Game # don't cry ...
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MessageSujet: Game # don't cry ... Game # don't cry ...  EmptyLun 30 Avr - 17:54

La porte se referma automatiquement, coupant court à la musique et laissant l'esprit du jeune homme se reposer le temps d'un simple instant. Teïlo venait tout juste de terminer sa soirée au club où il avait mixé pendant une bonne partie de la nuit. La fatigue n'était pas encore là, mais il savait qu'il ne pouvait pas rester trop longtemps sachant qu'il devait bosser le lendemain ... Normalement. Bref. Il arriva devant sa voiture et ouvrit le coffre où il rangea son matériel, consciencieusement avant d'entrer dans sa voiture et démarrer en direction de la sortir. Le parking était vaste et du monde arrivait encore pour passer le reste de la nuit dans le coin alors que lui allait rentrer. Roulant sans faire attention, son regard se posa sur un groupe de femmes sur le trottoir, pas besoin de faire un dessin, c'était des putes. Teïlo était bien placé pour les reconnaitre ayant grandi dans ce milieu assez spécial. Mais alors qu'il allait simplement passer son chemin, son regard croisa celui d'une autre jeune femme, sublime, il fallait le reconnaitre. Sous la lumière des spots de lumière de la rue, elle était mise en valeur. Au début, il ne fit que la regarder, coincé dans la file de voiture qui sortait du parking. Puis, il vit très vite qu'elle se dirigeait vers les autres femmes, chose qu'il n'apprécia guère. Il ne sut pourquoi, mais il sentit quelque chose de bien étrange, de trop étrange et il ne supporta pas l'idée de ce qu'il voyait. Comme si ... Il n'en savait rien. Vu son comportement, elle n'avait pas l'air d'en être une, plutôt dans le début de la profession - façon de parler - et c'est ce qu'il ne supporta pas. Au fur et à mesure qu'il arrivait à leur hauteur, il se demandait ce qu'il allait faire, il n'en savait strictement rien en réalité.

Plus il approchait, plus il pouvait voir les détails. C'est là qu'il vit les larmes séchées, elle avait pleuré, aucun doute là-dessus. Elle était en détresse, et il ne pouvait pas simplement passer son chemin, il avait envie de l'aider, il devait l'aider, il s'en voudrait à vie s'il ne faisait que passer sans rien faire, sans agir. Alors oui, une fois à leur hauteur, il ouvrit la fenêtre et se pencha pour leur parler. Une d'elle se dépêcha de venir vers lui, avant qu'une autre s'exclame. Laisse faire la nouvelle. C'est ce qu'il comprit, à peu près. Alors la blonde vint vers la fenêtre et Teïlo la fixa dans les yeux. Monte dans la voiture. Dit-il. Il n'était pas autoritaire, non, il était ferme, certes, mais aussi il se voulait rassurant, il voulait qu'elle le fasse. Tu n'devrait pas être là. Rajouta-t-il, histoire qu'elle comprenne qu'il ne lui voulait pas de mal, ni même ce que les autres croyaient. Non, il ne s'était pas arrêté pour se payer une pute.
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MessageSujet: Re: Game # don't cry ... Game # don't cry ...  EmptyMar 1 Mai - 15:15

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« SAUVETAGE IMPROVISÉ »,
Les regrets permettent la parole, mais la douleur est muette.
Dans le doux écho de la nuit, tes pas claquent contre le macadam. Leur vitesse de claquement est désordonnée. D'un coup, ils se calment. Bientôt, ta voix fluette, brise le silence qui t'entourait. « Reviens, s'il te plait. Reviens. » Et le calme revient, emportant tes mots avec lui. Les emprisonnant et les détruisant. Le vent se met à souffler, chassant les doux sanglots qui roulent sur tes joues. Tu n'as pas la force de le faire toi même de toute manière. Tu laisses tes jambes prendre de la distance face à cette tombe et ton corps s’effondre sur la banc. Tu fixes la pierre. Silencieusement. Seul le bruit de tes sanglots étouffé et des arbres se fait entendre dans ce lieu triste et morne, dénué de vie. Tous les soirs, tu te retrouves au même endroit. Dans le même état. Oui, tous les soirs. Et le refrain, se répète comme un cercle vicieux qui ne prendra jamais fin. Tu baisses les yeux un court instant pour les relever et fixer la pierre foncée, un peu comme si tu attendais que quelque chose ne se passer. Hélas, rien. Tu étais juste seule face à tes désirs et tes attentes. Ton coeur souffre, il pleure et toi aussi. Tu as l'impression qu'il se compresse au creux de ta poitrine, ça te fait mal. Tu portes ta main à la hauteur et tu la colle contre ta peau nue. Tu le sens battre à toute vitesse, plus tu regardes la tombe et plus il s'affole. Il faut que tu partes avant d'agoniser. Tu souffles doucement, tes paupières se fermes. Tu cherches la peau depuis deux ans. Tu cours après du vent. Plus rien ne sera comme avant. De nouvelles larmes glissent contre ta peau, du revers de ta mains, tu les chasses. Tu ne veux pas de cette vie sans lui. C'est trop dure. Tu es seule au monde. Seule contre tous. Tu ne te débats même plus. Ton portable se met subitement à vibrer. Tu sais que c'est l'heure. Tu deviens le diable. Une autre personne qui n'est pas toi. S'IL pouvait voir ce que tu étais devenue, IL te haïrait sans doute. Le premier pilier de ce métier qui avait déjà causé sa mort. C'est trop dure, tu ne peux plus supporter le poids de tes pensées alors tu pars en courant.

