intrusion de manifestants
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intrusion de manifestants

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LA FAUCHEUSE
LA FAUCHEUSE

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MessageSujet: intrusion de manifestants intrusion de manifestants EmptyLun 5 Mai - 15:35

› intrusion de manifestants
mise en situation


Des manifestants entrent de force dans le bâtiment. Ils sont assez agités et menacent de tout casser si jamais ils n'obtiennent pas ce qu'ils veulent. Vous vous cachez dans les tours, en espérant ne pas vous faire prendre...

PS : Si vous répondez à cette mise en situation, n'oubliez pas d'activer le dé "Effets" intrusion de manifestants 309181304

⊹⊹⊹
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Maé Fowler
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MessageSujet: Re: intrusion de manifestants intrusion de manifestants EmptySam 10 Mai - 23:04



❝ Malheur déguisé en bonheur,
Crée de l'inquiétude et de la peur.
On ne voit que du mal,
Dans cette machine infernale
La bête se déchaîne. ❞
Il était là, face à toi. Ses petites noisettes azures plantées dans les tiennes. Le regard dur comme à son habitude à présent. Il ne disait rien. Rien du tout, alors le silence s'emparait de la pièce et tu le regardais sans oser parler. Tu n'osais pas sachant qu'il perdrait très vite son sang froid. C'était ainsi maintenant. Un regard. Une parole. Un mouvement de travers et le monde s'écroulait. Tu n'étais rien. Avais-tu déjà été quelque chose au moins? Non. Et lui ne faisait que renforcer cette image de toi-même. Alors dans ses moments-là, il te renvoyait à l'image qu'avait ton patron à ton égard. Rien de d'y penser, tu te raidissais. Pourquoi Donatello réagissait ainsi. Pourquoi? Puis d'un coup, sans plus savoir te retenir, tu poussais un long soupire. Le genre de soupire qui voulait tout dire. C'était sorti tout seul et tu le regrettais déjà. Tu détournais les yeux gênée, sachant pertinemment que la tempête se préparait. Donatello... Tu prononçais chaque syllabe de son prénom sans pour autant le regarder, de peur d'affronter sa colère. Pour la première fois, tu avais oser défier son autorité. Sans même savoir pourquoi. Tu savais juste que d'un coup, tu avais eu irrésistiblement envie de lui répondre. De l'envoyer chier comme lui le faisait si bien avec toi. Merde quoi. C'est quoi ton soucis à la fin? Tu crois que je vais m'écraser à chaque fois ? J'en ai marre! Tu comprends ça. Je suis pas ton chien, et encore moins ta pute. Tes joues venaient de virer au rouge et tu calais ta main devant ta bouche, ahurie de tes propos soudains. Jamais au grand jamais tu n'avais oser t'imposer de la sorte, devant n'importe qui. C'est comme si d'un coup, une certaine assurance venait de s'emparer de ton corps alors que dans le fond, tu te sentais mal à l'aise d'avoir lâcher toutes cette charade à voix haute. Mais que te prenait-il à la fin ? Ce n'était pas toi ça.

Tu t'attendais à ce qu'il réplique, de sa voix tranchante. Il était prêt à le faire. Tu sentais l’électricité flotter dans l'air à présent. Le silence s'en était aller. Tu te sentais extrêmement seule d'un coup. Face à tes démons qui n'étaient autre que l'homme qui tu aimais. Tu fermais déjà les yeux, te préparant jusqu'à un brouhaha ne se fasse entendre. On aurait dit qu'un troupeau arrivait dans vote direction. Le sol de l'immeuble tremblait presque sous tes pieds. La panique s'emparait de toi aussi vite. Les cris fusaient de partout, ils étaient acharnés, violents et encore les mots étaient faibles. Alors ni une, ni deux, tu fonçais sous le premier bureau venu afin de t'y sentir en sécurité.

