violence, tigra
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violence, tigra

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MessageSujet: violence, tigra violence, tigra EmptyDim 28 Oct - 20:01

ماسوشية تلذذ بالإضهاد

Le ciel est sombre, atrocement sombre. L’immensité de celui-ci me fascine, mon regard reste accroché sur ces étendues noires et troubles. L’immensité. Un soupire glisse entre mes lèvres. Je veux m’envoler, ça n’arrivera jamais. J’ai cette foutue chaîne qui me retient, solidement, au sol. Elle ne casse pas, la salope. Mon bras se relève mollement, tentant vainement de venir effleurer l’asphalte du ciel, caresser le firmament. Déception. C’est trop grand, trop démesurée, trop hors d’atteinte. C’est une foutue connerie d’essayer, ça ne suffit pas. J’observe, passive. Comme toujours. Blasée, et blasante, sans oser bouger. Sans en trouver la personne. Mon regard reste accroché à la lune, blanchâtre. Elle n’est pas facilement distinguable. J’étouffe un énième soupir, inutile. Toujours immobile, mon regard retrouve le sol. L’herbe humide, j’observe les quelques gouttes de pluie réussissant à se frayer un chemin à travers les feuilles de l’arbre auquel je suis adossée venir s’écraser contre mes jambes. Il pleut. J’aime la pluie. Le vent vient me gifler le visage, doucement. Je suis détendue. C’est étrange, anormal. C’est la pluie, probablement. Mon souffle est régulier, lent. Inspiration. Expiration. Les secondes s’écoulent anormalement rapidement. C’est étrange. Vraiment étrange. Je n’ai aucuns souvenirs, je baigne dans un putain de flou. Ça n’est pas déstabilisant, au contraire. Je souris même, je crois. Toute seule, sous la pluie dégueulasse, adossée contre un arbre dégueulasse, dans un parc dégueulasse. Tout est dégueulasse, mais je m’en fiche, pour une fois. Pour une fois. Mes paupières se soudent, ma tête est appuyée contre l’arbre imposant, frottant contre son écorce sinueuse. J’écoute, le silence me répond, brisé par les constants bruits de gouttes venant s’écraser au sol, où contre moi, mon visage impassible. J’écoute, sans trop y prêter attention. C’est étrange. Trop. Ça me dérange. C’est ce foutu verre de vodka, et ces clopes. Probablement. Tout semble plus calme. La nuit mure le parc dans un silence dérangeant, dément. Le manque de bruit m’agresse les tympans, la pluie s’est stoppée. Pas un seul bruit ne perce cette atmosphère dérangeante. Elle me dérange. Bordel, pourquoi? Je suis dérangée, une foutue dérangée. Ma tête vient frapper contre le tronc de l’arbre, deux fois. Pas trois. Pas encore. Ça suffit, pour l’instant. Ça me détends, brusquement. Comme à chaque fois, je recommence. Quatre fois, cinq fois. Dix fois. Sans cesse. Ça me détend, cette merde. Je plane, c’est un foutu effet secondaire, c’est une foutue jouissance. Alors je recommence, je veux ce putain d’effet secondaire. Une belle connerie. Conne, rie. Non, je ne ris pas. Pas maintenant, pas tout de suite. Pourquoi? Parce que. Ma voix perce le silence, perce mes tympans. C’est bizarre. Je parle. Je sais parler? Ces mots sont dénoués de sens, ça ne sert à rien. Mais je parle. C’est magique, probablement une foutue hallucination auditive, mes oreilles sont insolentes, les chiennes. Je n’ai jamais réussit à les contrôler. Surtout pas elle. Je suis une foutue faible, mais je m’y habitue. Je me complais dans cette faiblesse, c’est plus simple, beaucoup plus simple, les mots ne sont pas nécessaires. Ils sont tous traîtres, violents, aiguisés, et fourbes. Je suis trop conne, c’est trop compliqué pour moi. Tout est trop compliqué pour moi, sauf là. Rien ne bouge, tout est calme, paisible. C’est parfait, pour moi.

mwai, c’est ripou et court, j’avais vraiment aucunes idées, pardon violence, tigra 3271916155


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MessageSujet: Re: violence, tigra violence, tigra EmptyLun 19 Nov - 12:43

