Un double avec qui l'on veut ne faire qu'un ─ Rafouf la touffe
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Un double avec qui l'on veut ne faire qu'un ─ Rafouf la touffe

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MessageSujet: Un double avec qui l'on veut ne faire qu'un ─ Rafouf la touffe Un double avec qui l'on veut ne faire qu'un ─ Rafouf la touffe EmptyMar 10 Jan - 4:04

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Un lien fraternel irrésistible


La mort d'une sœur est toujours triste. Pourtant quand j'avais appris sa mort je n'avais ressenti aucune émotion. Bon ok je mens cela m'a un peu surpris sur le coup mais opportuniste comme je l'étais, j'avais vu dans cet événement une excuse pour revenir à Monsimpa. Pourquoi revenir à Monsimpa alors que j'avais fugué 6 ans auparavant ? Sans doute parce que je n'avais pas accompli tout ce que je voulais là-bas. On laisse toujours une part de soi quand on quitte un lieu et pour moi c'était ma sœur jumelle Rafaëlle. Une sœur tyrannique, égoïste, chiante, bizarre mais une sœur qui a été là pour moi au bon moment. Elle avait su me réconforter, avoir les mots justes tout en restant égale à elle-même. Son humour noir m'avait permis de tenir le coup. J'étais parti à cause d'elle et je revenais pour elle dans la ferme intention de lui faire voir qui savait utiliser son engin désormais.

Connaissant Rafy, je savais qu'elle ne serait pas au cimetière à se morfondre et à chialer. Ainsi elle pouvait être n'importe où et je n'avais pas que ça à faire de la chercher. C'est pourquoi je pris l'initiative d'aller directement chez elle en son absence. Une porte verrouillée c'est comme une fille, sans clef c'est difficile de l'ouvrir mais quand on a le doigté, un petit crochetage suffit pour avoir accès à plus. Le truc quand on rentre par effraction chez quelqu'un c'est de s'assurer que la personne est réellement sortie car sinon ça fait un peu con. A peine avais-je ouvris la porte que je vis me faire face Rafy, avec une arme à la main. « Super l’accueil, mais je préfère les menottes au flingue, tu sais » dis-je sans me démonter tout en poussant le bras et l'arme de mon champ de vision. Ce geste aurait bien pu me coûter la vie si au même moment elle avait appuyé sur la détente, mais je ne comptais pas me montrer impressionné. J'attendais une réplique dont elle avait le secret mais l'impatience me fit entrer chez elle sans que je ne lui porte plus d'attention. L'endroit m'était inconnu pourtant je m'y sentais à l'aise et faisais comme chez moi même si on ne m'en avait pas prié. Direction la cuisine, j'y cherchais un verre et pris la bouteille de coca dans le frigo. Après avoir bu mon verre d'une traite je lança à Rafy qui venait de me rejoindre un « 'tain j'crevais de soif sérieux. Thanks pour le verre. » Après autant d'année sans la revoir, je me surpris à l'observer avec une assurance qui m'avait fait défaut plus jeune. L'envie de ne faire qu'un avec elle était bien évidemment présent, mais je savais calmer mes ardeurs. J'avais conscience que je n'allais pas la prendre sur la table de la cuisine dans la minute, il me faudrait être plus patient. Rafy n'avait pas changé, elle était juste encore mieux gaulé et un début d'érection se fit sentir rien qu'à la pensée de celle-ci sous la douche. Malheureusement mon jean me serré trop pour que mon sexe soit en parfaite liberté. Les pensées qui me venaient en tête me firent sourire, et je m'autorisais à laisser mon imagination aller à sa guise en attendant que Rafaëlle se comporte comme le tyran qu'elle avait toujours été.









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Maé Fowler
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MessageSujet: Re: Un double avec qui l'on veut ne faire qu'un ─ Rafouf la touffe Un double avec qui l'on veut ne faire qu'un ─ Rafouf la touffe EmptySam 14 Jan - 13:57

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le fantasme que procure une soeur est un réel danger,

