| | L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 12:16 | |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] ∞ nom : pitsberg ∞ prénom : hélyna ∞ âge et date de naissance : 22 ans, née le 17 juin 1990 ∞ lieu de naissance et origines : San Francisco, étasunienne. ∞ études ou profession : ouvrière ∞ statut civil : célibataire. ∞ traits de caractère : impulsive, têtue, colérique, fragile, indépendante, croyante et pourtant très terre-à-terre, souvent perplexe ∞ groupe et aspiration : Sims Ordinaire, aspiration fromage fondu.☇ CROIS-TU AUX CRÉATURES DE LA NUIT, AUX ÂMES ERRANTES ET A CE GENRE DE CHOSES ? J'aimerais y croire, pour que les démons du passé qui me hantent deviennent des fantômes à qui je pourrais parler pour oublier la douleur de leur absence... mais ce n'est pas possible, je le sais. Donc, non, je n'y crois pas vraiment. Ou du moins, j'essaye de ramener ma raison au delà de mes envies. ☇ SI OUI, AIMERAIS-TU EN DEVENIR UNE, OU PLUTÔT LES COMBATTRE ? J'aimerais les comprendre si elles existent... ☇ TE PLAIS-TU A MONTSIMPA/BRIDGEPORT ? Oui, et même si ce n'était pas le cas, je n'ai pas les moyens de partir... ☇ TOI, LES ENFANTS, LE MARIAGE, T'EN DIS QUOI ? Je ne sais quoi en penser, j'essaye d'abord de penser à pouvoir payer mon loyer... ☇ TON RÊVE LE PLUS FOU, C'EST QUOI ? Ne plus avoir à travailler autant pour juste survivre... |
☇ TES MAUVAISES HABITUDES; se remettre les cheveux derrière les oreilles alors qu'ils lui vont bien mieux quand ils n'y sont pas • se mordre les lèvres quand elle est anxieuse • toujours faire les calculs plusieurs fois pour s'assurer qu'elle ne s'est pas trompée, même si elle est forte en calcul mental • vouloir parfois trop bien faire et au final faire encore moins bien que prévu • regarder l'heure sur son portable quand elle a sa montre autour de son bras • refuser d'aller au cimetière car penser que la véritable pensée ne se fait pas là-bas, mais chaque jour dans le quotidien • avoir toujours peur du lendemain et donc réfléchir avec minutie en tentant de repousser l'impulsivité • ne jamais être sûre avant d'avoir eu une preuve réelle • se mettre à crier quand elle croise une araignée, puis renier qu'elle a eu peur devant les autres • tenter d'avoir du confort quand on ne peut s'offrir que le minimum • taper deux fois de suite son mot de passe, au cas où la première fois elle aurait fait une fausse manipulation • se retenir de dire ce qu'elle pense pour ne pas blesser les gens, avant d'exploser violemment à leur visage, les blessant encore plus • toujours avoir peur d'être mal comprise, et donc tenter toujours de trouver des mots mieux, la phrase parfaite • ne jamais croire la météo, surtout quand elle dit vrai mais qu'elle annonce du mauvais temps • oublier son portable chez elle, sur sa table de chevet, et s'en rappeler en route • ne jamais faire le premier pas, surtout quand c'est avec le téléphone portable.
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∞ prénom et pseudo : Aurélie/neveragain ∞ âge : 18ans ∞ sexe : Tout le monde sait qu'Aurélie est masculin... Colonel Reyel l'a pourtant bien expliqué avec la twingo ! ∞ comment as-tu connu le forum ? un hasard nommé Marine ∞ t'es plutôt du genre à traumatiser tes sims où à aimer les belles et grandes familles parfaites ? un peu les deux lol. ∞ raconte-nous ta vie : J'emménage dans mon appart dans une semaine =D ∞ tes autres comptes sur pwl : aucun autre actuellement ∞ célébrité : Mila Kunis.
