REESE & DIANE ● NO, SHE DOESN'T MIND.
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REESE & DIANE ● NO, SHE DOESN'T MIND.

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MessageSujet: REESE & DIANE ● NO, SHE DOESN'T MIND. REESE & DIANE  ● NO, SHE DOESN'T MIND. EmptyJeu 3 Mai - 19:22




Reese & Diane

« Would it make you feel better to watch while I bleed ? »


Nous étions rentrés d'un dîner chez les parents de Diane nous étions par la même occasion passés prendre Charlotte qui avait passé quelques jours chez eux. J'avais eu une journée pesante, j'étais arrivé en retard et je l'ai revue, c'est une de mes étudiante, c'est tout à fait normal de la croiser, qu'elle idée j'ai eu. J'avais eu des ennuis avec un professeur de théâtre parce qu'il avait collé les meilleurs éléments de l'équipe sportive de l'université. Bref, je ne m'attendais pas à ça en allant chez eux, Diane s'était montrée charmante avec moi, elle était même venue se -presque- blottir contre moi, et j'admets qu'au début ça me plaisais, je ne comprenais pas ce qu'elle cherchait en début de soirée et c'est seulement pendant le repas que j'ai compris qu'elle n'avait pas parler à ses parents de notre couple qui se casse la gueule, non bien sur je n'ai pas envie que ses parents me déteste pour ce que j'ai fais, mais notre peau n'était plus entrée en contact depuis près de six mois. Elle me manquait, elle me manque et j'en ai marre de subir ça, c'est vraiment difficile pour moi, je sais que c'est mal, mais je n'ai plus envie de ramper. Diane avait glissé quelques mots, des choses qu'elle ne me disait plus des « mon amour » ou encore « mon coeur » C'est vrai qu'a chaque fois qu'elle a entrepris quelque chose ce soir j'étais retissant, méfiant même mais lorsque j'ai compris son petit manège moi ça ne m'a pas fais rire. Je n'ai rien dis, je n'ai plus rien dis, de l'entrée jusqu'au dessert. Il commençait à se faire tard et la petite s'était endormie sur le canapé devant la télévision, après un digestif je décidais de partir, je prenais la petite et j'embrassais mes beaux parents. Diane m'avait tenue la main jusqu'à la voiture et était montée. Je démarrais et nous partions. Nous étions désormais sur le retour et je n'avais pas ouvert la bouche, tout était silencieux dans la voiture, Charlotte s'était endormis à l'arrière et la radio n'était même pas allumée. J'avalais ma salive, Diane elle fixait la route, elle restait silencieuse. « T'as même pas dis à tes parents qu'on... » je riais nerveusement en passant ma main libre sur mon visage en soupirant « T'en as pas parler à tes parents... Tu vois je ne dis pas que j'ai envie qu'il sachent que je suis un gros... » je tournais la tête vers la petite pour m'assurer qu'elle était endormie « Un sale type. » j'avalais ma salive, heureusement que les parents de Diane ne vivent pas loin tout de même, la voiture en « famille » c'est une torture pour moi.

J'arrêtais le moteur et je sortais de la voiture, j'allais chercher Charlotte et je la prenais dans mes bras, chargeant Diane de prendre le sac de la petite. Un coup de chance qu'elle ne se soit pas réveillée, ma magnifique Charlotte. Je la couchais et j'embrassais son front, je prenais soin d'allumer la veilleuse pour ne pas qu'elle se réveille en pleine nuit en panique. Je l'ai regarder dormir un moment avant de sortir de sa chambre en prenant soin de pousser la porte derrière-moi. Je relâchais mon nœud de cravate et j'ouvrais les premiers boutons de ma chemise. Dans un soupir je redescendais poser mon manteau et mes papiers ; j'entendais la porte se refermer, je l'entendais poser les affaires de la petite aux pieds de l'escalier. J'ai dû attendre, je ne sais pas, quelques minutes avant d'aller la voir ; j'attendais qu'elle dépose ses affaires et j'allais la rejoindre dans l'entré, j'observais Diane et je m'appuyais contre l'encadrement de la porte « Tu mériterais presque un Oscar. » je la fixais les bras croisés contre mon buste « Tu me fais la misère ici et devant tes parents t'es l'épouse comblée, la mère la plus épanouie de la terre. » Je m'approchais d'elle froid et mécontent « En fait tu aimes me faire du mal, c'est quoi ? T'as envie que je paye toute ma vie pour ce que j'ai fais ? » je la poussais contre le mur et je la regardais dans les yeux en la maîtrisant « Si tu penses que je vais ramper toute ma vie tu te trompes ! » En fait je pense que dans la vie, la chose l'épreuve la plus difficile c'est d'avoir besoin du pardon d'une personne qu'on aime et que cette personne refuse, ça fait mal.
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Dernière édition par Reese Ostreicher le Jeu 3 Mai - 21:35, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: REESE & DIANE ● NO, SHE DOESN'T MIND. REESE & DIANE  ● NO, SHE DOESN'T MIND. EmptyJeu 3 Mai - 21:33


