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Auteur | Message |
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| Sujet: point de recul. Mer 24 Oct - 17:53 | |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] ∞ nom : leb, autrement dit, coeur en hébreu, mais on ne peut pas dire que ça te corresponde parfaitement. ∞ prénom : soham, tout simplement. pas de deuxième prénom inutile. seulement, peu de gens connaissent ce vrai prénom, tu préfères te cacher sous d'autres identité inventée de toute pièce. c'est ce dont tu as besoin pour continuer de vivre. ∞ âge et date de naissance : vingt-quatre ans, en dix-neuf-cent-quatre-vingt-huit. ∞ lieu de naissance et origines : caroline du nord, mi-américaine, mi-polonais ∞ études ou profession : rien, tu ne peux rester au même endroit que très peu de temps. pas assez pour te permettre un boulot stable et durable. ∞ statut civil : réponse ici. ∞ traits de caractère : doux, parano, délicat, fuyard, distant, voyageur, discret. ∞ groupe et aspiration : ordinaire, amour.☇ CROIS-TU AUX CRÉATURES DE LA NUIT, AUX ÂMES ERRANTES ET A CE GENRE DE CHOSES ? au point où t'en es, tu ne peux pas réellement dire que t'y crois. tu n'as plus aucune croyance. tout n'est que subjectif. superficiel. le vrai, le faux, tout se chevauche. ce genre de créature est carrément le dernier de tes soucis. ☇ SI OUI, AIMERAIS-TU EN DEVENIR UNE, OU PLUTÔT LES COMBATTRE ? question idiote, réponse idiote. à toi seul, tu représentes un phénomène à toi tout seul. bien que ce soit inconscient. ☇ TE PLAIS-TU A MONTSIMPA/BRIDGEPORT ? tu viens, tu pars, tu reviens, tu repars. tu ne restes jamais. une fois tu fais bridgeport, l'autre fois, tu vas faire montsimpa. t'as aucune attache mais en même temps, tu ne parviens pas à te séparer totalement de ces villes. ☇ TOI, LES ENFANTS, LE MARIAGE, T'EN DIS QUOI ? dans le passé peut-être que tu y aurais penser. plus à l'actuel. il n'y a plus aucune chance que ça se produise un jour. la vie te réserve un avenir long et solitaire. a présent, tu t'y es habitué quelque part. ☇ TON RÊVE LE PLUS FOU, C'EST QUOI ? qu'il disparaisse enfin de ta vie. qu'il te laisse vivre. bordel. |
☇ TES MAUVAISES HABITUDES; ton passé est des plus troublants et douloureux • tu as été placé quelques années suite à l'assassinat de ta mère • tu as été placé en garde à vue quelques heures afin d'être interrogé sur ton geste contre ton père • tu vivais dans un appartement avant de l'abandonné du jour au lendemain • tu ne supportes pas la fumée de cigarette • tu te ronges les ongles quand tu es sur le point d'exploser • tu n'as jamais eu de réelle attache, à présent, tu n'en as plus du tout • tu passes ta vie à fuir • tous les soirs, tu regardes les étoiles en pensant à ta mère • tu détestes les sucettes • tu adore la soupe à la courgette • autrefois, tu n'hésitais pas à citer des blagues totalement nulles • tu ne pouvais pas passer une journée sans embrasser shade au risque qu'elle soit mauvaise • tu es allergique aux chiens • tu ne passes pas une nuit sans te réveiller en sursaut • tu enchaînes les lieux plus insalubres les uns que les autres • tu as vécu une période où ton hygiène laissait à désirer, tu t'étais laisser pousser la barbe jusqu'à faire peur • tu n'as jamais eu le courage de mettre un pied dans un cimetière, dans le cimetière où elle se trouve • tu ne sais pas marcher en rue sans regarder derrière-toi toutes les dix secondes • tu es seul, définitivement seul.