Dernière édition par Hélyna Pitsberg le Sam 25 Aoû - 16:25, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 12:25 | |
| Tous les matins commencent de la même manière. Vous vous réveillez, soudainement, soit car le rêve est trop étonnant, soit car la réalité est trop violente pour vous laisser continuer le rêve. Un réveil qui sonne, un coq qui chante. Ou un silence trop inquiétant. Il y avait pleins de raisons qui pouvaient vous faire vous réveiller. Mais de toute façon, il fallait se réveiller. La journée devait toujours commencer, et la vie aussi, avant de pouvoir se terminer. Il était 10h47 quand Hélyna se réveilla. Elle criait, très fort, pleurant alors qu'elle respirait réellement pour la première fois. Elle n'imaginait pourtant pas la vie qui l'attendait. Pleurer parce qu'on respire et qu'on est bien, c'est une sensation que nous n'avons que trop rarement. L'enfant l'apprendrait bien rapidement. Cette mère qui l'avait permis de vivre refusa de la voir, ne serait-ce qu'une seconde, et l'abandon fut la première vraie partie de sa vie. Les parents adoptifs n'avaient pas été choisis au préalable, et ce fut donc un foyer qui accueillit la petite. Elle n'eut pas le temps de laisser sa mémoire s'imprégner réellement de cette époque puisque, à six mois, elle finit par trouver une famille dont l'amour serait suffisant pour l'aider. Ils n'étaient pas riches. Ils n'étaient pas parfaits. Ils n'étaient pas capables d'avoir des enfants. Mais ils étaient heureux de leur vie, et d'autant plus en accueillant cette petite chez eux. Le sourire de la petite les envahissait d'un bonheur qu'ils n'avaient plus jamais cru capable après les trois fausses couches de la jeune femme à qui on apprit l'impossibilité d'avoir des enfants après ces échecs violents. Les premiers pas, les premiers mots, les premiers jours d'école, tous ces moments passèrent à une vitesse folle. L'innocence des premières années s'effacerait de toute façon, et on le sait tous. Pour autant, nous ne pouvons rien contre ce processus qui retire peu à peu cette douce anesthésie que nous ignorions avant qu'elle ne soit supprimée. La douleur apparaît au fil des années, la compréhension ne l'accompagne pas tout de suite. Premiers amis, premiers secrets, premiers jeux d'enfants, premières bêtises, premier béguin. Tout s'accélérait jour après jour, tout allait toujours plus vite, mais nous ne pouvions rien contre. Nous ignorons où nous devrions freiner, nous ignorions si au bout ce sera un stop, une intersection ou un mur, mais nous ne pouvons décoller le pied de l'accélérateur, laissant l'adrénaline et le bien-être nous faire croire que tout ira bien. La vie n'était qu'une voiture incontrôlable. Nous avons tous pensé un jour ou l'autre pouvoir faire ce que nous voulions de ce véhicule, que nous étions maîtres de nos émotions, de nos choix, mais rien n'était vrai. Premier râteau, première déception, première fois, première déprime. Il fallait entrer un jour ou l'autre dans la vie adulte, ou du moins s'approcher, tant bien que mal, malgré la vitesse excessive, vers le tournant très dangereux. Aller tout droit serait une erreur. Croire que l'enfance était un terrain simple était faux. Les embuches étaient les mêmes, on les ignorait simplement, avant que la douleur ne vienne plus tard, pire que jamais. Il fallait le voir ce petit chemin de la raison, tout fin, bien caché dans la foret de la raison. La jeune Hélyna avait tenté de passer cette intersection avec douceur, vigilance, aidée de ses parents, mais ça aurait été très facile. Éjectés de la voiture. Elle se retrouvait seule dans cette carriole qui lui semblait désormais bien usée. Ils n'avaient pas pu continuer le chemin avec elle. Eux aussi, ils l'avaient abandonné. Mais eux, elle les aimait, et ils n'avaient rien pu faire. C'était la mort qui était contre eux, non pas un désir quelconque de renoncer à son enfant. Dix huit ans après ses premiers cris et pleurs, elle était dans le même état, mais l'euphorie qui l'entourait avait disparu. L'enfance n'était plus là. Elle avait eu un accident de parcours sur le chemin de sa vie, les éjectant, et l'emmenant sans le vouloir sur le petit chemin de la vie d'adulte, de la raison, et de l'indépendance. Elle n'avait pas voulu, mais elle n'avait pas eu le choix. Elle était désormais seule face à son lendemain. Jugée capable de subvenir à ses besoins, elle renonça à étudier. Adieu les jolis rêves d'enfants ou d'adolescents. La réalité l'avait réveillée. Dix-huit ans. Cherchant un travail. Ne pas faire sa difficile, aucunement et tout accepter, tout en restant dans le respect de la personne et de la légalité. Elle entrait donc à l'usine. La mauvaise étiquette que pouvaient avoir les ouvriers, elle s'en fichait. Elle devait vivre. Elle devait le faire pour eux. Elle n'avait pas le droit de laisser leurs cadavres sur le bord d'une route qu'elle refuserait d'emprunter, quitte à les laisser gésir là, sur le bord. Elle revoyait encore les flammes, parfois, qui détruisaient petit à petit les corps des personnes qu'elle avait le plus aimées. La situation avait été si bête. Ils étaient allés à la plage, une plage déserte, quand l'homme avait vu que sa femme ne réussissait plus à nager. Elle faisait une attaque en pleine eau. Il n'avait pas réussi à la ressortir, et était lui aussi décédé dans cet incident. Hélyna n'en ressortirait elle-même jamais indemne, alors même qu'elle n'avait pas été là. Mais elle devait passer à autre chose. Chaque jour qui passait, elle avait tenté d'oublier. Non, pas d'oublier. Elle avait voulu avancer, se dire qu'elle le leur devait. Depuis cinq ans, elle travaillait, dur, pour réussir à survivre, et malgré les difficultés, elle était toujours en vie. Elle en bénissait Dieu, en qui elle croyait. Il lui avait peut-être retiré ses parents, mais il les lui avait auparavant mis sur son chemin. Elle cherchait quelque chose à quoi s'accrocher pour continuer d'espérer en réalité. Elle n'avait jamais été croyante pour un sou avant. Mais la peur du lendemain changeait beaucoup de choses. N'avoir aucune certitude sur son avenir n'était pas chose facile, mais elle avançait, levant la tête vers le ciel pour s'excuser de trébucher sur ce qui était à ses pieds. Elle avait réussi à avancer pendant 5 ans, retroussant ses manches chaque jour un peu plus dans son métier pour vivre décemment.