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« Il aimait la mort, elle aimait la vie, Il vivait pour elle, elle est morte pour lui. »


    Reese et moi avions confié Charlotte à mes parents. C'était pour nous l'occasion de nous éviter royalement. Pendant ces trois jours, Reese rentrait tard du travail, moi je partais tôt. Je m'étais plongé à corps perdu dans un nouveau projet pour le magasine. J'envisageais de partir quelques semaines pour le travail à Paris. En effet, mon directeur souhaitait que je me rende à Paris pour les pré-collections automne-hiver 2012, je souhaitais donc partir quelques semaines pendant l'été, emmenant au passage ma fille avec moi. Je ne supportais plus l'ambiance qui régnait chez moi et je ne pouvais plus supporter Reese, Oz de son surnom, Reese, mon mari infidèle, celui qui ne me regardait et ne me parlait que pour me faire des reproches. Nous avions réussi à ne pas nous croiser et ce soir je devais récupérer mon petit ange. Mes parents avaient insisté pour que nous restions diner. Je ne pouvais refuser. Nous étions donc là tous les deux, faces à mes parents. J'avais décidé de ne pas mettre mes parents au courant de notre situation. Je ne voulais pas qu'ils s'inquiètent pour nous. Même si j'en voulais beaucoup à Oz, je ne voulais pas le quitter pour autant. J'avais une telle rage et une telle haine en moi. Je voulais qu'il paie pour ce qu'il m'avait fait. Je voulais le faire souffrir et qu'il ne puisse plus me regarder dans les yeux tellement il se sentirait petit et misérable. Ce soir-là nous sommes arrivés à vingts heures précises. Lorsque j'entrais dans la maison, notre petite Charlotte courut vers nous. Je me baissais et la serrait fort dans mes bras. Le nez plongé dans ses cheveux qui sentait le bébé. Une odeur familière et rassurante, dans une vie incertaine. Je prenais ma fille dans mes bras et souriais à mon mari, histoire de faire illusion. Il l'embrassa sur le front et je lui passais sa fille. J'embrassais mon père, puis ma mère. Comme à son habitude ma mère m'expliqua combien j'avais l'air fatigué et me demandait si je n'avais pas "encore" maigrie. Je la rassurait, bien sûr que non. Pourtant, je maigrissais à vu d'oeil. La douleur me rongeais de l'intérieur. Je regardais alors mon mari, avec un regard plein de tendresse, mais à l'intérieur je bouillonnais, je me mordais la joue pour ne pas exploser devant mes parents adorés. Pendant l'apéritif, je posais ma main sur le genou de l'homme de ma vie, lui susurrant des mots d'amours dans l'oreille et expliquant à mes parents combien j'avais de la chance d'avoir un mari si parfait. Pur mensonge, qui me transperçait le coeur à chaque "mon amour". Arrivé à l'entrée, l'atmosphère se refroidit. Reese avait comprit mon manège. Logique, il n'est pas idiot. Pendant le reste du repas, je ne changeais pas de stratégie et essayais de ne rien laisser paraitre à mes parents. La dernière chose que je voulais c'était qu'ils s'inquiètent pour nous. Je jetais un coup d'oeil à ma fille. Elle s'était écroulé sur le canapé. Morte de fatigue. Je la regardais tendrement, puis Reese annonça que nous allions partir. Je ne lui en voulais pas d'écourter la soirée. Je ne passais pas un bon moment et j'avais hâte que celui-ci se termine. La tension monta d'un cran une fois installé dans la voiture. Reese me reprochait de n'avoir rien dit à mes parents. Je fixais la route impassible. Il baissa la voix pour que Charlotte n'entende rien. Cela me fit rire intérieurement, il croyait quoi ? Que sa fille ne se rendrait jamais compte du connard qu'il était ? En entrant, Reese alla coucher notre fille, moi je tardais un peu dans l'entrée. J'enlevais mon manteau, mes chaussures. Je déposais les affaires de Charlotte sur la première marche de l'escalier. Reese fit son apparition, je soufflais. Il me lança un premier pic, auquel je répondis du tac au tac J'ai eu un bon professeur. Il enchaîna, me reprochant de ne rien dire à mes parents. Quel égoïste ! Il commença à s'approcher de moi, élevant un peu la voix, se montrant plus menaçant, plus froid et dur dans ses propos. Je ne baissais pas le regard, ne cillais pas et ne reculais pas. Je n'étais nullement impressionné par cet être misérable. Moi, Diana Alana Khan, on ne me manque pas de respect, on ne me trompe pas et on ne m'intimide pas. J'avais gardé mon air effronté de mon enfance. Il me plaqua contre le mur, me maîtrisant les poignets et me promettant qu'il ne ramperait pas. Je soutenais toujours son regard. Ce contact m'électrisa. J'avais le sang qui me battait dans les tempes, une terrible envie de le gifler ou bien de l'embrasser. Je lui souris, d'un air méprisant et je lui répondais Pourtant, tu n'es qu'une larve, regarde toi ! Celui que j'ai épousé était un homme, un vrai. Pas un faible qui couche avec la première pute qui passe la porte ! Je le repoussais et me dirigeais vers l'escalier.
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MessageSujet: Re: REESE & DIANE ● NO, SHE DOESN'T MIND. REESE & DIANE  ● NO, SHE DOESN'T MIND. EmptyDim 6 Mai - 17:04



