C'est l'histoire de la vie ♫♪ - Feat. Manech-Bowie Eastwood
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C'est l'histoire de la vie ♫♪ - Feat. Manech-Bowie Eastwood

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MessageSujet: C'est l'histoire de la vie ♫♪ - Feat. Manech-Bowie Eastwood C'est l'histoire de la vie ♫♪ - Feat. Manech-Bowie Eastwood EmptyMar 6 Mar - 21:45

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Lilwenn Hermionne Fabray

f e a t u r i n g ; Manech-Bowie Eastwood

Appareil en main, Lilwenn immortalisait le paysage qui se trouvait face à elle. Le soleil éclairant l'eau de la mer, les vagues s'écrasant contre les rochers. Sagement assise sur l'un d'entre eux, elle scrutait l'horizon. La plage de Montsimpa était magnifique, surtout quand elle était éclairée par le soleil. L'eau bleue claire brillait encore plus. S'avançant un peu plus pour être près de l'eau, elle l'effleura du bout des doigts. Perdue dans ses pensées, elle fixait ses doigts qui entraient lentement en contact avec l'eau. Soudain, sans s'y attendre, elle se fit éclabousser et, persuadée que c'était un petit qui s'était précipité dans l'eau, elle regarda autour d'elle, avant de crier. Mais, malheureusement pour elle, ce n'était pas un enfant, c'était son chien qui venait de se jeter à l'eau. Se relevant en vitesse, elle cria le nom de sa bête, qui tout de suite se mit à revenir sur la plage. Sa queue arrêta de gigoter dans tous les sens, il avait dû comprendre que sa maitresse était en colère, en voyant sa tête. C'était déjà mieux qu'il saute dans l'eau que sur quelqu'un, mais tout de même. Lilwenn poussa un juron et ramassa ses affaires pour rentrer chez elle. Elle allait devoir courir dans sa maison pour attraper une serviette et sécher son chien. Ou alors elle allait le laisser dans le jardin jusqu'à temps qu'il soit sec. Elle allait voir son comportement sur le chemin du retour, s'il était sage ou non.

Quelques minutes plus tard, elle passa la porte d'entrée en courant. Son chien la suivait, lui aussi en courant et donc, éclaboussait tout sur son passage et glissait même quelquefois, en essayant de faire des dérapages contrôlés dans les tournants. Attrapant une serviette en vitesse, Lilwenn se précipita une nouvelle fois en direction de son chien, assis près de la porte, qui la fixait comme s'il attendait quelque chose. Soudain, Lilween se mit à trébucher à cause des nombreuses gouttes d'eau éparpillées dans son salon, sur un carrelage qui était déjà plus que glissant. Son corps entier claqua contre le sol, heureusement, elle évita de justesse que sa tête n'ait le même sort. Serrant les dents, elle fixait son chien méchamment. Elle l'aimait, mais là, elle le détestait. Son fidèle compagnon bougeait sa queue tout en croyant que ce n'était qu'un jeu.

« PUTAIN ! Tu fais chier ! »

Elle avait eu mal certes, mais elle était robuste. Elle se releva et jeta la serviette près de son chien en passant une main dans ses cheveux. Soudain, alors qu'elle était prête à courir après son chien pour le mettre dehors, son portable - qui heureusement était posé sur le canapé - se mit à vibrer. S'approchant de celui-ci en faisant attention à ne pas retomber, elle se jeta dans son canapé, attrapant en même temps son portable pour voir le message. C'était Manech, un ami de lycée, qui lui proposait d'aller passer un après-midi chez lui. Pourquoi pas ? De toute façon, c'était cent fois mieux de voir Manech que de se battre contre un molosse dérangé. Elle s'empressa de lui répondre, pour lui dire qu'elle venait vers 14 heures. Fixant l'énorme pendule accroché sur son mur, qui indiquait 13 heures, elle se dirigea vers sa chambre. Elle devait prendre une douche, s'habiller, se maquiller, se coiffer en moins d'une heure. Un vrai défi pour elle, mais, elle en était capable.

Une bonne demie heure plus tard, la jeune rouquine était presque [Seuls les modérateurs ont le droit de voir ce lien]. Enfilant ses bottes à talon avec lesquelles elle avait longtemps peiné à marcher, elle regardait son chien. Celui-ci était tranquillement en train de dormir, après avoir emmerdé comme il se devait, sa maitresse. Scrutant une nouvelle fois la pendule, celle-ci affichait maintenant 13h45. Manech n'habitant pas si loin que ça, elle attrapa son sac et se dirigea dehors, refermant derrière elle la porte d'entrée pour ne pas avoir de mauvaise surprise, même si elle savait que son chien allait manger le premier qui essayait de rentrer dans la maison. Entrant tranquillement dans sa voiture, elle mit le contact et fit marche arrière pour pouvoir sortir de son entrée de garage. Elle allait arriver pile à l'heure, comme elle en avait l'habitude, détestant faire attendre les gens. Arrivée devant chez Manech, elle prit le temps de bien garer sa voiture et, après avoir refermé son bolide, elle se dirigea vers la porte d'entrée. La maison de Manech était au gout de Lilwenn, quoi que... Même le propriétaire était à son goût. Frappant trois fois à la porte, Lilwenn attendait que quelqu'un vienne lui ouvrir la porte...



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MessageSujet: Re: C'est l'histoire de la vie ♫♪ - Feat. Manech-Bowie Eastwood C'est l'histoire de la vie ♫♪ - Feat. Manech-Bowie Eastwood EmptyJeu 8 Mar - 21:06

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→ La vie c'est comme une overdose. Tu prends tout tout de suite, tu en crêves et vite.