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∞ prénom et pseudo : 404 erreur (m.), aka fade out, mais tout le monde me connait maintenant. ∞ âge : la majorité d'ici quelques mois. ∞ sexe : suffit de demander, c'est quand tu veux la plupart du temps. ∞ comment as-tu connu le forum ? / ∞ t'es plutôt du genre à traumatiser tes sims où à aimer les belles et grandes familles parfaites ? oui, sauf que le dernier en date tarde à mourir, et pas qu'un peu. du coup, j'attends toujours la faucheuse pour lui. j'avoue, je lui ai laisser la piscine pour qu'il se lave quand il se pisse dessus, mais sinon, il n'a aucune issue, t'sais. sa mort est lente et douloureuse, c'est assez marrant au final. ∞ raconte-nous ta vie : j'suis marine quoi. ∞ tes autres comptes sur pwl : toute une floppée. ∞ célébrité : jc, l'homme de tes rêves. :nolan:
devine qui je suis. si on me sort un bienvenue, je frappe.
Dernière édition par Soham Leb le Mar 30 Oct - 23:09, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 17:53 | |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] “ Quoi qu’on face, quoi qu’on pense, la douleur nous suit, elle fait partie de nous. Dés qu’on là laisse nous atteindre, elle ne nous lâche plus. S’accrochant au plus profonds de nos tripes, elle nous emprisonne. Impossible de s’en débarrasser, on doit vivre avec et tenter de rester à la surface. Sombrer serait si lâche. Il avait appris à vivre avec, du moins c’est ce dont il se persuadait un peu plus chaque jours. ” « Mama , maman… » Petit, elle était ta joie de vivre, ton rayon de soleil. Ta seule attache. Tu lui courrais dans les bras alors que les portes du bus venaient de s'entre-ouvrir. Tu la regardais comme si elle était une personne exceptionnelle. Elle l'était. De petites étoiles étincelaient à travers tes iris bleutés. Ce que tu pouvais l'aimer, c'en était dingue. Il s'agissait d'une jeune mère ayant peu de moyen mais qui t'offrait tout ce dont tu pouvais avoir besoin. Avant ta naissance, elle avait traversé tant de période douloureuse pourtant, elle n'avait jamais flanché, elle en était juste ressortie plus forte. Elle t'offrait un amour sans faille, peut-être un peu trop présent mais tu étais loin de t'en plaindre. Tu te sentais tellement important à tes yeux. Il fallait dire qu'elle faisait tout pour combler ce manque d'un père. Cette affection masculine inexistante donc tu souffrais. Tu la regardais toujours, tes pupilles plongées dans les siennes en lui accordant un sourire sincère. Tu n'imaginais pas que tes prochaines paroles qui lui étaient adressé auraient un tel impact. « Dis maman… Pourquoi je n’ai pas de papa. Il ne m’aime pas ? Il a eu peur de moi ? » Tu avais bégayé quelque peu, tu ne parvenais à tourner cette phrase correctement. Ni à choisir quels mots tu pouvais utiliser. Tous tes amis avaient un papa. Sauf toi. Tu te sentais un peu comme le vilain petit canard. Le ciel était presque tombé sous les pieds de ta jeune mère, elle aurait préféré ne jamais devoir répondre à cette question. Pas tout de suite. Pas si tôt. « C’est compliqué mon cœur… Ton papa est parmi.. les anges... » T'avait-elle répondu un fin sourire chaleureux au bout des lèvres. Voir la déception s'inscrire sur ton beau visage était trop dure. Encore plus alors qu'elle venait de te mentir pour la première fois. Tu lui avais alors lancé un regard avant de reculer et de rentrer à l'intérieur, le coeur gros.
