Je me demandais quand il allait enfin prendre les commandes. Bien que j’adorais montrer mon savoir-faire, j’appréciais aussi que l’homme montre qu’il est un vrai. Pour le moment, nous étions sur le même pied d’égalité, à croire que Seth me laissait faire, puis reprenait les commandes après. Je me demandais si j’allais pouvoir me séparer de Seth à la fin de cette merveilleuse soirée, où alors si j’allais le coller aux baskets jusqu’à son chez lui ou chez moi. Tout un tas de questions se faufilaient dans ma tête sans pour autant que je ne loupe une seule miette du spectacle : Seth à poil devant moi, éclairé par la lune. C’était ce qui devait arriver le jour où tout avait commencé. Apparemment, Seth avait envie de jouer avec mon désir, et apparemment je tombais dans le panneau immédiatement. Je gémissais contre ses lèvres de plus en plus fort, réagissant à la moindre de ses caresses. Si là, il ne sentait pas que je n’étais pas excitée il y avait un gros problème. Help Houston, je n’en pouvais déjà plus et il osait encore me faire patienter ! Quel culot ! J’avais de plus en plus envie de lui, et cette pulsion montait dans mon cerveau comme une bombe qui allait exploser dans quelques secondes. Il titillait le bout de mes seins, comme si ce n’était pas assez suffisant. Je n’en pouvais plus d’attendre comme ça. Chaque secondes devenaient une torture pour moi. Etait-ce un crime d’avoir envie que Seth soit en moi maintenant ? Non, bien au contraire. Le bon dieu l’en remerciait, de m’amener au septième ciel. Je l’embrassais avec une fougue incomparable à celle de tout à l’heure. Il me rendait dingue… Et ça n’allait pas s’arrêter là. Je l’observais en train de se masturber devant moi, comme une incitation à venir continuer. Il voulait être excité ? Il allait être servi. Je m’approchais de lui, à nouveau, prenant son sexe en main pour remplacer ses vas et viens. Ceux-ci commençaient plutôt lentement pour faire durer le plaisir. Je commençais à accélérer, petit à petit en descendant mes baisers sur son torse. Je m’arrêtais dans le bas de son ventre, jouant parfois avec ma langue. J’embrassais son sexe en y déposant quelques baisers dessus, le tenant avec l’autre main. Je ne tardais pas pour mettre celui-ci en bouche, afin de lui procurer un peu plus de plaisir qu’avec mes propres mains. Là, il m’était impossible de lui dire, tiens on dirait que je suis en train de gagner cette fois-ci.