Reese & Diane

« Would it make you feel better to watch while I bleed ? »


Ses mots m'avaient blessés, le meilleur professeur, haha ! Disons que nos conversations ne peuvent pas restés sans ambiance, nous sommes forcés de nous disputer à longueur de journées parce que l'un ou l'autre lance des pics à l'autre, là c'était elle, j'avais sentis mon cœur s'était froissé et ça avait été douloureux alors j'avais froncés les sourcils encore plus – je serais très ridé plus tard je sais... - et ma fierté en prenait de nouveau plein la face, j'avais énormément pris sur moi après mon erreur, j'ai renoncer à plein de choses et j'ai ranger ma fierté pour me faire pardonner et elle me le reproche, mais est-elle sérieuse bordel ? Je n'en pouvais plus, dans ma tête c'était Bagdad, je ne savais plus quoi faire je ne comprenais plus rien, et cette horrible pensé du type qui était passé un soir où j'étais rentré tard, j'avais envie de hurler de tout démolir. « Tu parles à qui là ?! » j'attrapais son bras et je la tirais vers moi de toutes mes forces, non mais où pensait-elle aller après ça ? Je la tirais hors de la pièce pour éviter de réveiller la petite avec nos conneries. Je l'avais littéralement jetée dans l'autre salle et j'avais fermer la porte juste derrière moi. J'inspirais et je la poussais légèrement « Si je t'ai trompé il y a forcément une raison. » je souriais narquois, j'insinuais presque que nos ébats ou performances m'ennuyaient. Non je ne suis pas fier de moi, loin de là mais bon. Je la regardais se décomposer devant moi, je m'attendais à une nouvelle gueulante, encore une. Je m'adossais contre la porte et je la fixais « Ce qui me surprend c'est que n'aie pas demander le divorce. » je sentais mon cœur se fendre et j'inspirais bien profondément.
Je me décollais de la porte et j'allais ouvrir une fenêtre par la quelle j'allumais une cigarette et j'allais me servir un verre de tequila et je retournais près de la fenêtre pour pouvoir fumer. Je regardais la rue bien calme et dans la maison un long silence s'était installé, ça ne me dérageais plus, l'atmosphère à toujours été tendue entre nous, c'est comme ça depuis quelques temps déjà et ce qui me fait mal c'est que j'ai beau lutter je n'arrive pas à me faire entendre, c'est une bataille que je sais perdue et c'est ça, ça qui me fait tant souffrir. Je secouais la tête doucement en recrachant la fumée, je soupirais doucement et je la regardais, elle était toujours aussi belle, tout, tout me manquait chez elle, absolument tout. - Je te jure, si j'avais sus que ça nous tuerais comme ça je ne serais jamais allé voir ailleurs...- J'avalais de grandes gorgées et je me resservais, j'ai répéter cette action plus de trois fois avant de poser mon verre « J'ai jamais voulu ramper, j'ai jamais voulu être une larve, c'est à cause de toi que je suis devenu l'homme qui te répugnes tant. » j'haussais les sourcils en regardant le fond de mon verre, j'écrasais ma cigarette dans le cendrier que je posais tout près de moi. « Et en plus tu te tapes des mecs quand la petite est en bas ! » je riais nerveusement, me moquant ouvertement d'elle, sans doute que l'alcool que j'avais bus durant la soirée commençait à me monter à la tête. « Il n'y à pas à dire, t'as une super influence sur ton entourage, quand ta fille sera enceinte à seize ans tu ne t'en prendras qu'à toi même, parce que je te jure que moi je ne te raterais pas. » Je n'ai jamais eu l'alcool mauvais, mais je dois admettre qu'avec tout ce que je vivais ces derniers temps je n'avais aucunes raisons d'être doux comme un agneau, non j'étais plutôt comme un mouton rebelle qui refuse qu'on l'égorge.
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MessageSujet: Re: REESE & DIANE ● NO, SHE DOESN'T MIND. REESE & DIANE  ● NO, SHE DOESN'T MIND. EmptyDim 6 Mai - 21:39