“ Marchant le long de la route, il laissait ses pieds le guider vers une destination inconnue. Le soleil rayonnait dans le ciel et les nuages avaient été cachés par un bleu clair des plus magnifiques. Il avait fini par arriver dans un parc où il s'était posé quelques minutes afin d'admirer le paysage qui s’offrait à lui. Parfait tableau qu’un peintre aurait pu réaliser. Le monde était d’une beauté aveuglante. ” Tu jouais au foot avec tes amis. Tu courrais dans tous les sens alors que le vent frais s'abattais sur ton visage. Tu profitais simplement du cours de gym, ton préféré. Du moins, c'était ce que tu avais fait avant qu'un homme ne s'était approché des grilles de l'école, t'interpellant. Intrigué par cet individu, tu t'étais dirigé vers lui. Sans doute était-ce une mauvaise idée. Sur le moment, tu n'avais pas réfléchi et tu avais foncé tête baissée. Ta mère te l'avait pourtant inculqué et répété mainte et mainte fois avant de monter dans le bus pour l'école. Il ne fallait pas s'approcher d'un inconnu. Jamais. « Soham. » Il avait soufflé ton prénom une nouvelle fois. Il semblait tellement ému de te voir. Pourtant, ce n'était pas à ça que tu avais fait attention mais plutôt au fait qu'il connaissait ton nom. « Qui êtes-vous ? » Tu étais sur tes gardes. L'homme t'avait alors fixé, « Ta mère ne t’a dit rien. » Sa voix triste trahissait son visage malgré qu’il semblait vouloir montrer le contraire. « Je suis.. » « Mon père ? » Tu avais conclu ta phrase. Une lueur d'espoir venait de s'allumer au fond de tes yeux. Jamais tu n'avais cru connaitre ce moment. Tu étais tellement heureux. Bien que tu ne l'avais pas imaginé ressemblé à ça. Il était habillé d’un simple jeans accompagné d’un t-shirt blanc sale, mal rasé et non coiffé. Il n’avait rien de la classe dont tu t’étais toujours plu à imaginer. Malgré tout, un détail te bloquait encore. « Ou étais-tu ? Que faisais-tu toutes ces années. Que.. » Tu t'étais coupé subitement dans tes propos et tu t'étais légèrement reculé. Ton rêver devenait réel pourtant tu ne pouvais pas t'empêcher de le regretter et le manque que tu avais tenté de camoufler venait de remonter à la surface. Ça t'en arrachait presque le coeur. Hésitant un instant, ton père avait fini par t'avouer avouer la triste réalité, risquant de te perdre, risquant de ne jamais te connaitre et de ne jamais te serrer dans ses bras comme tant de fois il l'avait souhaité. « Comme j’aurais aimé te voir, te tenir dans mes bras et te voir grandir… Les barreaux derrières lesquels j’étais m’en empêcher malgré mon envie. » Pour la première fois de sa vie, il avait honte. Honte de t'avouer, d’avouer à son fils que durant toutes ses années, il se trouvait en prison.
“ Se levant du banc où il s’était assis, il avait repris son chemin sans savoir dans quel endroit il finirait. Errant ainsi depuis quelques heures, sa vie n’avait aucun but. Elle en avait un mais c’était il y avait fort longtemps. Il avait des rêves aussi. Des rêves pleins la tête. Il avait dit qu’il finirait par les réaliser. A l'époque, il l'avais cru. Réellement, il l’avait promis à sa maman.. Mais sa promesse était comme tombée en petits morceaux le jour où elle avait quitté ce monde. ” « Maman, pourquoi tu m’as menti ? » Tu criais en claquant la porte d'entrée. Ces mots avient laissé perplexe ta maman qui ne comprenait pas ce qu'il se passait. Elle t'avait alors demander de te calmer et de lui expliquer ton soucis, loin de s'imaginer que l'homme avait qui elle avait vécu quinze ans avait refait surface. « Pourquoi tu m’as menti, pourquoi tu m’as menti sur mon père ? Pourquoi tu as dit qu’il était mort alors qu’il ne l’était pas. » Ces phrases arrachèrent des petites larmes à la jeune mère. Elle avait fait ça pour ton bien après tout. Te cacher la vérité pour ne pas te faire souffrir. Pour ne pas que tu te rendes compte que ton parent tant de fois rêvé n'était un dangereux psychopathe. Il ne devait pas sortir de son trou. « Mon chéri.. » Avait-elle souffler. « Non ! Ne parle pas, ne t’enfonce pas dans ton mensonge ! » Le cœur au bord du gouffre, il battait à une vitesse folle. Tu ne savais pas comment réagir face à ces découvertes. Depuis ton plus jeune âge, tu avais toujours trouvé ta mère admirable. C'était ton modèle et là, tout venait de s'écrouler. Lamentablement. « Soham… S’il te plait écoute-moi. » Tu t'étais alors tu, attendant ses explications. « C’était ton bien.. » « Pour mon bien ? Me priver d’un père tu trouve ça normal ? Tu pense que c’était pour mon bien ? J’ai grandi en sachant que je n’avais pas de père, j’avais ce manque constant qui me hantait et c’était pour mon bien ?! » D'un bon, tu t'étais levé, la colère s'était emparé de ton corps. Ta mère devait agir, elle te voyait quitter la pièce, elle ne pouvait pas te laisser faire ça. « Il est dangereux ! » Avait-elle crié avant que tu ne refermes la porte d’entrée derrière toi. « Il a failli me tuer. » soufflait-elle en se laissant glisser au sol.