« VIOLENCE »,
il s'est avéré qu'un soir. tu as fait de moi ta prisonnière. tu as décidé que je serais celle. avec qui tu assouvirais tes pulsions. fine fragile et sans défense.
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Comme un écho dans la nuit sombre, tes pas résonnent sur le bitume. La brise s’est peu à peu levée et s’écrase contre ton visage presque gelé de la froidure naissante de l’hiver. Peu importe, tu ne ressens rien. Ni froid, ni sentiment. Juste ton cœur qui bat au creux de ta poitrine. Il tambourine dans le vide et ne laisse échapper aucunes émotions. Tu n’en as pas besoin. Tu as bon être comparé à un être sans âme, ça ne te fait ni chaud ni froid. En haut, le ciel laisse apparaître une lune pleine. Elle éclaire finement la route sur laquelle tu glisses sans but. Tu marches par pur plaisir. Par pure envie. Tu laisses tes pensées voguer en toi tout en prenant un bol d'air revivifiant. Tu t'es finalement arrêté au milieu de la route pour lever les yeux vers l'immensité que représente le firmament. Les étoiles qui se chevauchent scintillent toutes plus les unes que les autres. Le spectacle qui s'offre à toi est médiocre et sans aucune beauté. Rien n'a le mérite de posséder un tant soit peu d'éclat tant que tu n'as pas acquis cette chose à proprement parlée. Par ton appartenance à elle, tu la rends unique. Tu la rends merveilleuse. Tu fais tout. Ton regard retombe finalement sur la route triste. Une lumière vive s'abat sur toi. Les secondes passent et elle se fait plus insistante, plus grande. Tu baisses les yeux vers ton buste alors que la couleur blanche grossit de plus en plus. Tu entends la voiture arrivée à vitesse folle or tu es planté au milieu de la chaussée. Défier la mort. Ça a un aspect excitant. L'auto fonce a présent droit sur toi. A quelques mètres à peine, tu écoutes les pneus crisser alors qu'ils tentent de s'arrêter brusquement. La voiture vient d'être subitement braquée vers la droite. Elle passe à côté de toi alors que le klaxon retentit. Quittant le trottoir sur lequelle elle a été déviée, tu retournes la tête pour voir les phares rouges disparaître dans la nuit. Un long sourire étire alors tes lèvres et tes jambes reprennent leur chemin. Quelques mètres plus loin, tu bifurques dans la rue voisine. Elle est déserte. Aucun bruit ne filtre. Aucun oiseau de la nuit ne se fait entendre. Plus aucune circulation. Plus rien. C'est le vide. Le calme total. Ça a quelque chose de plaisant. Tu t'arrêtes à nouveau. Devant le parc. Le vent souffle à nouveau et s'attaque aux nombreux arbres presque défeuillés à cause de la saison de l'automne qui s'achève. Bientôt ils seront nus. Totalement. Dans le noir, tu tentes de discerner leur feuillage presque inexistant et tu ne peux qu'apprécier la vue. Soudain, comme un rendez-vous nocturne tu es entré dans le parc tandis que l'écho de sa voix résonnait dans le silence glauque de la nébulosité. « Parce que. » Elle et sa folie. Tu l’estimes en quelque sorte. Tu avances vers elle sans faire le moindre bruit. Elle est dos à toi, mais tu le reconnais. Tu reconnais sa silhouette frêle entre n’importe laquelle. Tu lui saisis les hanches. Elle n’a pas l’occasion de voir qui tu es. Tu déposes dans sa nuque un fin baiser bouillant. « Ferme les yeux. » Tu murmures. Tout bas. Pourtant, tes mots résonnent dans le vieux parc désolé. Tes mains se font plus insistantes contre son bassin et tu la retournes vers toi. Tu fixes son visage d’ange fou et tu l’embrasses alors que ta main droite s’empare de ses cheveux pour les tirer vers l’arrière. Elle sera bientôt tienne. C’était comme si elle l’était déjà.

mise en page par fade out
poème par Summer90210
c'était parfait mon bb. désolée du retard, j'espère que tu aimeras.
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MessageSujet: Re: violence, tigra violence, tigra EmptyDim 25 Nov - 15:44