The oldest and strongest emotion of mankind is fear, and the oldest and strongest kind of fear is fear of the unknown. Men fear death as children fear to go in the dark; and as that natural fear in children is increased with tales, so is the other. ---------
« Oh non, reste, je t'en supplie, je suis quoi moi sans toi ? » C’étaient les derniers mots que lui avait prononcé Rebekah avant de mourir. Jusqu’à présent, elle avait toujours pensé que le mort était un événement sans grande importance qui faisait juste peur aux gens. Elle s’était toujours amusée à écouter les personne parler de la mort comme leur bête noire, comme la chose qu’ils redoutaient le plus au monde, pas seulement pour eux mais pour leur proche aussi. Puis ils se mettaient à parler de ce qu’il arrivait après ce grand passage de la vie. Certains croyaient en la réincarnation, d’être aux âmes qui continuaient à erré sur la terre ou d’autres encore croyaient au paradis. Rafaëlle avait toujours pensé qu’ils avaient tord de penser ça. Ils avaient tord tout en ayant raison. C’était simple, les personnes tentaient de se rassurer de cet acte qui leur faisaient si peur en lui inventant une suite de plus grotesque alors qu’au final, il n’y avait jamais eu aucune réponse scientifique à cette grande question qui restait un réel mystère. Ce qu’ils pouvaient être pathétiques avait-elle songé en se présentant à l’enterrement de sa cadette.
La mort qui semblait si loin d’elle, même à des années lumière avait finit par s’abattre sur l’un des membres de sa famille. Pourtant, elle n’avait pas pleuré. Non, elle s’était contentée de se présenter au cimetière pour finir par le quitter sans même prononcé un mot. Elle avait bon détesté sa sœur, celle-ci allait lui manquer tôt ou tard et finirait par laisser un vide. Voulant cesser de penser à cette perte dénuée de sens, elle était rentrée chez elle où elle vidé une bouteille de vodka avant de se glisser dans le lit de son colocataire en l’attendant. La nuit avait été longue et mouvementé. Comme elle les aimaient.

Ce n’était que le lendemain où un mal de crâne s’était fait ressentir que les choses étaient devenues plus compliquées. Totalement mal en point, elle n’avait pas eu la force de souhaiter une bonne journée à Tristan et s’était recouchée pour sombrer à nouveau dans un sommeil profond qui l’aiderait à récupérer. Le temps défilait petit à petit quand d’un coup, un léger bruit inhabituel se fit entendre dans la villa, réveillant Rafaëlle au passage. On essayait de pénétrer chez elle, elle en était certaine. Roulant sur elle-même, elle ouvrit le tiroir de la table de nuit pour se saisir d’un fusil avant de se lever, seulement vêtue de ses sous-vêtements, pour arpenter les murs de chez elle afin vérifier que tout allait pour le mieux et qu’il ne s’agissait qu’une fausse alerte. Elle espérait sincèrement que personne ne tentait de rentrer chez elle par effraction, après tout, c'était elle qui le faisait... Pointant l’arme vers l’avant, elle avançait en prenant toutes les précautions nécessaires pour ne pas se faire entendre. Une fois arrivée à la hauteur du hall, elle se retrouvait nez à nez avec celui qui l’avait réveillé. « Merde ! » Lâcha-t-elle subitement en gardant son arme en l’air, elle la tenait toujours