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« Il aimait la mort, elle aimait la vie, Il vivait pour elle, elle est morte pour lui. »


    Reese me rattrapa et me jeta dans la pièce à côté. En me bousculant, mon bras cogna contre l'embrasure de la porte. Je me massais, tentant de faire partir la douleur. Il n'en avait rien à foutre. Plus rien à foutre de moi. Il pouvait me casser le bras, il ne s'en voudrait même pas. En même temps, il m'avait déjà brisé le coeur à croire que ça devenait une habitude chez lui de me briser les membres. J'inspirais profondément. Je ne supportais plus cette situation. J'avais tellement envie de partir et en même temps tout me retenais. Ma fille, bien sûr, mais avant tout mon amour pour cet homme. Je dois être un peu folle à me faire souffrir ainsi, cependant c'est un fait. Je l'ai dans la peau et cela depuis sept ans. Jamais je ne me serai mariée avec et n'aurais eu un enfant avec lui si je n'avais pas été sûr à cent pour cent qu'il était le bon. Mon âme soeur. Depuis plusieurs mois on se vouait une guerre sans fin. Essayant toujours de faire le plus mal. D'être le plus fort. Ce jeu m'épuisais, bientôt je n'arriverais plus à combattre. Et pourtant mon sale caractère me faisais tenir. Il était impossible pour moi de baisser les bras et le laisser me détruire. Je voulais qu'il craque avant moi. Je savais au fond de moi qu'il m'aimait toujours et qu'il s'en voulait vraiment. Cependant, l'infidélité est le pire des défaut à mes yeux. Un motif de rupture, de divorce. Mais l'amour que j'éprouvais pour mon mari et qui me tuait à petit feu m'en empêchais. Il me criait dessus, impossible pour moi de répondre. Le sang me battait toujours dans les tempes. Mon coeur battait la chamade, mon bras me lançait. Je le suivais du regard. Je le regardais se servir un verre de tequila, puis un deuxième, un troisième. Il se dirigeait vers la fenêtre pour y jeter la cendre de la cigarette qu'il avait allumée. Une habitude qui lui était venue après notre rencontre. Moi-même je fumais de temps en temps, la plupart du temps pour l'emmerder. Je ne le quittais pas des yeux. Dieu qu'il était beau. Une ride s'était formée sur son front, la colère sans doute. Cela le rendait très sexy. Un souvenir me revint en mémoire. Nous étions tout juste installé en ville, j'étais enceinte de Charlotte. Nous venions de faire l'amour et c'était incroyable, comme toujours. Nue sur le lit, il parlait à notre fille. Après cela, nous avions parlé des heures, il me jurait que nous vieillirons ensemble. Foutaise ! Il se tapait déjà l'autre pétasse. Mon coeur se serra un peu plus. Il me sorti de ma rêverie en me balançant qu'il y avait une raison à sa tromperie. Je ne savais quoi répondre. J'étais un mauvais coup ? C'était ce qu'il voulait me dire. La douleur s'intensifia au plus profond de mon être. Finalement je lui répondis C'est vrai qu'avec une pute au moins tu peux réaliser les fantasmes que ta femme te refuse ! C'est