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LA FAUCHEUSE
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MessageSujet: Re: intrusion de manifestants intrusion de manifestants EmptySam 10 Mai - 23:04

Le membre 'Maé Fowler' a effectué l'action suivante : Quel effet secondaire ?

'Effets' :
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Donatello Cantera
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MessageSujet: Re: intrusion de manifestants intrusion de manifestants EmptyJeu 15 Mai - 16:13

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Tu ne sais pas ce que tu fais là, ni pourquoi tu es toujours en couple avec cette fille. Elle est insipide mais facile, c'est sans doute ça. Bref, là c'est pas la joie et t'as bien compris qu'aujourd'hui, tu ne baiserais sans doute pas. Ce pourquoi cette fille est faite normalement. Non, l'heure est à la prise de tête et tu détestes ça. Toi, psychopathe à tes heures, t'as déjà envie de l'enterrer. Seulement la loi t'en empêche et même si t'as perdu foi en l'humanité, tu ne veux pas devenir un monstre, comme les types qui t'ont pris en otage dans un passé qui te semble loin derrière toi et qui te hantes pourtant encore. Elle fuyait ton regard, comme si elle avait quelque chose à cacher ou bien comme si elle avait honte de quelque chose. Elle susurra ton prénom, c'était pas bon signe, elle faisait comme s'il y avait besoin d'explications, mais y'en avait pas. Même si elle te voyait comme un type bien dans le fond, tu ne l'étais pas pour elle. Tout ce que tu voulais, c'était un plan régulier et le fric qui rentrait chaque moi grâce à elle. Tu devrais la remercier en fait parce que depuis qu'elle est entrée dans ta vie, tu t'es jamais autant éclaté : drogues, beuveries, jolies filles,... Mais t'es pas prêt de le faire, d'abord parce que t'as trop de fierté puis surtout parce qu'elle est pas au courant que t'arnaques tes parents en se servant d'elle. C'est quoi ton soucis à la fin? Tu crois que je vais m'écraser à chaque fois ? J'en ai marre! Tu comprends ça. Je suis pas ton chien, et encore moins ta pute.. T'écarquilles les yeux, ce genre de réflexion, c'est pas son style, t'es supris ouais, limite sur le cul. Sans aucune explication, tu l'attrapes pas le poignet de manière violente. Tu supportes pas qu'une femme te parle sur ce ton. C'est toi le mec dans l'affaire et certainement pas cette blondasse. Quand tu te rends compte de ton geste, tu relâches un peu la pression mais le mal est fait. Tu te crois indispensable !? Mais tu fais pitié princesse. Des comme toi, j'en ai dix derrière. Si ça doit terminer, t'en as rien à foute parce qu'elle n'est absolument rien pour toi. Tu sais qu'elle reviendra de toute façon parce qu'elle est folle de toi, c'est peut-être prétentieux mais sans doute vrai. Puis depuis quand tu te soucies d'être prétentieux, t'aimes même l'être, t'es imbu de toi-même, connard invétéré et fier en plus. Tu hausses un sourcil, tu entends quelque chose venir, quelque chose de big. Tu penses d'abord à un tremblement de terre. Après tu te rends compte que ça parle et qu'en fait, ce sont des gens. Maé est déjà sous un bureau. Toi tu sais pas quoi faire, tu vois qu'ils sont trop nombreux alors tu la suis et te colle à elle. T'es sur qu'elle est du genre à hurler alors tu mets ton index devant ta bouche et chuchote un petit "chut".
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Maé Fowler
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MessageSujet: Re: intrusion de manifestants intrusion de manifestants EmptyMar 8 Juil - 0:13