ماسوشية تلذذ بالإضهاد

Inhale. Douce brûlure, souffle qui glisse entre mes lèvres, je m’empoisonne. Je m’empoisonne. Exhale. Est-ce pour bientôt, cette chute imminente ? Partie remise, l’évidence amère, je m’empoisonne, et cette mélodie entêtante, boum boum abrutissant entre les parois de mon crâne. Perte de temps, mon inconscient est subconscient, mon subconscient est conscient, je sais, mais je suis une perdante, ça me file entre les doigts dans un murmure mélodieux, le temps. J’ai la vérité acide, âme décharnée dans l’évidence de mon silence. Ombre qui glisse contre le bitume, ce sont ces insalissables formes qui m’arrachent les poumons, dans une copie non-conforme d’un soupir, m’étouffant avec mon propre air, m’étranglant de mes propres mains. Et je ne l’aime pas, oh non, cet éclat lugubre, ce reflet sinistre, yeux. Je ne l’aime pas, m’habitant, coulant dans mes veines, lugubre. Emprisonnée, je ne vois pas que la cage est ouverte, prisonnière de mes songes étouffants, lugubres. Je ne vois pas l’aigle tâcher l’étendue atmosphérique, tâche sombre, clair-obscur étranglant, j’ai cette douleur dans la poitrine, sa lame chimérique qui me transperce les poumons, me fait expirer ce souffle parfumé, m’arrache lentement ma subsidence, me laisse cette encre vermeille qui glisse dans mes veines se tarir. C’est les chimères de mes songes qui m’étreignent dans cet ascenseur, descente aux enfers, j’enfonce par mégarde l’infini, je couche le huit, je m’embarque dans ses courbes insignifiantes, et c’est cette collision contre le vrai qui m’extirpe de ce labyrinthe sinueux, viole mes idéaux. Tribulations interne, c’est le tumulte dans ma cage thoracique, c’est une déflagration, malsaine, dans l’ombre épaisse qui m’enveloppe. C’est brusquement un frisson qui agite ma carcasse, le vent qui effleure mon derme livide. C’est son odeur toxique qui emplit mon âme, dangereuse, empoisonnée. Mordue, agonisante. Tigra. Sifflement aiguisé, ses mains s’écrasent contre mes hanches, et la brûlure de ses lèvres dans mon cou. Je brûle, consumée par cet infime contact, pacte avec le diable. C’est malsain. Ferme les yeux, son murmure glisse dans mes veines, s’échoue contre ma peau secouée de frissons, et mes paupières se soudent, murée dans mon silence. Le poison qui nous unit me paralyse, tétanisée face à cette sensation intense, et son étreinte dangereuse s’amplifie, je ne suis plus que spasmes. La clarté lunaire effleure mon derme, livide, et embrase le firmament, le ciel nous tombe sur la tête, les anges me jettent dans la fosse au lions, entre les griffes de Satan, broyée, lacérée, c’est un retour à la case départ, game over. Le monde se renverse, ses lèvres rejoignent les miennes, succubes. Elles m’abandonnent et me laisse à l’agonie, souffle court, le palpitant au bord des lèvres. Et c’est le monde à l’envers, mon chef bascule, insolent, j’ai les lèvres au bord du coeur. On a frôlé la vie, ses pupilles me l’ont ôté. La folie enivre ma subsistance, et ma main se glisse dans sa nuque, alors que ma carcasse bascule en arrière. Bam, c’est la silhouette imposante de l’arbre contre laquelle s’écrase mon dos, ne le lâchant pas. Première déflagration mordante, pas la dernière, pas avec lui. Mes lèvres s’échouent dans sa nuque, fièvre incurable, ma langue vient violer son épiderme. Tigra, soupir qui se perd dans ma respiration prononcée, contre sa peau. Mes doigts se glissent sous son haut, parcourant son dos avant d’enfoncer légèrement mes ongles, brisant petit à petit l’infime distance qui nous sépare. Passion consumante, Tigra.

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MessageSujet: Re: violence, tigra violence, tigra EmptyLun 26 Nov - 22:41