Tu te retrouves en dehors de ce lieux célestes des âmes en paix et tu t'arrêtes subitement de courir pour t’effondrer en pleur. Tu ne sais plus quoi rien, rien n'a de sens. Au loin, tu entends le bruits de talons, tu te retournes. Elles sont là, marchant d'un pas décidé vers toi. Tu te ressaisit. Tu chasse les sanglots fraichement coulé sur tes joues et tu frottes tes yeux. D'un gestes rebuté, tu ouvres l’imperméable qui t'habillait et tu laisses apparaitre un corps frêle, presque nu. Les femmes te regardent blasées en arrivant à ta hauteur et sans un mot, tu te fonds dans la masse, consciente que tu vas passer la nuit la plus longue de ta vie. Tu les suis de loin quand une voiture s'arrête. La personne qui conduit ouvre son carreau pour laisser entrevoir son minois. Ses traits te frappent, tu ne comprends pas son besoin de faire recours aux filles dans ton genre. Tu sens qu'elle sont prête à ce battre pour un peu de chair fraiche, ça te répugne. Tu restes à l'écart, caché derrière ces femmes qui prennent plaisir à exercer leur métier. Tu te sens presque à l’abri, sauvée. Tu ne veux pas y passer, tu fais tout pour repousser l’échéance au maximum, pourtant, le destin semble contre toi. « Laisse faire la nouvelle. » Ces mots résonnent dans ta tête, soudain, ta tête se met à tourner et tu est propulsée à l'avant. Tu fais face à ce type, tu n'oses pas le regarder. Pourtant, son regard qui te fixe, tu le sens, ça te gène alors tu lèves les yeux et il en profite pour fondre ses pupilles dans les tiennes. Troublée. Voila le sentiment qui te parcours. « Monte dans la voiture. » Sa voix flotte dans les airs, il se fait ferme, presque insistant. Tu n'as pas envie. Tu veux juste fuir. « Tu n'devrait pas être là. » Chuchote-t-il comme pour te rassurer alors que tes jambes font déjà le tour de sa voiture pour monter côté passager. Tu t'installes à l'intérieur alors qu'il remet le moteur en route. Tu n'oses rien dire, rien faire. Tu reste là, immobile. Il attend peut-être quelque chose de toi. Sans le regarder, tu commences à lui déballer les prix et ce que tu peux faire. Tu as appris tout par coeur. Tu lui lâches tout sans jamais oser détourner la tête vers lui, de peur de voir le regard d'un pervers qui n'a qu'une hâte, te passer dessus. Tu as envie de vomir, mais tu te retiens.

900 pour toi ma petite Margaux Game # don't cry ...  212682535



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MessageSujet: Re: Game # don't cry ... Game # don't cry ...  EmptyMar 1 Mai - 16:02

