les hasards sont assassins (sade)
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les hasards sont assassins (sade)

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MessageSujet: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptyDim 3 Fév - 11:31




i forgot how life is simple
when you have a smile on your pretty face.

J’ai rencontré un garçon, il m’a un peu tourné la tête. Fortissimo même... Tu vois le requiem de Fauré ?! Bah être avec lui c’est pareil c’est fort c’est pur. }
Soupire dérisoire, regard habituel et issue obligatoire. Douleur à peine poussée par une arcade un peu trop amoché. Ce type j'aurais du le frapper avant qu'il penser même à se retourner. Manque de volonté ? Aucune idée, j'avais plutôt dans l'esprit d'une toute autre issue pour ma soirée. Toute autre. Encore ?! Bérégovoy t'a rien de mieux à faire de tes soirées ?! Tiens met ça sur ton visage avec que ça commence à enfler. Je sourie un capitaine du navire, autrement dit un commissaire qui passe dans le poste au moment même ou son subalterne me fait m'asseoir avec aucune douceur. Prenant place sur le siège que je commence un peu à connaître à MontSimpa, je regarde le policier soupirer en allumant son ordinateur. Son supérieur finit par revenir avec de la glace que je pose avec une grimace sur mon oeil et ma joue, alors qu'il finit par prendre la place du grincheux d'en face, il me regarde soupire, semble plus ennuyeux qu'énervé. Chouette type. Alors, qu'est-se qui s'est passé cette fois ? Se qui s'est passé ? Je le regarde dérouté face à la simplicité de sa question. Se qui s'est passé ? Très bonne question. Tu l'as frapé sans raison ? Comme ça ?! Quelle exclamation, ais-je à ce poin la tête du voyou trouble fête ? Faut pas en rajouter, j'suis de ceux qui sont plus du genre à se prendre la tête avant de frapper... sauf exception. Vous m'connaissez capitaine, je frappe jamais sans raison. Il a commencé je ne pouvais guère le laisser seul dans sa soif de virilité et de coup... Soupire exécutoire. Il essaye de ne pas sourire, et moi, moi j'le regarde avec franchise. Bon allez, pas de rapport... Mais une nuit en garde à vue te feras du bien, j'peux pas te relâcher comme ça et puis ça te refroidira le sang. Allez. Riposte vaine, je tente, je râle en le suivant jusqu'à fond du poste, une porte ouverte et mon petit carré pour la nuit découvert. Ah mais fallait me dire que j'étais le premier arrivant... les cachot de garde vue sont nettement plus luxueux que dans les histoire qu'on nous narre le soir... T'es vraiment barré gamin... Allez rentre dedans, et tiens toi à carreau. Je m'incline avec un sourire taquin, y entrant en entendant derrière la grille se fermer, puis la porte du couloir m'enfermer du bruit extérieur. Seul. Je soupire, m'étire, dormir ? Est-se possible ? Tant que je suis le seul pour le moment... J'escalade d'un bon le lit en hauteur me posant dessus avec un grognement.



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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptyDim 3 Fév - 23:11



DON'T STAND SO CLOSE TO ME.
lost highway way too fast
headlights burnin all my laughs.

------------------ ◊ -----------------

Comme d’habitude tu vois ces lumières bleues blanches et rouges miroiter devant tes yeux vitreux, au point de t’aveugler complètement, alors que cette sensation d’être sur le point de t’écrouler t'envahie encore une fois. Alcoolisé jusqu’au bout des ongles, défoncé jusqu’aux pointes de tes cheveux, tu ris aux éclats alors que tu te retrouves la tête plaquée sur le métal froid de leur voiture merdique de patrouille. Tu te laisses faire alors qu’il rassemble tes poignets dans ton dos mutilé par les coups, le métal froid des menottes te lacère la chair alors qu’un nouveau rire éclate dans ta gorge meurtrie. Comme d’habitude tu rues quand leurs mains baladeuses s’attarder trop longtemps sur ton corps exposé, ils te touchent et te retouchent de leurs mains froides. Brutalement l’un deux t’attrape par la nuque et te force à te pencher pour rentrer dans leur voiture de fonction, grimaçant, t’obtempère non sans avoir un fils de pute bien senti avant…Putain il n’avait jamais appris à faire preuve de délicatesse ou quoi ?! Grognant de mécontentent tu tentes de soulager tes poignets douloureux alors que les deux flics rentrent à leurs tours dans la voiture. La tête posée sur le carreau, les lumières défilaient devant tes yeux rougis par le taux de drogue qui stagne dans tes veines, tu les écoutes parler de toi et de tes nombreux allers-retours au poste. L’un deux fait même allusion à ton frère alors que tu lâches un Käï persse (Va te faire foutre en estonien).Celui qui t’a passé les menottes te lance un regard noir dans le rétroviseur, bien trop intrépide pour te laisser rabaisser tu lui susurres une autre insulte. Putain t’étais vraiment trop con de le provoquer comme ça mais vu la façon perverse dont il te regardait t’avais bien fait de l’envoyer bouler. Faudrait que tu racontes ça à Terrence, ça risquerait bien de le faire rire. Pour le moment, toi, ça ne te fait pas vraiment rigoler. En fait, tu ne sais pas trop comment réagir. Tu te demandes même si tu dois rire, t’énerver, laisser pisser ou tu ne sais pas. T'es juste choqué, en fait. Choqué qu’un enculé pareil puisse lorgner sur ton cul. Le surprenant a encore te reluquer dans le rétro tu lui lance un « Quoi ?! » dépourvu d’élégance. Il te faisait chier a te mater de la sorte ! « Tu sais mon p’tit si tu veux qu’on te libère rapidement il va falloir te montrer plus coopératif. » Énervé tu te redresse violemment sur ton siège filant un coup de pied dans le siège conducteur, faisant grogner de mécontentement son passager. Un rire courut le long de ta gorge qui raisonna de longues secondes dans l’habitacle alors que le flic se tortilla sur place, essayant en vain de trouver une place aussi confortable que l’ancienne. Au bout de longues minutes de combat visuel avec l’autre salaud, vous vous étiez enfin arrêtés en face du poste de police. Contournant la bagnole, le pervers ouvrit brutalement ta portière pour chopper violemment ton bras effleurant ta cuisse au passage. Lui envoyant un regard dégouté tu sors de la caisse, prenant bien tout temps alors qu’ils te traînent dans l’entrée, s’arrêtant devant le flic de l’accueil. Un nouveau. Son regard ennuyé empli de pitié se pose sur toi alors que le pervers explique en quelques mots ta situation familiale, ne supportant pas sa pitié tu lui rends son regard sauf que la colère a pris la place de la pitié. Il détourna bien vite le regard, mais finit par se lever pour t’emmener devant le mec qui allait te questionner pendant les vingt prochaines minutes, c’était la moyenne. Après vingt-deux minutes précisément, tu ressorti du bureau encore plus en colère qu’avant. Putain journée de merde…Le mec plein de pitié de l’accueil te ramena en cellule, vu que tu venais d’écoper d’une nuit en garde a vue…Ouvrant l’une des portes il lâcha au mec qui était dedans un rapide « J’te rapporte d’la compagnie mon p’tit » avant de brutalement te jeter à l’intérieur. Un visage familier se pencha lentement du lit du haut…Oh putain non pas lui…juste pas lui ! « Pas toi putain »


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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptyVen 8 Fév - 23:48

war is a joke
sade & mad



Admirant le haut de ma cellule, le peu d'alcool ingurgité durant ma soirée ne m'aide pas vraiment à me rendre fou d’allégresse ou à m'occuper assez. Non, juste une soirée de pourrie par une type qui est venu me provoquer. Même pas moi, sérieusement qu'est-se que j'en ai à foutre moi d'un type insignifiant ? Bon pas tant insignifiant que cela vu qu'il me vaut une nuit de garde à vue. Mais tout de même ! Soupire, regard dans le vide, pensées pas forcément morbide, ennui de tout ennui de rien. Silence et de moi n'en vient aucune patience. Quel est donc ce fou qui a crut devoir nous imposer cette obligation de finir dans ce trou ? Pour être durant un temps aliéné, éloigné de se que l'on appelle nos semblables. Soupire. Je regarde le vide un long moment étirant mes jambes avant de les replier, pieds à plat sur le matelas, sans même avoir prit la peine d'ôter mes bottes. Mâchant l'air vide, je soupire , main derrière la nuque je détruit miette par miette, pierre par pierre cette surface intacte jusqu'à se que mon regard tombe sur l'univers. Je m'évade rapidement, bien loin de cette cellule, libre, tranquille, sans contrainte. Douce illusion, qui me rattrape à chaque fois que je passe une nuit ou une soirée ici même. C'est pas comme si c'était fréquent certes, mais bon on va pas dire que je suis une nouveauté pour le commissaire.

J’te rapporte d’la compagnie mon p’tit Le bruit ne m'avait même pas dérangé, mais la voix me fait de suite revenir à la réalité, voix que je connais pas d'ailleurs, ou peu. Un des agents que je côtoie que très peu. Navré les mecs, j'suis le chouchou du commissaire, soyez pas jaloux il me laisse quand même dormir au trou.De la compagnie chouette, magnifique. Quelqu'un avec qui parler... Je tourne le visage me redressant pour regarder plus bas vers le sol quel type peut bien venir me rejoindre. Quel type... quel silhouette. Quel connaissance, quelle colère montante alors que je me crispe mon visage se rétractant encore plus à la vue de son expression. Quant à ses paroles, je me met assis sur le matelas, les pieds pendant dans le vide alors que je lorgne sur sa silhouette avec dégout et mon air hautain. Génial, j'finis déjà avec les taffioles de taule. Qu'est-se que tu fous là ? T'as besoin de venir me pourrir l'existence jusqu'à là ?! JE réplique avec dédain et hostilité.

