 |  Sujet: (m) SIM CELEBRITE - Toi et moi, nous ne formons qu'un, toi sans moi, nous ne sommes rien. C'est le commencement d'une nouvelle histoire, c'est la fin de notre vie... Mer 5 Sep - 15:51 | |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] ∞ les grandes lignes : ères, bref, tout ce qui pourra nous aider à visualiser le personnage. ⇝ ne parle jamais de sa vie et de lui. ⇝ ses parents sont morts lorsqu’il était petit, ils se droguaient. Son père est mort d’une overdose et sa mère s’est suicidée. ⇝ pousse des cris immondes lorsqu'il est en colère. ⇝ a tendance à ne faire que les mauvais choix ⇝ est amoureux de sa meilleure amie ⇝ est un artiste peintre. ⇝ est un juif converti au christianisme mais a reprit sa religion lorsqu'il s'est enfui de son pensionnat. ⇝ a longtemps vagabondé pour trouver un endroit où vivre. ⇝ a vécu toute son enfance dans un pensionnat chrétien. ⇝ son premier prénom est Thomas.∞ groupe conseillé : Je le verrais bien dans les sims célébrités car il vit de la peinture donc voilà ^^. ∞ célébrités envisagées : Emile Hirsch serait mon premier choix    Mais James Franco ou Dave Franco me va très bien. Robert Pattinson serait parfait aussi, ou même Alex Pettyfer. Mais il faut que l'avatar colle au personnage. Je vous laisse me proposer des noms :DPREMIERE PARTIE : L'amour... C'est toi qui me parle d'amour? Mon meilleur ami, mon frère, mon double... Tu es tout pour moi, mais tu ne seras pas cet homme là... ♣ J’ai passé huit ans dans cet internat dans la banlieue de New York. Je n’ai jamais eut beaucoup d’amies, d’abord parce que je ne fréquentais que des classes de filles, puis parce que j’étais différente. Tout le monde m’y appelait Andréa, mais moi, je ne répondais qu’au nom de Pâris. Je n’aimais pas mon prénom de fille, je préférais qu’on me considère comme quelqu’un d’irreprésentable, que les gens ne puissent pas me décrire comme une fille ou comme un garçon. Que les gens apprennent à me connaître sans se poser de questions. Or, les filles de l’internat étaient le genre de petites pestes à te coller une étiquette dès qu’elle posait le regard sur toi. Je n’aimais pas l’internat, et j’ai passé mes quatre premières années à vagabonder seule dans les couloirs des bâtiments, rasant les murs pour que l’on ne me remarque pas, écrivant quelques poèmes durant mes heures perdues, faisant des dossiers sur chaque personne de mon entourage, enquêtant sur eux, me posant des questions sur le pourquoi du comment. Oui, pendant quatre ans, je me suis ennuyée, et j’ai découvert des centres d’intérêt comme la littérature et le dessin. J’étais la meilleure élève de ma classe, la plus motivée, et pourtant la plus compliquée. Je pouvais être volontaire un jour et dormir éveillée le lendemain. Les profs n’ont jamais réussit à cerner qui j’étais. Mais ils m’aimaient bien, ils me trouvaient intéressantes et imaginative. Sûrement est-ce pour cela que j’ai eus accès aux classes masculines lorsque j’eus quinze ans. J’ai été transféré de l’autre côté de l’internat, et on m’a attribué une chambre à moi toute seule. Finit les soirées maquillages et bavardages. J’étais désormais dans mon univers. Les filles qui se trouvaient elles aussi de ce côté de l’internat étaient des filles différentes. Des filles homosexuelles, bisexuelles ou alors cinglées. Nous étions un peu les bêtes de foire, mais cela ne m’a jamais dérangé, car ensembles, nous nous sentions bien. Nous devions être une petite vingtaine, et c’est cette année que je sortis pour la première fois avec une fille. Elle s’appelait Marina. C’était une grande blonde, aux allures de mannequins mais à l’attitude masculine qui rappelait la façon dont pouvait se comporter un mec. A vrai dire, toutes les filles qui ont été de ce côté-là de l’internat sont devenues de vrai garçon à force de toujours en fréquenter. Les garçons qui m’abordaient étaient pour la plupart, de gros cons, mais un était différent. Il s’appelait Igor, et avait perdu ses parents tragiquement. Il n’avait plus de famille, pas d’amis, il était différent. C’est sûrement cette différence qui nous a unit. Rapidement, nous sommes devenus inséparables, et les élèves de l’internat se sont rapidement mis en tête qu’une romance était née. Mais ils avaient tord, j’aimais les filles, et lui aussi. Et même si Igor et moi avions une forte alchimie, nous n’étions l’un pour l’autre que des meilleurs amis. Un frère et une sœur unis par la différence, par le rejet, par la solitude. Ensembles, tout nous paraissait possible, ou presque. Alors nous avons travaillé, nous avons travaillé pour sortir de là, et lorsque l’on eut atteins notre majorité tous les deux, nous nous sommes installé dans un petit