« VIOLENCE »,
il s'est avéré qu'un soir. tu as fait de moi ta prisonnière. tu as décidé que je serais celle. avec qui tu assouvirais tes pulsions. fine fragile et sans défense.
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Le danger que tu représentes s'empare d'elle. Comme une pomme empoisonnée qui est croquée avec envie, tu envahis petit à petit ses veines de ton doux poison. Destructeur. Arrogant. Tu n'éprouves aucune honte à t'accaparer de sa pauvre carcasse qui n'est plus qu'ombre funeste. Tes livres viennent s'écraser dans sa nuque. Tu sens ses yeux se fermer. Elle t'obéit. Comme tu lui as demandé. Elle te vénère. Elle souffle. Ça provoque en toi un bien profond. Indescriptible. Votre union est malsaine. Folle. Dérangée. Improbable. Elle est tout et rien à la fois. Elle est Tigra. Elle est Raj. Le pouvoir que tu détiens sur elle est addictif. Tes lippes se séparent quelques instants et ton souffle s'abat contre sa peau frémissante. Tu reposes tes lèvres dans son encolure. Désir suprême. Il gronde en toi. En elle. Tu lui partages ton envie d'elle en même temps que tes mains sur ses hanches se font plus insistantes. Plus ferme. Bientôt, son corps serait collé au tient. Tu laisses la tentation monter pour l'instant. C'est dur. T'as envie d'elle. De chaque parcelle de son corps. Tu veux la toucher. La caresser. Lui effleurer chaque pore. Tu laisses le désir brûlé ton être comme le sien doit déjà l'être. Vous êtes consumé. C'est l'apogée. C'est l'inconscience. Elle est prise de spasmes. Elle finira par y laisser son dernier souffle si ça continue sur cette lancée. Tu abandonnes sa nuque de tes lèvres. Tes doigts viennent les remplacer. Ils caressent son col de leur extrémité. C'est léger. C'est doux. Elle frissonne de ce nouveau contact. Sans doute la seule douceur dont tu lui feras part en ce soir sombre de pleine lune. Ses poils clairs s'irisent. Signe d'envie. De peur peut-être. Qu'importe. Seule ta soif d'elle compte. Le spectacle est jubilatoire. L'adrénaline envahit chaque minuscule partie de ton corps. Elle t'offre une vision d'elle absolument vulnérable. Soumise. Une pause durant laquelle tu cesses toute tangence avec elle et tu sais qu'elle sombre. Le manque se creuse déjà. Elle faiblit. Tu souris. Tu guides les battements de son coeur. Sa vitesse. Son allure. Il court. Il court sur place. Ta main s'appuie davantage sur sa nuque. Son organe central s'emballe, s'enflamme. Il est désordonné. Troublé. Il devient dingue. Dingue de folie. Comme sa personnalité décalée sans morale. Tu es le maître du jeu. Le maître de son corps frêle et mielleux. De ses pensées dénuées de sens. C'est toi qui dictes les règles. Raj est tienne comme personne. Elle s'offre à toi sans compromis et tu la prends sans concession. Alors, tu l'as détruit encore plus qu'elle ne l'est déjà. Le vent vient se mélanger à vous. Comme pour partager votre instant de privilège. Non, tu ne veux pas. Elle est à toi. A personne d'autre. Sans attendre. Par égoïste pur. Tu t'empares de ses lèvres fines avec appétit féroce. Tu ressembles à un animal en manque de chaire fraîche. Elle te sort de tes gonds. Tu as chaud. Très chaud alors que la température peine à attendre les cinq degré Celsius. Ta langue se laisse aller contre ses lèvres pour finir par s'emparer de la sienne. Echange privé. Tu bascules dans un monde parallèle en sa compagne. Il n'y a plus aucune limite. Il n'y en a jamais eu entre vous. Sans mégarde. Sans la moindre délicatesse, tu tires sur la chevelure chocolat. Elle bascule. Perde l'équilibre. Tu le laisses partir. Elle s'écrase contre un arbre. Tu l'as suis. Tu te colles contre son corps brûlant. C'est à son tour de jouer avec ta nuque de ses lèvres gout pechtées. « Tigra. » Elle soupire. Désir. Désir. Il vous tient. Tu la laisses faire et ses mains s'échouent sur ton torse pour s'infiltrer sous son t-shirt. Les gourmandes. Elle prend trop de contrôle. Ton corps réagit trop à ses ambitions. Tu vas exploser. Ton boxer va en pâtir. Ses ongles s'enfoncent dans son dos, ta peau doit sans doute déjà rougir. Tu te galbes légèrement. Du Raj tout craché. Elle veut des sensations forte. Elle va en avoir. Tu rejoints ses lèvres, lui mordille au passage. Avec un soupçon d'agressivité. Tu attrapes son haut que tu déchires. Tu le transformes en lambeau. Le froid de la nuit ne compte plus. Qu'elle ait froid ou non, t'en a rien à foutre. Tu ne feras qu'une avec elle de quelque manière que ce soit. Rien ne t'arrêtera. C'était sans la seule règle entre vous, le fait que justement il n'y en avait pas. Sa poitrine généreuse apparaît sous ton regard rempli de voracité. Tu baisses la tête et lui embrasses pour finalement remonter vers le globe de son oreille. « Tu vas avoir mal. » Elle était seule face à un être violent, sans morale. Elle avait fait son choix elle seule. Tu allais juste réaliser son fantasme divin. Comme à chaque fois.

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[size=7]poème par Summer90210
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