“ Cette personne qui l’avait tant aimé et chéri lui manquait terriblement. Il regrettait d’avoir agit de la sorte pourtant il devait passer au dessus et se devait de recommencer à vivre. Mais comment pouvait-on continuer à vivre alors que sa seule famille, sa maman, était morte à cause de lui ? Comment était-ce possible. ” Après avoir quitté ton domicile, tu marchais quelques longues minutes pour finir par te retrouver face à un vieux bâtiment imposant, abîmé par les années. Tu le fixais quelques instant en te demandant si c'était une bonne idée et tu avais fini par y entrer. Tu cherchais l'appartement numéro six du regard et tu sonnais à la porte, laissant apparaître la tête de celui que tu cherchais. « Soham.. », avait murmuré l'homme qui paraissait parfaitement surpris alors qu'au fond, c'était ce qu'il avait attendu toute la journée. « Tu penses que je pourrai vivre avec toi ? » Tu lui demandais timidement alors que de son côté, ton père jubilait secrètement. Dès que ta demande avait été prononcée, tu l'avais regretté, ayant une pensée pour ta maman. Malgré tout, tu l'aimais de tout ton coeur et venir vive avec un inconnu qui pourtant était ton père n'était pas juste envers elle. L'homme mal rasée bouillonnait de joie à présent. Il était sur le point de souffler un grand oui quand tu te ravisais avant sa réponse. « Enfin non, oublie. Je dois rentrer, maman m’attend. A bientôt. » , disais-tu en vitesse avant de faire demi-tour et de partir. L’homme ressentait une colère monstre gronder en lui, il voulait son fils et il l’aurait ! Il t'aurait. Il tapait dans l'un des murs de son appartement alors que tu étais déjà sur le chemin du retour.
Dernière édition par Soham Leb le Jeu 25 Oct - 20:38, édité 8 fois |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 17:53 | |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] “ Ses souvenirs, le hantaient davantage chaque jours. Plus ils le hantaient, plus il sombrait. C'était bien pire qu'une drogue. Parfois il se disait que s'il ne se souvenait pas de son passé, sans doute qu'il vivrait mieux. Qu'il ne ressentirait plus ce manque qui le pesait chaque jour. Qu'il ne se sentirait moins coupable. Qu'il serait heureux de vivre et non le contraire tout simplement. ” Le soir même, l’homme mal rasé s'étais posté devant la maison de son ex compagne, un fusil entre les mains. N’ayant aucune patiente, il n’avait pas su attendre de récupérer son fils à la manière douce. Et puis, ce n’était pas dans sa nature. C'était dans ses gènes, avoir tout, tout de suite. Il avait déjà tué, il était prêt à recommencer. Il entrait dans la maison par derrière. Une jeune blonde se trouvait assise dans le fauteuil devant la télé. Il le regardait un instant. Elle était toujours aussi belle. Le visage doux, paisible. Elle n'avait pas changer. Sans faire de bruit, il s’avançait derrière elle. Un coup de feu avait alors retentit. Elle tombait à terre, contre la moquette, son sang rougeâtre coulait dessus, y laissant une trace indélébile. Il sentait son pouls, elle était morte. Enfin. Toi, qui dormais si bien, tu venais d'être réveillé par ce coup de feu. Tu sautais de ton lit et descendais les escaliers à toute vitesse. Tu te stoppais net face à la scène qui se déroulait sous tes yeux impuissant. Effrayé. Ton père qui fixait ta mère étalée contre le sol, le regard stoïque. Ça ne pouvait pas être réel, non, ça ne pouvait pas ! Ton cœur