FICHE PAR STILLNOTGINGER.
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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptySam 9 Fév - 1:43



DON'T STAND SO CLOSE TO ME.
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Le claquement sec de la porte de la cellule quand elle se referma, résonnant longtemps entre vous jusqu'au moment où il prit enfin la parole, clairement mécontent de la partager avec toi… « Génial, j'finis déjà avec les taffioles de taule. Qu'est-ce que tu fous là ? T'as besoin de venir me pourrir l'existence jusqu'à là ?! » Malgré toi et la barricade qui entourait ton cœur ses mots te touchèrent plus que prévu, mais bien décidé à ne rien laisser paraitre tu te composas une masque indifférent, à l’allure austère. Putain tu n’allais quand même pas lui montrer qu’il venait de te blesser non ? Après tout tu ne t’attendais pas à mieux venant de lui…Il était exactement pareil que toi, aussi vulgaire, blessant et violent que tout…après tout vous avez été fait sur le même modèle. Passant une main sur ta nuque douloureuse et sur ton arcade sourcilière colorée d’hémoglobine. Putain le mec qui t’avait collé son poing dans la figure n’y était pas allé de main morte, mais à vrai dire toi non plus vu l’état dans lequel ils l’avaient emmené en ambulance. Détaillant longuement de cellule pour voir que lui aussi avait l’arcade éclaté, tu passas ton regard le long de son corps, fixant son torse musclé, descendant le long de ses cuisses et ses jambes. Bordel tu aurais vraiment donné n’importe quoi pour le foutre dans ton lit…Pour être honnête depuis son arrivé a montsimpa son corps parfait hantais tes pensées, et tu ne pouvais t’empêcher de l’imaginer couché dans ton lit complètement à ta merci et malgré les efforts que tu déployais pour l’oublier il continuait de t’obséder. « Oh mais je t’emmerde l’coincé du cul ! Et si tu pouvais t’la fermer ça m’arrangerait, tu m’énerve à raconter d’la merde ! » Phrase lâchée avec un certain flegme tu fis lentement le tour de la petite cellule délimitée par les barreaux en métal, faisant lentement courir tes doigts dessus, pour produire un son aussi chiant que désagréable pour l’oreille humaine. Putain pire qu’un gosse cherchant à se faire remarquer ou même encore gronder par l’un de ses parents, enfin dans ton cas c’était plus tôt pour énerver l’imbécile perché sur le lit du haut, les pieds pendant lamentablement dans le vide. Au bout de quelques secondes tu te lassas enfin de ton jeu musical, et les yeux plongés dans les siens tu te dirigeas calmement vers le lit du bas, la démarcha outrageusement féline. Putain voilà que tu cherchais a charmer ce crétin. Plongeant sur le matelas aussi dur que de la pierre tu passas une main derrière ta tête. « Oh et pour répondre à tes question…j’suis ici pour avoir frappé un enculé qui avait osé me traiter de taffiole connard…Oui c’est tellement drôle de t’énerver espèce de crétin ! » Un sourire moqueur étira tes lèvres alors que tu attendais avec une impatiente non feinte sa réaction. Tu savais qu’elle serait disproportionnée et violente, mais malgré les douleurs qu’elle allait sans doute te causer tu l’attendais, allant même jusqu'à compter les secondes qui te séparait d’elle. Une…deux…trois…


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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptySam 9 Fév - 23:30

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Il est là dans cette pièce improbable, il est là avec sa silhouette qui me donne constamment envie de frapper qui me fait toujours cette sensation de pas vraiment tout gérer. Incompréhension, évènement improbable avec consternation. Qu'est-se qu'il fait là dans l'endroit le plus sur de la ville pour ne pas le croiser ? Comment peut-il venir oser brisé ma nuit de tranquillité ?! Son visage je le regarde avec hostilité, mon regard se pointant sur le mec bien luné qui a par miracle bien voulut le frapper. Où alors il s'est prit une porte et n'est pas doué. Mais je ne le pense guère, alors je remercie en silence ce mec, bien que dans un sens le maudissant d'avoir touché à ma poupée de défouloir de nerfs et de coups personnel. C'est moi qui le frappe, non mais oh ! Je le fixe avec austérité, avec énervement avec une putain d'envie de le frapper. Pourquoi vient-il donc jusqu'à la me troubler ? Ce connard n'a-til rien d'autre à faire ? Comme je sais pas, aller se faire enc*ler ?! Son regard se pose sur moi et je le vois glisser sur mon corps alors que mes muscles se tendent à l'extrème. Oh mais je t’emmerde l’coincé du cul ! Et si tu pouvais t’la fermer ça m’arrangerait, tu m’énerve à raconter d’la merde ! Le coincé du c*l ? Le coincé du c*l ?! Sérieux, non mais oh moi j'tiens pas à faire prendre par derrière par un mec tordu. C'est lui l'pas normal de nous deux !! J4essaue -tant bien que mal il faut l'avouer- de garder mon calme, j'dois le supporter encore des heures alors essayons de rester zen avant de le tuer. Il se remet à marcher et moi je me rallonge sur ma ouche en hauteur fixant le plafond. Le bruit qui suit me faisant me tendre de tout mon corps, mes poings se serrant alors que ma mâchoire se contracte. Je vais le buter...

Je tourne le regard glacial lui faisant bien comprendre d'arrêter, se qu'il semble faire de lui-même d'ailleurs alors que je le vois planter ses prunelles dans mes yeux sur le coup me déstabilisant légèrement. Sa démarche ensuite ne provoquant qu'une vague de dégout alors que je le regarde ayant limite envie de lui cracher dessus pour qu'il comprenne d'arrêter ses conneries. Je me crispe, une énième fois, au bord de la rupture de patience et de retenue. Il se dirige vers le lit du dessous. Oh et pour répondre à tes question…j’suis ici pour avoir frappé un enculé qui avait osé me traiter de taffiole connard…Oui c’est tellement drôle de t’énerver espèce de crétin ! Ok là il me cherche. Il m'en faut pas plus pour bondir au sol, retombant nettement sur mes pieds, alors que je l'attrape par le col de son tee-shirt, appuyant sur sa gorge en le laissant contre son lit. Ecoutes moi l'pédé, j'vais pas passer le reste de ma nuit avec une immondice comme toi dans ma cellule. Alors tu la fermes et je tâcherais de pour une fois te laisser un paix. Mais je te jure que tu l'ouvres encore une fois, et je te ferais passer tout fantasme de tarlouze sur les prison et leur taux d'homosexualité en te montrant se qu'on leur fait ici, ok ?! Je répond avec colère et haine le fixant hardement. Je le lâche avec dédain et brusquerie me redressant pour traverser la cellule allant m'asseoir sur le banc en remontant mes genoux, posant mes pieds sur celui-ci restant stoïque. Pour lui montrer que "il se tient tranquille, je m'efforcerais de rester neutre cette fois".
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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptyDim 10 Fév - 1:01



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Trois…quatre…cinq…six…sept…Les secondes s’écoulaient lentement dans ta tête, dans un compte à rebours aux allures interminables. Alors que tu arrivais à la vingt-et-unième seconde, il sauta du lit d’en haut retombant gracieusement sur ses pieds et te plaqua sur le matelas dur, son avant-bras sous la gorge t’empêchant ainsi de respirer correctement. « Écoutes moi l'pédé, j'vais pas passer le reste de ma nuit avec une immondice comme toi dans ma cellule. Alors tu la fermes et je tâcherais de pour une fois te laisser un paix. Mais je te jure que tu l'ouvres encore une fois, et je te ferais passer tout fantasme de tarlouze sur les prisons et leur taux d'homosexualité en te montrant ce qu'on leur fait ici, ok ?! » Tu l’avais écouté attentivement, le même sourire moqueur plaqué sur les lèvres ! S’il croyait te faire peur c’était raté, tu avais vécu bien pire ! Le bras toujours bloqué sous ta gorge légèrement douloureuse maintenant, il te fixait avec une haine féroce au fond des yeux te lâchant pas une seule seconde du regard, cherchant sans doute à te faire peur…mais malheureusement pour lui il en fallait plus pour t’impressionner, voir même beaucoup plus. Ne te laissant pas aussi facilement faire, tu passas langoureusement tes mains baladeuses sur ses fesses, descendant sur ses cuisses, pour finalement redescendre, créant ainsi un va et vient langoureux. Un sourire de prédateur collé aux lèvres tu continuais de le caresser. « T’es très sexy tu l’sais ça ? » Les pupilles lançant toujours des éclairs destructeurs il finit par enfin te lâcher avec dédain et brusquerie comme si tu le dégoutais. A vrai dire c’était sans doute le cas…pour lui rien d'autre qu'une pédale, une tarlouze et malgré toi ça te blessait. Mais tu lui faisais toujours face, un masque de froideur plaqué sur le visage ne laissant rien paraitre à ta douleur. Enfin si on pouvait appeler ça de la douleur, après tout c’était juste une putain de pincement qui te rongeait les tripes, saccade par saccade, meurtrissant aussi la barricade impénétrable qui entourait ton cœur. Passant une main sur la chair légèrement meurtrie et rouge de ta gorge, alors que sa jumelle passa rapidement sur ton arcade qui c’était remise à saigner. Essuyant rapidement l’hémoglobine qui menaçait de te couler dans les yeux, tu le fixas alors qu’il déambulait doucement dans la minuscule cellule, la traversant de part en part pour aller s’assoir sur le banc en pierre qui somnolait dans un coin du box. S’asseyant sur le banc, il fit lentement remonter ses genoux contre son torse pour les serrer contre lui comme un gamin prit en faute alors que tu continuant de lorgner chacun de ses gestes saccadés par l’alcool ou la drogue qu’il avait ingurgité. Alors qu’il restait calmement dans la même position tu ne pus t’empêcher de le chercher à nouveau, prenant soin de te relever pour t’assoir sur le matelas d’une dureté de pierre. « Oh. Mais c’est que tu mordrais presque dit moi ?! Tu crois vraiment qu’un enculé dans ton genre peut m’filer des ordres ? Rêve pas mon beau, tes ordres tu te les fourres bien profond là dans l’cul d’accord ? » Passant une main lascivement sur ton entre jambe dans une geste outrageusement provocateur, tu te penchas lentement en arrière la tête rejeté contre tes omoplates « Hmm…Grand fou tu m’filerais presque envie là…Mais sérieux t’ose même pas me regarder dans les yeux, donc me toucher pour me faire passer tout fantasme ? Rêve pas p’tit branleur, j’suis sûr que t’es trop trouillard pour me rouler une pelle maintenant, alors la ferme ta grand gueule »les yeux plongés à nouveau dans les siens tu attendais sa réaction.