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Te faire sortir de tes gonds. Ce n'était jamais arrivé auparavant. T'étais le genre de fille qui rentrait dans le moule. Naïve et un peu trop gentille, on pouvait allégrement te comparer à une mouche.. Parce que oui, ton passe temps favoris n'était autre que te faire écraser. Mais là, subitement, tu lui avais répondu. Tu t'étais fait entendre. Tu avais élevé la voix en tentant de lui faire comprendre que si, tu existais! Que oui, tu étais une personne comme lui. Qu'il te faisait du mal. Mais hélas... Mauvaise idées. Tu te crois indispensable !? Mais tu fais pitié princesse. Des comme toi, j'en ai dix derrière. Sa voix froide et sans aucun sentiment venait de te faire frissonner. Il était d'une méchanceté franche et, venait inconsciemment te briser le coeur à nouveau. Ton organe central se resserrait. Tu avais mal et les larmes te montaient déjà aux yeux. Mais non. Non! Pas maintenant! Et sans que tu ne t'en rendent compte, tu t'étais retrouvée sous un bureau, les paumes contres les oreilles. Le brouhaha était si intense qu'il t'en faisait mal à la tête. Tu ne comprenais plus rien à la situation. Tout partait dans tous les sens tandis que Don, lui, te collait son index contre tes lèvres. Prise de rage d'un coup, tu avais envie de lui en coller une. Il se foutait royalement de ta gueule. De ce qu'il pouvait t'arriver. Tout ce qui comptait à ses yeux, c'était sa petite personne, son petit cul bien ferme. Chut. C'était le mot de trop. Tu plongeais tes pupilles dans les siennes, rageuses, Mais tu te fous de ma gueule ? Tu étais calme, tes mots étaient à peine audibles. Puis tu répétais ta phrase, un peu plus fort cette fois. Puis encore un peu plus jusqu'à gueuler tellement fort que le bruit vous entourant s'était soudainement évanouit dans la nature. Tu pouvais à présent entendre une multitude de ragots du genre, t'as entendu? c'était quoi ça? ça vient d'où? Mais tu t'en foutais, tu voyais rouge. T'es qu'un putain d'égoïste. En dehors de ta petite personne, il t'es déjà arrivé d'aimer une personne ? Mais putain, je suis quoi à tes yeux ? Qu'une petite marionnette docile qui t'attend à la maison? Qui est bonne à baiser et c'est tout? Mais va te faire foutre! Tu te surpassais. Tes mots sortaient tout seuls. Que tu les pensent ou non, c'était trop tard. La gentille petite fille parfaite que tu étais s'était caché. Mais bordel, que se passait-il. Dans le fond, tu voulais juste le serrer dans ses bras. L'entendre te murmurer un petit mot doux et oublier tout ça. Mais comment serait-ce possible après tout ce que tu venais de lui balancer dans la tronche ? Après avoir repousser son doigt et après t'être levée pour lui faire face afin de lui montrer que toi aussi, tu pouvais être grande. Comment ? Alors, le silence était revenu pour laisser place à la culpabilité. Tes yeux te piquaient et la panique prenait le dessus. Tu ne t'étais même pas rendue compte que tu venais de t'offrir en spectacle. Don se levait alors pour te faire face. Tu ne voulais pas lui parler, tu n'étais pas assez forte pour accepter ses nouvelles paroles. Et là avant même qu'il ne puisse t'assassiner verbalement, une foule d’applaudissements s'était adressé à toi. De nombreuses femmes se dressaient devant toi, affichant différents panneaux aux slogans féministes dans l'âme. Tu n'en revenais pas. Dans quel plan venais-tu de te fourrer ? Et surtout dans quelle galère venais-tu de mettre Donatello? La soirée allait être longue.  

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MessageSujet: Re: intrusion de manifestants intrusion de manifestants EmptyMar 8 Juil - 14:29