T’es là, debout, pourtant tu dors encore. Debout, les pieds rivés contre le sol dégueulasse de ta villa. Est-ce que tu délires ? T’es peut-être encore dans un de ces foutus rêves, pourtant t’as beau te sentir complètement défoncé, tu ressens. Tu ressens ton poids t’arracher les jambes, tu ressens ta tête lourde sur tes épaules. Et t’entends aussi, t’entends ton cœur marteler dans ta poitrine, t’entends le sang venir se heurter contre tes tempes. T’entends le silence, son chuintement venir t’agresser les tympans. Le pire de tous les bruits, le silence. Il te rappelle trop ta solitude, il te rappelle trop tout ces gens qui semblent avoir tout pour plaire, qui ont tout. Est-ce que tu les envies ? Probablement, tu ne sais pas. Tu ne sais plus. Après tout, tu es comme les autres, avec tes petites imperfections. De plus, tu as toujours été persuadé que tu avais toujours été parfait, le plus parfait qu’il ait été donné à dieu de créer. Tu veux que tout le monde t’admire, au lieu de te rejeter. Debout, et pourtant tu ne t’es jamais senti aussi proche du sol, de la fin. T’es comme au bord du gouffre, près à t’jeter dans le vide, à foncer tête baissée. Agir sans réfléchir, mais tu le fais déjà constamment, tu fais toujours la même foutue erreur. Tu te laisses guider par tes sens, par ton ressenti, ton instinct. Est-ce la source du problème ? Peut-être, probablement même. Soupirant, tu te laisses tomber sur le sofa en cuir sans prendre attention à son état. Mais tu t’en tapes, c’est pas le fric qui tu manques, et s’il faut que tu détruises pour te défouler, tu le fais. Tu peux obtenir tout ce dont tu veux, mais tu ignores comment te comporter. T’es qu’un gosse de riche, pourri jusqu’à la moelle par ton fric, par toutes ces choses que tu peux avoir d’un battement de cil, rongé de l’intérieur par ton propre égoïsme. Une pourriture, c’est tout c’que t’es. Un type asphyxié par sa propre pourriture. Lâchant un soupir, tu déposes sans douceur tes pieds sur la table basse, manquant de briser la surface en verre de celle-ci, mais qu'importe, encore une fois tu t'en fiches. Tu refuses d'admettre que le problème vient de toi, non pas des autres, de toutes ces personnes qui ne veulent pas agir comme tu le souhaites. Depuis petit, tu as toujours eût une multitude de servants t'obéissant au doigt et à l’œil, sans jamais se plaindre de ton comportement tyrannique, des nombreuses tâches ingrates que tu leur faisais faire. Après tout, tout le monde semblait ne tourner qu'autour de toi, tes parents, tes amis, tout le monde. Même à l'école, t'avais simplement l'impression d'être le maître, et ils semblaient tous t'obéir, te vénérer. Et pourtant, c'était simplement qu'une foutue illusion.

Brusquement, tes yeux s'attardent sur l'écran géant placé à quelques mètres de toi, anormalement noir. C'est souvent l'un de tes seul ami, mais qu'importe. Là tout de suite, rien que de poser tes yeux sur lui, tu te sens bizarrement piteux, tu t'fais carrément pitié. La télévision, ta seule amie. Un rire amer s'extirpe de tes lèvres, une télévision. Non, pas seulement. T'as aussi tes précieux billets, la seule chose à qui tu puisses faire confiance. Ça te semble bizarrement ironique, faire confiance à un simple bout de papier imprimé. Pourtant, tu sais que si tu peux t'offrir tout ce que tu veux, c'est grâce à eux, leur valeur. Soupirant une énième fois, tu glisses machinalement la main dans ta poche, en extirpant une poignée de billets. Sans réfléchir, tu les jette au sol, tentant de te sentir rassuré. Mais rien, pas même une once de ressenti, absolument rien. À force, tu finis par t'en ficher, par tenter de vivre avec, toujours accablé de ce poids. L'après risque de passer lentement, très lentement. Comme toutes les autres, à vrai dire. Tu t'sens vide, sans personne avec qui passer du temps. Quoique. Pas forcément. T'attrape le téléphone déposé à tes côtés, pianotant rapidement sur le clavier avant de le reposer en soupirant. Tu observes le chiffre indiqué par une massive horloge, soupirant en calculant les minutes avant que l'heure du rendez vous fixée arrive. Une heure pile. Sûrement le temps de te préparer, même si tu t'estimes déjà parfait. Simplement t'observer dans le miroir, arranger les quelques défauts pouvant venir salir ton image. Tu sais déjà parfaitement comment t'habiller, après tout. Un simple jean, inutile de te couvrir autre chose. Tu donnes quelques ordres à tes servants, les sommant simplement d'arranger la maison, de ranger les restes de débris d'une soirée. Histoire que tout semble parfait. Maniaque ? Peut-être un peu, sur les bords. « - Une heure. » Tu t'allonges sur le sofa, fermant les yeux.

[...] Brusquement, le sonnerie retentit dans ta tête, t'agressant les tympans. Tu te redresses en sursaut, surpris. Tu jettes alors vivement un regard vers la pendule, 14 heures. Tu t'es endormi, apparemment. Sûrement même, tu ne sais plus. Dans tout les cas, c'est probablement ton invitée. Soupirant, tu te relèves, sommant un de tes servants d'aller accueillir comme il se doit la jeune fille attendant sur le palier. Toujours allongé sur le sofa, tu glisses un regard vers l'entrée, lui offrant un sourire sincère. Tu tapotes doucement la place libre sur le sofa à tes côtés, l'invitant à venir s'asseoir. « - J'mords pas, viens. »

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