fermement, prête à tirer à tout moment. « Je peux savoir ce que tu fais là, pauvre abruti ! » Elle souffla un bon coup n’en revenant de voir qui se tenait face à elle. « Super l’accueil, mais je préfère les menottes au flingue, tu sais» Elle ne fut pas bien étonnée de la remarque que venait de lui faire son frère. La dernière fois qu’elle l’avait vu, des années auparavant, il n’avait pas encore acquis toute l’assurance qu’il venait de lui montrer dans sa seule phrase mais, il ne semblait pas avoir changé pour autant. C’en était désolant. « Dommage, je préfère quand les choses se font plus brutalement. » Elle accentuait bien sur la fin de sa phrase remplie d’ironique en regardant son frère pousser l’arme pour la faire changer de direction. Rafaëlle aurait très bien pu tirer mais ça n’aurait pas été aussi marrant, elle préférait largement le faire souffrir davantage moralement que physiquement. Il semblait faire son fort, un peu comme s’il avait quelque chose à prouver. Regardant la scène d’un œil attentif, ça ne faisait qu’amuser Rafaëlle qui faisait mine d’être étonnée de voir son jumeau si sur de lui, ça lui ferait plaisir. Il serait tellement fier qu’une fois qu’elle lui aurait montré son petit jeu, ça le dévasterait. Sans plus attendre, Alcide, tourna les talons pour faire comme chez lui. Heyh bin sans gène, c’était bien un Coolidge. Enfin, c’était surtout le frère de sa sœur. Elle poussa un petit soupire en le suivant du regard. « 'Tain j'crevais de soif sérieux. Thanks pour le verre. » Elle le regardait se servir un verre de coca, il était vraiment sérieux là ? Du coca. Elle ne pu s’empêcher de pouffer de rire. Ce qu’elle pouvait aimer se moquer des gens. C’était une vraie source de bonheur. Elle ne lui répondit pas, se contentant de l’approcher tout en gardant une bonne distance. Elle n’avait jamais oublié ce qu’il avait essayé de faire avec elle. Quoi qu’elle avait pu en dire, ça l’avait marqué d’une certaine manière. Elle n’avait pas compris comment une telle chose avait pu arriver, comment son propre frère avait pu croire qu’il y avait plus qu’une relation fraternelle entre eux. Rafaëlle avait pourtant toujours été une grosse vache, ne pensant qu’à son petit cul avant de penser à celui des autres. Elle n’avait jamais été gentille ou même affective avec lui. Elle scrutait son visage pour finir par le regarder des pieds à la tête, elle ne pu dénier que visiblement rien n’avait changé, il semblait toujours avoir les même idées en tête. A son tour, elle se prit un verre qu’elle rempli d’eau. Elle n’en fit qu’une gorgée en avalant une aspirine pour calmer son mal de tête et finit par rétorquer, « Pas de quoi mais bon, calme un peu tes ardeurs, je ne voudrai pas que.. tu réveilles mon petit ami. » Elle lui affichait un immense sourire, consciente que sa phrase aurait sans doute l’effet d’une bombe dans le petit cerveau de son frère. Dire qu’elle avait un petit ami lui semblait bizarre. Parler de Tristan de la sorte était tellement inattendu et pourtant, elle l’avait fait. Dans l’unique but de faire souffrir Alcide pour qu’il la laisse tranquille une bonne fois pour toute. Elle ne mentait pas souvent, d’une nature très franche mais les quelques cadres déposé par-ci et par là renforçaient un peu ses paroles.





