| Sujet: (F) MARIES MAIS C'EST COMPLIQUE - I'M NOT PUSHIN' YOU AWAY ! ☆ Mar 1 Mai - 17:42 | |
| Diane prénom² Otstreicher les grandes lignes: Diane prénom² Ostreicher; vingt sept ans; chroniqueuse dans un magasine de mode en vogue; jalouse, violente, impulsive, créative, amusante, capricieuse, possessive, rancunière, caractérielle; Elle est mariée avec Reese depuis près de quatre ans, elle est issue d'une famille très riche et elle travail dans le domaine de la mode, elle à fait ses études au même endroit que Reese, elle est maman d'une petite fille de deux ans et demis qui se prénomme Charlotte. Après avoir accouché de Charlotte Diane est tombée en dépression et s'en est difficilement remise, la tromperie de Reese avec une de ses étudiantes lui a presque donné le coup de grâce, elle lui en veux et lui fait payer son geste chaque jours et même devant leur fille elle n'hésite pas à le provoquer. Le reste est assez libre ce personnage vous devez le faire vivre, il vous appartient en partie, je n'ai que les droits d'auteur de la base, enfin je ne sais pas si ça se dit mais c'est pas grave.❆ précisions sur le lien: Reese et Diane ne se sont jamais parfaitement bien entendus, toujours en perpétuel désaccord mais ils s'aiment comme des fous et se détruisent presque mutuellement, depuis quelques jours ils se disputent devant Charlotte. Diane est souvent la première à venir chercher la petite bête, ils vivent encore ensemble et cela fait plus de six mois qu'ils font chambre à part; Reese à entretenu une liaison de presque huit mois avec une de ses étudiante, liaison qu'il à finit par avouer à Diane. ❆ lien négociable? non pas du tout ❆ pseudo négociable: Pas vraiment, non, étant donné que dans ma fiche de présentation elle se prénomme Diane ❆ idées de célébrités: Sarah Michelle Gellar , Kristen Bell, Natalie Portman, Alessandra Ambrosio, Katie Cassidy. il s'agit juste de donner quelques idées afin d'en discuter plus précisément une fois le scénario inscrit. ❆
- citation:
« Papa ! » je sentais quelque chose tirer les couvertures, j'avais les muscles du cou qui me tiraient, j'avais encore une fois mal dormis, je tournais la tête vers Charlotte - ma fille – et je soupirais, il ne devais pas être loin de sept heures et demis, je soupirais et je la prenais sur moi en tentant de garder les yeux grands ouverts, je la regardais en souriant et je la laissait se blottir contre moi, elle n'était pas bien réveillée c'est que j'avais eu de la chance. Quand je me suis réveillé elle était assise juste à côté de moi et il était neuf heures, je me décidais donc à bouger mon arrière train . Je la faisais descendre du matelas – enfin, du canapé dépliant dans lequel je dormais depuis plus de cinq mois maintenant. Je l'emmenais au salon et je l'installais devant la télévision, c'est beau d'avoir trois ans. Je préparais son biberon dans la cuisine et quand je vint lui apporter elle me dit « J'ai vu tonton hier ! » je gardais donc le biberon dans la main et je la regardais sans comprendre, j'étais rentré tard et mon frère ne m'avait pas prévenu qu'il passait, cela aurait d'ailleurs été surprenant étant donné qu'il est actuellement en mission pour l'armée. Je prenais place à côté de charlotte et je passais ma main dans ses cheveux « Tu as vu tonton hier, tonton Ross ? » je lui souriais – Ross est mon frère aîné – mais elle secouait la tête de façon négative, je me redressais en prenant soin de laisser entre les mains de mon ange son lait chocolaté. Je montais l'escalier et j'ouvrais brusquement la porte de ce qui était ma chambre, j'ouvrais la lumière et je jetais le peignoir de ma femme à cette dernière « Toi tu te lèves, il semblerait qu'on ai des choses à se dire. » Je redescendais au salon, je me servais un café tout en regardant les dessins animés du comptoir en bois qui délimite le salon et la cuisine. J'entendais la bête se lever et sortir de la chambre, elle descendait dans son peignoir