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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptyDim 10 Fév - 15:32

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Je lui parle donc et son sourire moqueur me donne qu'une seule envie. Le frapper. Le frapper pour lui faire bouffer son sourire de connard qui n'écoute rien, qui fait rien et qui putain me met hors de moi. Il est là allongé comme si de rien était, hormis peut-être le fait que ça se voit légèrement à sa grimace de ses sourcils que je l'étrangle à moitié. Tant mieux ça le fera peut-être réfléchir à arrêter ses conneries si je lui coupe assez la respiration pour que son cerveau de merde comprenne.... Mais non, et c'est avec stupeur que je sens son contact sur moi, pas sur ma peau certes mais... sur... mon... il veut que je le tue ?! Il eut sérieusement que je l'abatte et il ne tient absolument pas à sa vie. Ce mec est suicidaire, mon dieu je vais le buter !!! Tremblant légèrement de rage, je ne veux même pas songer au frisson que provoque ses mains ni à quoi que ce soit d'autre. T’es très sexy tu l’sais ça ? Et toi tu me répugne ordure. J'en dis rien le relachant simplement. Ne pas le frapper, si je commence, je m'arrêterais pas.

Et je vais m'asseoir plus loin, loin de lui et sa connerie, loin de la tentation de lui refaire le portrait et tant d'autre chose. Il me cherche, il me cherche et il m'emmerde, ce connard d'homo. Je m’assois donc posant ma tête contre le mur en regardant le plafond essayant de me calmer en pensant au fait qu'il vient réellement de me pourrir ma soirée, ma nuit. Tout. Je le déteste pour ça, me gâche mon temps à Montsimpa, je veux pas le connaître, pas savoir quoi que ce soit de lui, savoir qu'il est qu'un putain de gay me rebute tellement. J'm'en fou qu'il se tape plein de mec, qu'il plaise à tant de monde parce que monsieur à une gueule à craquer et un cul à tomber. Qu'est-se que j'en ai a battre qu'il puisse peut-être être sympa ? Serieusement ? C'est qu'une putain de tapette que je voudrais bien voir disparaitre de mon champs de vision. Chose qu'il ne soit pas sembler lui venir à l'esprit vu son comportement de suicidaire à mes côtés. Oh. Mais c’est que tu mordrais presque dit moi ?! Tu crois vraiment qu’un enculé dans ton genre peut m’filer des ordres ? Rêve pas mon beau, tes ordres tu te les fourres bien profond là dans l’cul d’accord ? Ok, il me cherche. Même pas capable ce crétin de prendre l'opportunité que je lui offre de ne pas se faire casser la gueule ce soir. Non son arcade en sang ne semble pas lui suffire, pourtant il devrait savoir que je serais beaucoup moins doux que ce pauvre mec qui a seulement taper là. Pauvre mec. Je baisse le visage quittant le plafond des yeux pour le regarder alors que je me stoppe en le voyant ainsi agir. Mais bordel il se prend pour quoi ? Pour qui ? Une pute ou quoi ? Je me crispe mes yeux se détachant de sa main alors que je le hais d'attirer en plus mon attention vers cette partie de son corps comme le pauvre gay qu'il est. Connard. Hmm…Grand fou tu m’filerais presque envie là…Mais sérieux t’ose même pas me regarder dans les yeux, donc me toucher pour me faire passer tout fantasme ? Rêve pas p’tit branleur, j’suis sûr que t’es trop trouillard pour me rouler une pelle maintenant, alors la ferme ta grand gueule. Il relève la tête et je le fixe avec hargne mes poings se serrant contre mes jambes alors que j'essaye tant bien que mal de faire appel au calme. C'est de la provocation, qu'une putain de provocation de merde, une putain de provocation d'une sous-merde d'homo. Rien de plus. Rêves pas pédé, j'suis pas gay v'la pourquoi jamais j'risquerais de rouler quoi que ce soit avec ton corps de souillon. Ça n'a rien à voir avec la trouille pauvre mec ! Je répond avec colère , sur la défensive par ce connard qui ose me traiter " taffiole, enfin de trouillard et de remettre ça en cause. Bâtard.
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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptyDim 10 Fév - 23:39



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« Rêves pas pédé, j'suis pas gay v'la pourquoi jamais j'risquerais de rouler quoi que ce soit avec ton corps de souillon. Ça n'a rien à voir avec la trouille pauvre mec ! » Tu soupires avant de rouler des yeux, légèrement exaspéré. Après tout, tu te doutes bien qu'il ne te sort que des excuses de pacotilles et tu es un peu vexé quelque part, qu'il puisse croire qu'elles passeraient avec toi. En effet, il peut faire semblant de te haïr, t’insulter de pédale, ou encore te traiter comme la pire des sous-merdes mais les regards plein de convoitise qu’il t’avait lancés à plusieurs reprises quand vous aviez travaillé ensemble, tu ne les avais pas imaginés. Ils avaient été aussi réels que ses sentiments pour toi. Alors qu’il essaye de les cacher, grand bien lui en fasse mais tu te n’étais pas aussi con qu’il le croyait, tu avais compris dès le début et tu en jouais. T’amusant avec lui comme l’aurait fait un enfant sadique devant une fourmi, avant de l’achever d’un coup de chaussure bien placé, enfin dans ton cas c’était à coup d’insultes et de provocations perfides bien lancées. Tu serras tes poings sans même t'en rendre compte, déglutissant avec difficulté tandis que tu commençais doucement à voir rouge. Il t'avait énervé, alors toi aussi t'essayais de lui rendre la pareille en tentant d'amocher ses certitudes pourtant fausses et surtout particulièrement frustrantes. « C’est c’que j’ai dit t’es qu’un trouillard mec ! Ou peut-être un pédé qui ne s’assume pas ? A voir… T’as peur d’aimer ça en fait avoue ! » Tu lui lances d’un ton froid, avant de secouer la tête, affligé de voir qu’il n’assume même pas le fait d’être attiré par un homme, ou serait-ce par toi uniquement ? Sincèrement tu l’espérais parce que tu n’étais pas du tout du genre partageur, à vrai dire tu étais quelqu’un de très jaloux quand tu « aimais » une personne ! Enfin aimer était un bien grand mot pour décrire les sentiments contradictoires qui t’envahissaient en pensant au corps de mad ou encore à sa voix légèrement rauque. Pour les décrire tu aurais plutôt du dire que tu avais de l’affection pour lui, ou qu’encore tu désirais son corps de dieu grec, sa gueule d’ange pourtant si trompeuse…Reprenant légèrement contenance alors que tu t’égarais a l’imaginer coucher en dessous de toi, en sueur alors qu’il gémissait ton prénom d’une voix rauque affreusement sexy, tu secouas légèrement la tête de droite à gauche pour te remettre les idées en place avant de reprendre la parole d’une voix légèrement moqueuse. « Il paraît que les personnes comme toi, j’entends par là prétentieux et tout bien entendu, sont bien souvent des personnes jalouses, qui se cachent derrière leur amour-propre.» Pour toi, mad est la personne la plus prétentieuse entre vous deux, peut-être même de toutes les personnes que tu connais. Posant les paumes humides de tes mains à plat sur le matelas à la dureté de pierre, tu y pris violemment appui dessus pour brutalement élancer le haut de ton corps en l’air et être en position debout, tu t’approchas du corps recroquevillé de mad toujours assit sur le banc. D’une démarche féline, tu fis quelques pas de plus dans sa direction, avant de t'agenouiller en face de son corps, les yeux plongés dans les siens, toujours aussi sombre de colère « Mais, de qui pourrait tu être jaloux ? De moi ? Parce que j’assume d’être une putain de pédale comme tu dirais ? Ou des autres qui s’assument eux aussi ? » Tu ne peux t'empêcher de laisser un léger rire s'échapper d'entre tes lèvres, teinté d'une ironie que tu ne cherches pas du tout à dissimuler. Tu soupires un bon coup avant de jeter un regard arrogant en direction du jeune homme, ne pouvant t’empêcher qu’il lui ressemblait. Du moins un peu, surtout à niveau de sa bouche si tentante. Voilà c’était exactement ça, il avait la même bouche que Samuel, et elle te tentait depuis votre rencontre houleuse. « T’as pas de couilles mec sérieux ! » A chaque fois que ton regard se posait sur lui, tu ne pouvais te permettre de penser qu'à une seule chose, le fait qu'au fond il se voilait la face. Pire que de faire croire au monde qu'il n’était pas gay, mais un « vrai » mec, il se voilait lui-même la face. Il ne se rendait pas compte d'à quel point il ne peut pas être crédible pour les personnes qui le connaissent vraiment. Et jusqu'à preuve du contraire, tu faisais partie de ces personnes, quand bien même qu’il ne te voit pas comme un ami ou même une connaissance. Les choses ont beau être devenues plus violente entre vous, il continuait à te faire fantasmer comme un malade. Mais à vrai dire, les choses n'ont jamais été très simples entre nous. Entre les piques sournoises et vos chamailleries de gamins…Pire que des gosses ! Plongeant tes mains dans le fond des poches de ton jogging Adidas noir a rayures blanches, tu continuais de le fixer, ne le lâchant pas une minute de ton regard moqueur. Au fond de toi tu aurais voulu qu’il cède, et qu’il te roule la pelle du siècle dont vous rêviez depuis votre rencontre on ne peut plus mouvementée ! Enfin mouvementée était un putain d’euphémisme, dès qu’il avait appris que tu étais bisexuel il avait commencé à t’insulter, te lançant des piques a tout vas juste pour satisfaire les envies qui l’avaient envahi en te découvrant, penché sur une table. Penché était un bien grand mot, tu étais littéralement affalé sur le torse d’un de tes clients à l’embrasser a pleine bouche, tes mains se baladant vicieusement sur le torse musclé du jeune homme et tout ça sous l’œil dégouté des clients, et celui réprobateur de ton patron, mais il était bien trop peureux pour te le dire. Le comble a vrai dire vu que ton patron, un certain Julian Parish, faisait facilement le double de ton poids, avec une vingtaine de centimètre en plus, et aurait été pas mal s’il se fringuait un peu mieux et qu’il dormait un mois d’affilé pour virer les cernes violacées qui pendaient sous ses yeux. Souvent tu disais que tu étais la cause des problèmes qu’il affichait avec ton caractère tempétueux et les bagarres a répétions que tu causais dans son bar pour calmer tes nerfs. Voilà que tu en arrivais à le plaindre…Grommelant quelques secondes contre toi-même tu reportais toute ton attention sur MAD, attendant à nouveau sa réaction agressive et violente. « Prouve moi que j’mens, que tu es belle et bien un vrai mec pas une tapette dans mon genre et roule moi cette putain de pelle » Bordel c’est que tu virais maso…
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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptyLun 11 Fév - 0:15