Teï la regardait, elle semblait complètement perdue, comme prise au dépourvue. Il avait vu son expression lorsqu'une des femmes l'avait poussé vers sa voiture. Il avait vu juste, elle ne devrait pas être dans ce coin, elle ne devrait pas être dans cet habit, elle ne devrait pas faire partie de ce trottoir, il n'avait plus aucun doute maintenant. Il se montra donc ferme et lui demanda de monter dans sa voiture. Avant d'insister légèrement, il ne pourrait lui parler normalement si elle rester avec les autres prostituées. Il le savait qu'elles l'empêcheraient de faire quoique ce soit. Elle fit le tour de la voiture, d'un pas légèrement frustrée, perdue et fragile. Elle monta alors, et s'attarda à regarder par la fenêtre, elle faisait tout pour éviter son regard. Normal. Elle devait s'attendre à un pauvre pervers, il comprenait, il fallait juste qu'il trouve les bons mots pour la rassurer, ce qui n'était pas chose facile, mais il trouverait. Elle commença alors à parler, lui sortir des tas de choses, passant des prix aux positions. Il se contrôla pour ne pas l'arrêter même s'il avait très envie qu'elle stop son flot de paroles qui ne l'intéressait guère. Sa voix était fluette, presque inaudible, il sentait qu'elle n'avait qu'une envie, fuir au loin. Il continua alors à rouler pendant tout ce temps, jusqu'à s'arrêter sur la route vers chez lui, juste arrêter la voiture et éteindre le contact, avant de la regarder. Elle tremblait maintenant. Tu m'étonnes. Il venait d'arrêter la voiture sur une route paumée, de quoi foutre la peur, quel con, il aurait pu l'arrêter en pleine ville ... Tant pis, ce qui est fait, est fait. Arrête. Dit-il, simplement. Je n'suis pas un de ces pervers. Rajouta-t-il, pour lui faire comprendre qu'elle n'avait rien à craindre, même s'il savait pertinemment qu'il devait en rajouter un peu plus pour qu'elle arrive à lui faire confiance, du moins, pour qu'elle arrête d'avoir peur. Il se détacha, ce qui la fit sursauter. N'aie pas peur. Murmura-t-il avant de prendre sa veste sur les sièges passagers et l'approcher de la jeune femme pour la couvrir avec d'un geste lent pour ne pas la terroriser encore plus. Je sais pas ce qui m'a prit, mais je n'pouvais pas te laisser là-bas. Tu n'avais rien à faire là-bas. Oui, il avait volé à son secours en voyant le désarroi dans ses yeux, il avait voulu l'empêcher de tomber dans ce réseau avant d'y être coincée pour toujours. Dès que tu y mets les pieds c'est foutu. Excuse-moi si je t'ai fait peur, ce n'était pas voulu ... Je m'appelle Teïlo. Dit-il d'un air léger, posant sa main contre le volume de la radio pour baisser le son. Il espérait ne pas l'avoir prit de court, ne pas l'avoir terrorisée. Au pire, elle pouvait toujours ouvrir la portière et s'enfuir en courant, il ne la retiendrait peut-être pas. Non, peut-être pas. Pourquoi ? Parce qu'il sentait qu'elle avait besoin d'aide. C'était peut-être à son état, à ses larmes, à son regard, il n'en savait rien.

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MessageSujet: Re: Game # don't cry ... Game # don't cry ...  EmptyJeu 3 Mai - 17:33

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« SAUVETAGE IMPROVISÉ »,
Les regrets permettent la parole, mais la douleur est muette.
Le doux ronronnement du moteur caresse tes tympans. La musique qui flotte dans l'auto ne te rassure en aucun point. Elle va plutôt fort, pas assez pour te faire oublier tes pensées. Tu retiens un long soupire de s'échapper de tes lèvres. On t’a longtemps encré dans le cerveau que tu te devais être professionnelle. PROFESSIONNELLE. Ce mot que tu as finir par haïr comme aucun autre. Encore plus que la mort. Tu regardes à travers la fenêtre, fuyant du mieux que tu peux, le regard de l'homme assis à côté de toi, pourtant tu parles. Tu débites un flot de paroles qui n'ont aucuns sens à tes yeux, ils sont tout simplement absurdes et dénués de tout sens, seulement tu continues, sans t'arrêter. Ton corps est soudainement pris de quelques tremblements. La peur devient physique et tu penses au moment où il baladera ses mains le long de ton corps pour le souiller à jamais. C'est une vraie torture. « Arrête. » Il te force à te taire en même temps que le moteur de la voiture ne se coupe. A travers la fenêtre, et malgré la nuit, tu remarques, quelques détails qui rendent le lieu inquiet. Inquiet parce que seule la pénombre vous entourait. Tu ne savais pas où il t'avait emmené, mais c'était loin de la ville, loin de ta vie, loin de toi. Tu restes muettes, incapable de sortir le moindre son audible de ta bouche, tu es comme tétanisée. « Je n'suis pas un de ces pervers. » C'est toujours ce qu'ils disent. Comment faire confiance à un être qui s'arrête aux putes? C'est simple, on ne lui fait pas confiance. Alors tu restes dans ton coin, toujours sans lui adresser le moindre regard, même furtif. Tu as trop peur de remarquer, que ses traits si doux que tu avais pu observer la première fois que tu avais posé le regard sur lui ne se soient transformer en ceux d'un pervers désireux de ton corps. « N'aie pas peur. » Ces simples mots ont le don de faire exploser ton coeur en mille morceaux. N'aie pas peur, n'aie pas peur. C'est ce qu'IL te répétait sans cesse quand IL remarquait le doute à travers ton regard bleu profond. Tes yeux se mettent à picoter et les sanglots menacent ton visage. Tu dois être forte. Le calme revient peu à peu. Tu sens du mouvement à côté de toi. Tu penses que c'est le grand moment, celui où il te demandera de faire ta petite affaire avant de te jeter comme une mal-propre une fois terminé. Tu sens qu'il va tenter une approche. Tu frémis de peur et tu fermes les yeux, te préparant au pire. Seulement, tu sens simplement un bout de tissu te couvrir. Surprise, tu détournes les têtes vers l'homme assis à côté de toi. « Je sais pas ce qui m'a prit, mais je n'pouvais pas te laisser là-bas. Tu n'avais rien à faire là-bas. » Tu restes muette une nouvelles fois. Cette fois, parce que tu ne sais pas quoi dire, prise de court. Tu t’attendais à tout sauf à ça. Ton regard se plonge instinctivement dans le sien, tu n'oses malgré tout, pas lui sourire. De toute manière, l'envie n'y est pas. « Dès que tu y mets les pieds c'est foutu. Excuse-moi si je t'ai fait peur, ce n'était pas voulu ... Je m'appelle Teïlo. » Son air léger te rassurait presque quant à ses intentions avec toi. Tu baisses alors les yeux vers tes cuisses à présent recouvertes. « Je.. je sais. » Tu souffles ses lettres avec difficultés. S'il savait à quel point, tu étais consciente dans ce dans quoi tu t'embarquais. Tu as grandi entourée de ce métier, il s'est comme encré en toi, petit à petite. D'abord, avec ta mère, puis ta soeur. « Game. » Tu souffles ton prénoms en prononçant bien chaque syllabe. Ce même prénom dont tu n'es pas fière. Celui qui t'avait valu de longues heures de souffrance par les moqueries de tes anciens camarades de classe et qui refléterait à merveille l'activité à laquelle tu te risquais à présent. A travers ce prénom, tu as compris ce que ta mère attendait de toi. Tu n'ajoutes rien de plus et tu poses les yeux sur ses doigts qui viennent de baiser le volume de la musique.


