Judas Vantini a écrit:

ouaish jimmy, d'où tu critiques mon espagnol, puis l'italien.
allez le bac c'est une grosse mais grosse blague quand j'y pense je regrette d'avoir révisé autant.

Ouais, une fois qu'on l'a vécu, ça semble facile. Et l'italien, je ne critique pas mais pour moi, l'espagnol, ça pue.

Anais, on aura notre bac, de toute manière, on fait pression si besoin.
Et merde pour l'éco, c'est du chinois pour moi.

Coca; les maths ne sont pas aimés. Surement qu'ils feront ça, car quand j'entends comment était la classe de TL de l'année dernière (que je connais bien) et qu'il y a eu 100% de réussite au bac... Je me dis que si je n'ai pas mon bac, je peux de suite faire clochard professionnel.

Limite, les dates en histoires (sauf certaines comme Mai 68 etc), c'est osef, suffit surtout de savoir comment tout s'est emboité. Surtout que notre programme est sur la période de 1945 à nos jours en majorité (construction européenne, émancipation des colonies, de la 4ème à la 5ème république, la guerre froide...). Du coup, c'est un stresse évité.

Ouais, on nous a dit pour le sujet 2 et même 1. OSEF, j'ai pris le sujet 3 en mode gros glandeur. Non mais j'avais parié De Gaulle / Rabelais... Je suis devin. Problème: je ne connaissais pas Frère Jean mais j'en avais discuté vite fait avec une amie genre 20 mn avant le bac de littérature, du coup, j'ai réussi à placer des trucs. En sautant des lignes, deux copie double pleines. Yahaaa ! Demain, on va morfler mes cocos. Mais ça va aller Alexia, les correcteurs de philo n'étaient pas chauds pour les deux premiers sujets, et risquent d'être indulgents.

OUI MAMIE. Donc la galère vu le programme chargé qu'on a eu (ou pas vu les leçons qui ont sauté par manque de temps ).