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C’est c’que j’ai dit t’es qu’un trouillard mec ! Ou peut-être un pédé qui ne s’assume pas ? A voir… T’as peur d’aimer ça en fait avoue ! Ok mais c'est quoi ce mec ? Pourquoi donc s'obstine-il ainsi à être casse-couille ? Pourquoi ce besoin de toujours se la ramener, alors que pour une fois je laisserais presque les choses filer, passer, et ne pas m'énerver. Mais là il cherche vraiment à ne pas m'y aider en faisant le contraire de se qui serait conseillé de faire. Je vois rouge alors que je soupire serrant les dents mes doigts serré à m'en exploser les phalanges. Mais ta gueule... Je répond entre énervement et air blasé alors que je lui adresse même pas un regard. Il m'énerve, non pas que par son homosexualité, bon c'est déjà certes le poing le plus important, mais surtout par ce besoin qu'il a de me provoquer depuis des mois. Si au début de notre rencontre, il semblait ne pas piffrer un mot et juste me rétorquer tant bien que mal, je ne sais pas quoi là fait changer alors que maintenant il passe sa vie à m'insulter d'homo refoulé. Insulté oui ! Non mais sérieusement, a-t-il à ce point besoin de se revoir dans chaque personne pour un peu mieux s'assumer ? Autant se jeter d'un pont mec, ne t'assumes pas, t'es une erreur de la nature même. Il paraît que les personnes comme toi, j’entends par là prétentieux et tout bien entendu, sont bien souvent des personnes jalouses, qui se cachent derrière leur amour-propre. Je rétorque rien, mes doigts serrés tremblant tellement je me retiens étant la seules réponses au fait que je l''entend encore prononcé les mots à hautes voix. Merde, commettre un meurtre en prison c'est franchement le comble mais là... il e me pousse qu'à le faire ce crétin. Il se lève et je le suis du regard, assassin, un dégout non dissimulé dans mon regard alors que je ne fixe que son regard et rien d'autre, ne voulant même pas lui fournir la moindre petite excuse pour encore une fois continuer son stupide jeu. Mais, de qui pourrait tu être jaloux ? De moi ? Parce que j’assume d’être une putain de pédale comme tu dirais ? Ou des autres qui s’assume eux aussi ? Je grogne, essayant de me changer les pensées, de ne pas voir avec jubilation son corps mort sous mes coups. Mais t'es un fucking taré ! Bordel tu fais vraiment pas honneur à ton espèce de sous race d'homo./b] Je crache avec dégout en le regardant de haut en bas avec dédain.

T’as pas de couille mec sérieux ! Je. le.hais. Depuis le jours où j'ai été embauché de ce fichu restaurant, où il trainait son corps de catin sur un autre en train de l'embrasser comme jamais même j'embrasserais une fille, par pur esprit que je ne suis pas du genre à m'afficher pour le provoque, alors que lui limite se serait mit à baiser avec ce connard dans le restaurant. Je l'ai détester dès le début, avec son regard à faire fondre n'importe qui de ces mecs de merde, ses répliques, sa voix tout m'insupporte autant que m'obsède. [b] Et toi j'te jure merdeux que tu vas bientôt plus en avoir si tu continues à me dire ça !
Il enfonce ses mains dans ses poches, s'éloigne, se tient silencieux un temps. Magique, je l'observe sans rien dire ravis de le voir enfin fermer sa grande gueule de suceur ! Il marche quelques pas, grogne sans que je comprenne quoi que ce soit et que j'essaye même de comprendre se qu'il dit.
Prouve moi que j’mens, que tu es belle et bien un vrai mec pas une tapette dans mon genre et roule moi cette putain de pelle. Il reprend la parole et je manque de lui sauter dessus pour lui fermer sa bouche à coup de poing. Au lieu de ça je le fixe avec mépris, me contenant bien malgré moi alors que sur le coup je reste à le fixer dégouté par cette idée, autant que par celle de passer pour un lâche. D'un seul coup une image d'un rêve qui m'a fait plus d'une fois vomir me revient en tête alors que je ressens presque le contact de ses lèvres sur les miennes. Connard de pédé, ils vous retournent la tête. Je reste là les muscles tendu alors que d'un seul coup à l'intérieur une petite voix commence à me dire de le faire. De lui prouver que j'ai des couilles, que c'est pas une pédale comme lui qui me fait reculer, que je peux touche ses lèvres, que je peux le toucher et sentir se que ça fait de l'embrasser, le contact de sa langue. Ça le fera taire, pour de bon, et ça fera taire mes idées bizarre en me prouvant à quel point c'est ignoble. Je me redresse alors en le fixant dégouté. T'es qu'un sale pervers de pédé. Je crache avec dédain en le rejoignant décidé, lui faisant face alors que je le fixe dégouté, mon regard s'abaissant sur la lèvre alors que j'avale ma salive rebuté par ce contact alors que je finis par l'attraper par la nuque pour plaquer mes lèvres sur les siennes. Sur le coup la brutalité de l'approche s'éclipsant par le contact de sa peau sur la mienne, alors que je le sens réagir. Je vais vomir. Réprimant un frisson, je glisse ma langue contre la sienne, la vision de mon cauchemar/rêve se collant par dessus l'instant actuel alors que j'étouffe un gémissement en intensifiant le baiser contre lui. Ça dure bien une bonne minute avant que je reprenne mes esprits en me disant que ça lui suffira amplement à se qu'il comprenne que je suis pas un trouillard. Je m'écarte brutalement le souffle court, le regard dégouté alors que je crache au sol pour lui démontrer mon dégout. Pédale de merde !
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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptyLun 11 Fév - 1:56



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« Mais t'es un fucking taré ! Bordel tu fais vraiment pas honneur à ton espèce de sous race d'homo. » Un rire jaune grimpa le long de sa gorge pour rouler sur ta langue percée alors qu’il finissait sa phrase aussi conne que peu recherchée. « Qu'est-ce que tu en sais crétin ? Tu connais d’autre sous race d’homo ? Non alors ferme ta grand gueule pauvre enculé ! » Tu ne pouvais t’empêcher de le provoquer, c’était dans ta putain de nature et tu ne pouvais t’en défaire « Et toi j'te jure merdeux que tu vas bientôt plus en avoir si tu continues à me dire ça ! » Cette fois un rire amusé retentit dans la salle minuscule. « Hmm…pas grave j’suis sûr qu’avec toi être le passif ne me dérangerait pas ! » A peine a tu finis cette phrase qu’il se jette sur toi, pour prendre tes lèvres. Au bout d’une minute il se détacha de toi à bout de souffle, les yeux te foudroyant avec dégout « T'es qu'un sale pervers de pédé. » c’est beau c’est cinglant c’est made in mad ! « Mais tu adorés ça avoue… » Passant l’arrière de ta main sur tes lèvres pour retire la sensation humide qui les parcouraient tu pris un petit air pervers. « Alors tu as trouvé ça comment ? » Question ironique en vue de sa réaction dégoûtée. Même si tu savais parfaitement qu’il simulait son dégout, du moins tu l’espérais. Après tout faire changer de bord un homophobe était déjà existant comme ça alors qu’il ne soit pas dégouté d’embrasser un homme aurait été très décevant. Voir même très décevant parce que ça aurait voulu dire que ce n’était rien d’autre qu’une pédale refoulé. Bien décidé à l’énerver et le dégouter encore plus tu t’approchas à nouveau de lui. « Putain t’as d’sacré progrès à faire, t’embrasse vraiment comme un pied ! » Ton outrageusement moqueur alors que tu le plaques brutalement le contre les barreaux en métal de la cellule pour reprendre ses lèvres. Gardant ses poignets entre tes longs doigts fins pour éviter qu’il ne te file des coups, tu places tes jambes entre les siennes, plaquant encore plus ton corps contre le sien pantelant, pour protéger tes si précieux bijoux de famille des coups de genoux qu’il aurait pu te mettre. Enfin, même s’il t’aurait frappé tu aurais continué, tu avais toujours été un peu maso sur les bords…Samuel l’avais toujours dit, alors c’est que c’était bel et bien vrai non ? Et puis tu étais tellement d’assouvir le désir qui te meurtrissait le bas ventre et le cerveau depuis votre rencontre il y a de ça quelques mois. Des fois, tu te demandais ce qui t'avait plu chez lui. Pour beaucoup, il paraissait détestable et hautain, c'était un insupportable gosse de riches qui avait un poil dans la main et qui avait tendance à se reposer sur ses acquis. Aussi ce n'était certainement pas son côté intellectuel qui t'avait séduit, loin de là même… Tu n'étais pas en train de dire que mad était bête, au contraire, tu étais de ceux qui pensaient qu'il avait un réel potentiel et qu'il ferait bien de mieux l'exploiter, mais cela ne semblait pas être dans ses priorités. Il préférait la vulgarité et l’aptitude digne d’un homme de Cro-Magnon, un peu comme toi d’ailleurs…Tu étais sans doute plus intelligent que lui, à vrai dire c’en était certain en vue de tes tocs, mais la seule chose que tu savais faire c’était insulter, te détruire en noyant ton corps sous des litres et des litres d’alcool, de drogue, ou encore la chose que tu faisais le plus…Assouvir tes désirs, surtout LE désir qui te prenait quand tu le voyais. Ce désir qui te brûlais, qui te faisait te consumer, cette flamme qui te dévorait de l'intérieur dans une chaleur abominable. Tu la sentais se raffermir en toi. Et voilà que le désir t’entoure de ses deux bras brulants, te murmurant à l'oreille de céder au plaisir. Il ne t’en faut pas plus pour libérer une de tes mains, gardant toujours ses poignets dans sa jumelle alors que celle libre descendant sur son torse, passant lentement sous son tee-shirt pour caresser ses muscles. Les retraçant du bout des doigts alors qu’il ruait contre toi pour que tu le lâches. Mais c’était peine perdue pour lui parce que le désir te filait une force herculéenne…Faisant descendre tes doigts dans une caresse érotique le long de la chair tendu de son torse, pour arriver à ses bijoux de famille que t’empoignas. Détachant brutalement ta bouche de la sienne, tu caressas sa mâchoires du bout des lèvres, dans une caresse aérienne jusqu'à que ta bouche se perd a quelques millimètres de son oreille. En mordillant quelques instants le lobe tu finis par y lâcher d’une voix chaude un murmure. « Maintenant j’suis certain que t’as bien une paire de couilles…et elle a l’air d’apprécier c’que j’te fais... » Déposant un ultime baiser derrière son lobe, une place que tu savais sensible, tu repartis à l’assaut de sa bouche encore humide de ta salive mélangée à la sienne. Un claquement sec provenant de derrière toi te fit brutalement baisser ta garde, et mad rua loin de toi chassant par la même occasion ta bouche et ta main qui caressait vicieusement la boule qui se formait dans son pantalon, le regard assombrit par le désir et la haine qui se chamaillait la place dans ses beaux yeux verts. Un sourire moqueur accroché aux lèvres trempées, tu le fixais attendant qu’il réagisse mais avant qu’il n’est pu te filer un coup que ses yeux te promettaient un flic entra dans la petite cellule flanqué de trois autres pingouin en uniforme bleu, un air gêné au possible plaqué sur chacun de leurs visages. Putain il n’y avait pas de quoi être gêné ! Ne lâchant pas une seule seconde mad de tes yeux assombris de désir, tu lâchas un bref « Putain mais vous avez jamais vu du cul entre mec ou quoi ? » Un rire gras résonna brusquement dans la minuscule salle quand tu finis ta phrase ce qui fit monter un sourire vainqueur sur tes lèvres. Enfin quelqu’un qui avait de l’humour, parce que là entre le regard glacial du jeune homme qui te faisait face et celui gêné des trois crétins tu n’étais vraiment pas aidé. L’atmosphère lourde qui régnait dans la pièce se détendit enfin alors que les quatre flics pénétraient a l’intérieure de la pièce, se joignant a vous alors que mad crachait son dégout sur le sol. « Bon les gars vous allez devoir baiser ailleurs, le commissaire a décidé de vous laisser sortir plus tôt alors bouger votre cul de là avant que j’vous le sorte moi-même ! » Trop heureux de pouvoir sortir d’ici plus tôt tu t’élanças hors de la pièce, envoyant un signe de tête et un sourire pervers a mad et bouscula rapidement l’un des trois idiot encore rouge de honte.
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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptySam 16 Fév - 14:36