tellement beau ta définition de l'amour mon chéri. Je lui avais répondu sur un ton sarcastique. Je ne savais pas s'il avait été amoureux de la jeune femme avec laquelle il m'avait trompé, je refusais d'y penser. En même temps je me disais que s'il était resté aussi longtemps avec elle, plusieurs mois tout de même, c'était qu'il devait avoir des sentiments pour elle. Je continuais de le regarder, s'enfiler la moitié de la bouteille de tequila. Reese n'était pas du genre à avoir l'alcool mauvais, mais au vu de nos rapports je craignais le pire. Finalement, il me demanda pourquoi je n'avais pas demandé le divorce. Bonne question ! Ma fille me retenait, mais l'amour aussi. Je ne te ferais pas ce plaisir ! Si tu veux divorcer vas-y ,mais je ne serais pas celle qui prendra cette décision. Je ne voulais pas passer pour une victime, mais si nous devions divorcer, je voulais qu'il en assume l'entière responsabilité, car si notre mariage explosait en plein vol c'était bien sa faute. Reese continua son flot de gentillesse. Selon lui, je l'avais rendu faible. C'est l'hôpital qui se fout de la charité ! J'explosais de rire. Oui si tu veux. J'esquissais un petit sourire. Tu t'y est mit tout seul dans cette situation. Je m'approchais de lui et dans un chuchotement et un peu de moquerie j'ajoutais Et crois-moi je m'en serais bien passé. Je me dirigeais à mon tour vers le bar et pris un soda, j'ouvrais la canette et buvais une grande gorgée. Je faillis m'étouffer quand il m'accusa de me "taper" d'autres mecs en présence de ma fille. Je fis volte face et m'approcha de lui. Mais tu es un grand malade, tu insinu quoi là? Que je suis une mauvaise mère ? Ne joue pas à ce jeu avec moi Oz ok ? Je ne supportais pas qu'il me fasse passer pour une mauvaise mère et la méchante de service si on en était là c'était bien sa faute ! Je lui tournais à nouveau le dos et but une nouvelle gorgée. Moi aussi j'avais bien besoin d'une cigarette. Reese ne semblait pas vouloir mettre fin à cette conversation. J'explosais Non mais attend, tu veux qu'on en parle d'exemple ? Mais tu te fout de ma gueule ou quoi ? Tu es celui qui s'est tapée une ado ! Tu es celui qui a détruit notre famille ! Tu es celui qui m'a détruit ! Regarde moi, j'ai perdu 10 kilos ! Je ne mange plus, je ne dors plus, je deviens malade ! Je m'approchais un peu plus de lui à chaque phrase. Arrivée à sa hauteur j'enrageais et j'avais les larmes aux yeux. Quand je me suis mariée avec toi, je pensais que tu était le seul et l'unique. Mais il semblerait que pour toi ce n'était pas réciproque. Donc si tu veux divorcé, vas-y je ne te retiendrais pas. Mais ne m'accuse pas de coucher avec n'importe qui ou de faire n'importe quoi. Parce que c'est toi qui a tout gâché ! Je me dirigeais vers le canapé et m'asseyais dessus. Ma tête tournait et mes yeux étaient remplit de larmes. J'avais envie de vomir. Je ne supportais plus la situation. Je ne supportais plus ma vie. Je ne supportais plus mon mari.

