CELSIA & BRETZEL ○ Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rappées dans l’emballage.
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CELSIA & BRETZEL ○ Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rappées dans l’emballage.

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MessageSujet: CELSIA & BRETZEL ○ Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rappées dans l’emballage. CELSIA & BRETZEL ○ Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rappées dans l’emballage. EmptyMer 27 Juin - 18:34

Beaucoup de gens détestent faire leurs courses, ils estiment qu’ils perdent leur temps, que ce n’est pas intéressant, qu’ils ont d’autres chose à faire. Pour Bret’ c’est tout le contraire ! Elle adore aller au supermarché, tellement qu’elle y va presque tous les jours, même si ce n’est que pour acheter une boite de converse dont elle aurait pu se passer pour le moment. On peut trouver la demoiselle partout, mais il y a plus de chance de la trouver soit au parc, au stade, chez hogan ou au supermarché. A force de venir elle commence à connaître tout le monde et tout les rayons. Parfois elle s’amuse à conseiller les gens comme-ci elle travaillait là. Plusieurs fois elle a songé à ne plus être vendeuse de pianos, même si ce job occupe très peu de son temps, pour devenir vendeuse, mais elle sait qu’elle s’en lacerait vite, comme elle se lasse vite de beaucoup de choses. Elle ne pourrait pas faire ça toute la journée, être sous les néons, elle ne le supporterait pas, elle a besoin de l’air frais de Montsimpa. Son rayon préféré reste celui des fruits et légumes, déjà parce qu’elle adore ça et que ça l’amuse de prendre des trucs au nom bizarre, mais aussi, elle adore passer sa main dans les brumisateurs qui sont censés être destinés aux fruits et légumes. Parfois, lorsqu’elle va au supermarché, elle ne sait même pas pourquoi elle y va ! Armée de son sac en tissu recyclé beige et vert – parce qu’elle est un peu écolo’, mais pas trop non plus, juste par principe – elle se dirigea vers l’entrée du magasin. Devant celle-ci elle remarqua quelques personnes armées elles d’un appareil photos qu’elle jugea performant, alors qu’elle n’y connaît absolument rien en appareil photos. Ce n’est pas un spectacle qu’on voit tous les jours, en général, cette scène arrive plutôt devant les boites de nuits branchées à Bridgeport. A Montsimpa, c’est beaucoup plus rare, en effet la ville en beaucoup plus « normale », pas de fans hystériques qui courent partout ni de stars interplanétaire tel Lady Gaga ou Madonna. Une fois sa surprise passée, Bretzel dit bonjour aux caissières qu’elle n’avait pas encore vu aujourd’hui et s’engouffra dans les rayons. D’abord celui des fruits et légumes, où elle passa un bon quart d’heure, en ayant pour seul butin une botte de carottes qu’elle a soigneusement scrutée sous tous les angles pour s’assurer qu’elles soient toutes bonnes. Elle partit ensuite vers les biscuits, bonbons et compagnie. Comme tout le monde, même si elle n’est pas une grande fan des choses ultra sucrées, elle mange des bonbons. Elle prit donc un paquet de dragibus qui sont ses bonbons préférés. La demoiselle chercha ensuite ses biscuits, ceux qu’elle prend tout le temps et dont elle pourrait manger trois paquets par jour. Connaissant par cœur le magasin, elle regarda à l’emplacement habituel, ils n’y étaient pas, à la place, un paquet de gâteaux que Bretzel détestait. Elle regarda dans tout le rayon où ils pouvaient être, et c’est finalement en levant la tête qu’elle remarqua qu’ils étaient tout en haut. Bretty n’est pas très grande et peu même être considéré comme petite du haut de son mètre soixante-trois. Elle leva la main et essaya en vain d’attraper le précieux paquet, en vain. Ensuite elle se jeta presque dessus, toujours sans résultats. Pourquoi le monde est-il si injuste et cruel ?
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MessageSujet: Re: CELSIA & BRETZEL ○ Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rappées dans l’emballage. CELSIA & BRETZEL ○ Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rappées dans l’emballage. EmptyJeu 28 Juin - 19:34