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Qu'est-ce que tu en sais crétin ? Tu connais d’autre sous race d’homo ? Non alors ferme ta grand gueule pauvre enculé ! Ok il veut vraiment m'énerver cet autre débile profond. Et oui je connais d'autres mecs, à croire que de nos jours les taffioles ça court nos rues, c'est dingue ça. Sauf qu'à ma connaissances, elles ne sont pas toute aussi... horrible que ce débile Hendrik ! Je grogne, je ne répond rien, mon regard devant sous doute pouvoir bien assez parler pour moi comme ça. Un jour je vais faire un meurtre,et après on viendra dire qu'on comprend pas etc. Mais c'est pas humain d'être poussé à bout par ce genre de pauvre con. JE l'envoie juste se faire chier, le menaçant sans vraiment y porter d'attention. Hmm…pas grave j’suis sûr qu’avec toi être le passif ne me dérangerait pas ! Je bug un instant sur ça, juste un instant et encore extérieurement ça ne se oit pas. Me putain se qu'il peut être horrible ce mec, bon à frapper, bon à enfermer. Pourquoi se contente-il pas de mener sa vie loin de moi ? D'aller se faire enculer dans une autre ville au lieu de bouger son petit cul dans le restaurant où j'ai débarqué ?!!!

Il me provoque, ça part en live. Parce que non je suis pas une taffiole qui embrasse un mec, non je suis pas un trouillard qui veut pas par peur. Non il embrasse comme une merde et c'était affreux, oui affreux, parce que c'est un mec putain et que c'est dégueulasse. Alors je lui envoie une insulte seulement, prouvant me dégoût sur sa personne. Et lui... Alors tu as trouvé ça comment ? Ok je vais le buter, je serre les dent essuyant ma bouche avec dégoût en le regardant avec haine. Tu vas t'en prendre une! Je grogne avec dédain, me détourant pour retourner dans mon coin, loin de lui et de sa connerie. Seulement ça se passe pas comme ça. Non parce que ce con est un pervers sadique et que sérieusement je me demande se que j'ai bien pu faire pour mériter de croiser sa route. Parce que merde pourquoi donc il a fallut que ce soir je me fasse arrêter ainsi et finir ici alors que lui aussi. Pourquoi ce soir ?! Merde un autre soir et j'aurais été tranquille et toi aussi tête de con, t'aurais pas eut à me supporter, t'aurai pas eut à me provoquer. Tout les deux satisfait. Ou pas... Putain t’as d’sacré progrès à faire, t’embrasse vraiment comme un pied ! Sale enculé, d'où il se permet de dire ça. D'où il se permet de critiquer alors qu'il baise qu'avec des mecs ce connard ?! Que je sache toute fille ont toujours été comblé, non pas que j'apporte un égo démesuré à mes performances, loin de là, mais néanmoins je sais aussi que je satisfait pleinement le reste.Seulement j'ai pas le temps de rétorquer ça, j'ai rien le temps de rétorquer alors que mon dos heurte les barreaux de la porte métallique. Bordel ! Juste le temps de grogner d'essayer de le repousser, seulement mes mains semblent bientôt être enclavé par les siennes alors que , essayant de reculer pour éviter son corps, celui-ci vient me bloquer contre l'obstacle derrière moi. Non ! Bordel le con je vais le tuer, je vais lui arraché chaque membre un part un, le frapper à mort le... ses lèvres reviennent avec force sur les miennes sans que j'y peuvent rien, sur le coup ça me calme, un peu.Juste un peu. Parce que merde je perd le fil de mes pensées, parce que sa langue me fait peu à peu vraiment pas mal délirer. Et que ce con à raison un instant de ma propre raison. Je le hais. Je le hais de sentir son corps se coller contre moi, ses mains me bloquer avec force, et ses lèvres rester sur les miennes. Sale pédé. Et ses doigts virent sur mon corps et j'essaye de profiter pour virer mes mains de la sienne, peine perdu. Je me temps, je me crispe, qu'il me lâche alors que mon rythme cardiaque part en live alors que je ne veux qu'une seule chose qu'il comprenne qu'on ... ne me fait pas ça.
Il descend ses doigts et je me tend de plus en plus, il apas le droit, bordel je vais le tuer. Je grogne contre sa bouche de colère, de dédain alors que ma respiration se coupe et le sentant faire sur mon entre-jambe. Il me lâche mes lèvres. Connard, lâches moi, je vais te tuer... Lui il semble pas y préter attention alors que je sens son souffle dans mon cou et que ma peau frissonne contre toute volonté. Maintenant j’suis certain que t’as bien une paire de couilles…et elle a l’air d’apprécier c’que j’te fais... Je le hais, bordel. Et toi tu vas bientôt plus en av... Cependant son baiser sur ma peau me coupe la voix alors qu'il revient contre mes lèvres. Le bâtard, alors que j'essaye de le virer. Et ça marche, avec un bruit derrière moi, j'arrive à le repousser par surprise me glissant hors de porter de son corps. Le souffle court, je le fixe imaginant tout manière de lui faire payer ça. Son irrespect, son horreur, son acte, ses gestes, cette envie qui grimpe alors que c'est qu'une pauvre tâche de ramassis de merde. Pas le temps de répondre, la porte s'ouvre sur trois mecs. Génial je vais passer pour un pédé dans son genre, j'essaye de contenir mes tremblement de rage alors que e ne prend surement pas part à leur rire débiles de con. Non mais lui aussi il se prend pour qui ? Une tapette digne des foires à bizarrerie , monstrerie même je dirais. Monstruosité à lui seul, je ne fais que le regarder lui avec un envie de tuer comme jamais. Je le hais. De tout mon être alors que j'écoute à peine les paroles de ces goêliers dont la venue a été autant une malédiction qu'une bénédiction. Et Sade se casse avec bonne humeur et joie. Je le hais bordel, je le hais pour tout ça. Il dégage de mon champs de vision et je me décide à me bouger. Pensez à faire une cellule taffiole et une personne normal, ça évitera des meurtres ici. Je grogne avec dédain et hostilité alors que je me casse en bousculant un avec mon épaule. En temps normal j'aurais de nouveau fini devant le commissaire, mais ils semblent trop gêné pour ça alors que je récupère mes effets personnels et que je me casse du bâtiement.
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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptySam 16 Fév - 20:06