Dernière édition par Hélyna Pitsberg le Sam 25 Aoû - 16:57, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 12:26 | |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 12:26 | |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 12:29 | |
| C'est bon de revenir, mais bon, il va me falloir du temps pour me remettre au rp hein et retrouver mes bonnes vieilles bases rpgiques et familiales, mais je compte sur vous tous pour m'aider. Eh oui, tu m'as REfait craquer saloupiote, mais j't'aime quand même ♥ Missed you and love you nasty girl ♥.
Merciiiiiiiiiii =D J'sais plus trop si c'est chez moi, mais je ferai tout pour que ce soit de nouveau le cas :) |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 12:31 | |
| (Re)bienvenue ! Bon courage pour ta fiche :) |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 12:42 | |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 12:48 | |
| Re bienvenueeeeee apparemment. trop bon choix d'avatar. Mila |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 12:49 | |
| JE VOUS AIME ♥
Merci à tous ! =) |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 14:15 | |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 14:20 | |
| mila kunis est un excellent choix orgasmique ** bienvenue parmi nous. |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 16:34 | |
| Merci à vous ! =D Mila est une bebom ! Yé finiiiiiiiii ! |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 17:01 | |
| Mila ! Rebienvenue |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 17:25 | |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 17:28 | |
| Merciii tout le monde Quentiiiiiiiiiiiin ! Ce que le smiley de lapin m'avait manqué *__* |
| | | ⊹ messages : 14694 ⊹ arrivée : 21/09/2011 ⊹ avatar : nina dobrev. ⊹ multinicks : non. ⊹ disponibilité : fermé ⊹ bonus à long terme : 3
| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 19:17 | |
| rebienvenue ma belle j'espère que cette fois-ci tu resteras [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]Après lecture de ta fiche, j'ai l'honneur de t'annoncer que tu es désormais validé(e), bienvenue dans ta nouvelle famille qu'est PWL * danse du string oblige :cooper: * Tu peux désormais te mettre en route et compléter déjà quelques petites choses essentielles pour que tu te sentes bien chez nous si si je t'assure ☇ Recenser ton avatar, parce que c'est important. Tu trouveras le bottin en cliquant sur [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. N'oublie pas que si tu ne recenses pas ton avatar, quelqu'un d'autre risque de prendre ton avatar par inadvertance puis le staff n'a pas les yeux tout le temps sur tout le monde même si on adore vous regarder ☇ Tu te sens un peu perdu, tel une brebis égarée de son troupeau ? Pas de panique, le staff et moi-même sommes là pour t'aider. Nous avons aussi mis en place un système de parrainage eh oui les parrains qui sont des membres du forum, sont là pour vous aider à vous sentir le plus à l'aise possible tu peux demander à être parrainé(e) en cliquant sur [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. La liste des parrains se trouve [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. ☇ N'oublie pas d'aller jeter un coup d’œil curieux aux annexes qui sont très importants sur le forum tu les trouveras [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. ☇ L'intrigue actuelle se trouve [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ouais on est trop sympathique nous on te donne tous les liens utiles je te conseille de bien regarder la partie sur les [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ça pourra t'aider ☇ Tu as la possibilité de te créer un petit coin à toi où personne ne pourra venir t'embêter - si on vient t'embêter contacte nous on s'en chargera - pour y rajouter ce que tu veux dedans, comme tes liens, tes rps en cours un peu comme un journal de bord quoi tu veux le créer ? pas de souci, alors clique [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] nous sommes persuadées qu'il te sera très utile ou encore les demandes de rangs en cliquant [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. ☇ Et enfin pour finir - ouais quand est-ce que tu vas t'arrêter de parler hein ? - n'oublie pas de voter pour nous toutes les deux heures en cliquant sur ce petit symbole [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ! N'oublie pas que chaque vote peut te rapporter un point de bonus à long terme si tu viens le signaler dans [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Alors ? Elle est pas belle la vie chez nous ? AMUSE TOI BIEN |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 19:55 | |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 20:31 | |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 20:33 | |
| Bah, j'ai voulu te faire une surprise ♥ Pi, je t'ai envoyé les MP, bizarres certes, mais fallait pas que j'gâche la surprise nan plus ♥ Tu m'as manqué aussi ♥ |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... Sam 25 Aoû - 20:44 | |
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| Sujet: Re: L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... | |
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| | | | L'absence en soi n'est rien. C'est la présence d'autrefois qui blesse réellement... | |
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