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MessageSujet: Re: Game # don't cry ... Game # don't cry ...  EmptySam 5 Mai - 20:49

« Je.. je sais. » Te souffle-t-elle, à peine sûr d'elle. Toi, tu la fixe, sans prendre conscience que tu es peut-être en train de la terroriser. Tu la fixes. Simplement. Normalement. Comme tu fixerais quelqu'un que tu connais depuis longtemps. Pas comme si elle était différente. Non, surtout pas comme si elle était différence. Ca serait la détruire à petit feu, et tu en es conscient. Tu les connais, tu sais comment agir, mais tu es ... Troublé. Troublé par ses yeux qui te fixent, elle dégage quelque chose que tu n'arrives pas à contrôler, c'est surement ce qui t'as poussé à t'arrêter. Tu n'en sais trop rien, mais au final, tu t'en fiche. Tu laisses tomber tes pensées pour te recentrer sur elle. Attendant simplement qu'elle reparle. Qu'elle te dise quelque chose, même quelque chose d'insolite, tu t'en fiches, tu veux qu'elle parle, parce que tu sais que la parole, c'est la mise en confiance, alors tu attends. Peut-être devrais-tu baisser le regard, mais tu n'y arrives pas. « Game. » L'entendis-tu souffler sur le même ton que précédemment. Mais elle était déjà plus convaincante. Tu mesurais la situation. Original comme prénom. Mais qu'est-ce que tu peux bien dire, le tien n'est pas mieux au fond non ? Tu baisses tes yeux vers le poste de radio, tu baisses le volume par reflex. Pourquoi ? T'en sais rien, juste, tu sais, peut-être que le son peut la déranger, peut-être que ça peut aider. Ou au contraire, elle préfère peut-être la musique. T'en sais rien, tu la connais pas, et pourtant, elle est là, avec toi, dans ta caisse, à te regarder. Je ... Hum ... Tu veux que j'te dépose quelque part ou alors ... Oui, tu hésitais, tu savais pas comment lui proposer ce genre de choses. C'est pas ton genre, et pourtant, t'en a envie. Si t'as besoin de t'éloigner, si tu veux pas rentrer chez toi. Tu peux venir chez moi t'sais. Enfin, c'est une proposition, libre à toi de refuser. C'est juste que ... Tais toi. Tu t'embrouilles, mais tu continues, franchement, tu sais où t'as la tête, tu essaie de réfléchir, de trouver les bons mots, mais ne te viens, au pire, qu'est-ce qu'il peut bien se passer ? Elle te dit non. Oui, et si elle dit non, elle repart là-bas et dieu sait comment elle peut finir. Tu veux pas. C4est tout, tu veux pas, c'est inexplicable, c'est comme ça.

J'ai tenté le "tu" U_u


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