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« Pensez à faire une cellule taffiole et une personne normal, ça évitera des meurtres ici. » Tu ris en entendant sa phrase lâchée d’un ton rageur pour de te diriger d’un pas las vers l’accueil pour récupérer tes affaires personnels, en gros ton téléphone, et un bout de papier ou le numéro d’un mec dont tu n’étais même pas sur de te rappeler trônait écrit d’une écriture grossière à souhait. Avant de sortir une bonne choix pour toute de la prison, tu passas rapidement au toilette, ouvrant la porte des toilettes puis tu la referme assez bruyamment pour qu’il l’entende. Positionner en face d’un des miroirs qui surplombe le lavabo, tu t’emponnes doucement ton arcade sourcilière ensanglanté avec la manche déjà souillée de ton gillet, grimaçant quand un flot d’hémoglobine se remet couler le long de ta peau. Putain il ne t’avait vraiment pas raté cet enculé…. ! Jurant à voix basse contre l’enculé en question, tu continues de retirer le sang qui la recouvre avant d’arrêter en découvrant que plus tu en enlevais plus du liquide rouge brulant et capiteux, frais, s’écoulait le long de ta chair. T’adossant a la porte en bois sombre des toilettes, t’attends patiemment qu’il passe devant la porte, étouffant un sourire alors que tu entendes ses pas lents claquer sur le sol propre du commissariat suivit de prêt pas des menaces morbide a ton encontre. Attendant quelques secondes avant de sortir pour être sûr d’être lui quand tu parleras, tu claquas violement la planche en bois qui assurait l’intimité de la pièce, tu rigolas en le voyant sursauter, surpris par le bruit sourd que tu venais de produire. Bien décidé a ne pas lui laisser oublier vos dernier instant en cellule, tu t’amusas comme un fou à le provoquer lâchant une phrase dont t’étais sûr qu’il allait mal, très mal le prendre et pour être franc tu attendais sa réaction avec une certaine impatiente. « Alors…toujours hétéro ? » Baladant l’une de tes mains sur ton torse, de haut en bas tu t’approchas lentement de lui, prenant soin de le fixer dans les yeux pour voir le désir et la rage se battre à l’intérieur « ou tu campes sur tes positons de pédale refoulée ? » A présent en face de lui, à quelques centimètres alors de son corps tremblant de colère tu continuas ta petite provocation avec ta main, alors que sa jumelle elle se plaquait sur entre jambe. « Si c’est le cas j’peux peut être te donner un autre avant gout du sexe entre mec, tu sais ça me dérange pas… » Transformant ta prise en une caresse perverse tu t’approchas encore plus de lui pour souder vos corps l’un a l’autre, avant de coller tes lèvres aux siennes « Loin de la même » [/color]un sourire victorieux gagna tes lèvres alors que le désir brut sorti vainqueur de la bataille contre la colère. Mais c’était trop facile pour que ça te plaise alors tu pimentas un peu le jeu pervers qui se déroulait entre vous, allant même jusqu'à lui mentir pour le rendre jaloux « Mais là…» offrant une autre caresse a son corps tendu, tu reposas tes lèvres sur les siennes avant de les faire courir le long de sa mâchoire crispé. « Tu vas devoir attendre, mon coup de ce soir m’attend depuis des heures… » Au moment même où tu sentis une vague de colère submerger ton interlocuteur, tu compris que tu avais gagné une des batailles. « Et je n’aime pas spécialement le faire attendre » Apposant une dernière fois tes lippes sur les siennes à présent humide de ta salive, tu retiras ta main et le contourna lui offrant un dernier sourire moqueur. Tu le connaissais assez pour savoir qu’il ne se laisserait pas faire comme ça, il cherchait soit à t’arrêter en te frappant ou encore en te suppliant, mais tu savais que la première option gagnerait la bataille sur la deuxième…Il était trop fier pour te supplier, enfin toi ou quelqu’un d’autre. Poussant la porte qui menait à la sortie de cet enfer, tu t’engageas dehors, grimaçant en sentant le froid polaire piquoté tes joues brulantes, pour s’engouffrer dans le col de ton gilet sombre, refroidissant d’un coup ton corps

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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptyLun 25 Fév - 19:45

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Libéré de cette garde à vue que aurait du durer toute la nuit, je ne sais si c'est une bonne nouvelle, où si j'aurais préférée la nuit entière mais seule. Où alors la nuit entière avec... non ! Cette taffiole m'a en plus retourner le cerveau. Récupérant mes effets personnels, j'enfonce mon téléphone dans ma poche remettant ma montre alors que j'enfile ma chaine à mon cou qui normalement ne me quitte jamais. Passant une main dans mes cheveux je les détache juste le temps de les rattacher sur le haut de mon crâne comme toujours. Puis je me dirige vers les toilettes de leur commissariat pour aller pisser ou surtout me passer de l'eau sur le visage et me vider la tête de ces choses là. Entrant donc dans les w.c je me dirige vers les lavabos, sursautant cependant au claquement de porte derrière moi alors que je relève la tête pour voir une porte s'ouvrir et Sade en sortir. Putain. Alors…toujours hétéro ? Je me crispe mes poings ce serrant alors que je le foudroie dans le reflet sur le glace. Pour ta santé je quitterais cette... Je me stoppe dans ma phrase en sentant ses mains , ses foutues mains sur mon torses alors que je me retournes pour le virer. Il s'approche, joue avec le feu. Où est... cette chaleur c'est dans ma tête que ça se défonce, le feu qui fait rage c'est la haine et sa connerie qui montent et s'amoncent ?!ou tu campes sur tes positons de pédale refoulée ? Je me crispe tremblant limite de rage alors que je m'apprête à le saisir au cou pour lui faire regretter ses paroles profanatrice. et toi ? tu joueras toujours autant même castré ?! Je lâche en sifflant avec menace et hargne.

Sa main qui glisse sur mon torse m'insupporte mais c'est pas limite si je lui gerberait dessus en sentant l'autre sur mon entre-jambe alors que je me tend près à frapper. Si c’est le cas j’peux peut être te donner un autre avant gout du sexe entre mec, tu sais ça me dérange pas… Vires. ta.main. de suite. Je crache entre mes dents en le fixant avec hargne, ne prettant aucune importance à ses mots. L seule idée que quelque rentre et se fasse de fausses idées me faisant autant m'énerver que on horrible manie à me toucher et me provoquer, me chauffer ainsi. Loin de la même Son corps se collant contre moi je manque un haut de coeur, ses lèvres venant s'apposer contre moi alors que toute réplique se vide de mon esprit un grognement vrillant entre nos lèvres scellées. Ses lèvres retrouvant ce même effet gerbant de me faire oublier sur le coup mes pensées et mes répliques acides. Et je finis par répondre à ses lèvres, ma langue contre la sienne parce que putain ce mec je le hais, c'est pas humain cet effet de colère qui grogne autant...

Il se détache pourtant et je le fixe le souffle court. Mais là… Sa main glisse sur ma machoire après un autre baiser volé et j'ignore si je vais le frapper pour se détacher ou pour m'avoir embrasser. Ce con. Tu vas devoir attendre, mon coup de ce soir m’attend depuis des heures… Et je n’aime pas spécialement le faire attendre Le tuer pour ce qu'il est voila tout. Ce crétin d'enflure de sous merde, ce pédé dépravé et impossible. Mes doigts se crispent de nouveau la colère revenant l'envie de le frapper revenant alors que je retrouve mes pensés que ces lèvres avaient fait disparaitre. Et il se tire cet enflure, la porte se ferme sur un dernier goût de ses lèvres alors que je le haïs putain je vais le buter, l'enterrer moi même. Faire disparaitre ces images dégueulasse de son corps et celui d'un autre pédé dans son genre.
Je reste un temps avant d'enfiler ma veste et quitter ce bâtiment que je connais un peu trop pour si peu de vie dans cette ville. Je descend une à une les marches du bâtiment le voyant au loin quitter le parking, sa silhouette si provocatrice marcher dans l'obscurité. Je râle, je ne sors même pas une clope traversant la voie pour le rejoindre. Hé connard ! Je lui laisse pas le temps de se retourner que déjà mon pied s’abat derrière son genoux avec force le voyant chuter il ne doit son "secoure" qu'à ma poigne qui attrape son tee-shirt. Mon poing venant s'abattre sur sa pommette alors que je lui laisse pas le temps de répliquer le plaquant contre une voiture mon coude s'enfonçant dans son ventre. Pour ton pédé faudrait déjà qu'il puisse reconnaitre ta gueule défiguré pour savoir que c'est toi qu'il doit baiser. Je grogne en gardant ma main crispée sur ses fringues, alors qu'avec dégout j'imite son geste m collant contre lui , surtout pour éviter aussi un coup sur mon entre-jambe auquel je tiens. Collé contre lui mon poing de libre s'abat de nouveau sur son ventre. Tu fais vraiment une piètre piètre publicité pou tes copains. Pédé, pute jusqu'au os ... t'es pathétique Je réplique attrapant sa mâchoire pour plaquer mes lèvres plus avec rage que cette fois-ci autre chose avant de le lâcher avec violence. Et m'éloigner. Va biser ailleurs connard. Je crache ensuite avec dédain avant de m'éloigner. Dégouté.
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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptyMar 26 Fév - 14:45



DON'T STAND SO CLOSE TO ME.
lost highway way too fast
headlights burnin all my laughs.

------------------ ◊ -----------------

« Et toi ? Tu joueras toujours autant même castré ?! » Un rire explosa dans ta gorge alors sa phrase parvient à tes oreilles. Putain il adorait les menaces mais n’aurait jamais les couilles de les mettre à exécution. Oh tu en étais certain castré tu n’aurais plus vraiment d’intérêt à ses yeux… « Pourquoi pas ? Je t’ai déjà dit qu’être en dessous avec toi ne me dérangerait pas ! » Tu lances alors que tu quittes le commissariat rapidement, envieux de continuer ta soirée. Après tout la nuit n’était pas finit non ? Alors pourquoi ne pas continuer de s’amuser ? De plus ta petite entrevue avec mad t’avait refilé une putain d’envie de baiser…t’allais devoir te trouver un nouveau coup, parce que en vue de sa réaction dégouté il n’était pas prêt de te céder. Souriant dans le vide tu descendis rapidement la dizaine qui séparait le bâtiment grisâtre et terne du sol. Putain cet idiot t’avait excité et malgré lui assez énerver pour faire sortir une partie de toi que tu détestais. T’éloignant d’un pas las du lieu que tu connaissais le mieux avec les boites de nuits de Bridgeport, tu serras douloureusement tes poings. Jusqu’à que tes jointures blanchies craquèrent. « Hé connard ! » Ne te laissant même pas le temps de te retourner il lança son pied à l’arrière de ton genou, te faisant momentanément perdre l’équilibre. C’était qu’un putain de lâché ma parole, il était obligé de te frapper par derrière de peur de céder à la tentation qui lui bouffait littéralement le corps. Tu retrouvas une équilibre précaire grâce à lui, alors qui te chopa rapidement le tee-shirt pour ta plaquer contre une voiture son coude s’enfonçant dans ton ventre. « Pour ton pédé faudrait déjà qu'il puisse reconnaitre ta gueule défiguré pour savoir que c'est toi qu'il doit baiser. » Grognant de douleur, tu souris en plaçant tes mains sur ses hanches fines alors qu’il collait son corps au tien pour éviter des coups bas. Mais à vrai dire tu n’étais pas du genre là [color=cadetblue] « Oh non j’me laisse pas baiser moi… J’prends mon pied en baisant non pas en ma laissant baiser » A nouveau son poings s’abats dans ton ventre alors qu’il grogne une phrase. « Tu fais vraiment une piètre publicité pour tes copains. Pédé, pute jusqu'aux os ... t'es pathétique » Malgré ta position bien inférieur tu te montras ouvertement moqueur, bien trop habitué a sortir des conneries à tout bout de champ. « Venant d’une pédale refoulé ça me touche ! Sérieux c’est moi la pute dans l’histoire ? T’es quoi toi ? Un putain de pédé refoulé, tu t’assumes pas mec » Ta phrase était accompagnée d’un sourire moqueur, alors qu’il grimaçait avant de plaquer ses lèvres humides sur les tiennes affichant une moue douloureuse. Après ça il te relâcha et commença à s’éloigner « Va baiser ailleurs connard. » Une moue adorable s’éclipsa rapidement sur ses traits alors que tu lui offris un dernier sourire. « Monsieur serait-il jaloux ? J’te promet que mon coup de ce soir à pas t’a putain de belle gueule » T’approchant de lui rapidement tu le chopas par la veste le faisant se retourner pour lui coller ton poing dans la gueule amochant un peu plus son arcade déjà pétée. De liquide pourpre éclaboussa tes doigts alors que tu t’abaissais a son niveau pour lui murmurer quelques mots sur un ton faussement désolé. « Et j’suis désolé de devoir t’abimer gueule d’ange mais tu m’as vraiment énervé là» Mais bien évidement tu ne l’étais pas, désolé tu veux dire, pourquoi tu le serais, il avait commencé non ?
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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptyVen 1 Mar - 18:22

