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| Sujet: sea, sex and sun ➜ GAGA Mer 21 Mar - 19:01 | |
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Pour se détendre d'une semaine bien stressante et chargée, Quentin prit la peine de s'octroyer une soirée de libre pour une petite beuverie. Après la tournée des bars, il n'était pas motivé à continuer la soirée en boite, du coup décida de rentrer à son appartement. Après mainte et mainte échecs lors de l'ouverture de la porte, il finit par réussir à entrer la clé dans la serrure et à ouvrir celle-ci. Les lieux étaient calme et Garance sûrement déjà couchée. Du coup il prit soins de ne pas faire trop de bruit. Blague ! Il fit un boucan d'enfer, se prit la table basse avant de s'étaler comme une merde contre le sol. Tout en se déshabillant pour aller se coucher, il pénétra dans sa chambre. Ou du moins, la chambre qu'il pensait être la sienne. Nu comme un verre (et oui, Quentin dort nu), il se glissa sous la couette. Bien fatigué, il commença à s'endormir. Bien évidemment il ne s'était rendu compte qu'à côté se trouvait la demoiselle, qui bien trop endormie, ne remarqua la présence du jeune homme. Du coup le lendemain matin fut quelque peu mouvementé. Réveillé sous les cris de la demoiselle, qui par réflexe, fit tomber le pauvre Quentin au sol d'un coup pied sec et violent, il fut déboussolé et prit de court. Se relevant sans se rendre compte qu'il était encore nu, il se gratta la tête afin d'émerger de sa soirée. Se rendant enfin compte de son erreur, il afficha un mince sourire avant de lui sortir. « Tu ne te souviens pas d'hier ma beauté ? »
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| Sujet: Re: sea, sex and sun ➜ GAGA Mer 28 Mar - 17:32 | |
| - Citation :
- Tu dors ? - Officiellement oui. - Les rumeurs disent que tu fais semblant. - Oui j’ai vu ça dans Paris Match. Juste des ragots.✭✭
« Je voudrais pas te mettre la pression dès le premier soir mais... mes parents sont dehors et aimeraient beaucoup te rencontrer. » S’étouffant avec la gorgée de vin qu’elle venait d’avaler, Garance suivit des yeux la direction qu’il lui indiquait du doigt. Derrière la baie vitrée du restaurant, deux personnes leur faisaient de grands coucous, auxquels son rencard du soir répondait par un sourire béa. « Ecoute Pierre. » « Rémy. » « Sérieux ? » Il ria doucement, trop en transe pour comprendre. Ca tombait toujours sur elle. Certaines filles avaient Iglesias, elle, elle passait ses soirées avec des Rémy. Tapotant gentiment la main du boutonneux, elle lui sortit deux trois salades l’obligeant à partir avant de foncer vers sa voiture et de démarrer le plus vite possible. Il y avait trois catégories d’hommes après un rendez-vous raté. Les fiers, ceux qui ne s’avoue pas vaincus et qui retente leur chance avec une moche. Les suicidaires, ceux qui, avant qu’elle n’ait pu quitter la pièce, la menace de se tuer pour elle. Et enfin, la dernière catégorie, celle de Rémy en l’occurrence : les puceaux bandants dès le début du rendez-vous et qui voient leur plus grand souhait partir en fumée. Dans ces cas-là, en général, mieux valait s’éloigner doucement tout en déposant un magasine de cul sur la table et en indiquant la porte des toilettes. Elle s’en était bien sortie ce soir, fallait bien l’avouer. Elle était devenue maitre dans l’art de s’échapper des situations cocasses. Arrivée à l’appartement, elle tomba toute habillée dans son oreiller, perdue dans les bras de Morphée en moins de deux minutes. On lui avait toujours dit qu’elle ronflait. Ce à quoi elle répondait que Dieu avait du lui fournir au moins un défaut pour éviter la guerre. C’est pourquoi elle fut réveillée par nul autre qu’elle-même. Elle sentit un certain volume en partance de sa poitrine. Après quelques secondes de réflexion, elle consentit enfin que ça ne pouvait pas être son nounours Marcel. C’était Quentin, ronronnant entre ses seins, un filet de bave au coin des lèvres. Se redressant, elle se mit à lui hurler dessus, lui donnant un coup de pieds qui le fit tomber hors de son lit. Et il se releva. Grave erreur. Nu comme un verre, il la regardait sans comprendre, avec sa tête d’idiot. « Tu ne te souviens pas d'hier ma beauté ? » Pour seule réponse, il reçut un oreiller en pleine face, suivit d’un autre dans ses parties intimes qu’il rattrapa par réflexe. « Obsédé ! » Comme toujours, il souriait bêtement, se moquait d’elle et de sa sale manie de toujours partir sur ses grands chevaux. Elle voyait déjà rouge, alors qu’il restait planté, tenant à peine sur ses deux jambes. « Qu’est-ce que tu fous là ? » |