de soie blanche tel une fleur ce qui me chiffonnais déjà et dieu sait que de bon matin je suis facilement irritable. Je terminais mon café, elle, elle avait déjà embrassé le front de Charlotte, elle se tenait derrière le comptoir avec un bol de lait et des biscuits. Je nettoyais ma tasse, le fait que Charlotte ai croisé un des types que sa mère fréquente ne m'enchantait pas du tout et son comportement de gamine m’exaspérait au plus haut point. J'allais donner le bain à Cha', je la laissait tranquillement barboter dans dix centimètres d'eau ; Diane passait par là et j'attrapais son bras, je poussais la porte pour que le petite ne soit pas témoin d'une autre dispute violent entre ses parents. « On était d'accord, si ça te chante tu peux te taper tout les hommes sur cette planète mais t'en ramène aucun à la maison. » je la fixais avec cet air, cet air froid et sérieux que je sais si bien prendre maintenant, mais elle soutenait mon regard, elle en riait presque et je bloquais la porte à l'aide de la serviette que j'avais sur l'épaule « Moi ça ne me fait pas rire, j'ai pas envie que ma fille grandisse en se disant que ramener n'importe qui à la maison c'est normal. » elle perdait on sourire maintenant, elle me poussait – mauvaise idée - « Qui est-tu pour me donner des leçons monsieur je couche avec mes élèves ! » j'inspirais en m'approchant d'elle « Je suis son père, si tu as quelqu'un à blesser c'est moi, ce sont nos histoires et j'ai pas envie qu'elle en souffre. » Elle hochait la tête, entre ouvrant les lèvres « As-tu pensé que je pourrais souffrir quand tu as agis ? » je secouais la tête, je n'en revenais pas. « Charlotte n'a rien demandé, t'as aucunement le droit de la faire souffrir parce que j'ai déconné Diane et ça tu le sais ! » avais-je crié, je sentais la rage monter en moi, elle entre ouvrait la bouche mais notre violente conversation fut interrompue par la petite voix - de Grimlins - fière de Charlotte « Je suis propre Papa ! » je regardais un instant en direction de la salle de bain et je regardais une dernière fois Diane d'un air presque méprisant. « Ce n'est pas moi que tu blesses le plus en faisant ça Diane et ça tu le sais. » j'allais pour entrer de nouveau dans la salle de bain, j'avais poser ma main à plat sur la porte mais elle avait attrapé mon bras, me donnant une violente gifle. « Je t'interdis de me faire passer pour une mauvaise mère ! » elle commençait à s'en aller mais je la rattrapais à mon tour, j'étais fou de rage, je faisais en sorte de ne pas hausser le ton mais j'admets que c'était un défi bien difficile à tenir, et elle me frappais à plusieurs reprises en criant des injures pendant que moi je tentais de la calmer mais c'était impossible. Je la plaquais violemment contre le mur en maintenant ses poignets « Ne recommence plus jamais. » l'avais-je menacer en la libérant presque à contre coeur.
VIENS EMMENE MOI LA-BAS, DONNE-MOI LA MAIN QUE JE NE LA PRENNE PASLa maison était vide, ce week-end les parents de Diane gardaient Charlotte, je venais juste de me réveiller il ne devait pas être loin de dix heures, j'entendais à l'étage en dessous du remue-ménage,. Je me redressais, les stores étaient encore clos dans ma chambre, seuls deux ou trois malheureux rayons de soleil osaient s'aventurer dans mon antre, j'enfilais mon marcel blanc et je sortais du bureau qui me servait de chambre depuis trop longtemps maintenant, je descendais les escaliers doucement passant mes mains sur mon visage en grognant. Je me dirigeais dans la cuisine et Diane était là en train de déjeuner sur le comptoir en bois, elle portait simplement sa sortie de lit en soie noire – j'admets avoir glisser quelques petits regards vers le bas de son dos, que voulez-vous je suis un homme. « Bonjour. » dis-je simplement, elle ne se retournait pas vers moi et ne me répondais pas. Je soupirais en faisant rouler mes yeux dans leurs orbites, je sortais une tasse du placard et