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C'était un fait, je ne peux pas le voir. Pas l'enciasser. Entre haine et proximité y'a comme un truc qui cloche, comme un détail à ne pas vouloir se dérober. Je patauge, je rame, j'comprend rien. J'aimerais...je sais pas, y'a noir et compréhension qui se mélange, y'a un goût qui chaque fois change. Y'a sa gueule à me faire tourner dingue, y'a sa gueule à n'attendre que je le frappe pour son être. Je le haïs, c'est pas une question, pas une affirmation, c'est une réalité. Une vérité qui malgré tout semble à chaque fois vaciller, parfis... j'me dis... j'sais pas . C'est comme... une putain d'obscurité. Si encore y'avait pas marqué sale con en italique sur sa gueule gravé. C'est parfois à la limite de regretter, faut dire qu'on s'est plutôt pas mal trouvé. Deux à ne jamais céder.
Venant d’une pédale refoulée ça me touche ! Sérieux c’est moi la pute dans l’histoire ? T’es quoi toi ? Un putain de pédé refoulé, tu t’assumes pas mec Je serre les dents, entre coup et vulgarité n'y a-t-til donc rien qu'on puisse échanger ? A croire qu'on est à ce point si mal réglé. Je le fusille du regard, mes prunelle bleu semblant jeter avec violence toute leur haine de se qu'il représente ce connard. C'est ça... de nous deux celui qui est le plus est encore celui qui a de la merde dans les yeux. Je répond avec dureté parce que jamais aucun mec m'a attiré jamais aucun mec n'a même oser à ce point abuser. Je déteste leur sexualité, mais jamais 'ai a ce point été aussi loin de l’imbécilité, mais lui... lui semble en tout point me faire rager.

Je finis par le lâcher, mais faut croire que lui non plus n'est pas près à abandonner et faire tout cela cesser. Monsieur serait-il jaloux ? J’te promet que mon coup de ce soir à pas t’a putain de belle gueule Je me crispe sans rien répondre tournant les talons simplement sans rien répliquer. Le jour où son arrognce cessera serais-je près à l'écouter? Où cela ne cessera que lorsque je j'aurais compris pourquoi à ce point il me fait buguer...
Seulement loin de me laisser je le sens m'agripper et me retournant je ne vois pas assez rapidement le coup venir, mais je le sens démolir une énième fois et pour de bon mon arcade. putain Black out de quelques secondes ma vision se brouille de lumière blanche alors que je recule sonné. Merde il tape fort ce con. Et j’suis désolé de devoir t’abimer gueule d’ange mais tu m’as vraiment énervé là Je le fixe avec haine, ma vision troublé par du liquide alors que je porte mes doigt à mon front qui semble s'être dit que pisser le sang serait une bonne idée. crevard. Je grogne en virant ma veste et mon tee-shirt me foutant de me foutre torse nu devant cette pédale alors que je tourne les talons remettant ma veste alors que j'appuie mon tee-shirt sur ma tête marchant lentement pour m'éloigner. Génial maintenant j'ai plus qu'à rentrer, plus du tout en état de faire quoi que ce soit pour ce soir.
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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptySam 2 Mar - 2:34




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« Crevard » Lui offrant un sourire amusé tu te relevas en même temps que lui. Enfonçant l’une de tes mains dans les poches de ton jeans serré tu laissas sa jumelle partir à la recherche du paquet de cigarette dans cette fois la poche de ta veste sombre. Extirpant tes clopes de ton cuir, tu en sortie une et l’alluma rapidement. Tirant une première taffe dessus fixas mad qui retirait son tee-shirt sombre pour le plaquer sur son front à présent ensanglantée. Grimaçant alors qu’un monstre nommée la compassion grimpa en toi tu t’approchas rapidement de lui, laissant glisser ta cigarette le long de tes doigts. « Merde montre-moi » Attrapant son avant-bras pour le faire se retourner, afin que vous soyez face à face, t’approchas ton corps du sien partiellement dénudé. Faisant rapidement glisser ton regard brillant d’une lueur intéressé et quelque peu perverse, le long de son torse nu tu tiras légèrement sur son bras pour le faire retirer la compresse de fortune qu’il pressait comme une malade sur son front couvert de liquide poisseux. Pendant quelque secondes tu plongeas ton regard émeraude dans le siens, cherchant à savoir s’il te faisait assez confiance pour te laisser regard sa sanglante blessure.

Finalement la tension qui l’habitait s’apaisa pour finalement disparaitre et il fit tomber sa main le long de son corps, imposant à mes yeux le spectacle horrible qu’était son arcade déchiquetée. Grimaçant, tu fis glisser un doigt a côté de son l’entaille ensanglantée pour en retirer un peu de sang et enfin pouvoir la blessure. Merde tu ne l’avais vraiment pas loupé...Sa plaie courait sur trois ou quatre centimètres et il allait sans doute avoir besoin de points. Prenant son tee-shirt qui pendait le long de ses phalanges rougie de sang, tu t’emponnas doucement sa blessure jusqu'à qu’elle soit un minimum propre. Putain voilà que tu te mettais à être délicat avec un putain d’homophobe…A vrai dire tu te mentais a toi-même…Pour toi, ou du moins pour ton cerveau, il était bien plus que ça…Il était l’homophobe qui avait su percer ton attitude de salaud pour voir le vrai Sade. « Putain je t’ai vraiment pas loupé ! Tu devrais voir un médecin ou nettoyer avant que ça s’infecte.» Ça t’arrivait bien d’être gentil, non ? Surtout que là le ton n’était pas moqueur, plutôt même inquiet et attentionné. « Suis moi, j’habite à cinq minute d’ici » Enfonçant tes deux mains dans les poches de ta veste en cuir couverte d’un peu de sang, le tien et celui de mad, tu te remis en marche.

N’entendant personne te suivre à la trace tu te tournas lentement sur toi-même pour replonger tes yeux dans ceux embués de mad . Soupirant, tu pris l’initiative de lui expliquer pourquoi tu voulais qui pénètre dans ton antre. « La bas tu pourras soigner ton arcade et continuer ta soirée comme si de rien n’était » N’attendant aucune réponse de sa part tu recommenças a marcher droit devant toi, prenant la direction de la baraque délabrée qui te servait de maison. Malgré toi tu avais honte de l’amener la bas, après tout qui aurait pu être content de vivre comme ça ? Comme un pauvre ? Personne alors un mec aussi orgueilleux qui toi c’était encore pire…Mais peut être changera t-il de comportement avec toi quand il sera que sous toute cette arrogance ce cachait un petit garçon honteux. Serrant les dents et tes poings jusqu’au les entendre grincer et craquer, tu ralentis le pas, envieux de repousser encore plus le moment ou tu arriverais chez toi. Et puis merde qu'est-ce que tu en avais à foutre de ce qu’il pouvait penser de toi ? Tu aimais vivre comme tu vivais depuis la mort de Samuel, enfin aimer était un bien grand mot, a vrai dire tu acceptais de vivre ainsi parce que après tout tu avais quand même un toit sur la tête, de nouvelle fringue chaque semaine et de la bouffe alors pourquoi tu t’en plaindrais ?! Beaucoup de personne avait pas ne serait ce que la moitié de ce que tu avais alors pourquoi tu le ferais ?

Des pas trainant derrière toi te ramenèrent à une réalité encore plus pourrie que tes pensées. Un sourire moqueur étirant les coins de ta bouche légèrement bleuie par le froid polaire qui régnait à cette heure de la nuit, tu jetas un coup d’œil par-dessus ton épaule et murmuras quelques mots amusés. « Et j’te promets de pas te refoutre mon poing dans la gueule » Une promesse était une promesse, n'est-ce pas? Revenir sur ses paroles était aussi grave qu'une trahison, une trahison que l'on imposait à soi-même. Cet égarement n'affligeait personne d'autre, c'était notre responsabilité d'être fidèle à notre engagement et si on la brisait, la punition nous revenait mais t’étais du genre a tenir n’importe laquelle de tes promesses même les plus cons…

Pardon c'est de la merde les hasards sont assassins (sade) 337664734


Dernière édition par T.H Sade Hendrik le Mer 13 Mar - 6:02, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptyMer 13 Mar - 0:21

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Merde montre-moi Je grogne en le sentant me rattraper, non mais sérieusement ne va-t-il donc jamais me lâcher ?! Il me rejoint m'attrape par le bras et je résiste tant bien que mal à l'envier de le frapper. Ca serait change de revanche non ? Mais j'en fais rien. Même si l'envie de l’étriper est présente quand je vois son regard sur mon corps. Ma bouche s'ouvre pour l'envoyer chier mais juste au même moment il tire sur mon bras se rencontrant sur mon oeil et donc je laisse tomber. Le défiant un long moment du regard son silence finit par me faire obtempérer, et je lâche ma tête enlevant mon tee-shirt pour le laisser observer. Vu la grimace qu'il tire, c'est pas génial. Super. Grimaçant un faisant un mouvement en arrière quand il me touche près de ma plaie je le fusille du regard. Hé du con t'es pas au courant que ce genre de truc ça fait mal ?! Putain je t’ai vraiment pas loupé ! Tu devrais voir un médecin ou nettoyer avant que ça s’infecte. Sans déconner ? Je l'aurais même pas deviné moi-même! Et tu crois que je partais où comme ça ?!! JE grogne avec froideur et dédain en le regardant de haut en bas.