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Tu es conscient que ce que tu viens de dire est d'une méchanceté incroyable mais t'en as rien à foutre. C'est pas cette poupée naïve qui va dicter la loi. Tu vois les yeux de Maé se brouiller de larmes, sans qu'aucune ne se mette à couler. Tu détournes le regard parce que t'as pas envie d'assister à ce genre de spectacle, tu préfères l'ignorer. T'aimes pas les sentiments, c'est trop guimauve pour toi. Ni une ni deux sous le bureau, tu te retrouves avec le doigt sur sa bouche pour qu'elle la ferme mais aujourd'hui, elle a visiblement décidé de choisir la confrontation, ça t'étonnes d'elle. Elle est plutôt docile d'habitude et pour être franc, ça t'emmerde royalement. T'aimes quand c'est facile, t'aimes pas les prises de tête. Mais au fond, ça t'embêterait de devoir jeter ton dévolu sur une autre proie. Tu l'aimes pas, c'est clair, tu l'aimeras jamais, du moins tu t'en convaincs pour l'instant. Seulement t'es qu'un fainéant. Mais tu te fous de ma gueule ?. D'abord presqu'inaudible, tu n'y prêtes pas attention. Mais, comme prise de folie, elle le répète plusieurs fois et de plus en plus fort. Tu la regardes genre : mais t'es folle ? La brouhaha de fond laisse place au silence ponctué de : c'est quoi ça ? Les gens se sont visiblement arrêté. Elle repousse ton doigt, sort de votre cachette et se dresse devant toi comme pour se montrer supérieure, tu ne peux t'empêcher de rire. Parce qu'en fait c'est pas crédible, parce que c'est pas Maé, pas cette petite chose fragile que tu connais. T'as pas envie de rester planté comme un con sous le bureau alors toi aussi tu te redresses, face à elle, droit comme un i. Tu la dépasses bien d'une tête et ça te va, ça renforce ton sentiment de supériorité. T'es qu'un putain d'égoïste. En dehors de ta petite personne, il t'es déjà arrivé d'aimer une personne ? Mais putain, je suis quoi à tes yeux ? Qu'une petite marionnette docile qui t'attend à la maison? Qui est bonne à baiser et c'est tout? Mais va te faire foutre! Et là, ça te blesse un peu, tu esquisses une grimace que tu t'appliques à cacher immédiatement. Parce que oui, tu as aimé mais qu'on t'as brisé le cœur, de différentes manières, à de nombreuses reprises. A toi d'être le ravisseur. Tu veux lui répondre quelque chose de méprisant et de piquant à souhait mais tu n'as pas le temps. Une foule de connasse émancipée l'applaudisse. T'es juste exaspéré, voilà qu'elle a un fan club maintenant, tu soupires et lève les yeux au ciel. Mais tu ne veux pas t'avouer vaincu. tu ne veux pas non plus te battre contre des filles. T'es peut-être macho et psychopathe mais t'as des principes. T'as pas peur d'elle de toute façon. Alors au final, tu ris, légèrement. Parce que ouais la situation te fais, rire, c'est de l'inattendu. Tu sais quoi princesse ? En fait, tu fais pitié. T'as même pas envie de répondre plus. Mais t'as quand même envie de l'enfoncer alors après une courte pause, tu enchaînes, sans prêter attention aux connasses derrière qui te huent. Tu fais pitié parce que demain, tu viendras me supplier d'oublier ce qui s'est passé aujourd'hui. Parce que demain, tu viendras pleurer pour que je te prennes dans mes bras. T'es folle de moi, c'est inutile de le nier et la vérité c'est que je peux faire ce que je veux de toi, c'est justement ça qui est drôle, poupée. Tu lui fais un clin d'oeil. Tu t'approches d'elle jusqu'à sentir sa respiration chaude précipitée sur ton visage. Tu la prends par la taille et l'attire vers toi, tu t'en fous des gens autour. Tu t'attends à ce qu'elle ne te résiste pas. Mais tu doutes de ta stratégie parce qu'elle est poussée par cette foule de pétasse.
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MessageSujet: Re: intrusion de manifestants intrusion de manifestants EmptyMer 23 Juil - 0:24