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MessageSujet: Re: Un double avec qui l'on veut ne faire qu'un ─ Rafouf la touffe Un double avec qui l'on veut ne faire qu'un ─ Rafouf la touffe EmptyJeu 19 Jan - 1:19

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Un lien fraternel irrésistible



Le comportement de Rafaëlle me rassura, elle n'avait pas changé. C'était toujours la même fille qui s'amusait du malheur des autres, qui aimait faire souffrir sa famille. Rebekah était sa plus récente victime, et avec sa mort Rafy avait atteint un autre pallié dans la souffrance. La voir avec son fusil me perturba le temps d'une seconde ; juste pour rire de plus belle elle pouvait très bien buter un autre Coolidge. Ca en ferait déjà 2 avant qu'elle ne fasse toute la famille. Je voyais déjà les gros titres « Un jeune homme retrouvé mort à Monsimpa tué de trois coups de fusil, un dans la tête, un sur le torse et un autre au niveau des couilles. L'agresseur nie la préméditation et plaide la légitime défense... » Mouais, enfin elle n'était pas aussi bête pour me tirer dessus trois fois si elle voulait se débarrasser des flics. Toutefois même si j'avais appris à la craindre depuis ma naissance, je savais qu'elle ne me tuerait pas. Pas parce que j'étais son jumeau car elle en avait toujours eu rien à foutre, mais elle préférait une souffrance moindre et perpétuelle à une autre plus importante et vite disparue. Comme vous l'aurez compris, Rafaëlle n'était pas la petite peste rebelle qui fait souffrir dans le but de se protéger. Elle ne jouait aucun rôle, elle était comme ça et ne se cachait pas sous un masque. « Je peux savoir ce que tu fais là, pauvre abruti ! » « Tu le sauras bien assez tôt » lui lançais-je d'un ton laconique avec un clin d’œil complice qu'elle ne pourrait toutefois pas comprendre. Rien ne servait d'aller trop vite, ce n'était que des retrouvailles après tout. Mon plan n'était d'ailleurs pas encore assez abouti si on pouvait appeler ça un plan. Je n'avais qu'un objectif : prétendre à son corps avant tout autre chose. « Dommage, je préfère quand les choses se font plus brutalement. » Ses mots me ramenèrent 6 ans plus tôt, là où mon geste l'avait sans doute surpris. Elle aimait tout ce qui était brutal mais pas ce qui sortait de sa routine. L'embrasser l'avait dérouté et même si elle n'aimait pas se l'avouer, c'était quelque chose qu'elle n'avait jamais expérimenté. Bien entendu plutôt que de lui répondre, je préférais arquer un sourcil et sourire pour lui faire comprendre que si elle voulait de la brutalité, elle en aurait. Je n'avais qu'une envie, lui arracher sa dentelle et la prendre dans toutes les pièces. La chaleur qui s'infiltra en moi m'obligea d'ailleurs à chercher quelque chose pour m'hydrater. « Pas de quoi mais bon, calme un peu tes ardeurs, je ne voudrai pas que.. tu réveilles mon petit ami. » J'étais sans doute sous l'emprise d'un sentiment affectif et amoureux, je n'étais pas con et niais pour la peine. Le fait qu'elle ait un petit copain ne me fit pas grand chose, ce n'était pas comme si j'avais retrouvé une ex qui me disait qu'elle avait quelqu'un en ce moment. Non je n'étais pas comme ça et Rafaëlle n'était pas une ex pour le moment et quitte à être patient je préférais la voir comme une proie parmi d'autres, mais une proie d'exception. « Ton petit-ami sera sans doute heureux d'apprendre la visite de ton frangin. Tu devrais le réveiller, étant donné que je suis dans le coin pour un certain moment » insinuais-je sans trop m’attarder sur le « dans le coin. » Rafaëlle était le mal, elle m'ouvrait en sous-vêtement, m'offrant son corps à mon regard et pourtant la distance faisait que je ne pouvais rien tenter. Si j'avais été un chien, j'aurais bavé devant ce bout de viande tout simplement exquis. La jolie blonde qui me faisait face avait l'air d'être épilé car aucun poil ne dépassait, ce qui laissa mon imagination faire le reste. Moi qui n'aimais pas les forêts amazoniennes, j'étais plus que ravi de penser qu’incessamment sous peu je pourrais y glisser ma langue et bien plus encore. Jouer au petit jeu de Rafaëlle c'était passé dans la cour des grands, au risque de se brûler les ailes. J'étais conscient de ne pas être intouchable, après tout elle jouait ce jeu depuis son enfance alors que pour moi c'était l'affaire de quelques années. Elle voulait faire souffrir, moi manipuler. Nous avions des armes différentes et un égoïsme en commun. « Alors comme ça Bekah est morte ? Elle s'est suicidée ? Faut-dire qu'elle n'était pas faite pour vivre, trop gentille » commentais-je comme si j'en connaissais plus qu'elle sur la vie. J'étais sans doute un petit con qui se pensait supérieur aux autres, toutefois j'avais toujours réussi à faire face aux problèmes. Cela pouvait paraître troublant de ne presque rien ressentir lors de la perte d'un proche, et il fallait aussi être complètement dingue pour tomber amoureux de Rafy, c'était pourtant mon cas. L'un n'allant pas sans l'autre, j'avais délaissé mon cœur pour être sous l'emprise de cette sœur diabolique. Adossé contre un meuble je la défiais du regard ou plutôt j'analysais tout ses faits et geste, tâchant d'entrevoir une faille dans son esprit comme dans son corps que je pourrais utiliser à mon avantage. Mon jean me démangeait, j'avais la queue en feu, c'était tout bonnement l'enfer mais je devais rester le plus neutre possible. A un moment je me toucha légèrement pour faire diminuer cette pression insoutenable, en vain. C'est qu'elle me faisait bander comme un cheval, et je savais que ça lui aurait fait trop plaisir de voir l'effet qu'elle avait encore sur moi. Alors je me mis à penser à de la pâté pour chien, l'excitation retomba peu à peu jusqu'à ce que me vienne l'image d'une pâté dégoulinant du corps de Rafy. Argh je ne pouvais rien y faire. Le souffle court et le cœur serré je m'imagina ma grand-mère nue et fort heureusement l'érection qui s'était pointée se dissipa aussi vite, j'étais sauvé.







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MessageSujet: Re: Un double avec qui l'on veut ne faire qu'un ─ Rafouf la touffe Un double avec qui l'on veut ne faire qu'un ─ Rafouf la touffe EmptyVen 24 Fév - 12:59