venait de se briser littéralement et les larmes avaient envahi tes yeux aussi vite. « Fiston.. Il y a eu un petit accident. » , murmurait ton présumé père avec un petit rictus aux coins des lèvres. Le genre qui fait froid dans le dos. Tu frissonnais et tu finissais de descendre les escaliers. Tu n’avais envie que d’une chose, courir vers ta maman, la prendre dans ses bras et de te rendre compte qu’elle respirait toujours et que tout ça n’était qu’une mauvaise blague. Tu courrais alors vers la cuisine, sans adresser le moindre regard à cet intrus. « Que fais-tu ? » Après à peine deux petites minutes, tu venais de réapparaître, tu lui faisais face. Un pistolet aux creux des mains, pointé vers lui, ce meurtrier sans coeur. « Que comptes-tu faire avec ça ? », demandait l'homme curieusement, mais tu ne lui avait offert aucune réponse. Il s'était alors approché de toi, mauvaise idée. « Je suis désolé, je ne voulais pas… » Bien sur ce n’était que du baratin et tu l'avais enfin compris. Depuis le début, tu t'étais fait lâchement mener par le bout du nez, aveuglé par tes sentiments. Ce que tu pouvais te lamenter de ne pas avoir écouté ce petit bout de femme qui venait de rendre son dernier souffle, à peine quelques minutes auparavant. Il était trop tard à présent. L'engrenage avait vu le jour. Tu t'en voulais comme jamais. Tu avais alors fermer les yeux, laissant échapper de fines larmes et d'un geste tremblant, tu avais lever l'arme vers cet inconnu et tu avais tirer. Une fois. Puis deux. C'était la colère qui avait guider tes gestes. Tu venais de mettre fin à la vie de ton propre père. Il n'avait jamais exister à tes yeux. Il n'existerait jamais. Tu lâchais l'arme par terre et tu courrais vers ta maman inerte. Son corps été déjà tiède, presque froid. Tu le serrais contre trop, sa tête posée délicatement sur tes cuisses. « Maman, maman, reviens. S’il te plait, j’ai besoin de toi. Je suis tellement désolé. Maman… »
Tu n'avais jamais vu un aussi beau visage de ta vie. Pas depuis le départ de ta mère vers un autre monde. Quelques années avaient passé depuis le drame et peu à peu, tu avais tenté de te reconstruire. Ses prunelles bleuté avaient attisé ton regard et ça n'avait plus jamais changé. Jour après jour, tu continuais te fondre tes iris dans les sienne. Tu découvrais l'amour, le vrai, le pur, le sincère. Elle était devenue ta moitié. Ta famille. C'était la seule dans ta vie. « Je t'aime. » Tes mots flottes dans l'air pour s'abattre sur son coeur battant pour ton seul prénom. Elle t'avais regardé, les yeux émus alors que tu t'approchais d'elle. « Oui, je t'aime, je t'aime Shade. » Tu avais souri et tu l'avais embrassé sans qu'elle n'ait le temps de te répondre. Rien que par sa présence dans ta vie, elle avait pansé ton coeur et l'avait fait revivre. Elle était ce rayon de soleil dans une vie grisâtre. Tu lui aurais offert jusque la lune. A ses côtés, tu oubliais tout. Absolument tout. Elle avait ce sourire chaleureux toujours collé aux lèvres qui te faisait rêver un peu plus chaque jour. Elle t'offrait des moment de bonheur à l'état pur. Sans elle, tu n'imaginais plus ta vie. Elle était devenue la personne à part entière de ton monde. Il suffisait que son doux visage affiche une mine triste pour que tu sois touché. Tout ce qui se rapportait à elle te touchait pourtant, tu n'en savais pas plus sur son passé qu'elle sur le tien. Mais tu l'aimais. Oh oui, tu l'aimais.