❝ Malheur déguisé en bonheur,
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Il te brise le coeur. Non, il ne te le brise pas. Il le piétine. Et encore, le mot est trop gentil. Il le lacère de sorte à ce que tu finisses en lambeaux. En une centaine de lambeaux plus inutiles et désespérés les uns que les autres. Il ne reste plus rien de lui. Qu'un trou noir sur le moment. Alors, le temps d'un instant. Oui un court instant, tu n'as plus rien ressentit. Rien! Lui, cet homme qui était face à toi, n'était plus que néant. Que du passé, rangé dans le fond du grenier. Et tes lippes s'étiraient. D'abord doucement, puis plus large au fil des secondes. C'était tellement plus facile de n'en avoir rien à faire de sa sale tronche. Oh oui tellement. Hélas, tu déchantais, d'un coup. Trahison! Ce même homme, tu l'aimais. D'un amour pur et sincère, bien qu'il agissait tel un réel poison sur toi. Comparable à un serpent, peu à peu il t'affaiblissait. Que resterait-il de toi à la fin, s'il continuait à te traiter de la sorte? A te rabaisser. T'es comme sa boniche. Mais le genre de boniche sexuelle, le genre multi-tâches super utile qu'on peut traiter selon ses envies du moment. Un vrai jouet. Bordel, ce que ça pouvait te faire mal. Tes quatre vérités balancées à la tronche. Tu sais quoi princesse ? En fait, tu fais pitié. Il était injuste. Il continuait de marteler ton coeur. Encore et encore. Il te blessait comme jamais. Et pourtant, qu'est-ce qu'il avait raison. La voila ta vraie nature ma pauvre fille, t'es le genre de nana cul-cul la praline qui court derrière le cul du mec qui n'a rien à faire d'elle. C'était ça et, il te le rappelait si bien. Tu fais pitié parce que demain, tu viendras me supplier d'oublier ce qui s'est passé aujourd'hui. Parce que demain, tu viendras pleurer pour que je te prennes dans mes bras. T'es folle de moi, c'est inutile de le nier et la vérité c'est que je peux faire ce que je veux de toi, c'est justement ça qui est drôle, poupée. Les larmes montaient. Non, c'était pas le moment, non. Non! Pitié, retiens-toi! Te murmurais-tu dans la tête. Il pensait avoir gagner, avoir raison. Et peut-être était-ce le cas, comme à chaque fois. Seulement là, non. Tu ne voulais pas lui dédier tes larmes. Pas cette fois, bien que l'envie était omniprésence. Il ne te laissait pas le temps de réagir qu'il t'empoigna pour te coller à lui. Tu sentais son parfum. Il sentait si bon! Oh, l'amer tentation. Tu en allais même jusqu'à oublier les cris négatifs des féministes devant vous. Tu étais dans ses bras si réconfortants et chauds, le regard plongé dans le sien. Oh quel bonheur soudain. Tu étais prête à sceller vos lèvres. Oui, encore une fois. Goutter à ses lippes attirantes. Vos visages se rapprochaient de plus en plus. Tu ressentais son souffle chaud contre la peau. Tu en frissonnais presque. C'était trop beau. Trop faux. Toi qui avait toujours rêvé d'un prince, tu n'avais que le crapaud égoïste. Quelle triste réalité. Ton regard pour lui changeait d'un coup. Puis prise d'une pulsion soudaine et nouvelle, ta main venait se coller contre sa joue à présent rouge de l'impact. Tu sais quoi ? C'est fini tout ça. Tu peux crever dans ton trou, ça changera plus rien. La vérité, tu sais ce que tu en fais? Tu l'écris sur un papier avec lequel tu réalises une boulette et tu la mets là où je pense! Parce que moi, folle de toi ? Pense-le si tu veux mais en attendant, c'est fini! Énervée.Tu avais tellement la haine. Et les applaudissements fusaient dans la pièce. Tu ne comprenais plus rien à ce qu'il se passait. Ni à ce qu'il venait de se dérouler Ce n'est qu'en discernant le regard changé de Donatello que tu comprenais ce que tu venais de lui dire. Oh mon dieu. Non. Tu venais de mettre un terme à votre histoire. Mais que venais-tu de faire, Maé? 

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