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En y réfléchissant bien, avoir des frères et des sœurs avaient toujours été une sorte de fléau aux yeux de Rafaëlle. Si bien, qu'elle avait tourné ce manque de chance à son avantage et d'un coup, se problème avait fini en vraie source de bonheur et de jeu. Toujours à les pourchasser à travers toute la maison, elle avait commencé par leur faire des petits croche-pieds par-ci, par-là qui avaient fini par se multiplier pour évoluer vers les pires horreurs. Il était vrai que ça n'avait jamais été une grande histoire d'amour en elle et sa famille et elle n’avait jamais hésité à le montrer, quitte à se faire passer pour la pire peste possible, ce qu’elle était d’ailleurs, elle ne l’avait jamais caché. Enfin, elle les avait toujours mené par le bout du nez jusqu’au jour, qui lui semblait pourtant improbable, où elle avait découvert son jumeau, cloitré dans sa chambre, avec cet air désemparé collé sur le visage qui laissait transparaitre une certaine tristesse camouflée. Elle n’avait pas pu laisser une certaine affection de côté, grande première, qu’elle n’avait pas terminé de regretter, bien des années plus tard. Elle s’était simplement assise à ses côté sur le lit et, sans même prononcer le moindre mot, elle l’avait aidé à traverser une chose dont elle était loin de se douter et dont, elle ignorait toujours à l’heure actuelle. Cette même affection qu’il avait vue d’un autre œil, développant des sentiments pour la jeune fille qui n’était autre que sa propre sœur, sa jumelle. Le revoir après tout ce temps alors qu’elle l’avait renié, qu’elle l’avait chassé comme un mal propre après qu’il ait souhaité passé un cap avec elle, lui faisait bizarre. Elle voyait le passer se rejouer sous ses yeux. Elle lui avait lancé un phrase des plus amicale alors qu’il s’empressait déjà de lui répondre d’un ton assuré, « Tu le sauras bien assez tôt », suivit d’un clin d’œil vicieux qui la répugnait presque. « A moins que tes plans aient miraculeusement changé, je ne doute pas une seule seconde de tes intentions. », tenir un ton plus ironique que celui que Rafaëlle tenait au moment même était impossible. Il y avait tellement de dérisions dans ses dires, qu’il était impossible de ne pas s’en rendre compte. La suite de ses paroles avaient été prononcé dans un but purement provocateur, certaine que son frère ne passerait pas à côtés. Toute personne se disant un minimum normale, n’aurait jamais osé prononcer des mots d’une telle ampleur face à un frère incestueux et pourtant, Rafaëlle ne s’était pas gêner. Le regard qu’il lui lançait en disait long. Visiblement, il ne se laissait plus atteindre si facilement. « Ton petit-ami sera sans doute heureux d'apprendre la visite de ton frangin. Tu devrais le réveiller, étant donné que je suis dans le coin pour un certain moment. » Elle ne pu réprimer un rire forcé. « Surtout heureux de pouvoir te régler ton compte. » Elle afficha une mine satisfaite en regardant ses ongles. « Mais, tu sais, tu peux rester aussi longtemps que tu le souhaites, je suis certaine que la famille sera ravie de te ravoir après ce que tu leur a fait subir. » Comme si la mort de Rebekah n’avait pas suffit, il fallait que l’ainé refasse son appariation après des années de silences radio. L’histoire qu’il y avait eu avec Rafaëlle avait comme jeté un froid sur leur rapport alors son retour n’allait faire que tous les replonger dans cette sorte d’agonie familiale. Le regardant se servir tranquillement, l’envie même de le gifler et de le mettre à la porte la taraudait. Elle sentait le regard de son frère parcourir son corps des pieds à la tête. Le pauvre, devoir se retenir face à un corps si bien peaufiné devait être un supplice. Quand, elle se regardait dans une glace, elle arrivait à comprendre les agissements de son frère bien qu’elles ne les approuvaient pas. Oui bon, vu ainsi, ça faisait sans doute narcissique, mais à partir du moment où la beauté est offerte, pourquoi s’en priver ? Cette pensée lui échappait lorsque l’illusion des mains d’Alcide couvrant son corps, le salissant de toute part, s’était fait ressentir, lui donnant la nausée. « Alors comme ça Bekah est morte ? Elle s'est suicidée ? Faut-dire qu'elle n'était pas faite pour vivre, trop gentille. » « Et bien, elle a fait ce que toi-même n’a jamais eu le cran de faire. » Elle affichait un sourire victorieux en lui lançant un clin d’œil. Elle venait d’insinuer ouvertement le manque de courage de son frère. Il avait toujours été plus faible et ne se gênait pas de lui remémorer la mémoire. « Mais, tu sais, il n’est jamais trop tard pour rattraper le temps perdu, tu sais. » Elle jetait un coup d’œil vers les couteaux tranquillement rangé sur le plan de travail. S’il se croyait supérieur, il n’était rien face à sa sœur. Ressentant à nouveau se regard sur elle, des plus insistant sur elle, Alcide lui donnait l’impression de n’être qu’un bout de viande. Il lui semblait tellement minable. Non, il l’était. A coup sur. Elle soufflait, levait les yeux vers lui. Elle ne pris même pas le peine de le détailler de haut en bas, persuadé de ce qu’il se passait dans son calçon. Elle le connaissait par cœur et les années n’y avaient rien changé. Fort malheureuse. « Tu veux pas non plus que l’enlève le haut tant qu’on y est ? » Sur ses mots, prononcé sarcastiquement, elle s’en allait regarder la télé. Elle se fichait pertinemment de li alors pourquoi lui adresser plus d’attention qu’il n’en méritait ?
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