Elle était là, face à toi. Son visage d'ange te bouleversait presque. En acceptant de venir à ce concert ce soir, tu ne t'attendais pas à être subjugué de la sorte. Les lèvres au bout du micro, tu les regardais se remuer selon les paroles qu'elle prononçait. Hypnotisé, c'était ce que tu étais à l'instant même. Elle avait cette hargne en elle. Elle te la transmettais par sa simple voix qui avait l'effet d'une douce mélodie enchantée. Version rock. L'envie de déhancher ton corps te traversait des orteils à la tête pourtant tu ne bougeais pas. Tu continuais de fixer cette présence unique, droit comme un I. Tu avais comme arrêté de penser. Comme si tu t'étais mis sur pause sauf qu'elle, elle continuait se mouver sur sa musique que tu n'entendais plus à présent. Il n'y avait plus rien autour de toi, ni même un son. Puis à son tour, elle avait arrêté ses mouvements brusques et elle avait quitter la scène. Tes pieds avaient entamée une marche vers les coulisses. Présentant ton badge vip qui t'avais été offert au boulot, tu avais fini par lui faire face par mégarde. Tu avais plongé son regard dans le sien et ça avait suffit. Une nuit, une seule nuit avec elle. Tu venais de trahir ton amour de toujours pour cette fille aussi dingue était-elle.
“ Il avait essayé, il s’était dit qu’en recommençant à vivre, il ferait la fierté de cette femme qui lui avait tout donné. Et pourtant… La vie avait décidé qu’il ne le méritait pas. Retombant à la case départ, il se laissait sombrer. Il avait perdu le fil des minutes et puis celui des heures pour finir par perdre le fil des jours. Il n'était plus que l’ombre de lui-même, il vivait sans vivre. Il était mort. ” Panique. Elle se lisait sur ton visage apeuré. Tu marchais à vitesse folle. Tu te sentais obligé de surveiller tes arrières et de te retourner toutes les dix secondes. La peur guidait tes jambes semi tremblantes. C'était impossible. Ta vue te jouait des tours. Plus les jours passaient et plus il se faisait omniprésent. Tu le voyais à chaque coin de rue, le regard sombre scotché au visage, ses yeux noirs profond qui te fixaient avec la seule envie de te faire souffrir. Tu t'étais mis à courir dans l'espoir d'enfin lui échapper. Tu te retournais une nouvelle fois. Plus rien. Il avait disparu. Les jours passaient, ça s'empirait. Il avait réussit à t'aborder. « Chaque personne que tu aimeras, je te prendrai. » Un long rire sadique avait suivit et les mains dans les poches, il t'avait tourné le dos te laissant face à ses paroles qui résonnaient en toi. Tu avais résister à l'envie de fuir au début, oui, tu ne pouvais te résoudre à le croire, mais plus tu résistais et plus il te faisait peur. Alors tu est parti. Sans le moindre mort, sans la prévenir, sans emporter le moindre souvenir d'elle si ce n'était tes pensées qui lui étaient dédiées. C'était le soir de vos deux ans. Elle devait s'attendre à une surprise de taille. Elle l'avait eu d'une certaine manière.