entrepôt abandonné que nous avons retapé. Pendant des mois, nous nous sommes créés un univers. Un univers qui est parti en fumée un an plus tard. Mon frère, Léo, était le genre de garçon impulsif, à faire les choses en fonction de son humeur du moment. Tous les deux nous sommes disputés car il a prit que j’aimais les filles, et il a décidé, alors qu’Igor et moi nous trouvions dans l’entrepôt, d’y mettre le feu. Igor et moi en sommes sortis indemnes, mais mon frère, lui, est resté prit au piège par les flammes. Pour être honnête, je n’ai pas regretté sa mort, c’était un con, je ne l’avais jamais aimé. Il était fou et dangereux, c’était le genre de garçon à ne pas fréquenter, le genre qui vous attira dans une tombe très rapidement. Je me retrouvais désormais sans mère, sans frère, sans domicile. Et à côté de cela, j’avais Igor. Mon doux Igor, si présent, si gentil, et si amoureux de moi… Il a été le premier et le seul homme que je n’ai jamais embrassé, plus les jours passaient, plus mes sentiments devenaient forts, mais j’ai tout arrêté. Car j’avais perdu le frère qu’Igor avait été autrefois. Et je suis retournée vivre chez mon père.DEUXIEME PARTIE : Je suis devenue folle lorsque je t'ai rencontré, je suis devenue une autre lorsque tu es parti. Toi et moi, nous ne formons qu'un, toi sans moi, nous ne sommes rien. C'est le commencement d'une nouvelle histoire, c'est la fin de notre vie... ♣ J’étais seule. Je n’avais plus personne à qui parler, plus personne à qui me confier, il ne restait que mon père. Mon vieux et pauvre père, qui passait ses journées dans son fauteuil favori en cuir rouge, le nez plongé dans ses encyclopédies qu’il aimait temps. Il voulait tout savoir, tout connaître, il voulait découvrir ce que le monde avait à nous offrir. Quant à moi, j’enchaînais les petits boulots, jusqu’à ce que je parvienne à me faire engager dans l’armée. J’ai fais mes preuves, et j’en suis sortie au bout de six mois. C’est là que l’on m’a proposé le boulot d’espionne. J’aimais l’aventure, et j’avais toujours rêvé de devenir la nouvelle Daniel Craig féminine. Ce boulot était pour moi. En plus de cela, j’étais convaincue que je ne manquerais à personne si jamais malheur m’arrivais. Enfin de compte, j’y ai trouvé mon bonheur. Pendant les quatre mois qui ont suivit, j’ai parcouru le monde, suivant à la trace une société de cosmétique qui prenaient comme cobayes des animaux en voie de disparition. C’était cool, c’était bien. Désormais, c’était ma vie. Igor et moi nous ne nous parlions plus. Il était parti, il avait décidé de sillonner les routes à la recherche d’un endroit qui l’inspirerait. Oui, Igor voulait devenir un artiste, ce qu’il parvint à faire sans aucun problème. Il me manquait, et je voulais le retrouver, mais je ne comptais pas faire le premier pas. Après tout, c’était lui qui était venu chambouler mon monde. Certes, je l’aimais, mais je l’aimais beaucoup trop pour garder de tels liens avec lui. Puis un jour, je reçue une lettre de lui. Il me racontait son long voyage et me parlait d'une petite ville appelée Montsimpa. Il voulait fuir avec moi, il voulait partir loin de New York et que l'on vive ensembles, comme avant. Comme deux âmes perdues cherchant un port où s'encrer, comme deux amants de la nature incapable de s'aimer, comme deux amis, fidèles. Je n'y ai pas réfléchis à deux fois, et je suis partie, mon sac à dos sur mon épaule, mes Doc aux pieds. C'était ça ma vie : la liberté. Je me sentais libre qu'en la présence d'Igor, il était mon pilier, et j'étais le sien. Avant de le connaître, il n'y avait que moi, Pâris. Puis lorsqu'il est arrivé, il y a eut la vie, l'amour, l'amitié. Des choses que je n'avais jamais connue auparavant. Où allons-nous? Je n'en sais rien, mais nous partons. Nous partons pour l'aventure, pour l'amour, pour découvrir la vie. Nous partons vers des territoires inconnus. Nous partons quelque part, mais nous ne savons pas où. C'est notre vie, et ce sera toujours ainsi...[/size] Salut :D Tout d'abord merci de t'intéresser à mon scénario, il est vraiment important pour ma petite Pâris. Alors saches que j'aimerais que tu respectes ce que j'ai écris dans le scénario concernant son histoire, car c'est un personnage que je jouais avant sur un forum donc j'ai une idée très précise sur la question ^^ L'avatar est négociable on pourra en parler ensembles! /D Ensuite bah j'aimerai que tu sois assez présent et que tu sâche écrire au moins quinze lignes sans fautes (enfin pas une à chaque mot quoi xD) que l'on puisse faire des rps supers développés Voilà. Si tu prends mon petit Igor, je t'aime déjà :cooper:                   |
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