CELSIA & BRETZEL ○ Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rappées dans l’emballage. 213317lucyguotumblr3
LIFE THROUGH THEIR LENS
c'est drôle comme on peut être normal, faire ses courses en traînant un panier débordant de produits inutiles attrapés sur un coup de tête, attendre trois plombes à la caisse ; vivre simplement même lorsque les appareils attendent leur photo derrière les portes coulissantes.

J'aurais pu être mannequin, en fait. C'aurait été moins étrange d'être suivi par la découpe des flashs de temps à autre. Je sais pas trop si les photographes m'aiment pour mon art ou pour ces jolies jambes émergeant de sous de jolies robes. C'est bizarre, en fait, parce que le grand public ne me connaît pas - tout le monde sait que ceux qui s'intéressent de près au monde de la peinture ne courent pas les rues. Ce qui explique que, généralement, les gens sont un peu déstabilisés par la présence des rats de la presse, ne sachant trop autour de qui ils peuvent bien venir s'agglutiner ; s'explique aussi le regard intrigué, indigné parfois, des ignorants qui passent et passent près de l'essence de leur vie à rejeter les seules curiosités de leur quotidien.

En tous cas, les photographes ne m'empêchent pas d'être normale. Peut-être est-ce ça qui choque les gens. On nous balance les images des grandes stars du cinéma, on nous fait bouffer leur vie comme un film presque, quelque chose de si élitiste, chic, spécial. Différent. On nous gave jusqu'à ce qu'on oublie que ce sont des gens comme nous, finalement ; et on les gave jusqu'à ce qu'eux même cessent de se souvenir qu'ils peuvent vivre simplement. Peut-être justement est-ce le milieu de l'art qui me garde les yeux ouverts, mais qu'importe le degré de ma célébrité du moment que je fais ce que j'aime et que je peux encore me complaire dans une bulle, un espace intime, une existence dénué des dégoulinantes dérivations de ceux qu'on érige en idoles.

Ouais bon, tout ça pour dire que ce jour-là, comme un autre, je fais mes courses en traînant mon petit panier comme tout le monde ; je chope des pâtes parce que c'est vite fait, des conserves, ce genre de choses. Quelques photographes attendent sur le parking. Faut dire que les médias sont pas habitués à ce qu'une peintre jeune et jolie devienne connue comme ça, alors ils profitent pour capturer les bouts de formes qui font vendre. En attendant, je savoure la fraîcheur des rayons réfrigérés, je mets trois ans à choisir un jus de fruits original, j'attrape des paquets de gâteau un peu au hasard. Et puis je tombe sur elle. Cette petite blonde qui fixe un petit paquet tout en haut de l'immense rayon. Je sais pas trop si elle cherche à le dévorer du regard ou si elle le supplie de tomber de lui-même dans son panier avec une moue du genre chat potté, mais ce qui est sûr c'est qu'elle désire ardemment choper la boîte qui la nargue de toute sa hauteur. J'dois dire que je ne suis pas beaucoup plus grande qu'elle, ayant troqué mes compensés en corde contre des sandales plates et simples.