Dernière édition par Soham Leb le Sam 27 Oct - 11:33, édité 8 fois |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 17:53 | |
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Dernière édition par I. Tea Peach le Mer 24 Oct - 17:59, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 17:53 | |
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Dernière édition par Shade Azarova le Mer 24 Oct - 17:59, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 17:57 | |
| Va y recule pour voir |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 18:00 | |
| t'es pourrite comme meuf. |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 18:00 | |
| bb, j’avais tellement hâte que tu le fasses, ce type il est jhzfgjzkahfgja sincèrement, j’pense que personne aurait put le jouer aussi bien qu’toi, t’es juste trop bonne avec, quoi. puis, le personnage, le pseudo, l’avatar, la bannière, t’es parfaite, c’est tout |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 18:07 | |
| prout |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 18:16 | |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 19:11 | |
| t'es qui toi ? un tour sur la plage ça te dis |
| | | ⊹ messages : 1533 ⊹ arrivée : 25/10/2011 ⊹ avatar : le beau pauli (à) ⊹ disponibilité : MAE &&. à ton humble service, princesse. ⊹ crédits : © SWAN. ⊹ real life : spaghètti.
⊹ activité : délégué médical ⊹ bonus à long terme : 1
| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 19:12 | |
| BIENVENUE rafou ? |
| | | ⊹ messages : 6890 ⊹ arrivée : 12/09/2011 ⊹ avatar : aaron taylor-j. ⊹ disponibilité : no babydoll. ⊹ crédits : whiskey lullaby pour l'avatar, ma fauve parfaite (clem, redsoul) pour la signature. ♥. ⊹ real life : alexia ; side.effect
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 19:22 | |
| bienvenue pour faire original bref, re quoi |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 19:30 | |
| miamiam |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 20:20 | |
| Wahhhhhhhhhhhhhoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 20:23 | |
| 1000 + place de choix :rafou: t'as vu comment j'ai la classe un peu ? mais de toute façon, c'qui compte, c'est que je sois la première (et dernière) fille que tu ais aimée parce que, oui, shadam c'est la base, notre nouvelle base ma shade, je la kiffe déjà, tu le sais et ton soham, c'est du rêve en boîte, il est tellement déprimé et tellement parfait et même s'il a fait du mal à ma shade, je l'aime. bon shade, ça va pas être aussi facile mais si c'était trop facile, ce serait pas cool hein ? mais shadam, ça reste the one and only, j'sens qu'on va adorer les jouer, que j'vais te forcer à répondre vite et que tout le monde va les aimer parce qu'après tout, on a toujours eu des rps de fou, des idées dingues et on n'est pas les seules à aimer ça alors j'ai hâte de lire la suite de ta fiche (surtout les moments où tu vas parler de Shade ) et surtout de rp avec toi j'suis contente que ça se soit arrangé entre nous au point qu'on fasse ces personnages, tes conneries et ta perversion m'avaient manquées :coopaëlle: (même si le smiley est mieux sur skype ). même si tu dis que c'est ma faute si t'es perverse, tu sais bien que c'est faux et que t'es née pour l'être :bavegrave: et à ta place, j'assumerais être bonne sinon j'sors le fouet (ouais je sais, la menace va servir à rien mais osef hein ) BREEEEF J'TE BAISE (par tous les trous comme dirait une certaine personne ) ET BAVE PAS TROP DEVANT MOI SURTOUT et puis tu sais déjà quel est mon plus grand souhait, je te l'ai dit hier (j'suis sûre que tu vas pas comprendre de quoi je parle, t'es blonde après tout )
Dernière édition par Shade Azarova le Jeu 25 Oct - 6:42, édité 2 fois |
| | | ▼la base du viagra c'est l'ADN de Chuck Norris. ⊹ messages : 4000 ⊹ arrivée : 25/10/2011 ⊹ avatar : hnh. ⊹ multinicks : // ⊹ disponibilité : toujours. ⊹ crédits : .sparkle ⊹ real life : nevada.stick
⊹ activité : étudiant. ⊹ bonus à long terme : 839
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 20:32 | |
| Rebienvenue si j'ai tout bien compris |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 20:41 | |
| bienvenue (j'ai un petit côté mazo :rafou: ) encore un perso' qui roxxe ! |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 21:56 | |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 22:01 | |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 22:25 | |
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| Sujet: Re: point de recul. Mer 24 Oct - 23:12 | |
| Bienvenue sur PWL huhu je suis originale |
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| Sujet: Re: point de recul. | |
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