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MessageSujet: Re: REESE & DIANE ● NO, SHE DOESN'T MIND. REESE & DIANE  ● NO, SHE DOESN'T MIND. EmptyMar 8 Mai - 1:47



Reese & Diane

« Would it make you feel better to watch while I bleed ? »


« Arrête de pleurer. » lui avais-je froidement ordonné, je l'avais fixée tout du long de son speech, ma tête me disait de rester fort, mon cœur hurlait à la mort. Ça m'avait briser le cœur de la voir si mal par ma faute et c'est ce qui m'énervait le plus, tout était de ma faute, j'étais totalement impuissant, j'aurais aimer l'embrasser, la serrer contre moi mais elle m'aurait repoussé, j'étais coincé, je n'avais même plus envie de m'excuser ; j'étais las de tout ça. « Tu sais j'étais certain de pouvoir te rendre heureuse, j'étais certain qu'aucune autre nanas ne me plairait désormais parce que mon univers c'était toi... » je soupirais en souriant bêtement « Quand je l'ai rencontrée c'était au moment où tu sortais de dépression, tu allais si mal et j'étais tellement impuissant, je me suis sentis si faible si tu savais ! » ma gorge se serrais et je sentais l'émotion me saisir, je soupirais encore en passant ma main sur mes lèvres. « Elle m'a changer les idées, je m'en suis tellement voulu pour ta dépression, je n'allais pas mieux que toi et c'était vraiment dur de tenir, elle m'a changer les idées, elle m'a fait voir autre chose, j'ai réussis à m'en sortir un peux grâce à elle, je sais c'est dégueulasse de te dire ça et j'imagine à quel point tu vas me haïr encore plus après ça mais il faut que je te le dise, il faut que tu saches... » je passais mes mains sur mon visage en inspirant, les larmes m'avaient gagnées, elles coulaient le long de mes joues, je voulais simplement qu'elle sache ce qu'il s'est vraiment passé, pour qu'elle essaye de comprendre et parce qu'elle doit savoir voilà tout.

Je me retournais vers mon verres à moitié vide, j'inspirais profondément et je buvais du courage liquide, grimaçant en sentant l'alcool brûler mon œsophage. « Je t'aime, je t'ai toujours aimé et non ça ne pardonnera rien, je le sais, je ne te demande pas le pardon, je te dis la vérité, je veux être sincère cette fois... » j'essuyais mes larmes nerveusement inspirant profondément et j'allais m'asseoir sur le canapé à mon tour, j'allumais une cigarette, je conservais mon calme, je ne laissais pas transparaître ni ma faiblesse, ni ma nervosité. « Je ne suis pas parfait, et je m'en excuse mais je t'aime et je suis fier de notre petite fille, notre bébé ! » je posais ma main sur la sienne avec hésitation et je la regardais «Je ne veux pas qu'on se sépare je veux qu'on redevienne une famille...  » j'embrassais tendrement sa tempe et je me levais, j'allais remplir mon verre et allumer une cigarette – encore – en ouvrant la fenêtre. « Je t'avais prévenue, tu savais dès le début que cet amour allait te briser le cœur... »

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MessageSujet: Re: REESE & DIANE ● NO, SHE DOESN'T MIND. REESE & DIANE  ● NO, SHE DOESN'T MIND. EmptyMar 8 Mai - 19:39


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« Il aimait la mort, elle aimait la vie, Il vivait pour elle, elle est morte pour lui. »