J'ai à peine le temps de remarquer dans une illumination soudaine que j'ai, par miracle, le même paquet que celui qu'elle veut entreposé entre les pâtes et les haricots en boîte que la fille se met à bondir, se jetant sur son dévolu sans remarquer qu'elle fait tomber en pluie les paquets les plus au bord en dessous. « Eeeh, tu veux que le rayon s'écroule sur toi ou ? » je lance dans un sourire avant de lui tendre ce qu'elle semble tant désirer : « tiens, je l'ai balancée dans mon panier sans même m'en rendre compte en fait ; je crois que ça te fera plus plaisir qu'à moi ! » je dis en inclinant la tête vers elle, un large sourire aux lèvres.


bann@tumblr (lucyguo)
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MessageSujet: Re: CELSIA & BRETZEL ○ Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rappées dans l’emballage. CELSIA & BRETZEL ○ Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rappées dans l’emballage. EmptyDim 1 Juil - 13:59

Son seul objectif aujourd’hui était peut être d’attraper ce foutu paquet de gâteaux qui la narguait du haut de son rayon. Pour l’avoir, elle aurait été capable d’empiler toutes les boites de conserves du magasin et de monter dessus pour être assez grande. Mais ce n’est pas dit qu’elle aurait l’idée de le faire vu l’intelligence dont elle fait preuve en général. En effet il et rare que des éclairs de génie ou tout simplement d’intelligence ne surviennent. Si elle était doté d’un soupçon d’intelligence ou de culture peut être que tout son caractère positif et insouciant disparaîtrait pour laisser place à la peur du monde qui nous entoure et qui se détruit chaque jour un peu plus. Bretzel ne s’intéresse que très peu à l’actualité mondiale, et à l’actualité en général ! Elle semble ignorer toutes les guerres et conflits qui sévissent tout autour de la terre, peut être est-ce elle qui a fait ce choix de ne rien savoir plutôt que de se sentir obligé d’être triste pour apporter comme un soutient à ceux qui se battent, pour leur dire « vous voyez on pense à vous » alors qu’en réalité chacun vit sa petite vie sans se préoccuper des guerres qui ne nous touchent pas directement. Bretzel fait partie de ses gens qui préfèrent ignorer plutôt que de compatir hypocritement. Les seules actualités qui la passionne un peu et encore, c’est celle qui font sourire et non pleurer, celles qu’on voit à la fin d’un JT pour remonter le moral des gens après qu’ils aient vu des personnes périrent dans un attentats, d’autres à la guerre et la crise financière qui n’en finit plus de détruire le monde pour nous mener tout droit à une troisième guerre mondiale. Bretty reste très renfermée sur la région de Montsimpa, elle n’en sort que très peu souvent. Au lieu de parler de la guerre, l’élection d’un nouveau président, ce genre de choses, elle parle des ragots qui circulent en ce moment. Mais que ceux qui concernent les gens normaux, ceux qui ont un job normal, une vie normal ; pas les stars qui vivent dans les hautes sphères de la société dont Bret’ aurait pu faire partie vu l’argent qu’elle possède, mais elle a préféré être comme tout le monde. Pour en revenir à nos moutons, alors qu’elle galérait toujours et juste après s’être jeté contre le rayons des gâteaux, presque énervée ; une jeune femme, sans doute un peu plus jeune qu’elle, mais pas beaucoup, s’avança vers elle et lui dit, comme phrase introductive « Eeeh, tu veux que le rayon s'écroule sur toi ou ? » Bretty tourna la tête vers la demoiselle, un sourire aux lèvres, comme souvent d’ailleurs. Elle n’est que très rarement triste ou énervée c’est une sorte de miss soleil qui serait capable de remonter le moral à un dépressif près à se suicider. « je crois que si j’attrape ce paquet je vais lui faire sa fête ! » elle lui tendit ensuite un paquet de gâteaux, qui semblait être celui qu’elle voulait tant ! « oh merci, c’est trop gentil. » dit-elle avant de tourner la tête vers les vitres du magasin où les photographes étaient toujours là à l’affût de la moindre célébrité, ou copain d’une célébrité, ou quelqu’un ayant un quelconque lien avec une personne connue. « vous savez ce qu’ils font là ? Parce que j’aime bien regarder les actualités des célébrités dans les magasines parfois, mais bon c’est pas en regardant quelqu’un faire ses courses qu’ils vont avoir un scoop, enfin j’pense pas !»
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