Suis moi, j’habite à cinq minute d’ici. Il tourne les talons et moi ses mots me laisse de marbre alors que je reste debout sans bouger dans cette ruelle, me fichant un peu du froid glacial qui e fait que me tuer à petit feu vu ma tenue. Je l'observe s'éloigner n'ayant clairement pas dans le but ni dans l'envie de suivre cep*tain de pédé dans sa maison. Hors de question... enfin quoi que... mais non. Non je veux pas, non c'est pas possible, non je n'irais pas. Il se retourne, je bouge pas. La bas tu pourras soigner ton arcade et continuer ta soirée comme si de rien n’était. Je soupire en le voyant de nouveau tourner les talons. Bon c'est toujours plus près que chez moi et puis... merde.Je râle à mi-voix avant de suivre le mouvement le suivant donc de loin dans le dédalle de ruelles. Dans un pur silence.
Et on marche un petit laps de temps. Et j’te promets de pas te refoutre mon poing dans la gueule Il cherche sérieusement à m'énerver même quand je suis presque calmé ou quoi ? Il tient à ce point à se que je le frappe continuellement ? Ah.Ah. Ah JE répond simplement avec sarcasme et dédain, continuant d'appuyer d'une main sur le tee-shirt sur mon front, mon autre main enfoncé dans une de mes poches alors que je meurs littéralement de froid alors qu'on arrive bientôt face à une baraque où il s'arrête. Je dis pas un mot, pénétrant à l'intérieur après lui avec méfiance dans un silence glacé.
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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptyMer 13 Mar - 6:25




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« Ah.Ah.Ah » Sarcastique, mad ce remet en route son tee-shirt toujours plaqué contre son front ensanglanté alors que toi, les mains dans les poches tu te demandes si c'était vraiment une bonne idée de l'emmener chez toi...Oh non, tu n'avais plus vraiment honte, mais tu te demandais vraiment si t'allais résister à la tentation de le violer qui te bouffait littéralement les entrailles depuis votre petite séance de câlin improvisé... Un sourire te monta aux lèvres alors que tu dardais enfin tes yeux sur ta baraque. C'était certain que tu n'allais sans doute pas tenir et ça t'amusait plus qu'autre chose. Tu n'avais pas envie de résister à vrai dire, voilà pourquoi ça t'amusait autant. Depuis le premier jour au t'avait croisé son regard noir, tu avais fait un pari avec Terrence l'un de tes potes. Vous aviez parié sur le nombre de jour ou tu allais lui résister, et ton ami commençait sérieusement à se rapprocher du jour exact.

T'allais lui devoir une sacrée pactole si tu te laissais aller ! Serrant les dents, tu gravis rapidement les marches du perron pour tomber sur la porte close. Une main sur la poignée alors que sa jumelle partait à la recherche de ta clé, tu jetas un rapide coup d'oeil derrière toi. Toujours en train d'éponger son front et son arcade éclatée, ton obsession du moment frissonnait au gré du vent. Pendant quelques secondes l'idée de le laisser patienter dehors pour lui faire payer ses coups grimpa en toi, mais en sentant une nouvelle brise glaciale s'échouer sur ton corps t'ouvris en grand la porte et t'effaças pour le laisser passer. Une fois à l'intérieur, tu jetas la clé dans sa direction et t'enfuis dans la salle de bain en courant « Referme à clé derrière toi ! J'vais vite chercher tout ce qui faut » Ouvrant à la volée la porte, tu t'engouffras a l'intérieur prenant soin de refermer derrière toi.

Cliquant sur l'interrupteur pour allumer la lumière, tu grimaças en sentant un truc froid frôlé ta hanche . Le truc en question n'était que la machine à laver... Un soupire exaspéré sorti d'entre tes lèvres rougies quand la lumière éclaira la pièce et que le désordre te sauta aux yeux . Putain il allait vraiment falloir que tu penses à ranger cette pièce parce que sérieusement ta mère ne bougeait plus son cul de sa chambre depuis longtemps et la maison commençait a en ressentir les effets .Affligé, tu secouas la tête de droite à gauche une moue peiné peinte sur le visage. Elle qui avait été la mère idéale c’était transformé en monstre accroc a l’alcool, ou du moins au whisky. Et tout était de ta putain de faute… Si tu n’avais jamais couché avec Samuel, il serait encore en vie et ta mère ne serait pas aussi détruite…« C’est de ma faute… » Reprenant tes esprit, tu te dirigea vers le meuble. Ouvrant un à un les placards a la recherche du matériel nécessaire, entre autre le désinfectant et les compresses.

Une fois trouvé tu plongeas ta mains sur la poignée et t’extirpa de la salle de bain, le matériel fermement accroché entre tes phalanges ensanglantées. En courant tu rejoignis le hall. Et une fois planter devant un mad toujours aussi frigorifié, tu lui souris amusé avant de lâcher un bref « Suis moi » et de gravir les marches légèrement encombré pour te diriger dans la chambre.Tu t’engouffras a l’intérieure, bientôt suivit par l'objet de tes desirs. Posant le matériel sur ton lit quelque peu noyé sous des masses de vêtement tu te tournas lentement vers lui .« La salle de bain est juste à côté » D’un signe de tête tu lui désignas la salle de bain en question avant de te diriger vers ton armoire pour y piocher un tee-shirt blanc que tu lui tendis. Putain mais c'est que tu deviendrais presque gentil !

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MessageSujet: Re: les hasards sont assassins (sade) les hasards sont assassins (sade) EmptyLun 1 Avr - 11:48

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On attend devant la porte, alors que je reste en arrière mon regard trainant sur la rue déserte. Vue l'heure avancé dans la nuit, c'est pas très étonnant faut dire. Je devrais être au chaud, dans un pieux avec une fille en ce moment même. Et à la place je suis torse nu, dans le froid, l'arcade qui pisse le sang et l'impression que mon coeur tambourine le long de ma plaie ouverte. Génial. Ce mec ne m'apporte que des ennuis. De toute manière qu'est-se qu'un homo peut apporter d'autre dans la vie, hum?! Je les tolérais un peu lorsque je les voyais de loin, mais alors de près, et depuis qu'on a fait "connaissance" sade et moi... c'est plus possible. C'est déchets de l'existence ne me plaisent pas plus qu'un rat dans ma maison. Et lui, ce bâtard de première ne fait rien pour arranger les choses. Pire il fait tout pour m'énerver, le détester, le haïr. Comme ce baiser en prison, quel est son problème ? Sadique au point de vouloir réellement séduire un mec qui ne le trouve que bon à jeter aux égouts ? Ces pédés sont donc à ce point réellement taré ?! Le bruit de la porte s'ouvrant me fait srtir de mes pensées. Je reviens à la réalité, soupire, blasé. Pourquoi donc l'ais-je suivis jusqu'à cette baraque isolée ? Isolée de toute fuite vers un lieu plus apprécié. Il rentre, j'hésite je finis par le suivre. De toute manière, maintenant fait pour fait ça changera rien... Refermes à clé derrière toi ! J'vais vite chercher tout ce qui faut . Je referme donc la porte, me traitant de malade que de faire tourner la clé. Mais quoi ? J'suis sans doute plus apte à le mettre k.o si ça devait se produire, j'aurais le temps de m'enfuir. LA lumière s'allume et je plisse les yeux devant se retour à autant de clarté. J'évite de justes se leur machine à lavé, avant que mon regard tombe sur cette pièce étrange. On peut vivre dans autant de bordel ? Non pas que je sois habitué au luxe, je vis seul en appartement, pas loin de chez ma tante, dans un trois pièces plutôt pas mal, mais loin d'un loft ou autre. Mais j'aime que ce soit rangé, j'suis pas maniaque mais le bordel ça me fait déprimer. Ouai je sais, beaucoup de fille en sont autant choqué, elle m'imagine foutant mes mégot de cendre dans des tasses qui trainent, vivant dans un bordel de pièces étranges, mais non...

Suis moi Je retourne brièvement la tête pour le regarder se planter devant moi, avec son sourire à la con qui me donne envie de le frapper sans pouvoir réellement passer à l'action. Je sais pas pourquoi. J'aime pas ça. Je grogne donc avant de le suivre, montant lentement es escaliers tout autant encombré que le reste de la maison, bordel mais sérieusement ils vivent à combien pour accumuler autant de bazar ? On arrive à sa chambre, enfin je m'en doute, d'ailleurs je me crispe légèrement. Sérieusement on pouvait pas rester au salon ? Fallait qu'il me fasse monter dans son antre maudit de con ! Je reste sur le pas de la porte observant la pièce avec dédain. La salle de bain est juste à côté Je sens son regard, je tourne la tête vers la pièce qui me désigne observant la dites porte finissant par faire un pas un avant vers celle-ci. Alors qu'il me tend un tee-shirt, je le prend cependant assez surprit c'est vrai par autant de gentillesse et d’hospitalité. S'il croit que c'est comme ça qu'il arrivera à me baiser en faisant descendre ma garde, crèves tapette ! ouai... merci. Je lance quand même avant de soupirer et d'aller dans sa salle de bain, allumant la lumière j'observe la pièce poussant à peine la porte derrière moi alors que je vire ma veste ouverte, me penchant alors vers le miroir pour détacher mon tee-shirt en grimaçant parce qu'il s'accroche un peu à la plaie, je regarde l'ouverture en soupirant et grognant. Génial. Ouvrant le robinet d'eau tiède, je nettoie avec un bout de mon tee-shirt propre le sang qui tâche ma joue et mon cou, remontant sur les contours de mon oeil. Ok là j'ai moins l'air d'avoir tué un mec. Je finis à contre coeur par enfiler son tee-shirt propre, serrant les dents en prenant conscience que même l'odeur de la lessive n'efface pas totalement son odeur. Connard. J'en profite pour détacher mes cheveux et les rattacher correctement, avant de sortir mon tee-shirt et ma veste dans une main. J'peux me soigner tout seul t'inquiètes..
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