Charlie se leva de bonne heure comme tout les jours. Aujourd'hui elle avait un peu de temps pour elle, il faut dire qu'elle est très chargé avec son boulot, les courses, le ménage et les autres trucs que les autres personnes normales font. Comme tous les matins normal de sa vie, la jeune femme alla se doucher, mais malheureusement - et pas comme tous les jours - l'eau chaude n'était pas là, en fait depuis déjà un moment l'eau chaude, l'électricité en fait le courant avait disparu, quelque chose de très embêtant pour Charlie car elle déteste perdre ces choses là, de un parce que pour son boulot elle a besoin de l'ordinateur, de deux parce qu'elle ne supporte pas le froid et de trois parce que le jour par semaine qu'elle passe chez elle à regarder la télé, elle ne peut plus et elle est obligé de bouger de chez elle pour pas perdre patience.


Après s'être douchée vite fait sous l'eau chaude, Charlie attrapa ses affaires et sortit prendre l'air dehors, mais bien sûr il ne faisait pas chaud, bien au contraire il faisait un froid de canard, finalement elle aurait dû rester chez elle, sous sa couette bien au chaud. Mais c'est trop tard, elle est déjà dehors et elle ne rentrera pas chez elle. Elle se balada donc en ville, les magasins n'étaient pas ouvert et presque personne n'était de sortie, normal vue l'heure.


Elle resta en ville plus de deux heures, s'est donc deux heures plus tard qu'elle décida de rentrer chez elle. Elle passa par la rue des oiseaux tout en se disant qu'elle se jetterais dans son lit dès qu'elle sera chez elle. Il y avait du vent, mais cela ne la dérangeait pas plus que ça car elle aime avoir les cheveux dans le vent, idiot ? Mais non ! Bref, elle marchait tranquillement dans la rue où plusieurs personnes discutaient, mais quelqu'un lui rentra dedans - ou alors c'est Charlie qui est rentré dans la personne. Elle fronça les sourcils puis regarda la personne en face d'elle « Excusez moi » dit-elle en faisant un léger sourire. Elle regarda longuement cette jeune fille en face d'elle, bizarrement elle lui faisait penser à quelqu'un qu'elle avait déjà vue « C'est bizarre vous me faites penser à quelqu'un » dit-elle avec un regard septique.

Le Dimanche c'était mon jour de repos, le seul jour où je ne voyais pas tous ces gens bizarres au bar.
Je décidais d'en profiter pour visiter un peu la ville. J'avais entendu beaucoup de personnes parler de Montsimpa comme étant une belle ville, calme et agréable, mais depuis que j'y suis arrivée je n'ai pas vraiment eu le temps de vérifier si elle était à la hauteur de sa réputation. Entre mon boulot chez Hogan, l’ameublement de mon appart' et la rencontre de mes voisins, j'ai un emploi du temps assez chargé.
Je m'habillais avec des vêtements chaud : Bonnet, écharpe, manteau, jean et petites bottines. Il faut dire que dehors la température n'est pas très haute.
Je sortais de chez moi et visitais les rues les plus populaires d'ici. Rue du trèfle, rue du bois ainsi que la rue des oiseaux.

Lorsque j'arrivais à cette dernière, je n'avais qu'une hâte, c'était de rentrer chez moi. Je commençais à être épuisée par cette longue marche et par ce froid.
Je marchais, la tête baissée, pensant à mon lit douiller et chaud, sans regarder devant moi.
Maladroite comme je suis, j'ai bousculé une jeune femme. Elle avait ses longs cheveux bruns dans le vent, ce qui dégageait son joli visage.
« Excusez-moi », s'empressa t-elle de me dire avec le sourire.
« Oh, c'est plutôt à moi de m'excuser ! Je suis maladroite, je ne vous avez pas vu » lui répondis-je en lui rendant un sourire.
Le femme m'a alors dévisagé sans rien dire. A vrai dire j'étais un peu gênée et je ne comprenais pas pourquoi elle me regardait aussi fixement. Puis je repensais à mon bon lit chaud et commençais à continuer ma route lorsqu'elle me coupa dans mon élan.
« C'est bizarre vous me faites penser à quelqu'un » a-t-elle finit par me dire.
« Ah bon ? Il ne me semble pas vous avoir déjà vu... Sans doute une de vos anciennes connaissances qui me ressemble. » lui ai-je dis.

Puis après réflexion, il est vrai que je ressemble fortement à ma mère, qui était une mannequin assez connue. J'ai déjà eu affaire à des personnes qui m'ont dit la même chose que cette fille lorsque j'étais à Los-Angeles et en effet ces gens là avaient déjà vu ma mère à la télé.
« Ou une mannequin » rajoutais-je, toujours avec le sourire.

« Ah bon ? Il ne me semble pas vous avoir déjà vu... Sans doute une de vos anciennes connaissances qui me ressemble. » Charlie essaya t'en bien que mal à se remémoré d'ancienne tête mais rien. Elle fit donc un non de la tête, c'est sûr et certain aucune de ses anciennes connaissances ne lui ressemblait. Un lourd silence ce mit en place mais il fut coupé par ce que venait de rajouter celle avec qui Charlie s'était bousculée.« Ou une mannequin » C'est alors que Charlie se rappela d'une mannequin qu'elle admirait beaucoup. Voila à qui cette jeune fille ressemble, à une mannequin « Exactement. Vous êtes la fille d'une mannequin ? » demanda la brune.

Charlie se rappela d'une femme qu'elle adorait, enfin une mannequin. Celle-ci passait à la télé, enfin c'est normal quand on travaille dans le mannequinat, et Charlie l'a regardait souvent à la télé, de toute façon la brune est toujours devant la télé quand elle ne travaille pas.

« Au fait, moi c'est Charlie Turner » dit-elle tout en souriant et en lui tendant la main. Le vent faisait volé ses cheveux et ça l'a gêné, c'est pour ça que la photographe attrapa un élastique de son poignet et se fit un chignon. D'ailleurs elle a toujours ce dont elle sait qu'elle aura besoin sur elle, comme par exemple une brosse à cheveux dans son sac ou bien comme on peut le voir ici, un élastique autour de son poignet. Très prévenante.