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| Sujet: Re: sea, sex and sun ➜ GAGA Mer 28 Mar - 18:47 | |
| Chiotte, des coussins volants. Heureusement grâce à ses bons réflexes, Quentin sut rattraper le premier lancé, et se servit du second pou dissimuler ses bijoux de famille. Il ne faudrait pas heurter les âmes les plus sensibles. « Obsédé ! » . Souriant bêtement, il la voyait déjà partir sur ses grands cheveux et péter sa pile. Mais elle se contenta d'un « Qu'est-ce que tu fous là ? » « Cela me déçoit que tu ne te souviennes pas de nos ébats pourtant si torrides ! En fait, je ne savais pas que tu étais une vraie cocho .. » mais avant même d'achever sa phrase, un énième coussin vint lui percuter le visage de plein fouet. Faisant mine de bouder, il quitta la pièce pour rejoindre le salon puis la salle de bain. Finalement il revint un peu plus habillé qu'auparavant. Dorénavant il comprend ce qu'endure une femme avec le port de ses soutiens gorges. C'est une horreur à mettre et pourtant si simple à enlever pour un experts tel que Quentin. Mais ne parlons pas du string qui lui grattait les fesses. Serré, avec cette ficelle qui vous rentre là où je pense. Bref (...) vous l'aurez compris que pour agacer sa charmante coloc', Quentin c'était amusé à enfiler les sous-vêtements de celle-ci trouvés dans la salle de bain. Toujours un peu éméché, le jeune homme se sentit d'humeur taquine. De toute façon il est toujours d'humeur à faire chier les gens, et en particulier la demoiselle. C'est si hilarant de la foutre en pétard. Appuyé sur le bord de la porte, il affichait un large sourire. « Je suis sexy, tu ne trouves pas ... ? ». Avançant vers le lit de Garance, il se jeta à plat ventre sur celui-ci, fit battre ses jambes telle une gonzesse, et reprit de plus belle. « Je porte la dentelle mieux que toi ! ». |
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| Sujet: Re: sea, sex and sun ➜ GAGA Dim 1 Avr - 22:51 | |
| Quentin était le prototype même du mec insupportable. Le genre de mec à laisser trainer ses merdes derrière lui avant de vous dire que vous avez mal fait la vaisselle. Il ramenait des pelletées de nanas par semaine, les baisait dans tous les sens du terme avant de les laisser à la charge de Garance le lendemain matin. Le colocataire idéal en somme. Après ce magnifique dernier lancé d'oreiller, la jeune femme regarda l'imbécile quitter la pièce d'une moue boudeuse. Ca lui ressemblait tellement que c'en devenait suspect. Les yeux plissés, la demoiselle rejeta sa couette en avant et tenta de se lever avant que son coloc' l'en dissuade. Là, appuyé sur le bord de la porte, Quentin portait la lingerie très très trèèès fine que Garance avait laissé dans la salle de bain. La bouche bien plus ouverte que ses jambes depuis quelques semaines, elle admira Quentin, ou plutôt Quentine à en croire ses manières très féminines. Alors qu’il la taquinait encore et encore, elle se leva, prenant à son tour le chemin du salon tout en lui balançant : « Au fond j’ai toujours su que t’étais gay. » Au lieu d’aller vers la salle de bain, elle piocha directement dans la penderie de Quentin - si on pouvait appeler ça penderie, ça ressemblait plus au panier du linge sale -, et, avec un certain dégoût, enfila un de ses caleçons (vraiment propre ?) et un vieux tee-shirt délavé bien moulant. A son tour, elle s’accouda au bord de la porte, retrouvant le garçon dans la même position qu’elle l’avait laissé. Prenant une voix faussement viril, elle fit jouer ses biceps. « Tu sais ce que c’est quand te vient une pulsion viril, et qu'on a besoin de faire n'importe quoi, jardinage, réparation… » et vint claquer ses fesses de bébé. |
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