j'attendais mon café mais j'ai reposé la tasse sur le plan de travail pour venir coller mon buste au dos de ma femme, je passais mes mains sur son ventre et j'embrassais sa tempe « Je peux savoir à quoi tu joues ? » je la relâchais légèrement refroidis - non mais quelle idée ! - elle se tournait face à moi et me repoussait rapidement avec force « Tu te sens bien ? » j'aurais aimé lui répondre que j'en avais besoin, mais ma fierté me retenait « J'aurais dû demander le divorce il y a bien longtemps. » je croisais les bras, le visage très sérieux et je m'approchais d'elle « Et qu'est-ce que tu attends dans ce cas ? » me dit-elle narquoise – je t'aime... - j'avalais ma salive et la coinçait contre le frigidaire, Diane avait gardé son sourire « Je t'écoutes... » je donnais un coup juste à côté de son visage ce qui la fit sursauté « Je te hais. » Je me retirais, me servant mon café quand un espèce de projectile – un bol en verre – fut lancé à tout vitesse dans ma direction, je lâchais ma tasse en tentant d'esquiver l'objet qui finit par se briser contre le mur. Diane se tenait là face à moi, elle tenait dans sa main une assiette – notre service de mariage. « Mais t'es cinglée ?! » WELCOME TO THEIR LIFE ! WELCOME TO THEIR LIFE ! WELCOME TO THEIR LIFE ! WELCOME TO THEIR LIFE ! WELCOME TO THEIR LIFE ! WELCOME TO THEIR LIFE ! « Mais regarde-nous... » j'étais assis sur les premières marches de l'escalier, je l'entendais, Diane s'était arrêtée et se tenait contre l'encadrement de la porte, elle baissait les yeux en se mordant la lèvre inférieure. « Je t'ai demandé pardon pendant six mois... » je levais le regard vers elle, passant ma main sur mes lèvres j'inspirais « Dans ma vie je n'ai demandé pardon que deux fois et à une seule personne, toi. » Elle passais sa main dans ses cheveux en détournant le regard « J'en peux plus de m'excuser, je suis lassé de te demander pardon. » Sa voix était tremblante, elle s'approchait de moi « Tu n'as pas juste ''couché'' avec elle, pendant huit mois putain ! » je fermais les yeux, je passais mes mains sur mon visage « Je sais... » elle venait s'adosser au mur qui me faisait face, les larmes coulaient sur ses joues « Arrête de pleurer. » avais-je soufflé, en un éclair elle était de nouveau debout et me rouait de coups « ARRÊTER QUOI ?! ARRÊTER QUOI PUTAIN ?! » je la maîtrisais en maintenant ses poignets bien fermement. Je me dis parfois que je suis tellement en tort qu'elle à toutes les raisons du monde d'agir comme elle le fait, je savais qu'elle ne me pardonnerait pas en deux jours.
Dernière édition par Reese Ostreicher le Mar 1 Mai - 20:45, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: (F) MARIES MAIS C'EST COMPLIQUE - I'M NOT PUSHIN' YOU AWAY ! ☆ Mar 1 Mai - 18:52 | |
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Merci à toi Ô invité, merci de lire mon scénario, malheureusement les nom et prénom ne sont pas négociables, le lien non plus, disons que j'aime l'effet couple explosif, bien sur j'aimerais quelqu'un qui ai un bon orthographe, non je ne suis moi-même pas prof de français et je fais des fautes je le sais bien mais un minimum tout de même. Après je construirais un temple à celui ou celle qui prendra mon scénario en plus j'ai des cookies si jamais, je donnerais même une licorne et j'en passe, ma boîte à Mps est grande ouverte.
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| Sujet: Re: (F) MARIES MAIS C'EST COMPLIQUE - I'M NOT PUSHIN' YOU AWAY ! ☆ Mer 2 Mai - 23:06 | |
| Si tu veux bien de moi en Jessica Alba, je suis là. :) |
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| Sujet: Re: (F) MARIES MAIS C'EST COMPLIQUE - I'M NOT PUSHIN' YOU AWAY ! ☆ Mer 2 Mai - 23:41 | |
| OMFG je ne refuse pas merci, merci beaucoup ! |
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| Sujet: Re: (F) MARIES MAIS C'EST COMPLIQUE - I'M NOT PUSHIN' YOU AWAY ! ☆ | |
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