    Il m'ordonnait de ne pas pleurer. Mais comment pouvait-il encore m'ordonner quoi que ce soit ? Ne m'avait-il pas fait assez de mal comme cela ? Je restais assise-là dans ce canapé. Un canapé où nous avions vécus de bons moments. Depuis plusieurs mois, Reese et moi nous déchirions, alors qu'en six ans, notre vie n'avait été qu'un rêve, sans une ombre au tableau. Je ne pouvais m'empêcher de m'imaginer qu'il m'avait trompée plus d'une fois. À partir du jour ou il m'avait fait son aveu, une boule s'était formé dans ma gorge et une autre dans mon ventre pour ne plus jamais me quitter. Un sentiment de jalousie et la suspicion s'était installé entre nous. Cette situation me rendait malade. J'étais malheureuse et la douleur était chaque jour plus forte. Je l'écoutais me dire qu'il m'aimait et qu'il pensait sincèrement qu'il n'aurait jamais eu des sentiments pour une autre que moi. J'écoutais les aveux d'un homme qui se rendait compte que sa femme ne lui suffisait plus. Je ne pouvais plus contenir mes larmes. Une larme roula le long de ma joue et s'écrasa sur mon genou. Mon coeur battait cependant moins fort. Il enchaîna ensuite sur les raisons qui l'avaient poussé à faire cela. Elle lui changeait les idées. Et moi alors ? Je le regardais droit dans les yeux. Tu sais ce qu'est un baby blues, je me sentais seule, vide, puisque mon bébé n'était plus dans mon ventre. J'étais crevée, vulnérable, je me sentais seule. Et toi tu voulais te changer les idées ? Je me levais et allait près de lui, ses larmes me rendaient folle de rage, il me dégoûtait. Mais tu te rends compte à quel point tu peux être égoïste ? Je pris une cigarette dans son paquet et en allumait une à mon tour. Je ne suis pas une grande fumeuse, mais de temps en temps, quand je suis très stressée ou très en colère je m'accorde une cigarette ou deux. Je tirais sur ma cigarette deux fois, recrachant la fumée par la fenêtre. Tu vois, le plus dur c'est pas que tu m'es trompée, c'est que çela ai durée et surtout que tu l'ai fait après la naissance de la petite. Si j'avais su je n'aurais jamais fais d'enfant avec toi. Je me retournais et tirais à nouveau sur ma cigarette, une nouvelle larme roula sur le coin de mon visage. Lui dire ça me faisais mal, mais c'était ce que je ressentais. Cette solution de trouver du réconfort auprès d'une inconnue était pour moi trop facile. Moi jamais je n'aurai eu l'idée de le tromper pour aller mieux. Reese m'avouait enfin qu'il m'aimait toujours et depuis toujours. Je me retournais vers lui et le regardais, avec plus de tendresse que je ne l'avais jamais fais depuis son terrible aveu. Bien sûr qu'il m'aimait je n'en doutais pas. Je le savais. Mais c'était beaucoup trop simple de me dire qu'il m'aimait et de penser que je passerais l'éponge. Il m'avait blessé dans mes sentiments mais, dans mon amour propre aussi. Je le sais Reese. Et ... Je m'arrêtais dans ma lancée, il ne méritait pas d'avoir mon pardon, ni même d'avoir une parole gentille de ma part. Je n'arrivais pas à m'enlever de la tête, l'image de mon mari avec une autre. Sa façon de passer sa main dans mes cheveux. Sa façon de caresser ma nuque. Sa façon d'embrasser, de rire, de froncer les sourcils ... Il me manquait terriblement. Je savais que c'était réciproque mais, cela n'étais toujours pas assez pour moi. Oui je suis rancunière. Je lui souris quand il évoqua notre petite Charlotte. Quand je lui avais annoncé ma grossesse, il s'était mis à pleurer moi aussi. C'était le plus beau jour de ma vie avec celui de mon mariage. Après tout ce que nous avions traversé, c'était un deuxième rêve qui se réalisait. Quand j'ai connu Reese, je n'avais que vingt ans, lui, 24. Il était professeur de sport, donc très sollicité. Malgré tout j'avais tenu bon j'avais tout fait pour qu'il m'aime toujours malgré les mois qui passaient. Notre différence d'âge aurait pu être un obstacle mais, je me suis toujours battue pour notre couple. Reese posa sa main sur mon genou, je sursautais légèrement. Cela faisait des mois que nous n'avions pas eu de geste tendre pour l'autre. Finalement, je le laissais faire. Ma faiblesse de femme amoureuse sans doute. La vérité c'était que j'étais fatiguée de me battre avec lui. J'éteignais ma cigarette dans le cendrier en cristal. J'acquiessais quand il me dit que dès le début il m'avait prévenu que notre histoire me ferait souffrir. Cependant, je ne pensais pas que cela arriverait au bout de sept ans de vie commune et surtout que ça me ferait aussi mal. Nous restâmes un moment à nous regarder, il s'approcha de moi, moi aussi et finalement nos lèvres se frôlèrent, quand Charlotte se mit à pleurer. J'y vais. Je laissais là mon mari. Les lèvres en feu par ce presque baiser. Je consolais ma fille. Tremblante par ce qu'il venait de ce passer. Quelques minutes après ma petite princesse dormais paisiblement. Elle a fait un cauchemar. Je me rassis près de lui. Reese, ce qu'il vient de se passer, ou plutôt pas passer. Ça ne change rien entre nous. Au fond de moi je jubilais. J'avais à nouveau l'espoir que tout s'arrange pour nous.

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REESE & DIANE ● NO, SHE DOESN'T MIND.

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