beau de se moquer ? ouaip, un lien avec plaisir, sauf si elle est footballeuse, j'boycott les footballeurs (a)
raj ☇ j'le sais p'tétre pas, mais je le devine très bien (a) .

raj ☇ une proposition si cruellement indécente ne peut qu'être bonne . c'est à y réfléchir (ou a signer tout d'suite, il est où l'papier, aboule un stylo ).
cooper ☇ et puis la coiffure adaptée à celle de la maîtresse, attends, LE top . c'est surtout horrible pour nos yeux et notre estomac, vomis garanti (a) . c'parfait alors, on en reparlera .